… À la vue de Poutine sur l’écran de la télé, cela me fait le même effet que l’apparition d’une punaise – grise ou verte- dans mon assiette, que de voir par terre un escargot écrasé, ou une grosse mouche posée sur le rebord de mon verre…
La seule vue de ce type, Poutine, à la télé, me fait tourner la tête de côté…
Sans en avoir été le moins du monde étonné, j’ai été furieux d’entendre le Chinois Xi Jinping, le Nord Coréen Kim Jong-Un, l’Ayatollah d’Iran Ali Khameni… Féliciter le dictateur russe de son élection par 88 % des voix… Et d’apprendre que vingt chefs d’états africains avaient fait de même, considérant Poutine « guide » anti Occident anti démocratie…
Quand on prend conscience du fait que plus de la moitié des pays de toute la planète (ce qui représente 5 milliards d’humains) soutiennent Poutine contre un monde occidental dont ils souhaitent la disparition, cela fait froid dans le dos et augure de l’évolution qu’il faut craindre, du monde, de la société, de la civilisation, des rapports humains, de ce qui nous attend dans notre quotidien de vie pour les prochaines années, à nous, européens en particulier…
Non seulement il y a ce risque d’une 3ème guerre mondiale, nucléaire, mais en plus, ce qui ne vaut guère mieux, un autre risque (devenu celui là une réalité) : la dimension accrue des « cyber-attaques » paralysant les rouages des mécaniques logicielles dont le fonctionnement par internet, informatique, numérique et robotique, régit les activités industrielles, bancaires, économiques, militaires, ainsi que la quasi totalité de tout ce dont on se sert au quotidien, qui grippe les organismes publics, empêche les hôpitaux de fonctionner, etc. …
Absolument effrayant tout cela !
L’on en arriverait presque à souhaiter que le « navire Terre » tel le Titanic le 15 avril 1912, disparaisse d’un seul coup au fond le l’Abîme… Car tout ce qui voudrait tant être sauvé de la catastrophe, qui voudrait vivre autrement que dans ce cauchemar ambiant et démesurément amplifié ; car toutes les personnes de bonne volonté sur cette planète, minoritaires et perdues dans la masse qu’elles sont… Ne peuvent plus, au niveau d’horreur et de barbarie et d’obscurantismme et de violence et d’iniquités où l’on en est arrivé ; espérer quelque changement heureux ! Mieux vaut alors mourir, disparaître, que de vivre comme on nous obligera à vivre dans l’Ordre le plus scélérat, le plus abject qui ait jamais existé dans toute l’Histoire…