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  • Vieillir

    En dépit de tous les soins que prodigue aux personnes âgées, notre société actuelle, soins il faut dire « plus matériels que moraux » ; il n’en demeure pas moins qu’un « vieux monsieur » ou qu’une « vieille dame » n’attire point autant, de nos jours, les regards, que des personnes jeunes et d’apparence physique agréable…

     

    Les visages familiers qui nous ont accompagnés, certains depuis notre enfance, lorsque l’on vient de passer son 70 ème anniversaire – et parfois même avant- ont peu à peu disparu…

     

    Dans l’entourage des personnes âgées – le village, le quartier, le lotissement, l’immeuble où résident ces personnes âgées souvent seules ayant perdu leur femme, leur mari, leur compagnon – plus souvent des femmes que des hommes… Peu de personnes de l’entourage à vrai dire, viennent frapper à la porte du vieux monsieur, de la vieille dame…

     

    Vieillir implique la nécéssité de demeurer visible, de continuer d’entrer dans le regard de ces autres qui sont de générations précédentes de vingt, trente ans de moins…

     

     

    Il faut déjà prendre soin de soi sans pour autant verser dans le culte de l’apparence… Il est vrai qu’à tout âge, que l’on soit femme ou homme, sobriété et élégance discrète – donc sans ostentation, sans ces artifices que sont des effets vestimentaires, de « mise en scène de soi » et de toutes sortes d’arrangements « de façade »… S’accordent très bien ensemble – autant dans ce que l’on paraît que dans ce dont on est fait à l’intérieur de soi… C’est là « tout un travail de chaque jour qui passe »…

     

    Et à défaut de cet ami, de ce voisin, de ce fils, de cette fille, de tous ces proches (que l’on ne rencontre qu’aux mariages et aux enterrements) qui ne viennent pas frapper à notre porte…

    Il y a tout ce que l’on peut produire de soi que l’on ne garde point entre ses quatre murs et porte d’entrée et fenêtres fermées…

    Tout ce que l’on peut produire de soi et qui, autant ne ressemble à personne que s’accorde avec ce qui est commun à tous… En somme « faire se retrouver l’autre dans ce qui, en soi, ne ressemble à personne »…

     

     

     

  • Trois figures géométriques

    De ces trois figures géométriques que sont :

    Les cercles vicieux

    Les triangles amoureux

    Les esprtits trop carrés…

    L’on peut dire

    Des cercles vicieux qu’ils empuantissent le monde mais que sont les géomètres malveillants qui les tracent

    Des triangles amoureux qu’ils ne sont jamais équilatéraux et qu’ils ont tous un côté ou deux cotés tracés au crayon gras et un autre côté ou les deux autres côtés tracés d’un fin trait de crayon que l’on ne ne voit pas

    Des esprits trop carrés que d’un côté ils te disent : « tu fais ce que tu veux comme tu veux » ; mais que d’un autre côté et même en même temps, ils n’arrêtent pas de te faire des observations et des critiques à propos de tout ce que tu fais.