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  • Sincérité

    … « Dans un monde où tout est faux, où tout n’est qu’apparence, mensonge, trahison, rien n’est plus précieux qu’une âme sincère »…

     

    Toute personne en ce monde, qui offre à ses semblables, à ses proches comme à toutes ses connaissances autour d’elle, et même à des inconnus ou à des gens n’ayant été qu’une seule fois rencontrés… Cette sincérité, totale, absolue, indéfectible, permanente, bien que parfois dérangeante ou qui étonne et que cette personne porte en elle-même comme l’on porte en soi les organes et les tissus de notre corps… Est assurément le don le plus précieux, le plus beau cadeau que cette personne offre à ses semblables … Et c’est plus beau, encore, que de voler comme un oiseau, que de gagner une grosse somme d’argent, que d’être un personnage influent, connu et suivi…

     

    Il faut le savoir parce que c’est vrai, vrai universellement et intemporellement, de nos jours si difficiles, si incertains, si troublés, si chaotiques dans ce monde de violences et d’individualismes forcenés, tout comme par le passé… Cette sincérité totale, permanente, indéfectible et absolue, de quelques uns et unes de ci de là de par le monde… Ça existe et ce n’est pas, comme l’on pourrait le croire, « si rare que cela »…

     

     

  • L'écrit, la parole

    … L’écrivain, le journaliste, l’historien, le cinéaste, le documentaliste, le photographe ; ainsi que toute personne qui témoigne de ce qu’elle voit, observe, entend, écoute, autour d’elle, et produit en texte écrit, en image, en document, en scène filmée, en photographie… Est responsable de ce qui est transmis, enseigné et porté à la connaissance des autres, dans son entourage proche et aussi élargi que soit cet entourage…

     

    Celui qui témoigne peut faire connaître et laisser apparaître autour de lui sa vision personnelle de ce qu’il observe et de ce qu’il ressent, mais à condition de faire comprendre qu’il s’agit là d’une vision personnelle et de se garder de propulser sa vision comme on propulse une banière…

     

    De même qu’il y a une grammaire de l’écrit et de la parole en toute langue parlée et écrite de par le monde, il y a aussi une grammaire du contenu de ce qui est dit, écrit, montré, enseigné, transmis, rendant le récit, l’image, la scène filmée, intelligible, cohérent, authentique, dépouillé de tout effet, de tout arrangement…

     

    Une grammaire – il faut bien le dire sans moraliser pour autant – de l’écrit et de la parole, et du contenu de ce qui est dit, écrit, montré… Qui de nos jours fait défaut tant les technologies de la communication, notamment l’internet, les réseaux sociaux et les grands médias de l’information, sous couvert de réformisme et d’accessibilité à tous (et donc de « nivellement par le bas) ont dénaturé, appauvri cette grammaire (de l’écrit et de la parole, et du contenu de ce qui est dit, écrit, montré)…

     

    De tout ce qui a été avant que nous fussions nés, nous n’en savons que par ce qui nous a été raconté, montré (par des films, des documents), par ce que nous avons lu dans des livres… Et que nous n’avons pas vécu, dont nous n’avons pu témoigner…

     

    En quel état parviendra ce que nous disons, écrivons, montrons aujourd’hui, aux générations qui nous suivront… Et déjà, à tous ces enfants et adolescents, élèves des écoles, nés dans le premier quart du siècle présent… Si la grammaire s’étiole, et si se substitue à la grammaire, l’effet, l’arrangement, le raccourci, l’« instagramisme », le « tweetisme » ?

     

     

  • Ordre établi et contestation

    … Il est difficile, inconfortable et « hors-venu » dans le monde actuel, d’être et de se sentir en marge de l’ordre établi et en même temps d’être et de se sentir tout aussi en marge de diverses contestations…

    Jadis, dans un monde qui était et avait été toujours difficile pour une très grande majorité de personnes, en France et de par le monde, la contestation, dans ses expressions, dans ses mouvements, était « naturelle » en ce sens que ce qui la justifiait, était, pour un grand nombre de gens, de se soustraire aux dominations (des maîtres, des représentants de l’autorité, des princes, des rois, des possédants de la terre et des capitaux)…

    Dans le monde actuel, si la contestation existe encore – et persiste - « dans son sens naturel », elle est et devient de plus en plus déviée de son sens naturel en ce sens qu’elle tend à imposer de nouvelles dominations par des menées de « chiens enragés » en meutes…

    Et, ces « chiens enragés » se mouvant en meutes et renversant les poubelles, ne sont-t-ils pas lâchés (mais contrôlés) par les « grands merdeux » de l’économie politique, des mafias, des réformismes complaisants, de l’économie de marché, du totalitarisme bancaire et financier (qui, d’ailleurs, écrase les états) ? …

    Si l’ordre établi « offre » le spectacle de la pourriture argent, les contestations « offrent » le spectacle des poubelles renversées ; autant dire que, du côté de l’ordre établi et du côté des contestations, ça pue autant…

     

    … Les « chiens enragés », sont par exemple, ces groupuscules « écolo-terroristes » menant des actions d’une extrême violence, qui s’en prennent à des personnes et aux biens de ces personnes ; ce sont les « anti avortement » qui investissent, saccagent des cliniques, des blocs opératoires où l’avortement est pratiqué, agressent les médecins officiant dans ces cliniques et blocs opératoires… Ainsi que des fanatiques religieux, et plus généralement, tous les groupes organisés, tout aussi fanatiques et résolus à mener des actions de destruction et d’attaque à des personnes…

     

     

     

  • Manif du 1er mai : "un pt'it brin d'humour"

    … Outre les millions de Français partis en week end prolongé et s’apprêtant aujourd’hui lundi 1er mai à effectuer le trajet retour – pour certains plusieurs centaines de kilomètres – qui ne seront pas présents dans les défilés et rassemblements et manifestations…

    Ne seront pas non plus présents, celles et ceux qui, prenant chaque jour des médicaments diurétiques (pour l’hypertension, l’insuffisance cardiaque, problèmes circulatoires)… Ne pouvant rester sans uriner plus de deux heures de temps, debout et marchant dans les rues…

    À moins pour les plus déterminés à manifester, de ces derniers, de se munir de « serviettes absorbantes » (de couches pour appeler un chat un chat)… Encore leur faudra-t-il ne « pissoloter » qu’au maximum 2 fois dans la couche, car dès la troisième fois, la couche se trouvant « bien chargée » risque d’occasionner « une certaine gêne », très inconfortable…

     

    NOTE : j’avais « inventé » le « pissoar », un accessoire formé d’une ventouse – entonnoir à fixer « là où il faut » prolongée d’un tuyau de 1 cm de diamètre en plastique courant le long de la jambe dans le pantalon, et dont l’orifice situé au niveau du haut de la chaussure, permettait d’évacuer l’urine… (rire)…