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Anecdotique

Du temps où j’allais voir mon père à Montreuil sur Mer dans le Pas-de-Calais, durant les années 1970 – 1973, et où mon père qui demeurait rue d’Hérambault avait pour voisin un cuistot de lycée vivant avec sa femme et ses deux enfants ; ce voisin me disait «  lorsque le téléphone sonne, ou que quelqu’un vient me rendre viste sans avoir prévenu, aussitôt je lâche ce que j’ai en main, j’interromps ce que je suis en train de faire, imméfiatement, sans me poser la moindre question, et j’accueille cette personne, je décroche aussitôt le téléphone qui sonne; et ma priorité c’est l’accueil…

Je ne puis je l’avoue, pour ma part, en dire autant ! Quand bien même mon téléphone sonnerait « sur un air de Mozart » tout appel impromptu m’importune et me fais fulminer ! Et je regarde toujours le numéro qui s’affiche sur le petit écran LCD du téléphone, si c’est un numéro qui n’est pas dans mon répertoire, je laisse sonner…

Autant je peux être prolixe par écrit, autant au téléphone il faut que l’échange soit bref, juste l’essentiel ; et de surcroît la « grosse difficulté » dans une conversation téléphonique, c’est de conclure (trouver la « bonne formule » ou le « bon prétexte »… Car lorsque ça « s’éternise » je « piaffe d’impatience »…

En ce qui concerne les visites de personnes – de mes connaissances ou autres - « impromptues » là, je suis « plus nuancé » (il est évident que le coup de sonnette à ma porte, me fait alors appuyer sur « enregistrer » le texte que je suis en train de rédiger au moyen du clavier de mon ordinateur)…

Donc « pour résumer » l’accueil quelle que soit la situation ou l’occupation dans laquelle je me trouve… Eh bien « pas vraiment » !

Suis-je pour autant un « mauvais coucheur » ?

Le cuistot de lycée, à Montreuil sur Mer en 1973, qui m’avait invité à partager avec sa femme et ses deux enfants son repas de midi, m’avait mis dans l’assiette un énorme bifteck cuit à la poêle dans une demi livre de beurre, moi qui ne mangeais jamais de plats en sauce, cuits dans le beurre, ou mijotés mitonnés longuement, nécessitant « une tonne de pain » pour saucer l’assiette !

Mais bon j’avait fait comme on dit « contre mauvaise fortune bon cœur » !

 

 

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