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  • Un "monument" au pied duquel je ne me prosterne pas

    Lorsqu’eut lieu, le 26 mars 2024 en l’église de Saint Thomas d’Aquin à Paris, la cérémonie pour les obsèques de Frédéric Mitterrand, ancien ministre de la Culture, en présence de nombreuses personnalités politiques ; « je n’ai pas versé la moindre larme » ni eu le moindre regret à la disparition de ce « monument de la vie littéraire, culturelle et politique…

    Rappelons la parution en 2005 chez Robert Laffont, de son livre (autobiographie) « La mauvaise vie », où il fait part de son expérience de « tourisme sexuel » qui lui valut une accusation de pédophilie – dans la mesure où il aurait abusé de jeunes garçons pré ados et jeunes filles « à la limite de la puberté »…

    Rappelons également que, le 21 janvier 2011, Frédéric Mitterrand alors ministre de la Culture sous Nicolas Sarkozy, décida d’écarter Louis Ferdinand Céline des célébrations nationales.

    Je l’avoue : je ne puis me départir d’une haine totale et absolue à l’égard de la pédophilie, moi qui pourtant lutte contre toute forme de haine…

    Et, en ce qui concerne l’antisémitisme – en l’occurrence celui de Louis Ferdinand Céline – je rappelle – pour l’avoir plusieurs fois déjà signalé – que Louis Ferdinand Céline (de son vrai nom Destouches) lorsqu’il était médecin à Courbevoie juste avant le début de la seconde guerre mondiale, il soignait gratuitement en dispensaire des Juifs pauvres…

    Écarter délibérément Céline des célébrations nationales et ainsi rejeter son œuvre littéraire, c’est un « non sens », une aberration…

    Je suis résolument contre l’antisémitisme (« 2ème ligne rouge à ne pas franchir juste derrière la pédophilie ») … Mais je suis lecteur de Céline – et fervent interpelé par son œuvre…

     

    Frédéric bite errante… Ton âme ? Ou plutôt l’âne que tu as entre les guiboles ? Ni à Dieu, ni à Allah, ni à Eloïm !

     

     

  • Quel avenir pour le marché immobilier en France avec la multiplication des intempéries ?

    Depuis mi octobre 2023 et jusqu’en ce début de printemps 2024 en France dans la plupart des régions se sont succédées intempéries, inondations, submersion de rivages le long des côtes de l’Atlantique.

    Les dégâts causés aux habitations sont innombrables, d’une fréquence accrue et répétitifs puisque s’étant produits plusieurs fois en peu de temps en de mêmes lieux.

    Les régions les plus impactées sont celles proches de l’océan et en particulier à partir du bassin d’Arcachon jusqu’au Pas de Calais ; ainsi que les régions de moyenne montagne (vallées fluviales), tous les grands bassins fluviaux, sur les versants Cévenol et d’Alpes de Haute Provence ; mais aussi en Bourgogne, France Comté, Lorraine, Ardennes, Hauts de France… Soit plus de la moitié du territoire Français.

    Une bonne partie des régions impactées par les intempéries et par les inondations sont des zones d’habitat, de villes et de leurs périphéries, de forte densité d’occupation et de constructions (maisons, bâtiments, commerces, entreprises)…

    Tout le long de la côte Atlantique (rivages) des milliers de maisons vont devenir invendables ou pour le moins perdre beaucoup de leur valeur ; et il en sera de même partout où se répètent les phénomènes climatiques dévastateurs…

    Qu’en est-il ou qu’en sera-t-il de la capacité des sociétés d’assurance à « faire face » quand bien même les déclarations de catastrophe naturelle sont prises (aides de l’État et de la Région) ?

    Nul désormais, où qu’il habite, n’est à l’abri de quelque événement climatique dévastateur (tornade, tempête, incendie, inondation, grêle) rendant du jour au lendemain sa maison inhabitable… Et forcément, de plus en plus difficile à réparer, à reconstruire… Juste un exemple : la moitié de ta toiture est partie, tu restes six mois avec la bâche des pompiers en attendant la réfection de la toiture par un couvreur… Les artisans (maçons, menuisiers, électriciens, etc. sont débordés tant la demande s’accroît)…

    Il va arriver un temps où, à force, il ne sera plus possible de « faire face », de réparer, de reconstruire ( sauf s’il l’on se résoud à du provisoire qui dure – baraquements, mobil-home voire des cabanes )…

    Comment le marché de l’immobilier – à part celui des « zones encore sûres » - peut-il avoir un avenir ?

