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  • Difficulté de lecture

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    Est-ce l’habitude de lire essentiellement – pour ainsi dire toujours – du texte imprimé, de ne se livrer que très rarement à écrire un texte avec un crayon, un stylo, à la main -donc de ne plus du tout écrire de lettre à la main… Que lire la lettre ci jointe est si difficile ?

     

    En effet, pour lire ce texte j’ai vraiment du mal : ce n’est que bout de phrase après bout de phrase, syllabe après syllabe, en peinant, et avec lenteur manifeste, que je parviens à déchiffer !

    Et encore, dans le cas de ce texte, nous sommes pourtant dans un « registre d’écriture manuscrite » relativement bien lisible (ce qui n’est pas le cas notamment pour des textes écrits à la plume sur des documents d’archives, historiques, d’auteurs du passé, ou même de personnes du monde d’aujourd’hui qui écrivent à la main)…

     

    La dernière fois dans ma vie que j’ai utilisé un stylo plume, ça doit remonter à plus de dix ans ! (Mais cela m’arrive encore d’écrire de courtes notes au crayon ou au stylo – mais sur le modèle de l’écriture imprimée, et je ne sais plus du tout faire de « jolies majuscules bien calligraphiées »…

     

    Donc, pour mon prochain anniversaire, je suggère à mes amis et à mes connaissances, ainsi qu’à mes proches, d’éviter de penser à m’acheter un « beau stylo plume » ! (et encore moins un « joli carnet de papier velin relié cuir » pour mes écrits au quotidien (rire)… Ça fait un bail que je ne me suis point rendu dans une pathétèque ! (D’ailleurs ce genre de boutique disparaît peu à peu du paysage de nos villes de plus de 5000 habitants)…

     

    Et, avec, à la Poste courrier, le timbre qui va encore augmenter, cela décourage encore plus, d’écrire une lettre à la main qui va mettre trois ou quatre jours pour parvenir à son destinataire…

    La carte postale « avec un beau timbre » que l’on envoie, en vacances, à ses proches, amis et connaissances, va donc coûter… Presque le prix d’un panini ou d’une gaufre ! Et de surcroît, pour trouver sur son chemin en quittant la ville que l’on vient de traverser, une boîte aux lettres, c’est une « vraie galère » : pas de possibilité de stationnement, rareté des boîtes de dépôt courrier avec difficulté d’accès si l’on n’est pas à pied… Rien de plus rageant en effet, que de devoir batailler en bagnole en centre ville ou en périphérie urbaine pour poster une carte postale !

    Et le « beau timbre », au guichet de la Poste… Encore faut-il que la Poste du coin soit ouverte ce jour là et de telle heure à telle heure, sans compter que le guichetier n’a souvent pas à disposition le « beau timbre » souhaité !

  • Ma "religion" - si je puis dire...

    « Tu aimeras Poutine comme toi-même, tu prieras pour Poutine ; si Poutine envoie trois drones sur ta maison, tu lui en réclamera trois autres »…

    « Ça » c’est la religion des Chrétiens… Mais cela dit, lors du siège de Béziers en 1209 durant la croisade contre les Albigeois, Arnaud Amaury abbé de Cîteaux a dit « tuez les tous, Dieu reconnaîtra les siens »…

     

    Ma « religion » - si je puis dire c’est …

    « Tu haïras Poutine de toutes tes forces, tu lui souhaiteras un cancer ultra vache, ou si on te le met à genoux mains liées dans le dos, tu lui fendras le crâne d’un coup de hache, comme Clovis avait fait pour celui qui avait brisé le vase de Soissons… Et tu feras cuire sa cervelle que tu mangeras accompagnée de pommes sautées »…

     

    Poutine et les islamistes jihadistes, et tous ces abrutis de grands Popes Orthodoxes et de grands dignitaires de l’Église Catholique Apostolique et Romaine, que furent notamment un certain nombre de papes lubriques et croisadistes avec leurs tiares serties de pierreries et hautes comme des cathédrales, et tous les pro-Poutine et tous les pro-Islamistes… Sont les pires ennemis de l’humanité dont le dessein déclaré et affiché est d’occire l’Occidentalisme…

