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  • Solidarité zéro du monde arabe pour Ghaza

    L’on attendrait et l’on trouverait « logique » que le monde Arabe dans son ensemble - les pays du Maghreb, les pays du Machrek (Egypte, Jordanie, Irak, Liban, Syrie) ; ainsi que l’Arabie Saoudite, le Qatar, les Emirats… Soutienne la population Palestinienne de la bande de Ghaza, lui vienne en aide pour la secourir notamment des femmes, des enfants et des vieillards, des civils… Il n’en est rien ! Aucun, absolument aucun de ces pays n’a engagé la moindre initiative diplomatique ou autre, pour empêcher la réoccupation de Ghaza… Alors que la quasi totalité du monde occidental « comme un seul homme » se ligue avec force manifs et drapeaux Palestiniens brandis, opprobre généralisée, haine antisémite contre Israël qui se défend contre le terrorisme islamiste du Hamas, du Hezbolah et de l’Iran des Mollahs…

    Certes toute la population Palestinienne dont les enfants à l’école a été éduquée dans la haine d’Israël – ou du moins une bonne partie de cette population – et cela depuis plusieurs générations (ce qui élimine tout apaisement, toute paix, toute entente, tout dialogue possible entre Palestiniens et Israéliens) … Mais à bien réfléchir, indépendamment de toute cette violence, de toute cette haine, et de l’omni présence du Hamas que l’armée Israélienne à juste titre souhaite éradiquer… Les palestiniens (les civils, femmes et enfants) sont des êtres humains – autant dire pour des croyants musulmans des « enfants d’Allah »… Et voilà ce que l’on constate, ce dont le monde entier est témoin : solidarité de la part des pays d’Islam Zéro ! Sauf peut-être « à la limite » ces quelques enfants mutilés dans les bombardements qui ont été pris en charge dans les hôpitaux du Qatar…

    Ah la religion… La religion… Vous m’en direz tant, croyants par « vraie foi » ou par pratique ancestrale, musulmans avec femmes voilées pas de cochon pas d’alcool, chrétiens avec vos messes et vos dignitaires tiarés empanachés, vos anti avortement, vos anti homos et anti marginaux dérangeants pied de nez au bon dieu, vos trésors de guerres, vos basiliques colossales autour des taudis ou des habitations exposées aux quatre vents !

    Merde à la haine, merde à l’hypocrisie !

     

     

  • L'esclavage

    « L’esclavage n’a jamais été aboli, il a seulement été élargi pour y inclure tout le monde » [ Charles Bukowski ]

     

    En fait – et de fait- l’esclavage a été aboli par des traités et par des lois (notamment en France en 1848)… Sauf que l’abolition – officielle- est un leurre et qu’elle masque par le texte de loi, une « pratique moderne, contemporaine, déguisée, de l’esclavage…

     

    Ce sont les besoins inhérents au consumérisme depuis ces années que l’on a appelées « les trente glorieuses » accrus, de plus en plus diversifiés, mondialisés, créés, encouragés par les promoteurs d’une consommation de masse, par les ordonnateurs et par les gestionnaires de cette consommation de masse dans un marché économique devenu planétaire… Qui ont entraîné, causé, et pour ainsi dire « légalisé » et « officialisé » une forme d’esclavage différente de celle qui existait depuis l’Antiquité Egyptienne, Grecque et Romaine…

     

    Cependant, il y a encore des pays dans le monde – dans le monde Arabe notamment et aussi dans quelques autres pays qui ne sont pas « terre d’Islam » mais « terre de chrétienté » où l’esclavage existe sous la même forme que dans les sociétés de l’Antiquité et du Moyen Age.

     

    Dans la forme d’esclavage moderne et contemporain notamment dans des pays dits développés dont la France, le travail de chacun et dans toutes les activités – industrielles, commerciales, agricoles, administratives, productrices de services, n’est reconnu et considéré, que dans la mesure où il pérénise et entretient la capacité à consommer, du plus grand nombre possible…

     

    Autrement dit le travail n’est pas reconnu, n’est pas considéré – dans le monde contemporain- en tant que « valeur » (valeur humaine)… Le travail est ainsi aujourd’hui rétribué selon des dispositions en vigueur prises par les autorités dominantes dans tel ou tel pays… Ou plutôt par ce que l’on appelle « la loi du marché » qui, tout comme la Charia ou Loi de Dieu, est au dessus de la loi des Hommes, des chefs, des gouvernants, des textes de la loi civile…

     

    De surcroît – ce qui « n’arrange pas les choses » - le travail est vu, subi, ressenti par beaucoup d’entre nous, comme une contrainte, mais pas ou plus comme une activité générant de la relation, du lien social, et qui donne du sens à notre vie au quotidien au milieu et en présence des autres…

