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Journal - Page 94

  • Un cauchemar récurrent

    C’est celui où je me trouve, lors d’une longue randonnée à pied dans une région très aride et de haute montagne, dans une situation m’obligeant à parcourir une distance de l’ordre de plusieurs kilomètres, le long d’un flanc rocheux de montagne, alors que le passage permet à peine de poser un pied devant l’autre.

    Le flanc de la montagne est d’une hauteur vertigineuse et vers le bas, la profondeur est insondable.

     

    Par endroits, sur environ un, voire deux ou trois mètres, le passage devient aussi étroit que la moitié de la largeur du pied, de telle sorte, que je peine à me maintenir en équilibre, risquant fort de tomber dans le ravin d’une profondeur insondable.

    Il me faut, mètre après mètre en situation de « funambule équilibriste » pouvoir encore m’accrocher aux aspérités de la roche, il y a en effet assez souvent et « heureusement si l’on veut », des arrêtes, des saillies, des excroissances rocheuses dans la paroi quasi verticale, qui permettent à mes mains de s’accrocher à peu près fermement…

     

    Mais il y a forcément un endroit, lors du parcours interminable, où la paroi rocheuse est trop lisse, et où le passage est encore plus étroit que de la moitié de la largeur du pied…

    En général, c’est à ce moment là, du passage le plus périlleux, le plus quasi impossible à franchir, que je me réveille… Mais encore durant un bon moment sous le coup d’une grande peur et angoisse…

     

    Il existe plusieurs variantes de ce cauchemar :

    Le même mais avec un autre promeneur randonneur équilibriste venant à ma rencontre et que je dois forcément à un moment ou un autre, avoir en face de moi…

    Encore le même, sauf que cette fois, le passage est « un peu plus large » voire aussi large qu’une petite route de montagne à flanc de paroi avec un grand ravin en dessous, et que je suis en vélo ou en voiture… (Et avec la rencontre de quelqu’un d’autre arrivant en sens inverse)…

     

    Enfin il y a aussi cette version là :

    Celle de la façade arrière sans fenêtres d’un gratte-ciel aussi haut qu’une montagne des Alpes ou de l’Himalaya, et aussi large qu’une grande barre d’HLM, avec vers le bas un ravin insondable – ou une surface océanique (à au moins 3000 mètres en bas) … Je suis alors, je ne sais comment, prisonnier dans un renforcement de la taille d’une fausse fenêtre, ne pouvant pas me mettre debout dans le renforcement, ne pouvant pas non plus me mettre en position allongée, ne pouvant qu’être assis les jambes pendantes dans le vide, sur le rebord du renforcement…

    Il ne me reste alors que deux seules possibilités : soit me jeter dans le vide, soit demeurer assis sur le rebord mais en étant sûr de mourir de faim, de soif, d’épuisement et donc, de finir par tomber dans le vide…

     

     

  • Qu'est-ce que la Palestine ?

    Si « historiquement parlant » - on va dire jusqu’en 1947 – la Palestine « de toujours » c’est :

    Safad – Acra – Haïfa – Nazareth – Jenin – Tulkram – Nablus – Jaffa – Al Ramia – Ramalah – Jerusalem – Hebron – Gaza -Beersjeba (en tant que territoires géographiques et de populations d’origine cananéennes – pays de Canaan de la Bible)

    Alors… Alors alors… Les Juifs de la Bible auxquels Moïse après 40 ans d’errance suite à la fuite d’Égypte de Pharaon, avait promis une terre, et qui furent expulsés et dispersés… Où auraient-ils pu se fixer, s’établir, au Moyen Orient, si en 1948 il n’y avait pas eu ce traité de l’ONU qui leur attribuait un pays avec des frontières ?

    Et que fallait-il faire de tous ces territoires qui constituaient depuis des millénaires, la Palestine « de toujours » ?

