compteur

Ok

En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.

Analyse d'urine sans passer par le laboratoire de biologie médicale

Si présence de fourmis très nombreuses dans les 5 minutes qui viennent : trop de sucre, attention peut-être diabète de type 2…

 

Si assaut de mouches dans la minute qui suit : infection …

 

Si la flaque d’urine sèche très vite alors que la température de l’air est de 20 degrés et que le taux d’humidité ne dépasse pas 60 % : trop de sel (regardes tes chevilles, et le tour de ta taille si bourrelets…

 

Si l’urine mouille les chaussures : prostate volumineuse (attention au « crapaud perfide »… Et, autre signe de prostate volumineuse : à plus de 70 ans si fuites urinaires surtout la nuit…

 

Si le jet d’urine n’est pas visible en tombant : obésité manifeste (surtout du ventre)…

 

Si braguette non défaite et pipi dans le pantalon : Alzheimer …

 

Ou si slip et pantalon très mouillé : si pas Alzheimer c’est Parkinston (la « danse de Saint Guy confirme)…

 

Si pas d’odeur : covid 19…

 

Cela dit un « papy de 70 ans ou plus » qui fait avec son petit-fils de 10 ans, un concours de « qui pisse le plus loin » et qui bat d’un mètre son petit -fils ; est forcément un papy en très bonne santé – probable futur centenaire, une fraction d’éjection du ventricule gauche du cœur largement supérieure à 50 % ; pas de diabète, pas d’obésité, pas de « crapaud », pas encore de vélo électrique mais un VTT sport, douze kilomètres de marche 3 fois dans la semaine…

Autrement dit ce « profil là » de ce « papy », c’est pas loin s’en faut le profil de tout le monde de plus de 70 ans !

 

Cela dit encore, c’est étonnant de voir tous ces centenaires de nos jours – 30 000 en France en 2025- avec toutes les saloperies qu’on absorbe dans les produits alimentaires, les boissons – colorants, conservateurs, exhausteurs de goût, additifs, pesticides, etc. … C’est assez paradoxal…

 

 

Lorsque, en 1964 – j’avais 16 ans – et que j’étais pensionnaire au lycée Victor Duruy de Mont de Marsan ; on avait un surveillant général monsieur Casenave qu’on appelait « le Zou », très ventripotent, la cinquantaine ; et qui criait après les pisseurs contre un arbre au cours des récréations  : « Hep vous-là-bas on ne pisse pas contre les platanes ! » (avec bien l’accent Landais!)…

 

 

Écrire un commentaire

Optionnel