    En revanche – et c’est bien là le problème de notre époque – si le travail n’est pas reconnu, ou si mal ou si insuffisamment considéré, si mal ressenti et si peu payé (le minimum possible en fonction des dispositions et pratiques dans tel ou tel pays) … Le produit financier des placements en Bourse, de la plue-value des capitaux, des dividendes d’action, par le gain acquis, prime sur le gain acquis par le travail…

     

    Et l’Héritocratie » a remplacé la « Méritocratie » ; les clubs privés, les communautés de privilégiés, ont grippé les mécanismes de l’« ascenseur social »…

    Sous les Pharaons des centaines de personnes tiraient à la corde le Grand Sphinx de pierre ; et dans le monde du 21ème siècle « on tire le Dada par insertion de la carte bleue dans le terminal de paiement – au mieux – et « au moins mieux » on « bouffe du poulet brésilien et on achète un téléphone à carte »…

     

     

  • Grand débat public sur LCI de 21h à 23h 45 jeudi 18 septembre 2025

    De ce grand débat public je retiens ceci :

    Tous les invités, ont chacun mis en avant les dysfonctionnements, les défauts et les problèmes qui fracturent la société française – certains il est vrai plus que d’autres-, ont critiqué les différentes politiques et gouvernements qui se sont succédés en France depuis 50 ans ; tous ont chacun fait part de vérités, de réalités notamment de ce qu’est pour des millions de Français, la vie au quotidien ; les difficultés, les aberrations, auxquelles doivent faire face les entreprises dans notre pays ; les inégalités sociales, la question de la fiscalité jugée trop avantageuse pour les ultra riches mais « confiscatoire » pour les « classes moyennes aisées » et les riches qui ne sont pas pour autant des milliardaires ; le fait – accru depuis 2017- que beaucoup d’entreprises établies dans les régions françaises ont multiplié leurs filiales dans des pays étrangers dits « émergeants » où le coût du travail est plus bas qu’en France… (En matière de filiales à l’étranger, les entreprises françaises sont championnes du monde)…

     

    Fut également évoqué le manque de perspective à long terme – sur 20, 30 ans – et l’immobilisme d’une vue à court terme axée sur le profit et sur l’efficacité, la rentabilité immédiates…

     

    Et les aberrations, les défauts d’un système de protection et d’aides sociales qui à l’origine tel qu’il avait été conçu à la fin des années 1940, devait être le meilleur au monde mais qui s’est délité par manque d’encadrement, par une gestion mal adaptée notamment à partir des « années Giscard et Mitterand »…

     

    L’argent de la TVA – impôt auquel sont soumis tous les consommateurs riches et pauvres- servait jadis à financer à 90 % le système de protection et d’aide sociale ainsi que le fonctionnement des services publics dont tout le monde a besoin… Mais aujourd’hui ce n’est plus 90 % mais plutôt proche d’à peine 20 ou 30 %… Où va donc l’argent, quel usage en fait-on ? Nul ne le sait – sauf ceux qui savent et n’en parlent jamais parce qu’ils en profitent indûment et abusivement sans vergogne au détriment du plus grand nombre…

     

    La réalité dans tout cela, qui a été évoqué et a fait l’objet de débat contradictoire (et construit dans le dialogue sans violence) c’est que la société française aujourd’hui est bien plus diversifiée, bien plus complexe qu’elle ne l’était en 1950 ou en 1960, que ce qu’il y a de bon, de positif, d’heureux, de mieux « s’est accru sans pour autant avoir été rendu visible » (les médias « y sont pour quelque chose dans la vision du catastrophisme et du délitement) ; que ce qu’il y a de mauvais, de négatif, de pire « s’est aussi accru, amplifié par les médias certes, mais bien réel, bien visible au quotidien dans la vie des Français »…

     

    De tous les régimes politiques, de gouvernement, de systèmes économiques et sociaux qui existent sur Terre, les seuls qui soient vraiment à rejeter, à bannir et nuisibles à l’humanité à 100 %, sont :

    -Le régime Poutinien en Russie

    -La dictature de l’Islam et de la Charia… Il n’y a rien, rien de rien de « bon » dans chacun de ces deux régimes…

     

    Le drame, c’est que dans « l’orbite » du régime Poutinien gravitent les autres régimes similaires « en astres selon chacun leur orbite et reliés ensemble » - Chinois, Nord Coréen, Mollah-Iranien et Africains non démocratiques…