    Il me vient à l’idée, qu’un beau jour, ç’en sera fini de cet esprit de « possession de biens – immobilier, voiture » auquel on et si attaché, si enclin à considérer comme durable ; et qu’il faudra bien s’adapter à « un tout autre genre » de condition d’existence (beaucoup moins de confort, davantage de précarité, d’aléatoire, moins d’aisance, moins de sécurité)…

    J’entends dire autour de moi : « si tu disposes d’un patrimoine immobilier, si modeste soit-il, il t’appartient de l’entretenir au mieux et si possible de le renforcer, de l’agrandir afin de le transmettre valorisé à tes descendants » (c’est « moche » en conséquence, de transmettre à son fils ou à sa fille selon cette aspiration à « mieux », un bien dévalorisé… C’est ce que pensent beaucoup de gens)…

    Eh bien braves et honnêtes gens, ne vous en déplaise, la dévalorisation elle se fera par le ciel, par l’air, par l’eau, elle concernera beaucoup de monde … Et ça a déjà commencé…

     

     

     

  • Anecdote

    À la médiathèque du Marsan, de Mont de Marsan, le prêt des ouvrages est limité à trois semaines, mais renouvelable trois semaines de plus, à condition que l’un et ou l’autre des ouvrages empruntés ne soit pas retenu par quelqu’un…

    Par exemple pour cinq livres, trois CD et 4 DVD jusqu’au 4 avril 2024, tous se trouvaient renouvelables sauf l’un des trois CD (de musique)…

    Et en conséquence, à cause de ce CD non renouvelable, il fallait obligatoirement venir à la médiathèque au plus tard le 4 avril pour au moins rendre ce CD… Qui avait été retenu par quelqu’un… Ce « quelqu’un » souhaitant prendre ce CD dès que possible c’est à dire à partir du 5 avril à l’ouverture de la médiathèque.

    Que des livres ou que des DVD puissent être retenus, ça je le conçois…

    Mais en ce qui concerne les CD audio (de musique), quand on sait (tout le monde le sait) que, sur Youtube on peut à tout moment écouter librement n’importe quel album ou titre (tout est sur Youtube en musique, chansons, auteurs, de toutes les époques)… Eh bien j’ai envie de dire – et je le dis - « que ce quelqu’un qui a retenu le CD en question », aurait pu « ne pas emmerder le monde » en l’écoutant tout bonnement sur youtube (sur son ordinateur avec de surcroît des hauts parleurs connectés de haut niveau)…

    Seulement voilà : tout le monde – même si c’est très peu de gens aujourd’hui – n’a pas internet et un ordinateur, alors dans ce cas, le CD s’impose…

    Vous m’direz (à « juste titre ») : alors pouquoi toi-même, qui a internet, youtube, et un ordinateur, tu prends des CD en médiathèque ?

    La question de la qualité de l’écoute ; je regrette mais sur un radio CD compact « de merde », le « Strauss ou le Verdi ou le Beethoven, risque fort, déjà en CD par rapport à un platine de chaîne HIFI stéréo enceintes de 80 Watts, de ne pas « être au Top » en qualité d’écoute (bonjour les nuances dans les sons)…

    Peut-être, que si tu continues à prendre des CD en médiathèque, c’est pour écouter sur ton radio CD dans ta cuisine ou en faisant ta toilette dans la salle de bains… Ou encore au jardin…

    Bon, c’est vrai, une chaîne HIFI avec ampli, platine, enceintes de 80 Watts d’une taille de 2 tabourets chacune, ça s’emporte pas dans le jardin…

     

     

  • Certitudes et droits

    Ces certitudes et ces droits accompagnés de vision et de sensibilité – et de « culture » - personnelle, en lesquels s’ancrent – et se crispent- les gens du « commun des mortels » si nombreux dans notre pays, de toutes générations dont en particulier les « moins de 30 ans » qui eux, ont « hérité » des droits conquis par leurs grands-parents (et n’ont donc en aucune façon, combattu pour acquérir ces droits)… M’exaspèrent…

    Se sentant « forts de ces certitudes et de ces droits » les gens du « commun des mortels » vivant pour beaucoup d’entre eux dans un monde de consommation, de gabegie, de profusion de produits et de sevices en matière de loisirs, dans un monde d’individualisme encouragé, programmé, entretenu ; dans le culte de l’apparence et de la visibilité… Deviennent de plus en plus agressifs, « assènent » leurs certitudes, leurs droits, leurs croyances, autour d’eux, dans leur famille, dans leur entourage de connaisances, dans les activités qu’ils exercent où ils sont en relation avec les autres… Avec constance, détermination, persistance et répétition…