     

    Les Juifs de Moïse quand ils sont arrivés en Palestine, la Palestine de l’époque qui est restée Palestine jusqu’en 1947, se sont donc installés à l’époque, dans un territoire où vivaient les Cananéens (les palestiniens de l’époque), se sont mélangés pour ainsi dire avec les populations locales, de telle sorte qu’ils ont fini par être tous, juifs et cananéens, un même peuple… Rappelons d’autre part que, du temps de l’Égypte des Pharaons, les juifs n’étaient autres que des Hébreux , réduits en esclavage suite aux conquêtes des Pharaons jusqu’aux frontières de l’Empire des Hittites (anatolie turquie ancienne) et qu’avant la conquête de la Palestine par les pharaons, les hébreux coexistaient avec les cananéens… Qu’ils ont retrouvé comme voisins, revenus en Palestine conduits par Moïse…

     

    Les langues Hébraïque et Arabe sont issues de l’Araméen, lequel Araméen est issu de l’Accadien (la langue parlée et écrite du monde Egéen de cinq empires – Mycénien, Hittite – Egyptien – Mitanni- Babylonien entre -3000 et – 1200)…

    En quelque sorte, le Traité de l’ONU de 1947 a comme « effacé de la carte » la Palestine « de toujours » (qui du temps de l’empire Egyptien du monde Egéen, était intégrée à l’Egypte – et que les Hittites auraient pu d’ailleurs conquérir s’ils n’avaient été vaincus par les armées de Pharaon)…

     

    La « grande erreur » du traité de 1947 c’est d’avoir (peut-être par « bonne volonté réelle » créé un état Israélien après la seconde guerre mondiale qui avait vu l’extermination des Juifs) mais sans avoir considéré l’existence millénaire de la Palestine…

     

     

     

  • Des croyants peuvent être pour moi des amis, mais à condition que ...

    Si des croyants – des catholiques, des Chrétiens, des musulmans ou d’autres de diverses religions même s’ils sont pour certains d’entre eux des pratiquants c’est à dire se rendant régulièrement en leurs lieux de culte et « faisant la prière à table »… Peuvent être pour moi des amis, de « vrais amis » même… Ils ne sont, oui, pour moi des amis, QUE dans la mesure où ils ne nient pas les dinosaures et Néandertal, où ils ne doutent pas des vérités et réalités scientifiques de base, où ils ne remettent pas en cause les découvertes fondamentales de la Science, où ils reconnaissent les ères géologiques, l’histoire de la Terre telle que les scientifiques l’expliquent, la présentent…

    Un croyant qui me dit « la Terre a six mille ans, la femme a été créée à partir d’une côte d’Adam » ne peut pas être mon ami…

    Le même croyant qui, ayant pourtant été à l’école, au collège, au lycée et jusqu’en Fac, me dit «  je m’en tiens à ce qui m’a été expliqué par mes parents catholiques pratiquants quand j’étais gosse au sujet de la création du monde et de l’origine divine de l’Homme » (tout cela dans un contexte d’éducation religieuse, de cathéchisme)… Ne peut non plus être pour moi un ami… Et, si c’est quelqu’un de ma famille dans ma relation avec ce quelqu’un, il y aura toujours entre lui et moi, une « pierre d’achoppement »…

     

    Déjà, quand on me connaît, « avoir les dinosaures en horreur » et « ne pas vouloir entendre parler de Néandertal, des galaxies, du cosmos » ça favorise pas le dialogue et ça me fait prendre conscience d’un fossé infranchissable sur le plan culturel, entre cette personne réfractaire aux dinosaures et à Néandertal, et moi…

     

    « C’est pas que je me sente supérieur – intellectuellement parlant – du fait de mes « quelques connaissances scientifiques »… Mais – tout de même je le reconnais – je trouve les réfractaires aux dinosaures et à Néandertal, et les « avalants » que la Terre a six mille ans et non quatre milliards d’années – avec en plus l’histoire de la côte d’Adam pour faire la femme… « Un peu demeurés sur les bords » ! … Et vous savez, quand vous me connaissez, l’obscurantisme religieux, l’occultisme, les diableries, les démons et sorciers, l’horoscope, le « para normal » et autres « conneries en tube » auxquelles tant de gens sur cette Terre croient encore, tout ça ce sont mes « bêtes noires » et je souhaite voir tout ça disparaître de la surface de la Terre, et de l’esprit des gens !

