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  • La "grande question" de ces législatives 2024

    Entre un électeur de Ensemble pour la République au premier tour et un électeur de Front Populaire au premier tour, est-ce que le refus inconditionnel de la victoire, au second tour, du Rassemblement National, peut être LE lien entre les deux électeurs l’ un de Ensemble pour la République et l’autre de Front populaire ?

    Par exemple si Ensemble pour la République obtient au premier tour 19 %, le RN 35, et le FP 29, l’électeur de Ensemble pour la République souhaite-t-il que SON candidat se maintienne au second tour alors qu’il n’a pratiquement aucune chance de passer au second tour ? Et de voir élu le RN ? Tandis que si le candidat Ensemble pour la République ne se présente pas au second tour, il laisse la possibilité à ses électeurs, de choisir le FP plutôt que le RN dans la mesure où existe en tant que lien commun pour un FP et un ER le refus absolu du RN…

     

    Entre un électeur de Rassemblement National et un électeur de Ensemble pour la République au premier tour, pour lequel des deux électeurs le refus du FP (ou le refus du ER) est-il le plus marqué ?

    Autrement dit, un électeur du RN déteste-t-il davantage le FP que le ER ? … Dans l’éventualité d’une « triangulaire » avec FP 32 %, ER 24, et RN 21 ? (soit dit en passant, une telle « triangulaire » sera certainement un « cas de figure » assez minoritaire)…

     

    Il est certain que, pour les candidats ER en 3ème position au premier tour, la question du maintien au 2ème tour, risque d’être « assez sensible » voire « cornélienne, avec un RN à 35 et un FP à 29… Dans l’éventualité – qui devrait être « logique » - d’un refus inconditionnel de la victoire du RN…

     

     

  • Un été 2024

    De Jacques Lamagnère, ce texte daté du 28 juin 2024, sur sa page Facebook, que je partage et dont je reproduis, suivi de mon propos, le texte :

     

    « Les grandes vacances approchent et les transhumances vont démarrer. l'Algérie, la Tunisie et le Maroc vont avoir le plaisir du retour annuel de ceux que l'on désigne affectueusement par le mot "blédards" (promis ce n'est pas raciste, ils se désignent comme ça entre eux. Ce sont un peu leurs beaufs). Ils sont en général assez peu appréciés au pays où ils ont tendance à flamber et à se comporter en terrain conquis).Nos blédards de souche à nous vont revenir s'agglutiner sur les plages et payer le kilo d'abricots 8€ à la supérette du camping avant de prendre l'apéro. Mais bon, après 11 mois de sacrifices ça vaut la peine. Tout cela se fera RN ou pas RN et la dissolution se dissoudra au son du claquement des tongs sur la route de la plage.

    Très vite les rayons rentrée des classes vont se garnir et Cnews et BFM nous promettront une rentrée sociale bouillante. Emmanuel sera-t-il toujours à la barre ? Aurons nous des Waffen SS devant nos fenêtres ? A voir.

    Bref, la guerre civile en juillet-août, je n’y crois pas trop. Les révoltés insouis des centres villes bourgeois ont besoin de vacances et se sont épuisés à obtenir les dérogations pour éviter le collège du quartier à leur prgéniture. Leurs alliés sont au bled et ont d’autres chats à fouetter. Ceux qui ne partent pas en vacances et ayant voté RN, on est donc tranquilles. »

     

    40 % - paraît-il – des Français « ne partiront pas en vacances en cet été 2024 »… Mais, tout de même, les autres 60 % représentent bien – compte tenu des « très âgés en EHPAD et des personnes lourdement handicapées ou en traitement médical longue durée – environ trente millions de personnes (hommes, femmes et enfants, en famille, en couple, et hommes et femmes vivant seuls)… Soit la totalité ou presque de la population française en 1868 sour Napoléon III – 33 millions à l’époque…

