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Le voile ou le foulard islamique

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Autant je développe et entretiens horreur, détestation, rejet, fureur à la vue d’une femme portant le voile ou le foulard islamique…

Autant en dépit de cette détestation et de ce rejet, et de cette fureur que je développe et entretriens ; je ne ressens de haine… Juste, je le redis, de la fureur, une grande fureur…

La colère aussi noire qu’elle soit et qu’elle se manifeste, aussi iconoclaste dans le propos ou dans l’écrit qu’elle s’accompagne, n’a rien à voir avec la haine, ne peut être confondue avec la haine…

La haine tue par la pensée, ou « en vrai », la haine c’est vouloir du mal et ou faire du mal volontairement, délibérément, à quelqu’un en particulier ou à des personnes… Mais pas la colère…

La colère procède de ce qu’il y a d’animal et de naturel dans l’humain, la haine n’existe pas dans le monde des êtres vivants – de tous les animaux, de tout ce qui vit, se meut, respire, vole, rampe sur Terre, de tout ce qui vit dans l’air ou dans l’eau ; la haine n’est que dans l’esprit humain – lorsqu’elle se met à exister et à se manifester, souvent, le plus souvent, entretenue par des humains qui ont intérêt à ce qu’elle existe et se manifeste…

 

Si je vois dans la rue ou dans n’importe quel espace public, par exemple l’escalier d’un immeuble, sur un chemin ou sur un passage montueux, ou encore à l’accès d’un bus, d’un tram ou d’un train – l’accès se faisant par plusieurs marches – une femme voilée ou en foulard islamique – surtout âgée ou visiblement « pas très costaude » - et portant un sac, un bagage très lourd, je lui viens en aide…

Il ne me vient jamais à l’idée d’enlever d’un geste brusque, dans l’espace public, le voile (en particulier le bout de tissu qui lui cache la moitié du visage) ou le foulard qu’elle porte lui dissimulant les cheveux et les épaules… Juste aurais-je -assurément- un regard noir à son égard si d’aventure à la caisse d’un supermarché, cette femme portant voile ou foulard place « de traviole » son caddie dans la queue afin de me passer devant « mine de rien »…

 

Cela dit, la femme que l’on voit sur cette photo, « contrevient » en exposant ses jambes nues croisées, à ce que préconise ou plutôt impose l’Islam rigoriste…

 

Cela dit, encore, une femme non musulmane qui se « nipe » vulgairement afriolant, peinturlurée, le derrière qui se dandine dans un short étroit… Si « ça ne me fait guère fantasmer », il n’en demeure pas moins que, dans une difficulté où peut se trouver cette femme, je lui viens volontiers et naturellement en aide…

 

Il y a dans la relation humaine – tout comme d’ailleurs dans la relation que l’on a avec les êtres vivants non humains - « quelque chose » (une force et une puissance intemporelles – et une « vérité ») qui dépasse toutes les morales, tous les codes, tous les principes, toutes les religions, toutes les idéologies, tous les « on dit que », toutes les opinions, tous les préjugés, tous les modèles de croyance et de pensée qui ont cours en ce monde humain…

 

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