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Paroles et Visages - Page 26

  • Appropriation et pillage d'œuvres

    Il y a bien le « Copy-right » - en principe assuré par les hébergeurs de sites et de blogs qui, lorsque tu t’inscris sur leur plateforme et crées ton site ou ton blog, incluent dans leur « système » cette « protection » - purement théorique – qu’est le « Copy-right » …

    Mais le « Copy-right » ne fonctionne et ne garantit « en principe » l’authencicité de ce que tu produis, que dans 195 pays (c’est déjà « pas mal » en effet, mais il faut savoir qu’il y a dans le monde plus de 195 pays – aux JO de Paris 2024 c’était 206 -)

    Il y a aussi le dépôt d’un support sous la forme par exemple, chez un huissier, d’une clé USB ou disque externe contenant toutes tes œuvres numérisées en documents PDF, Word, Open Office…

    Il y a encore la BNF ainsi que tout enregistrement déclaré, avec un numéro ISBN, le dépôt légal… Pour les auteurs, pour les écrivains qui publient des ouvrages papier…

    Les URL qui commencent par https ( contrairement aux URL qui commencent par http ) qui -en principe- font barrière aux malveillants et pirates…

    Et pour les hébergeurs de sites et de blogs, le certificat SSL – en plus ou sans le nom de domaine…

     

     

    Mais reste cette réalité dont il faut bien prendre conscience, et que « par la force des choses » l’on peut s’attendre à devoir subir un jour ou l’autre :

     

    Une réalité, en gros, sur deux aspects :

     

    -Chacun des 195 – ou plus – pays dans le monde, ont une langue parlée et écrite dont la grammaire, la syntaxe, les tournures, les règles, les idiomes ou surtout les idiotismes, tout cela propre à la langue en question… Ce qui rend difficile la traduction (pas impossible mais difficile c’est sûr)…

    Cependant ce qui est exprimé en telle ou telle langue selon la grammaire et selon les règles de cette langue, n’est vraiment traduisible correctement, que lorsqu’il n’y a pas dans le texte de trop nombreux idiotismes (intraduisibles) et de formulations personnelles avec des néologismes et des tournures atypiques ainsi que des incorrections grammaticales assumées, volontaires, dans un contexte particulier… Ce qui, lorsque c’est le cas pour certains auteurs, écrivains, créateurs ; rend difficile voire impossible le plagiat ou la copie en une autre langue … À moins que le plagieur soit du même pays et qu’il cherche à se constituer un lectorat dans le même pays du même langage…

     

    -Rien, absolument rien n’empêche en réalité, un malveillant, un imitateur, un plagieur, un pillard d’œuvre – Œuvre pourtant protégée Copy Right, dépôt légal, ISBN, certificat SSL pour un site ou un blog – quelque part dans le monde, de reprendre à son propre compte un texte, un passage, deux ou trois phrases, voire l’ouvrage tout entier (un simple « copier/coller » suffit à cet effet, ou encore carrément recopier du texte d’un livre et se l’approprier comme si l’on en était l’auteur)… Parce que – c’est aussi cela la réalité – le « vrai auteur », le « vrai créateur » surtout s’il est très prolixe dans ce qu’il produit, si son œuvre est diverse et considérable en quantité de texte, il faut bien que ce soit le hasard, le pur hasard, pour qu’il apprenne qu’il vient d’être plagié, piraté ; et il peut passer des années voire sa vie entière, sans savoir qu’il est plagié ou piraté (auquel cas, il ne portera jamais plainte forcément puis qu’il ignore)…

     

    Mais en fait quand je dis « le vrai auteur » ou « le vrai créateur » je pense à l’auteur ou au créateur qui n’a qu’un « rayonnement » et un lectorat -ou une liste d’abonnés limités à quelques dizaines de personnes (ou à un écrivain dont le livre a été tiré au maximum à 3000 exelmplaires et sans 2ème ni 3ème tirage)… Et raison de plus si le livre ou l’œuvre date d’il y a plus de dix ou vingt ans…

     

    S’il doit vraiment y avoir une garantie, c’est celle qui réside dans l’existence d’une grammaire et de règles propre à une langue – d’une part… Et dans l’existence dans la langue de l’auteur, de la manière dont cet auteur utilise sa langue avec ses tournures personnelles et avec ses néologismes – d’autre part - Tout cela intraduisible, inimitable et donc difficile à plagier …

     

    Et puis, pour conclure, quel intérêt peut-il y avoir, pour un Chinois, un Russe, un Américain, de plagier ou de pirater un auteur Français, Belge, Italien qui lui, n’est pas dans « l’Ordre du monde » question de « ce qui est vendable, ce qui plaît au plus grand nombre, qui fait partie du « consommable » en matière d’art et de littérature ou de toute forme d’expression artistique… Et qui en conséquence n’a aucune chance de faire devenir un pillard ou un plagieur, une « renommée mondiale » !

