compteur

Ok

En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.

ehpad

  • Des animaux de compagnie en EHPAD

    « Il serait question » de permettre, selon de nouvelles dispositions, à des personnes résidant en EHPAD, de prendre auprès d’elles leur chat, leur chien…

    Mais comment alors, ces personnes, qui, pour la plupart d’entre elles, ne se déplacent qu’avec un déambulateur (au mieux), ou en fauteuil roulant… Pourront-elles « promener toutou » autour de l’établissement EHPAD, dans l’espace paysager aménégé le long des allées ?

    Ou encore, dans leur chambre ou petit logement, changer la litière du minou ?

    Déjà que le personnel est réduit, sans cesse sollicité, s’il faut en plus de tout ce qu’il y a à faire, que les aides soignant(e)s ou que les agents d’entretien, s’occupent des animaux de compagnie des pensionnaires très handicapés… Cela paraît « impensable », ingérable !

    J’imagine la mémé de 90 ans en déambulateur accompagnée de son labrador voire de son berger des Pyrénées !… Sachant les « bonzes que coulent » ces gros chiens… Sans compter pour éventuellement un doberman, la muselière obligatoire en promenade en laisse dans le parc de l’EHPAD…

    Des toutous et des minous en EHPAD ? Absurde ! Déraisonnable !

     

     

  • Mamy's in the years 2040

    Mamy's dans l'vent.jpg

    Mamy's storie's R.jpg

    Dans les maisons de retraite des années 2040 et 2050, « si tant est qu’elles seront alors peuplées de personnes encore relativement bien valides » et « dans la mesure où les investisseurs grands groupes et gestionnaires d’EHPAD que sont Korian, Orpéa, DomusVi, Colisée, Domidep, Emera, LNA Santé, Sedna… Trouveront encore rentables de construire de nouveaux et plus nombreux établissements pour personnes âgées – du fait que dans ces années là, 2040/2050, les « vieux très vieux » devenus beaucoup moins riches pour la plupart d’entre eux, et ne bénéficiant plus autant d’aides sociales et de subventions du Conseil Régional, ne pourront plus finir leurs jours dans des établissements à 3000/4000 euro par mois…

    Dans les maisons de retraite, donc, des années 2040/2050, comme sur la première photo, l’on y verra des « mamy’s au look excentrique » et, comme sur la deuxième photo, des « mamy’s à storie’s qui, sur leurs smartphones holographiques, s’échangeront entre elles des tortillages de cul de leurs arrière petites filles en string, bustiers ultra court ou futal moulant et cheveux vert ou bleu fluo…

    Deux heures moins le quart avant que ne survienne la Nième tempête du siècle dévastatrice qui arrachera la toiture de la maison de retraite – et (ou) qu’un terroriste Tchétchène armé d’un grand couteau ne déboule dans le Grand salon de la maison de retraite et coupe la tête de deux ou trois mamy’s…