    C’est dire – et je le dis – que, pour trente millions de Français, si le pouvoir d’achat est, comme il est dit, répété, martelé, « une préoccupation »… Il n’en demeure pas moins que ces mêmes trente millions de Français en vacances en juillet août 2024, vont payer des journées de campings 3 ou 4 étoiles « sur la côte » (Atlantique ou Méditérranéenne) 30 euro, le pain bagnat 7 euro, le kilog de cerises 10 euro, la nuitée en chambre d’hôtes 70 euro ( en hôtel 90 ou 110)… etc. …

    Et les INOUI et les OUIGO vont être bien remplis, les péages d’autoroutes VINCI vont voir passer des milliers de voitures par jour, et dans les stations d’ essence, les aires de parking avec boutiques et restauration, vont saturer…

    L’on imagine le budget pour 2 semaines de vacances, d’une famille de 2 adultes et de trois enfants, en camping – tente familiale ou mobilhome – tout compris hébergement, nourriture, loisirs ( le toro piscine du coin), essence et frais imprévus… En supposant que le revenu d’ un couple, par mois, serait de 4000 euro soit 2000 chacun plus les allocations…

    Bon, peut-être pas de « Waffen SS » devant nos fenêtres ou au bout de la plage avec toutous féroces… Mais des caméras partout en plus grand nombre, de la « flicaille » bien quadrillante « là où il faut » - et bien dissuasive à la voir équipée… Ça, oui, bien renforcé par rapport à ce qu’ on voyait l’ an passé en 2023…

     

    La « guerre civile » en fait, en juillet août ou en automne ou en hiver prochain dans notre pays… Se traduira très vraisemblablement par davantage de repli sur soi et sur ses convictions personnelles, sa méfiance à l’égard de son voisin et de ses connaissances, davantage de suspicion et d’à-prioris et d’hésitation à exprimer ce que l’on pense, à pas mal de friture, de violence verbale sur les réseaux sociaux, au « coup bas en douce » porté à quelqu’un que l’on n’apprécie guère dans son entourage, à toutes sortes d’ agressions indirectes, de médisances, de zappements par indifférence intentionnelle caractérisée, de silences qui en disent plus long que d’ invectives en 2 pages de facebook… Tout ça plus qu’en combats de rue…

     

     

  • Une grande inconnue pour le 2ème tour des législatives

    Dans un certain nombre de circonscriptions, le candidat Macroniste risque d'être éliminé au 1er tour.

    Quel choix, alors, pour l'électeur Macroniste, au 2ème tour, entre le RN et le FP?

    Dans un moins grand nombre de circonscriptions où le candidat FP est éliminé au 1er tour, quel choix alors, pour un électeur du FP, entre un RN et un Macroniste?

     

    Cependant, si le candidat – Macroniste ou FP – obtient 12,5 % des voix au 1er tour – ce qui risque finalement être le cas le plus fréquent – il peut se maintenir au 2ème tour… Et dans ce cas, son maintien favoriserait l’élection du candidat le mieux placé…

    Par exemple dans une circonscription où au 1er tour, le RN obtient 35 %, le FP 25 % et le Macroniste 14 %… Il est clair que le RN serait en «  ballotage favorable »… D’ où la question -très sensible- du maintien du candidat Macroniste au 2ème tour, qui conserve donc ses voix, ce qui fait élire le RN…

    Mais si le candidat Macroniste décide de ne pas se maintenir au 2ème tour s’il est trop proche de 12.5 % , il laisse la possibilité à ses électeurs – du moins à certains d’entre eux – de choisir le FP plutôt que le RN…

    En fait, l’on imagine mal un candidat Macroniste ne se maintenant pas au 2ème tour – ou carrément éliminé s’ il n’obtient pas 12.5 %, donner pour consigne de vote le FP… ( Le ferait-il « implicitement » - sans le dire- et la «  mort dans l’ âme » ?

    Et dans le cas (le moins fréquent) où c’est le FP qui est éliminé ou se maintient avec 14 %, où il y a au 2ème tour, un Macroniste et un RN ( RN en ballotage favorable), que choisiront les électeurs du FP au 2ème tour ?