    Et qu’en parallèle évolue l’« orbite » du Trumpisme qui, sous couvert de la défense de la civilisation occidentale, du conservatisme et des valeurs chrétiennes, sanctifie, organise la Loi du plus fort…

    Et « qu’en embuscade le couteau entre les dents » se tiennent sortant de l’ombre les combattants de l’ordre islamique…

     

     

  • Au vu de cette carte

    Islam.jpg

    Je vous laisse « apprécier » la « différence » qu’il y a entre le tout petit point rouge sur cette carte, d’une part…

    Et… L’immensité du vert foncé sur cette même carte, d’autre part…

    Et… À ce vert foncé si l’on ajoute le vert clair, le vert-jaune et le jaune… Cela fait vraiment, incontestablement, indéniablement…Un très vaste empire islamiste colonialiste…

    Soit dit en passant, l’Allemagne, les Pays Bas, la Belgique, la France, la Bosnie Herzégovine et une partie des Balkans dont la Bulgarie, sont en jaune…

    Ah, ce colonialisme sioniste tant décrié, tant honni, tant vitupéré et qui fait l’objet de tant de haine ! Une haine qui, si l’on la mettait en couleur – par exemple en violet foncé comme le niveau maximum des ouragans- couvrirait sur cette planète un espace encore plus vaste que le vert foncé augmenté du vert clair, du vert jaune et du jaune…

    « Il faut croire » que le colonialisme islamiste sur cette Terre « n’est pas un problème »…

    Cela dit tous les colonialismes – de quelque obédience, pays ou peuples qu’ils soient – et du plus petit au plus grand, sont des verrues sur l’épiderme du grand corps qu’est la Terre peuplée de 8 milliards d’humains… À cette différence près que la « petite verrue rouge » sur la carte n’occupe pas même 2 millimètres carrés sur la peau du grand corps de la Terre, alors que pour la verrue vert foncé, il s’agit plutôt d’une croûte purulente qui recouvre le grand corps de la Terre, de la moitié du visage en passant par le cou, la poitrine et le ventre jusque en partie le long des deux jambes et des pieds …

    Allez, « bienvenue au couscous de l’amitié avec nos amis Mohamed et Fatma… Mais… Pas au falafal, au chawarna et à la carpe farcie de l’amitié avec nos si décriés et si honnis Yehuda, Noam et Sarah »…

     

     

  • Comment je suis devenu conseiller clientèle à la poste de Bruyères dans les Vosges

    C’était durant l’été de 1989, en rentrant de mon congé estival de 3 semaines l’inspecteur Monsieur Glath – un Alsacien issu de famille modeste- me propose ce poste de conseiller financier – qui n’existait pas – à la poste de Bruyères ; monsieur Glath avait convaincu le Receveur monsieur Blaise de la création pour le bureau de Bruyères, d’un poste de conseiller financier.

    Le receveur monsieur Blaise avait été d’autant plus convaincu que je prenne ce poste du fait de mes erreurs de caisse très fréquentes au guichet – c’était son gros souci, sa grande préoccupation… Il faut dire que mes erreurs de caisse étaient de l’ordre parfois de plusieurs centaines de francs ; et monsieur Blaise m’avait menacé de me placer à l’arrière pour des travaux de tri et d’activités ne nécessitant pas de manipuler de l’argent et cela selon un horaire de travail qui ne me convenait pas du tout – de midi à 19h tous les jours sauf le samedi…

    D’autre part depuis déjà plusieurs années à l’époque, de 1984 à 1989, périodiquement losqu’il y avait des formations – à Saint Dié ou à Epinal ou même Nancy, je me portais toujours volontaire « parce que ça me changeait de la routine quotidienne du guichet et des services du courrier et de la cabine financière » … C’est ainsi que peu à peu j’avais fini par acquérir quelques compétences en matière d’opérations financières « spéciales » (Assurance vie épargne, actions, obligations, produits financiers, placements) et de « développement commercial » de la poste qui, à cette époque « essayait de singer les banques » question « placements » (rire)…

    Ce monsieur Blaise, notre Nième Receveur depuis 1976 était un homme corpulent, peu sympathique, « à cheval sur la qualité du tri notamment des paquets » (il effectuait ponctuellement des vérifications dans les sacs postaux du départ du soir)… Personne ne pouvait le « piffer », je lui avais donné pour surnom « Firmin le Bougon »…