    Et, il est aussi paradoxal que délétère, que de voir dans le monde de l’occidentalisme, des « pas riches du tout », des gens de Gauche, et même des « pauvres comme job », qui « accompagnent » les idéologies Poutienne et Islamiste Jihadiste, en véritables « ennemis de l’intérieur » ou traîtres…

     

     

  • Réflexion du jour, lundi 28 juillet 2025

    Essuyer les gouttes sur l’évier après la vaisselle, veiller à ce qu’une éclaboussure ne vienne tacher sa chemise ou son pull en mangeant à table, se faire discret en souriant afin de ne pas exposer sa dentition en perdition, surveiller son haleine, veiller à ce que deux auréoles de sueur– de chaque côté- ne s’étendent point sous ses aisselles, rabattre la lunette des WC après utilisation (et passé la balayette dans le fond de la cuvette), ne jamais – pour les fumeurs de cigarettes- vider le cendrier de sa bagnole à l’arrêt au feu rouge, ne pas klaxonner rageusement celui ou celle qui hésite sur une direction à prendre, ne pas balancer son carton de pizza par la fenêtre de sa bagnole sur le bord de la route, ramasser la crotte de son toutou, ne pas faire de son frigo un dépotoir avec des restes de son assiette fourchette plantée dedans et relents qui se mélangent… Cela mérite de la considération, et « un minimum de chic et de classe c’est pas du superflu dans ce monde de brutalité, de vulgarité où l’on a tendance à se laisser aller – du moins celles et ceux d’entre nous qui « ne font attention à rien dans leur comportement en présence des autres notamment de leurs proches – famille, connaissances, amis…

     

     

  • Musicalarue à Luxey dans la Haute Lande

    Depuis 35 ans se tient en été, à Luxey, village de la Haute Lande, le festival Musicalarue.

    Si durant de nombreuses années ce festival de musique en plein air avait lieu les 13, 14 et 15 août, en 2025 il a lieu du 25 au 27 juillet, sur trois jours : soirée le vendredi 25 à partir de 18h, et de 11h à « largement plus au-delà de minuit, le samedi 26 et dimanche 27 juillet.

     

    À ma connaissance – cela fait 5 ou 6 ans que je n’y suis plus revenu, y ayant assisté plusieurs fois avant 2015 – donc les années où je m’y étais rendu, de 11h jusqu’à 17h l’on pouvait circuler dans l’enceinte du festival sans billet d’entrée, ainsi qu’après minuit… Minuit heure à partir de laquelle « débarquait » toute une « faune » de marginaux venus principalement d’autour de Bordeaux et d’ailleurs et « je ne vous dis pas » les fragrances de haschish et d’autres « fumettes hard » que l’on « prenait partout dans le nez » - sans compter quelques comportements pour le moins  gênants voire parfois brutaux ou vulgaires… De telle sorte que l’ambiance du festival, passé minuit, n’avait plus rien à voir avec ce qu’elle avait été en soirée et dans la journée…

     

    Il fallait – à l’époque – donc avant 2015 - « vider les lieux enclos de palissades » à toute vitesse, presque poussés par la « police » des organisateurs, sur le coup de 17h, afin que chacun se rende aux guichets pour se procurer le billet d’entrée, du fait que de 18h à 00h, ce n’était plus gratuit…

     

    Les tarifs – à l’époque – étaient de l’ordre d’une vingtaine d’euro pour les trois jours (de 18h à 00h), et de 10 euro pour une soirée, de 15 euro pour 2 jours (un pass)…

    En 2025 – je n’ y suis pas venu – renseignement pris c’était pour la soirée du vendredi 25 juillet, 55 euro ; le pass pour 2 jours samedi/dimanche 95 euro, et pour la durée de trois jours du festival 135 euro… Par personne et à partir de 11h jusqu’à 00h, heure à laquelle on ne vendait plus de billets et où plus personne ne pouvait entrer dans l’enceinte (ce qui éliminait les « marginaux » turbulents et indésirables »…

     

    Pour cette 35ème édition du festival Musicalarue, cela affichait complet – en billets ou pass d’entrée vendus et en places disponibles de camping aménagé dans un grand champ tout proche – 45 000 personnes sur les trois jours !

