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mariage

  • Une union, un pays

    Une union – un mariage- n’est durable qu’à deux conditions aussi essentielles l’une que l’autre :

    - La réciprocité absolue dans ce que ressent, éprouve, l’un pour l’autre, et avec la même intensité, les mêmes besoins, les mêmes aspirations… Cela quelque soient par ailleurs, les différences…

    - L’accueil – heureux et bienveillant - des parents et de la famille de l’un pour l’autre…

     

    En effet, s’il n’y a pas tout à fait ou s’il y a seulement en partie, la réciprocité ; la durée de l’union est compromise et d’autant plus brève si c’est surtout l’un qui est plus « aimant » que l’autre…

    Ainsi l’un – ou l’autre – n’aime pas « pour les deux » car il n’est pas « dans l’autre » …

    Dans la réciprocité aucun des deux n’est « dans la peau de l’autre » -c’est vrai… Mais il y a ce même élan vers l’autre qui, au plus près le rapproche et le lie à lui…

    Quant à l’accueil de l’un ou de l’autre par les parents, par la famille de l’un ou de l’autre ; s’il est « mitigé » ou inamical et s’il ne fait pas lien (et lien durable) ; alors un jour ou l’autre l’union se défera… Ou si, à la limite elle dure, elle deviendra et demeurera difficile…

     

    Il en est exactement de même pour une personne venue d’un autre pays qui entre dans un pays où désormais, pour un temps ou pour toujours, cette personne va vivre :

    -La réciprocité entre ce qui motive une personne « venue d’ailleurs » à s’installer dans le pays où elle arrive, et ce qui motive le pays accueillant à voir s’installer cette personne « venue d’ailleurs »…

    -L’accueil – heureux et bienveillant- du pays où vient vivre la personne « venue d’ailleurs »…

     

    Cela dit, dans une union – un mariage – entre deux personnes de pays – ou de régions- différents ; l’un, en épousant l’autre, épouse pour ainsi dire, le pays -ou la région – de l’autre…

    Car l’environnement – de famille, de connaissances, d’amis, de pays, de région – de l’un, se joint à l’environnement de l’autre… Et du lien s’ajoute et se lie au lien existant… Selon la loi naturelle, intemporelle, universelle, « cosmique » en quelque sorte, qui régit le principe de la relation entre les êtres et les choses dans cet univers de 13,7 milliards d’années et de tant de galaxies, de tant de mondes aussi différents et uniques les uns que les autres…

     

     

  • Mariages : "une affaire de sous!"

    Un mariage « lambda moyen » dont le jeune mari et la jeune épouse gagnent en tant que salariés l’ un et l’ autre (Fonction publique ou entreprise PME) environ 1800 euro par mois, et dont les parents de l’un et de l’ autre ont -en gros- une « surface financière » équivalente à 30 000 euro ( compte courant, livret A, Plan Epargne Logement et Assurance vie épargne ) revient en moyenne à 13500 euro pour une centaine de personnes invitées au repas du samedi soir, avec : la location de la salle des fêtes, le traiteur, le DJ et la musique, la robe de mariée et le costume du marié, le photographe…

    Et encore, pour cette somme, il n’y a pas l’apéritif géant où sont conviées 200 ou 300 personnes…

    Pour peu qu’ il y ait 120, 130 invités au repas, et avec le lendemain dimanche à midi, une cinquantaine de personnes des deux familles… Et une animation de qualité avec professionnels de festivités privées, nous sommes alors très largement au dessus des 13500 euros…

    « On va dire » qu’un mariage ça coûte autant qu’une voiture neuve !

    Quel financement pour une somme d’environ 15 000 euro – ou plus – si les deux jeunes mariés et leurs familles ne disposent pas « cash » de la somme nécéssaire ? Une partie grâce à des économies et le reste en contractant un emprunt à la banque ? Le tout financé par un emprunt à rembourser sur 5 ans ou plus ?

    Et « dans l’histoire » le fils ou la fille qui se marie, à moins d’être fils ou fille unique, a deux, trois autres frères et sœurs qui eux aussi vont se marier (résultat ; autant de fois 13500 euro en moyenne ou 15 000 ou plus)…

    Quand on voit autour de soi, le nombre de mariages célébrés on se dit « mais où trouvent-ils l’ argent » ?

    Vraisemblablement dans la plupart des mariages, le financement se fait avec un emprunt à la banque -à moins que «  papy et mamy » et que les parents « cassent la tirelire » (pour peu qu’ ils aient des économies, un «  coquet livret d’ épargne », un confortable portefeuille financier – ce qui n’est pas le cas de tout le monde)…

     

    Et… Tant d’argent dépensé en une seule soirée pour un mariage… Alors que 2, 3, 5 ans après, c’est la séparation ! Le divorce ! (statistiques : 1 couple sur deux se sépare au bout d’un temps variant entre 2 et 5 ans)… Et, « si ça se trouve », les mensualités du prêt contracté pour financer le mariage, continuent à courir après la séparation !

    Hallucinant ! Surréaliste !

     

    Lors de ces « pendaisons de crémaillère » pour fêter l’installation dans la nouvelle maison - « lotissement les Alouettes à Sainte Tarte de la Midoue » ou ailleurs… Qui réunissent plusieurs couples et amis… C’est parfois l’occasion pour le mari venant d’emménager dans la nouvelle maison, de « lorgner » (et de fantasmer) sur la jolie voisine ou amie de l’ ami (ou pour l’ épouse d’en faire autant avec le voisin ou l’ami qui « en jette » question faconde, carrure,etc…)… ( Ah, les pendaisons de crémaillère ! Vous m’en direz tant!)

     

    Le pire étant – entre autres pires – quand l’un des deux jeunes mariés est végétarien et l’autre pas, et que le ou la végétarien(ne) se barre au bout de 2 ans pour se mettre avec un non végétarien… Alors que dès avant le mariage, par « peur de perdre l’autre » ou pour « complaire à l’autre » l’un des deux « futurs époux » celui qui n’est pas végétarien, renonce à l’ entre-côte bordelaise, au «  poulet à la mamy », au « petit cochon au tourne broche » !