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  • Fuck Poutine !

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    Politzek, les voix qui défient le Kremlin

     

    Petite parenthèse introductive :

     

    Poutine en « bon Français » - avec jeu de mots – c’est pou, et c’est « ine » de latrine… Ou « tine » de tinettes ( cabinet à caca ) - rire…

     

    Sur France 5, documentaire suivi d’un débat – Le monde en face- de 21h 05 à 23h 05 le dimanche 21 septembre 2025.

    Film documentaire de Sacha Koulaeva, réalisation franco belge en 2024…

    608 000 téléspectateurs pour ce documentaire… Nous sommes loin des plusieurs millions pour The Voice, Koh Lanta, et Retour de terre inconnue… Et autres grandes émissions de divertissement et séries américaines, séries policières, etc. …

     

    La Russie est le pays le plus totalitaire du monde, la Chine, l’Iran des Mollahs, la Turquie entre autres il est vrai « talonnant la Russie » de « relativement peu »…

    Pour « encadrer » - et surveiller étroitement – 130 millions d’habitants, il y a en Russie 1 policier pour 100 habitants c’est à dire 1 million et 300 mille policiers – équipés avec des armes de guerre et hyper protégés d’équipements…

     

     

    Il y a en 2025 plus de 3000 prisonniers politiques en Russie, enfermés dans ces « goulags » que sont les « Politzek » centres de détention – et de redressement pour les mineurs- dans lesquel les condamnés – à plusieurs années de prison voire certains à perpétuité - « vivent » dans des cellules d’isolement de moins de 8 mètres carrés avec juste un tabouret en métal rivé au sol, un lavabo, une couchette sommaire et un WC. … Où ils subissent des traitements de « psychothérapie » qui les brisent…

     

    La simple fait, en public – ne serait-ce que devant une dizaine de personnes dans la rue, sur une place, en un lieu fréquenté, en Russie – de critiquer le Pouvoir, de dire que l’on est contre la guerre à l’Ukraine, de manifester son opposition… Est passible d’arrestation immédiate, d’un simulacre de procès avec faux témoins et de plusieurs années de prison… Et ceux et celles qui tentent, en public, de manifester ; s’ils ne sont pas imméditatement repérés (ce qui arrive tout de même) ils se voient très vite saisis à bras le corps, mis ventre et tête à terre, ligotés et emportés sans ménagement dans des voitures ou fourgons de la police, une police « omni présente »…

     

    Dans de telles conditions – de risque d’arrestation et d’emprisonnement immédiats – personne ou presque personne en Russie, circulant dans la rue, sur un marché, ou fréquentant un lieu public, ne s’avise à manifester son opposition, sa colère… À moins de s’y livrer clandestinement, en petits groupes isolés – et de parvenir à transmettre de l’information hors de la Russie par des voies de communication détournées, les réseaux sociaux dont Facebbok, Instagram, et autres étant surveillés de très près – et d’ailleurs souvent en partie inaccessibles, ainsi que les sites personnels et les blogs…

     

    De même qu’en 1942 en France de Pétain y’avait Radio Paris qui informait au quotidien selon la politique en vigueur, de même en Russie les télés et les radios, la presse sont aux ordres du Kremlin et ne communiquent que de la propagande, des images fabriquées, conditionnent les pensées, l’esprit, les comportements des gens…

     

    Il paraît à peu près évident que les Russes les plus privilégiés – ceux par exemple qui habitent dans les beaux quartiers résidentiels de Moscou et d’autres villes, les personnalités « bien en vue du Pouvoir », toute une « jeunesse dorée » de la bourgeoisie chrétienne orthodoxe, de certains « milieux branchés » des artistes… Soutiennent le Pouvoir et le régime Poutinien, « trouvent normal » que les réfractaires, que les opposants soient sévèrement punis, ne manifestent aucune contestation (approuvent même) à la connaisance des centres de détention – que dans leur esprit ils voient comme des « centres de rééducation »… Ceux là, évidemment sont POUR la guerre à l’Ukraine, pour les drones de bombardement sur Kiev… Et c’est la « force » sur laquelle s’appuie et se justifie Vladimir Poutine… Avec bien sûr les 1 million 300 mille policiers (tous bien mieux payés que le commun des mortels)…

    Ces Russes là, privilégiés et « pro Poutine/pro la guerre à l’Ukraine » sont à peu près entre vingt et trente millions… (Autant dire qu’ils pourraient un jour prochain être nos « nazis envahisseurs » des pays de l’Union Européenne avec leurs armées de plusieurs fois cinquante mille hommes, leurs chars, leurs blindés, leurs avions et leurs drones de bombardement)…

     