    Il n’y a que du « vendable » ou du « qui rapporte » ou du « qui te fait du succès » qui fait plagier, copier, pirater, imiter ! Pas « trois hannetons à huit pattes faisant des trous avec leurs mandibules sur un cadre de vélo » qui n’interpelle que trois pelés trois tondus ! (rire)…

     

     

     

  • Confrontation, désaccord

    Aller vers des personnes avec lesquelles on est en désaccord afin de les inciter à penser et agir différemment, peut être une voie envisageable dans la communication et dans la relation… Lorsqu’il entre dans l’effort d’aller vers l’autre, assez de considération envers l’autre pour que cet autre soit en mesure de nous écouter…

    Si l’effort d’aller vers les autres « ne paye pas toujours » il est néanmoins quasiment nécessaire de se livrer à cet effort parce que « rester entre soi » entouré de gens avec lesquels on partage les mêmes idées, le même mode de vie, les mêmes comportements… N’est que « seulement heureux et confortable » mais ne fait jamais évoluer l’environnement social dans lequel on se trouve, qu’ainsi il bloque ou fige dans le communautarisme, le pire étant l’exacerbation et le fanatisme dans le communautarisme…

    Il est certain que, plus le désaccord est évident, profond, et que moins il incite à l’écoute de l’autre, plus il fige chacun des antagonistes dans ce qu’il pense et ressent… Et plus l’effort à accomplir, d’aller vers l’autre, s’avère difficile…

    Est-ce pour autant le plus fort, celui ou celle qui l’emporte, parvient à dominer, sûr de la justesse de ses vues, de ses argumentations, qui doit sortir vainqueur du débat ?

    Quoi qu’il en soit, selon la loi naturelle qui permet au plus fort de dominer, au moins fort de subir et au mieux d’être protégé dans l’intérêt du plus fort ; c’est la confrontation entre des intelligences différentes l’une de l’autre, qui est souhaitable et pertinente, mais pas la confrontation entre deux absences d’intelligence, qui elle, casse, détruit, empêche la relation ou nuit durablement à la relation et se conclue au final par l’élimination de l’un des deux antogonistes – sinon même à la disparition des deux antagonistes…

    La confrontation entre deux intelligences différentes l’une de l’autre, n’ a pas forcément pour aboutissement ou résultat, la victoire, la domination, la raison de l’un sur l’autre… Pas plus d’ailleurs qu’elle n’a aussi forcément pour résultat, le compromis le plus acceptable… Mais elle introduit une évolution qui va dans le sens d’un « ordre des choses qui n’est pas l’ordre auquel nous sommes tous liés »…

     

     

  • On a raté ...

    La remise de médaille de la République Française par Emmanuel Macron lors de la Parade sur les Champs Elysées samedi 14 septembre des JO de Paris 2024, à la tireuse à l’arc Afghane en hijab qui a réalisé une performance remarquable de septs tirs au centre de la cible à 90 mètres de distance.

     

    Et il n’y a point eu non plus, sur les Champs Elysées, de couscous hyper géant de l’amitié sportive, universel, servi sur une table de deux kilomètres de long, avec de part et d’autre de l’immense table, cinquante tonneaux en perce de Sidi Brahim.

     

    Cela dit, sur les champs de bataille en Ukraine ainsi qu’à Gaza, ce n’était point, samedi 14 septembre de 16h à 3h sur les Champs Elysées et autour de l’Arc de Triomphe, la même ambiance d’euphorie et de fraternité !

     

     

  • Produits alimentaires et autres trop en hauteur dans les rayons

    Trop Haut.jpg

    Dans les grandes surfaces et enseignes commerciales Leclerc, Intermarché, Carrefour, etc. … Très souvent, du fait de la hauteur des étagères certains produits sont difficilement accessibles pour des personnes dont la taille ne dépasse pas 1,70 mètre…

    Et ces produits placés si haut dans les étalages sont d’autant plus inaccessibles aux personnes handicapées – en fauteuil roulant notamment…

     

    Honte aux équipes dirigeantes de ces Leclerc, Intermarché, Carrefour etc. …, qui conçoivent une telle disposition d’étalages en hauteur et ne font rien pour remédier à cet état de fait !

