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Sciences, philosophie, religion

Si la science et la philosophie ne peuvent encore donner un sens et une explication à l’existence des phénomènes naturels, des mécanismes biologiques, de la photosynthèse, des lois physiques et quantiques qui régissent le cosmos, les galaxies, les étoiles, les corps célestes, les planètes, les particules, les atomes, les molécules… Et donc le pourquoi et le dessein de tout cela…

La religion elle, propose – ou plus exactement- impose pour réponse, pour explication, un modèle…

Un modèle simplifié afin qu’il puisse être compris ou appréhendé ou adopté par le plus grand nombre voire de tous les humains…

Un modèle tout prêt mais dont la croyance en ce modèle incite à ne pas avancer dans le savoir, à demeurer dans la dépendance, dans la soumission, dans l’obéïssance, dans la servitude sous la domination des puissants, des possédants qui tiennent depuis plus de deux mille ans le même discours, se servent des mêmes outils, des mêmes artifices, des mêmes moyens de pression, avec de nos jours le concours de la technologie…

S’il fallait vraiment chercher Dieu, Jéhovah ou Allah – ou à défaut ou dans une « autre foi » « quelque chose qui équivaut ou ressemble à Dieu »… Peut-être le trouverait-on dans cette immensité de temps que les scientifiques appellent « l’ère de Planck » située cette immensité de temps, entre un point d’origine inatteignable, et l’instant où l’univers commence et a la taille (la dimension) la plus petite mathématiquement connue : 1,616 multiplié par 10 puissance moins 35 mètre… De diamètre…

Car ce serait dans ce temps là – de « l’ère de Planck » - que tout se serait élaboré – créé en quelque sorte… Avant de commencer à être matière, énergie, et de s’assembler puis de se développer, de croître en nombre, en diversité, et en complexité…

 

 

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