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Paroles et Visages - Page 23

  • Ces forums du Net qui ne font plus recette

    Oh Suzan du café La Jasette qui harponnait un Yugcib qui avait osé écrire qu’il détestait le radada par le trou de bale et que c’était mal venu d’écrire ça à cause des mineurs inscrits sur le forum !

    Tous ces forums avec leur charte, leur bienséance consensuelle, leur padevague, leur respect et écoute de l’autre, leur morale, leurs mamours, leurs recettes de cuisine, leurs secrets de jardinage et autres discussions patates-salades et politicaille, leur émotiscoop du jour… ça avait fini par me gonfler tous ces forums, je les ai tous quittés… Mais « inventé » le mien, celui là sans la moindre charte, où l’on peut y mettre ce qu’on veut en toute liberté y compris le pire, c’est à chacun de faire le tri et de suivre ou de ne pas suivre, même de m’incendier !

    Et dire que j’ai été de 2005 à 2019 sur un forum où j’étais libre et avais mon « coin », mais qui à ma grande et désagréable surprise en 2017 a fait du battage pour Marine Le Pen à l’occasion des élections présidentielles, du coup quand ce forum a capoté fin août 2019 j’ai pas trop regretté… D’autant plus que tout ce qu’il y avait dans mon « coin », je l’avais sauvergardé enregistré dans mes dossiers de fichiers Libre Office et One Drive…

    Comme si c’était dans « l’ordre des choses » de la part d’un administrateur et modérateur de forum, de faire du prosélitisme pour un parti politique !

    Et idem pour les artistes et les écrivains qui tiennent scène publique et meetings pour un candidat à l’élection présidentielle !

     

     

  • Je déteste ...

    Quand les mômes de moins de dix ans, ou jeunes ados, se mettent l’anorak ou la doudoune très bas dans le dos, les bras à peine passés dans les manches et avancent en se dandinant…

    Les lunettes dans les cheveux – ce sont plus souvent les femmes que les hommes que l’on voit déambuler ainsi, lunettes dans les cheveux…

    Les lunettes écartées posées à côté de l’assiette, ou du verre, à table ; ou encore en sautoir sur le poitrail attachées avec une codelette autour du cou… ou accrochées à un bouton sur le pull…

    Les logos pétants sur les casquettes ou sur les tee-short genre « New-York » ou « Fly Emirates »… Quand je vois Donald Trump avec sa putain de casquette rouge à la con sur le crâne ça me fait gerber…

    Les vêtements dont on voit en gros bien pétant la marque, les pulls avec des rayures en travers au lieu de haut en bas en long, les pantalons ultra-moulants…

    Les sacoches en « beau cuir de vache » en bandoulière que portent souvent les « vieux messieurs » ou les « rassis »…

    Les casquettes de pépère en laine ou en velours, les bonnets de rappeurs, les chapeaux excentriques et d’une manière générale toute coiffure sur la tête…

    Tous les petits gestes d’affèterie du genre pour les femmes, sans cesse repousser une mèche de cheveux, tournicoter la tête comme pour exprimer quelque chose indirectement…

    Les piercings, les cheveux en couleur fluo, ou frisés comme une épaisse toison de mouton, toute ces quincailleries de bijoux de fantaisie dont les gens s’affublent aux poignets, aux oreilles, au cou, aux chevilles…

    Les décolletés provoquants – en général d’une vulgarité manifeste ; les jupes courtes et pantalons moulants, les bas en couleurs vives, arborés par des femmes « grosses » voire obèses »…

    En règle générale – pourrais-je dire - « avec moi si l’on m’écoutait et si l’on adoptait mes canons, les boutiquiers, les maroquiniers, les modistes, les chapelliers et casquetteurs, les bijoutiers… Feraient tous faillite » ! (rire insolent et iconoclaste) …

     

     

     

  • Adichat' depuis "belle lurette" les "mignonnettes" !