    Reste d’un bout à l’autre de la Russie, dans les villes et dans les campagnes (campagnes sous-développées il faut dire) les autres 100 millions d’habitants – non privilégiés- … Qui pour plus de la moitié d’entre eux au moins, « se taisent », ont peur de s’exprimer (mais voudraient bien dire qu’ils sont contre Poutine et sa guerre) et pour un bon tiers d’entre eux qui « adhèrent tacitement » (ou mollement)…

    C’était à peu près pareil dans l’Allemagne du III ème Reich d’Hitler de 1933 à 1945…

     

    Les partis d’extrême droite de l’Union Européenne « ne voient pas tout à fait ainsi les choses » …

    Ni trop non plus il faut dire les Gauche Mélenchon qui déclarent qu’il faut « parler à Poutine » …

     

     

  • Les lunettes de soleil

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    Les lunettes de soleil en public c’est un voile sur le regard…

    Oui afin de se protéger d’un vif ensoleillement sur la plage, en promenade dans un lieu découvert en été sous un soleil éclatant, assis sur un banc devant chez soi au soleil un livre à la main… Mais en public dans la rue non…

    Le pire c’est de porter des lunettes de soleil alors qu’il n’y a pas de soleil ! Et… Moins pire mais à mon sens désolant de banalité et de conformisme et d’habitude : les lunettes de soleil dans les cheveux ! (plus le cas pour les femmes que pour les hommes)… Ou « en sautoir sur le poitrail », ouvertes attachées avec une cordelette lacet – ou encore glissées fermées dans l’encolure du pull, du maillot… Et aussi, bras ouverts sur la table du café, du restau, à côté de l’assiette…

     

  • Le réel, l'imaginaire

    La poésie du réel d’une part, et la poésie de l’imaginaire d’autre part… Sont-elles conciliables, compatibles ?

    Dans une œuvre littéraire diversifiée peuvent-elles coexister, être celles d’un même auteur ?

    Oui si l’imaginaire – qui n’est pas le réel – demeure crédible…

    Toutefois il n’y a pas de poésie de l’effet produit, parce que de toute une évidence qui n’est pas perçue comme telle, l’effet produit est soutenu, obtenu par la technologie – du numérique, de l’intelligence artificielle et de leurs outils mis à la disposition de chacun connecté à internet… Ou bien est le résultat de l’impact que peut avoir une « formulation de langage »

    Quelle poésie dans la production d’une image, d’une photo, d’une vidéo, fabriquée par « Photo-shop » ou autre application logicielle de traitement de l’image ?

    Quelle poésie dans une « formulation de langage » qui rejoint, quelle que soit son « originalité » un courant d’opinion générale ?

    L’écrit, l’image, aujourd’hui, ne sont plus reconnus pour leur authenticité, pour ce qu’ils ont de naturel, d’exempt de tout artifice, de tout effet du paraître (de l’imposture du paraître)…

    Dans leur inachèvement, dans leurs imperfections, dans leur forme qui n’est pas définitive, dans ce qu’il peut y avoir de malhabile dans les contours, dans les tracés… Mais avec leur devenir en formation, en évolution, et qui est perceptible ; l’écrit et l’image – qui ne font pas ou plus recette du fait de leur inachèvement et de leurs imperfections l’écrit et l’image du réel ou de l’imaginaire (de l’imaginaire « crédible ») sont oui, « œuvre poétique » (non contrefaite)…

     

  • Salon de l'Habitat et du Bois 2025 à Epinal

    Le salon de l’Habitat et du Bois se tient du 18 au 22 septembre 2025 au parc des expositions d’Epinal…

    En ce dimanche gris et pluvieux du 21 septembre il est à parier que le nombre de visiteurs sera plus important que par beau temps ensoleillé vendredi 19 (où il y avait ce jour là beaucoup de monde sur la route des Crêtes du côté du Honeck)…

     

    À mon sens, les personnes les plus intéréssées et les plus motivées pour un salon de l’Habitat sont – en priorité- les trente et quarantenaires avec enfants ayant soit un projet immobilier, soit désirant aménager l’intérieur de leur maison… Mais également les « 70/80 ans » qui ont de grands petits enfants en passe d’acquérir une maison ou envisageant de rénover, d’entretenir, d’équiper leur habitation…

     

    Mais quel intérêt pour des personnes d’autour de 80 ans qui n’ont pas un petit-fils ou une petite fille – marié(e) et avec enfants, et de surcroît peu soucieux de la valorisation de leur patrimoine immobilier ?

    Quel intérêt – de la valorisation et de l’entretien d’un patrimoine immobilier – pour ces mêmes personnes d’autour de 80 ans qui sont en désaccord avec leurs enfants ou dont les enfants ne voient plus leurs parents ?

    Qu’est-ce d’ailleurs (que vaut) la « valorisation d’un patrimoine immobilier » lorsque la descendance directe est absente, et que le fils ou la fille n’a pas de descendance ?