    Combien mesure Michel Edouard Leclerc ? Serait-il en capacité, sans trop devoir tendre le bras en se surrélevant sur la pointe de ses pieds, de « choper » un « soja figues » situé en hauteur – à 1,80 mètres ou plus ?

     

    Le pire c’est lorsque ces produits difficilement accessibles aux personnes de moins d’1,70 mètre, sont des bocaux, des pots en verre, de confiture, de mayonnaise, de légumes. En effet le risque de les faire tomber est important (c’est d’ailleurs ce qui arrive fréquemment en l’occurrence)…

     

    Mesurant pour ma part 1,70 mètre, s’il m’arrive à Leclerc ou à Intermarché de là où je vis, de faire accidentellement tomber un produit en tentant de m’en saisir, placé très haut qu’il est ce produit, jamais pour rien au monde je m’excuse ( c’est de toute évidence pas de ma faute) !

    Et même, si une boîte ou un bocal ou un pot de ce produit se trouve dans la pile du dessous, plus accessible, je le tire, quitte à risquer de faire tomber la boîte ou le pot d’au dessus…

     

    « Respecter les choses » oui d’accord… Mais il y a des limites ! Parfois, de l’insolence et un peu d’incivilité manifestes, un geste brusque – tout cela pleinement et délibéremment assumé – si « ça remet pas les pendules à l’heure », ça interpelle des gens « trop sages trop conciliants trop dans l’Ordre du Monde, trop dans le consensuel, qui, témoins, montrent à leur manière qu’ils sont choqués – parce que eux, ils acceptent un état des choses tel qu’il est sans se rebeller… (Ça me gonfle la politesse consensuelle et hypocrite!)

     

    Bon, c’est vrai, les Un mètre quatre-vingt et plus, ils n’ont pas « ce problème là » ! (et soit dit en passant, quand ils achètent un pantalon moins de 50 euro, ils n’ont pas besoin de devoir recourir à une retoucheuse qui prend 20 euro pour raccourcir de 6 cm!)

    Et les pulls taille M quand ces derniers sont bien à la taille des épaules mais trop longs et descendant trop au dessous de la ceinture ! (Tu prens S mais là, ça coince au niveau des épaules!)…

     

  • Réflexion du Jour vendredi 13 septembre 2024

    C’est d’un très mauvais œil, et donc avec beaucoup d’inquiétude – et de tristesse – que je vois l’armée Ukrainienne en difficulté dans son combat contre l’armée russe dont la puissance de feu est hélas supérieure à celle de l’armée Ukrainienne…

    « Ça me fout les boules » et m’horrifie ! Et me révolte encore davantage contre le régime de Poutine, contre les russes en général qui, pour bon nombre d’entre eux soutiennent la politique de Poutine…

    Il faudrait – c’est ce que j’appelle de tous mes vœux – que des catastrophes naturelles de grande ampleur et très dévastatrices s’abattent en séries sur toute la Russie, avec des ouragans, des tornades, des inondations, des incendies, des tremblements de terre, d’une violence inouïe et impactant des régions entières, sur des milliers voire des dizaines de milliers de kilomètres carrés, détruisant des villes, faisant de nombreuses victimes… De telle sorte que les autorités russes se voient dans l’obligation, afin de faire face à ces catastrophes naturelles, de mobiliser leurs forces armées pour secourir les populations, et en quelque sorte pallier au plus pressé face aux dévastations…

    Ainsi se dégarniraient les fronts de guerre en territoire Ukrainien et l’armée Ukrainienne pourrait alors espérer faire reculer les russes…

    Bon sang, de ces catastrophes à répétition, il y en a partout sur la planète – un jour à tel endroit en Amérique, un autre jour en Inde, au Japon, un autre jour encore en quelque région de France ou d’un pays d’Europe… Alors pourquoi pas en Russie et que cela fasse très mal aux russes !

    Il serait absolument hors de question, que je compatisse si cela devait arriver en Russie, une catastrophe naturelle de grande ampleur faisant des dizaines de milliers de victimes, et que je donne le moindre euro à des organisations humanitaires en l’occurrence !