    Néanmoins Glath, l’inspecteur « avait eu une idée géniale » à laquelle Blaise avait tout de suite adhéré : pour être sûr que j’accepte d’être conseiller financier- à l’époque il faut dire que ce n’était pas, ce poste, à temps complet toute la journée mais seulement 3h par jour – il avait été décidé que ma prise de service serait à 6h 15 tous les matins, que jusqu’à 8h 30 je participais aux travaux liés au courrier – arrivée des sacs, tri et inscription des recommandés, ou distribution et tenue des boîtes postales avec livraison des colis aux clients des boîtes postales venant récupérer leur courrier – et, que de 9h jusqu’à 13h, je faisais conseiller financier soit en tournée avec des facteurs soit en recevant des clients dans mon bureau … Sur la feuille de présence c’était marqué « Guy Sembic COFI 6h 15-13h… et après 13h « activités extérieures » (lesquelles activités étant alors à l’époque « tout à fait exceptionnelles »… De telle sorte que j’avais tous mes après-midi libres – ce qui me convenait au mieux…

    Fini la hantise des erreurs de caisse autant pour moi que pour monsieur Blaise, et il faut dire aussi que durant les premières années – jusque 1993 et même 1994 – le « boulot » m’enchantait parce que je « voyais du monde, je partais certains jours avec un facteur, je me rendais chez des gens qui « me faisaient (certains et certaines) des confidences…

     

    Les deux dernières années au guichet, ça avait été la galère : pas une seule semaine sans une grosse erreur de caisse ( un long temps de vérification et de recherche à chaque fois) … On tolérait 5 francs d’erreur de caisse – en excédent ou en déficit – et quand j’avais entre 10 et 50 francs d’erreur je « trafiquais la sous caisse » (c’est à dire que je m’arrangeais pour que le sous total des opérations de guichet en fin de vacation corresponde au total de la sous-caisse : pour cela il me suffisait par exemple d’inscrire tel nombre « arrangé » de tels timbres dans la sous-caisse afin que « ça tombe à peu près pile » )…

    Sauf que, y avait le risque qu’un jour ou l’autre, débarque la « Das Reich » (l’équipe des inspecteurs chargés de vérifier les comptes des bureaux)… Et la « Das Reich » épluchait en détail toutes les sous-caisses… On avait chacun la nôtre, identifiée et personnalisée par un « petit insecte règlementaire » (l’expression est de moi) inséré dans un boîtier de fermeturte de la sous-caisse (l’ »insecte » étant un bout de plastique blanc avec au bout 2 crochets sur lequel on voyait inscrit un nombre de 4 chiffres rouges)…

    Par chance j’ai jamais eu la « Das Reich » pour vérifier ma sous-caisse…

     

    Après Blaise on a eu Soyeux qui lui, détestait que je circule en vélo pour me rendre au bureau ou rendre visite à domicile à mes clients… Je désobéïssais, plaçant ma sacoche de conseiller sur le porte bagage du vélo, avec des pinces au pantalon, empruntant depuis chez moi des parcours détournés à travers la forêt et la montagne sur 10 kilomètres, et, arrivé à Bruyères je passais par des arrières de la ville de chemins étroits,puis garais mon vélo accroché à un lampadaire dans un recoin isolé… Et arrivais « frais comme un gardon » à la Poste (rire)…

    Et quand y’avait des formations et des réunions à Epinal ou à Saint Dié, je m’y rendais en vélo trente kilomètres aller et autant retour…

     

    C’était pas un cadeau ce Soyeux ! « très système/système » qu’il était ! Il avait été hyper furax quand j’ai participé à la grande grève des postiers des Vosges en 1995 et que pour finir après trois semaines de grève j’étais de tous les postiers du secteur de Bruyères, avec un autre aussi déterminé que moi, le seul à être encore en grève… « Tu te rends pas compte, Guy, qu’est-ce qu’ils vont penser tes clients ? » qu’il me martelait le Soyeux !

     

    Je faisais surtout des ouvertures de compte, CCP livrets Epargne Logement Livret Populaire, et à la limite des placements Assurance vie épargne « des plus sûrs » - quoique j’invitais à bien lire dans le détail les notices et en expliquant les « sous -entendus » ainsi que « ce qu’il fallait lire entre les lignes » … Et en ce sens j’étais « très bon » en encours et fidélisation de la clientèle…

    Mais en revanche en ce qui concernait les « produits » financiers et de placement des « campagnes Harpon » là, mes résultats étaient loin d’être « probants » et même parfois « assez médiocres » (je me foutais royalement du « commissionnement » qui était la priorité de certains de mes autres collègues conseillers du Groupement)…

    Parfois il m’arrivait de « faire venir à la Poste » des fidèles de banques, à réussir à leur faire prendre un compte à la Poste… Et j’avais, à proximité de mon bureau -vitré- à chacun des 2 guichets, mes « deux petites fées » Marie José et Françoise que j’adorais…