… La peine de mort est (fut en France jusqu’en 1981) un acte inscrit dans la Loi de Justice d’état et qui était la condamnation à la plus lourde peine… En somme, inscrite dans la Loi d’état et de la Justice (le droit pénal) la peine de mort était « un assassinat légalisé »…
Cela je suis contre (l’assassinat légalisé) tel qu’il se pratique encore aux USA, en Chine, en Iran et dans quelques autres pays dans le monde… (En Russie – Russie actuelle – la peine de mort n’existe plus « officiellement » mais elle se pratique « indirectement » notamment par absorption de produits toxiques – et létals - administrés à des condamnés en prison « sur décison » de personnages ayant autorité et pouvoir – voire par Vladimir Poutine Président de toutes les Russies lui-même…
En revanche tuer un être humain en réaction à l’acte abominable, au comportement prédateur, à la violence meurtrière de cet être humain, dans un combat, dans une situation de guerre, dans une situation où l’on défend sa vie et celle de ses proches, cela je le conçois en réponse à la violence par la violence, en réponse à cette violence si prédatrice et si lourde de conséquences dramatiques, de certains personnages détenant du pouvoir dont sont victimes de nombreuses autres personnes…
Mais la Justice (les tribunaux), la Loi d’état… En France et ailleurs, telle qu’elle se pratique, telle qu’elle est appliquée « en fonction de... », condamne non seulement le coupable d’un acte délictueux et criminel… Mais aussi celui ou celle qui, ayant été agressé, dont la vie a été menacée réellement, a tué par réaction en se défendant ou en représailles à ce qu’il a subi…
Certes je comprends que selon la Loi on ne peut soi-même se faire justice ( la Loi il la faut sinon c’est la jungle brutale et absolue) … Mais dans le cas de l’agressé qui agresse en réaction à ce qu’il subit, et qui tue… Alors la Justice devrait se montrer moins inflexible (on va dire « moins sévère » ou « plus compréhensive »)… Ce que d’ailleurs elle est assez souvent…
Le temps du pardon et de l’oubli… Non ! … Du pardon oui un jour peut-être (dans un monde vraiment différent, dans un hypothétique futur) … Mais l’oubli jamais, car ce qui fut l’a été et ne peut être retiré de l’Histoire… (Ceux qui nient l’Histoire sont des assassins en puissance)… L’on ne nie pas non plus quand bien même on tente pour certains de le faire, ce que l’on a accompli dans sa vie dans un sens ou dans un autre et dont des gens encore vivants peuvent avoir été témoins – et témoigner par l’écrit ou par la parole pour autant que le témoignage soit sans erreur et sans « arrangement »…