compteur

Ok

En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.

Regard sur le monde depuis le début du 20 ème siècle

Guillaume Apollinaire, Marcel Proust, Frantz Kafka… Et le mouvement « Dada » - puis des surréalistes – avaient changé, dans les milieux artistiques et littéraires du premier quart du 20 ème siècle, le regard porté sur le monde ; la grande guerre de 1914 – 1918 dans ses horreurs et son extrême violence ayant aussi été, un facteur déterminant sur ce reagrd porté…

Et au-delà, bien au-delà des milieux artistiques et littéraires, c’est l’ensemble de la société, aux États Unis d’Amérique, en France et en Europe, qui est entrée dans – comme l’écrit Benoît Duteurtre dans « Ma vie extraordinaire »- « une première forme de modernité » - quoique cette « première modernité » en fait, ait été précédée par la « modernité ambiante » de la seconde moitié du 19 ème siècle – avec notamment les peintres impressionnistes, les poètes dits « maudits » Arthur Rimbaud, Charles Baudelaire, Stéphane Mallarmé ; l’écrivain Emile Zola…

Puis dans les années 1930-1940- 1950, avec encore une fois – la 2 ème- la terrible épreuve de la seconde guerre mondiale en tant que facteur déterminant – une nouvelle forme de modernité s’inscrit dans la continuité de la « première moderntité » mais avec ceci de particulier qu’elle s’est faite « aventureuse » et en même temps s’est « radicalisée » dans ses idéologies, dans les « systèmes de pensée » qu’elle a construits… Et c’est ainsi que la société – des milieux littéraires et artistiques jusqu’aux « gens du commun » a commencé à se fracturer, à « ne plus avoir les mêmes repères que ceux et celles des générations nées au milieu du 19 ème siècle…

Puis de la décennie 1960 à la décennie 1990, avec ce qu’il est convenu d’appeler « Les trente glorieuses », l’on assiste – soit pour les uns, en le subissant, soit pour les autres en s’y jetant dedans – au développement d’un « maelstrom » dans lequel tournent et se meuvent les mécanismes de l’industrialisation, de la technologie, du consumérisme et de la tyrannie des nouveaux maîtres du monde…

Et pour finir – mais… Soit dit en passant personne ne sait (tout en « croyant savoir ») comment cela finira (si ça finit) – Dans le premier quart du 21ème siècle (et encore davantage dans le deuxième quart commençant), la tyrannie des nouveaux maîtres du monde s’est considérablement accrue…

 

 

Écrire un commentaire

Optionnel