    Bon, pour les enfants, le prix des pass était réduit c’est vrai, mais pour un couple venant les trois jours, cela faisait tout de même 270 euro à débourser ! (et avec les frais de restauration, de boisson, d’achats de produits locaux, etc.)…

     

    Sans compter que pour assister à telle ou telle scène d’un groupe – sous chapiteau en cas de pluie – ainsi que pour tout ce qu’il y a à voir – artistes de rue, manifestations diverses – c’est deux heures debout avec pour les papas, le p’tit môme assis sur les épaules, les personnes de plus de 70 ans en station debout prolongée pénible ; des files d’attente interminables aux stands de restauration rapide et aux restaurants à menus du jour et carte… Et « je ne vous dis pas » avec 15 000 personnes chaque jour, 45 000 en tout, la difficulté pour se rendre aux toilettes (surtout pour les femmes)…

     

    Reste à savoir si les toutous étaient acceptés car « on se résoud difficilement à se passer du Retreiver ou du Labrador familial que l’on peine à envisager de devoir soit mettre en pension, soit faire garder par un ami »…

    Au prix du pass – même pour une seule soirée 55 euro par personne- je suis très étonné d’avoir appris que 45 000 personnes sont venues à ce festival ! Un record- si l’on se réfère à la fréquentation lors des années précédentes…

     

    Les caisses – de l’État, de plus de la moitié des Français – sont vides ; on emprunte, on s’endette, on réduit des budgets ; tout est de plus en plus cher – la nourriture, les loisirs, les services, les équipements… Mais alors comment se fait-il que tant de gens dépensent autant d’argent pour les loisirs, les spectacles, les vacances ; que les locations et les hébergements font l’objet de si nombreues demandes, que les restaurants et les bistrots sont pleins en dépit du prix des consommations et des repas, qu’il se vend dans les boutiques de centres commerciaux autant de vêtements, que dans une famille de 5, les trois enfants ont chacun leur smartphone, une télé dans chaque chambre, des tonnes de joujoux à noël… ?

     

     

  • Réflexion du jour, samedi 26 juillet 2025

    « Tu vas à ACTION pour acheter un balai, tu ressors avec une perçeuse, une canne à pêche et trois bougies parfumées »… (et bien sûr, le balai)…

    Et de même, à GIFI ou à FOIRFOUILLE, histoire de sortir de chez toi un dimanche après-midi de pluie, tu entres sans besoin précis en quoi que ce soit, et tu ressors avec une cafetière italienne, une sorbetière, une boîte à outils, une lampe torche…

    Et encore de même, tu vas à CARREFOUR ou à LECLERC ou à LIDL, et, bien que ne prenant pas un caddie, tu ressors avec un sac en plastique ou en tissu recyclé plein à craquer – car « on ne sait jamais ça peut toujours servir »…

    Et tu fais une, deux, trois fois dans l’année, dans ton village, ton quartier, et ailleurs autour de chez toi, ton vide -grenier sur quatre mètres linéaires de 7h du matin jusqu’à 5h de l’après midi, debout ou assis sur un pliant, un sandwich à midi ; et le soir tu replies tout ou presque parce que même à 1 euro, t’as rien pu fourguer !

     

    Et… Au marché dans un faubourg de New Delhi peuplé d’un million de personnes machant pieds nus l’un des objets les plus vendus est une cartouche de gaz pour l’éclairage ou pour la cuisine…

    Et en banlieue de Bamako au Mali, ou de Karthoum au Soudan, dans un marché sans étalages, à même le sol, ce sont des téléphones portables à carte qui sont les objets les plus vendus…

     

    Et… Au marché – celui là sûrement pas en plein air et dans les faubougs populaires – des multi milliardaires, ce sont les jets privés, les Jaguar et les Rolls Royce, qui sont les « articles » les plus prisés…