     

    « En principe » les « grands enfants » - âgés de 50/60 ans – eux, ont, beaucoup d’entre eux, leur maison arrangée, valorisée, entretenue, bien équipée…

     

    La « grande idée » dans les salons de l’Habitat des années présentes, c’est l’adaptation des matériaux (nouveaux) et des projets et techniques de construction au changement climatique.

    Très bien.

    Mais que dire des zones habitées et densément peuplées avec moult lotissements de maisons individuelles, inondables et encore plus qu’elles ne le sont, inondables en plus grande étendue et plus souvent ? Et des incendies, et des intempéries et des affaissements de terrain dévastateurs ?

    Et « au pire du pire » si l’on verse dans la peur d’une guerre avec la Russie, un drone de Poutine qui pulvérise la maison ?

     

    Vous me direz – et vous aurez raison - « dans ce cas on fait plus rien , on fait des habitations en algéco, on laisse passer les doigts de la main dans les fissures, on fait pas un beau jardin d’agrément, on ne met pas une belle niche pour le toutou, on se meuble chez Ikéa de tic et de toc… Et on se rend au salon de l’habitat comme on se rend au ciné ou à la plage ou dans une fête d’été – ou au mieux en tant qu’observateur curieux et désirant s’informer de l’évolution des technologies liées à l’habitat, aux matériaux de construction et aux équipements, ameublements…

     

    35 000 visiteurs tout de même pour ce salon de l’Habitat et du Bois 2025 à Epinal…

     

     

  • Dans la caracole des jours des semaines des mois des saisons

    Dans ces années 2008, 2009, 2010,2011…

    Et même jusqu’en 2019…

    Jamais tu ne pensais à ces années 2024, 2025, 2026…

    D’un siècle après les « années folles » ces vingt et quelque du 20 ème siècle.

    Tu étais, tu vivais…

    Année après année ou plutôt saison après saison sinon semaine après semaine…

    Depuis 2008 jusqu’à 2019

    Dans un présent comme un jour sans matin sans hier sans avant-hier et sans soir ni nuit venant ni demain ni après demain…

    Mais parfois te venaient des souvenirs des années 1960/1970, les souvenirs alors s’ouvrant tels des tiroirs qui ne grinçaient pas en coulissant.

    Tu n’imaginais pas un seul instant

    Dans la caracole des jours des semaines des mois des saisons

    En 2013 ou en 2016

    Ce que seraient ces années d’après 2020.

     

    Et tu y es à présent

    Dans ces années d’après 2020

    Qui te sont tombées sur les épaules

    Qui ont grisé le ciel au dessus de ta tête

    Décoloré les rêves qui te venaient.

    Et s’ouvrent alors les tiroirs des souvenirs de 2008, 2009, 2010, 2011… 2019

    Mais les tiroirs grincent en coulissant.

    Et te vient l’angoisse des années d’après 2030…

     

    Déjà en 2008 et en 2009 quand il t’arrivait de penser avec effroi à ces années 2030/2040, tu disais « je ne suis pas pressé de les voir venir »…

    Soit dit en passant, en 1956 tu aurais aimé être déjà en 1970…

    Pensant qu’en 1970 tu courrais plus à ta guise qu’en 1956.

    2030/2040 ce sont les années qui évoquent les EHPAD la vieillesse le rétrécissement du champ des relations par défection de ceux et de celles qui partent, nous avaient accompagné un temps ou une vie…

    Et par défection aussi de ceux et de celles qui eux, « footinguent et treckinguent » sur les chemins de randonnée, achètent à l’arrache des billets de train et d’avion ; dont le mode de vie et de consommation et d’aspiration et de besoins et de vision du monde… Eloigne, sépare, de ces « vieux » qui ne montent plus dans les trains et dans les avions et dont la marche avec 2 bâtons n’a rien à voir avec la « marche nordique »…

    Reste…

    Comme on dit…

    « Les bibliothèques qui brûlent » à propos des « vieux » qui s’en vont…

    La transmission de savoirs acquis par le vécu et ou par l’étude, la transmission de ce qui a été réalisé…

    Mais… La transmission à qui et de quoi et pourquoi ?

    Et avec tous ces vide-greniers, ces vide-maisons, avec tout ce que l’on porte en déchetterie, aux Emaüs…

    S’il n’y avait pas l’interdiction de brûler dans les jardins, les bibliothèques – avec les bouquins dedans dont le journal de Papy – elles partiraient en flammes et en fumée et le vent emporterait les cendres…

     

    Tu dis tout cela parce que tu es né dans les années du milieu du 20 ème siècle… Et quand on est né(e) en 2002 ou en 2010, les années que l’on imagine pas comment elles seront, sont les années 2090…