    Si je me trouvais dans une circonscription où ce cas se présenterait (un Macroniste contre un RN au 2ème tour) alors mon choix se porterait sur le Macroniste – en vertu de ce « principe » selon lequel « entre la peste et le choléra » on meurt de la peste 9 fois sur 10, et du choléra 6 fois sur 10… Et qu’ en conséquence, pensant « avoir les intestins solides » j’opte pour le choléra…

     

  • Mariages : "une affaire de sous!"

    Un mariage « lambda moyen » dont le jeune mari et la jeune épouse gagnent en tant que salariés l’ un et l’ autre (Fonction publique ou entreprise PME) environ 1800 euro par mois, et dont les parents de l’un et de l’ autre ont -en gros- une « surface financière » équivalente à 30 000 euro ( compte courant, livret A, Plan Epargne Logement et Assurance vie épargne ) revient en moyenne à 13500 euro pour une centaine de personnes invitées au repas du samedi soir, avec : la location de la salle des fêtes, le traiteur, le DJ et la musique, la robe de mariée et le costume du marié, le photographe…

    Et encore, pour cette somme, il n’y a pas l’apéritif géant où sont conviées 200 ou 300 personnes…

    Pour peu qu’ il y ait 120, 130 invités au repas, et avec le lendemain dimanche à midi, une cinquantaine de personnes des deux familles… Et une animation de qualité avec professionnels de festivités privées, nous sommes alors très largement au dessus des 13500 euros…

    « On va dire » qu’un mariage ça coûte autant qu’une voiture neuve !

    Quel financement pour une somme d’environ 15 000 euro – ou plus – si les deux jeunes mariés et leurs familles ne disposent pas « cash » de la somme nécéssaire ? Une partie grâce à des économies et le reste en contractant un emprunt à la banque ? Le tout financé par un emprunt à rembourser sur 5 ans ou plus ?

    Et « dans l’histoire » le fils ou la fille qui se marie, à moins d’être fils ou fille unique, a deux, trois autres frères et sœurs qui eux aussi vont se marier (résultat ; autant de fois 13500 euro en moyenne ou 15 000 ou plus)…

    Quand on voit autour de soi, le nombre de mariages célébrés on se dit « mais où trouvent-ils l’ argent » ?

    Vraisemblablement dans la plupart des mariages, le financement se fait avec un emprunt à la banque -à moins que «  papy et mamy » et que les parents « cassent la tirelire » (pour peu qu’ ils aient des économies, un «  coquet livret d’ épargne », un confortable portefeuille financier – ce qui n’est pas le cas de tout le monde)…

     

    Et… Tant d’argent dépensé en une seule soirée pour un mariage… Alors que 2, 3, 5 ans après, c’est la séparation ! Le divorce ! (statistiques : 1 couple sur deux se sépare au bout d’un temps variant entre 2 et 5 ans)… Et, « si ça se trouve », les mensualités du prêt contracté pour financer le mariage, continuent à courir après la séparation !

    Hallucinant ! Surréaliste !

     

    Lors de ces « pendaisons de crémaillère » pour fêter l’installation dans la nouvelle maison - « lotissement les Alouettes à Sainte Tarte de la Midoue » ou ailleurs… Qui réunissent plusieurs couples et amis… C’est parfois l’occasion pour le mari venant d’emménager dans la nouvelle maison, de « lorgner » (et de fantasmer) sur la jolie voisine ou amie de l’ ami (ou pour l’ épouse d’en faire autant avec le voisin ou l’ami qui « en jette » question faconde, carrure,etc…)… ( Ah, les pendaisons de crémaillère ! Vous m’en direz tant!)

     

    Le pire étant – entre autres pires – quand l’un des deux jeunes mariés est végétarien et l’autre pas, et que le ou la végétarien(ne) se barre au bout de 2 ans pour se mettre avec un non végétarien… Alors que dès avant le mariage, par « peur de perdre l’autre » ou pour « complaire à l’autre » l’un des deux « futurs époux » celui qui n’est pas végétarien, renonce à l’ entre-côte bordelaise, au «  poulet à la mamy », au « petit cochon au tourne broche » !