    Qui encore de nos jours, depuis le développement et l’usage généralisés d’internet, du téléphone portable, des e-mails et des SMS, aurait la « nostalgie » de ces cartes de vœux appellées « mignonnettes » liserées de jolies dorures que, dans les tous premiers jours de l’An neuf », l’on expédiait par la Poste à ses proches, amis et connaissances, par dix, vingt trente, et avec sur l’enveloppe un « beau timbre » ? Et que de surcroît certains et certaines « dans le temps », rédigeaient d’une « écriture ampoulée » aux lettres bien avec pleins et déliés, et jolies, élégantes majuscules, et avec un « beau stylo plume » ? (rire)…

     

    Et qui, d’autre part, de nos jours, « se fend » d’une conversation téléphonique « de circonstance » pour « souhaiter la bonne année de vive voix » à partir d’un téléphone fixe ou d’un téléphone portable… Cet « appel convenu » - donc en composant le numéro à dix chiffres – à partir d’un téléphone fixe jugé « mieux qu’à partir d’un portable » - pouvant déboucher « contre son gré » sur un interminable échange de banalités parce que l’interlocuteur est « une vieille personne bavarde » (et vivant seule) ou encore, un fils ou une fille de quarante ans qui à chaque communication, n’arrête pas de faire des observations, d’émettre des critiques sur ta façon de vivre et sur comment tu t’arranges dans tes affaires, etc. … Rendant la conversation épuisante…

     

    C’est « tellement mieux » et « tellement plus aisé » - et en conséquence infiniment moins « problématique » ou « épuisant » - et contraignant » - d’envoyer des vœux par e-mail, par bref message rédigé ou SMS sur un smartphone, avec « pour enjoliver et meubler » une photo ou une vidéo accompagnant le message !

     

    En fin décembre 1967, âgé de 19 ans, je travaillais dans un centre de tri postal à Paris PLM, et je me souviens qu’en période de Noël Nouvel An, il n’était possible à personne de prendre des congés et qu’autour de la table de tri métallique percée de trous pour la poussière, à huit heures du soir au début de la vacation de nuit, et jusqu’à minuit et plus même, étaient déversés par les « manuts » des sacs postaux (des « sacs 7 » pleins de « mignonnettes » s’éparpillant en énormes tas sur la table d’ouverture, et nous étions une dizaine d’agents, debouts autour de la table, occupés à redresser et empiler en rangées toutes ces « mignonnettes » destinées à être réparties devant les casiers de tri où nous étions tenus « agents d’exploitation » de trier à raison de 500 au quart d’heure… La vacation durait de 20h à 6h avec une pause d’une heure à minuit…

     

    J’imagine un jeune matheux conclure un bref message sur son smartphone : JvπC…

     

     

     

  • Festivités Noël Nouvel An

    À l'entrée et à la sortie 

    Etalage de bouffe.jpg

    Tas de merde.jpg

    « Autant dire » - pour « faire dans un réalisme pur et dur » (rire iconoclaste et insolent – et avec une petite note de dérision) :

     

    « À l’entrée » c’est à dire tout ce qu’on va se foutre derrière le sternum et s’en faire péter le moulin, de bouffe noëllique, nouvellanique, réveillonnante… Poulardes, foie gras, homards, bûches, pâtisseries, confiseries, chocolats…

    Et « à la sortie »… Des tas de merde !

     

    NOTE : « Reste à savoir » si… Toutes ces « bonnes choses » appétissantes, de grande qualité gustative et joliment présentées, très alléchantes… « influent » sur l’aspect, sur la couleur… Et sur la fragrance… De la merde !

     

     

  • La réflexion du jour, dimanche 29 décembre 2024

    Des gens qui vous quittent, les pires sont ceux qui vous ont accompagné durant des années et qui un jour, vous ont claqué la porte au nez pour un « pèt de traviole » que vous avez laissé fuser sans pouvoir le retenir…

    Votre destin n’est jamais lié à ces gens là car tout ce que vous avez encore à exprimer y compris ce qui offusque ou dérange, continue sans limite autre que celle de votre disparition de ce monde, de s’inscrire sur un mur qui lui, n’a pas de limite ni en longueur ni en hauteur, ce mur étant celui le long duquel tout le monde passe, lit ou ne lit pas ce qui est écrit sur le mur…

    « Adichat’ » Romane, Yaya et les autres, qui rejoignent les Sérafine, les Vic Taurugaux, les Elisabeth et les Agathou et les Suzan « déyugcibeurs » ceux là celles là n’ayant jamais « liké » loin s’en fallait…