    La plus grande part de tout ce qui s’exprime, s’affiche, se diffuse, se partage, sur les réseaux sociaux « à longueur de journée » en tous lieux et smartphone à la main écouteurs aux oreilles – jusque dans les chiottes – n’est fait que de cela : les apparences, la visibilité, la recherche de l’impact immédiat, de ce qui sera relayé, de ce qui sera partagé et rejoindra l’opinion commune au sujet de ceci, de cela… Photo, vidéo, story à l’appui (avec le moins de texte possible)…

    Toutes ces certitudes, ces droits, ces croyances en lesquelles on s’ancre – et auxquelles on s’accroche « poing ou opinel levé », font de notre environnement un univers hostile où il « ne fait plus bon vivre » et où l’on se heurte à une agressivité ambiante et généralisée…

     

  • Un autre monde, film de Stéphane Brizé, 2021

    Mardi 2 avril 2024 sur France 2 à 21h 10 ; avec Vincent Lindon et Sandrine Kiberlain.

    Cet « autre monde » c’est celui « à mille lieues du quotidien de la très grande majorité des gens du commun en France, et partout sur notre planète, dans les pays d’« économie développée » ainsi que dans les pays « en voie de développement »…

    C’est le monde des 1 % les plus riches qui détiennent à eux seuls plus de la moitié des richesses de la Terre… Soit environ 80 millions de personnes sur 8 milliards d’habitants de cette planète…

    La « Loi du Marché » selon ce que rappelle en visioconférence « Monsieur Cooper » le grand dirigeant Américain en face de l’assemblée connectée des participants que sont les PDG et leurs collaborateurs des différentes branches (France, Europe, Asie, Afrique) de l’entreprise… N’est autre que celle des actionnaires, et le patron de « Monsieur Cooper » c’est Wall Street…

    Ce sont donc les actionnaires qui, en assemblées, décident, imposent, afin de distribuer des dividendes « à 2 chiffres » c’est à dire des intérêts versés périodiquement, supérieurs à 10 pour cent…

    Et quels sont les actionnaires ?

    Ce sont en premier lieu les grands dirigeants et collaborateurs rapprochés qui, détenant à l’origine, avant la création de l’entreprise, les capitaux, ont investi en parts d’actions afin de créer l’entreprise.

    Ce sont ensuite ce que l’on nomme « personnes morales » c’est à dire les groupes bancaires internationaux, les fonds d’investissement (Bain Capital Amérique du Nord dont le grand patron n’est autre que Mitt Romney qui fut candidat à l’élection présidentielle aux USA – un Mormon soit dit en passant), les sociétés et compagnies d’assurance – et de réassurance ( les assureurs s’assurent eux-mêmes), les grands groupes de maisons de retraite, etc. … (tout ce qui se regroupe en « cartels » économiques et financiers)…

    Ce sont enfin et – il faut le dire – pour moitié au moins, l’ensemble des gens – en France et ailleurs – du « commun des mortels » qui sont détenteurs de produits financiers de placement épargne assurance vie (produits d’épargne censés rapporter plus que l’épargne traditionnelle « de précaution » livret A, Codevi, compte Epargne Logement)…

    Comment croyez vous qu’un placement bancaire autre qu’un livret A puisse rapporter « un peu plus » que les 3 % d’un livret A ?

    Lorsque vous souscrivez à un placement d’assurance vie, ou à un placement bancaire – en général « sécurisé » et réputé « de bon aloi » c’est à dire « sans risque » , il y a toujours quelque part dans le portefeuille « diversifié » des parts d’actions déguisées ou mélangées selon un « montage assez complexe » dont vous pouvez lire « écrit très petit » dans les feuillets de la notice explicative, le détail de la composition du produit… En somme, c’est un peu la même histoire, avec les placements financiers bancaires ou d’assurance, que celle du « poulet Brésilien étiquetté origine Union Européenne sur l’emballage »…

    C’est « ça », la Loi du Marché : les actionnaires… Et, de toute évidence, les actionnaires ils sont très nombreux, et ça va des très gros détenteurs d’actions juqu’à la masse des « petits porteurs » - qui ne savent pas ou ne veulent pas savoir qu’ils sont actionnaires…

    C’est la raison pour laquelle le « Système » n’est pas prêt de s’écrouler, implicitement soutenu qu’il est par une très grande majorité de gens, partout dans le monde…