     

     

  • Ces "colons" Israéliens, qui sont-ils, d'où viennent-ils ?

    En ce qui concerne l’évolution des frontières et les plans de partage d’Israël et des pays Arabes au Moyen Orient, depuis les accords d’Oslo en 1947, et jusqu’en 1993 ;

    il faut se référer à l’Histoire, avec ce lien :

     

    https://www.lhistoire.fr/portfolio/israel-évolution-des-frontières-du-partage-de-lonu-aux-accords-doslo-1947-1993

     

    Selon ces différentes cartes l’on voit bien qu’il n’a jamais existé d’État Palestinien… À l’exception, depuis 1993, des territoires situés en Cisjordanie contrôlés par les Autorités Palestiniennes, ainsi que la bande de Gaza, elle aussi contrôlée par l’autorité palestinienne.

     

    De 1919 à 1947, ce qui allait être Israël en 1948, la Cisjordanie, la Jordanie, et une partie du Moyen Orient jusque dans la péninsule Arabique, tout cela se trouvait sous mandat Britannique ; le Liban et la Syrie sous mandat Français…

    Avant 1919 et depuis 1453, tous ces pays du Moyen Orient se trouvaient dans l’Empire Ottoman.

     

    Et du temps de l’Empire Ottoman et encore durant le temps du mandat britannique, les « colons » grands propriétaires exploitants de domaines de culture, étaient déjà implantés depuis plusieurs générations dans ces territoires que l’on dit être aujourd’hui « occupés » en dehors des frontières d’Israël.

    Ces « colons » pouvaient être, du temps de l’Empire Ottoman, aussi bien Juifs, que Chrétiens, qu’Orthodoxes, que Musulmans – en fait d’origines diverses… Ils n’ont jamais été, ces « colons » des rescapés des camps d’extermination nazis, ni leurs descendants actuels…

     

    Donc, dans ces « colonies » qui « posent problème » depuis 1948, il n’y a pas de rescapés de camps nazis ni de leurs descendants qui eux, comme d’autres Juifs disséminés, de la « Diaspora » dans le monde, venus s’intaller en Israël, ont fondé des « kibboutz » à l’intérieur des frontières d’Israël…

    De cela, de ce que je dis là, personne n’en parle… Tous les défenseurs de la cause Palestinienne, qui manifestent, protestent, soutiennent le combat du peuple palestinien pour le droit à un pays ; pensent tous, dans un « à priori » devenu « fait acquit et « entré dans les mœurs », que les « colons » sont tous des Juifs propriétaires exploitants possédants, spoliateurs de terres et de richesses en dehors des frontières, ce qui, évidemment « fédère » les défenseurs de la cause palestinienne et, par extension, leur fait hair les Juifs…

     

    Mon analyse et mon raisonnement « tiennent la route »… Si quelqu’un peut me proposer une autre analyse, une autre explication, au sujet de ces « colons » - et de l’occultation au traité de 1947, de l’existence d’un état palestinien, qu’il se manifeste, qu’il me fasse part de son analyse !

     

     

  • Littérature de Science-Fiction

    En matière de Science – Fiction en littérature, roman ( l’on dit plutôt « anticipation » ou encore « fantasy »… Lorsque je lis cette phrase – dans les deux ou trois premiers chapitres du livre – à propos du personnage principal qui accomplit sur une planète lointaine – de type « terrestre » et habitée d’êtres « humanoides »- un long déplacement ou voyage à travers toutes sortes de « paysages »… Cette phrase donc « Au milieu du jour le « soleil » (l’équivalent de notre soleil) se trouve situé à la verticale (au zénith)... »

    Alors, je m’arrête là, je ne vais pas plus loin dans ma lecture, j’abandonne…

     

    Il me paraît évident que, pour un lecteur de romans de Science – Fiction qui « aurait en matière d’astronomie (et de géographie physique) » au moins « des connaissances élémentaires de base », aurait en conséquence présent à l’esprit que, sur n’importe quelle planète dans n’importe quel système stellaire, galaxie, de type « terrestre », la sphéricité de la planète impliquerait que « le soleil » à la verticale, suggérerait forcément que le voyageur personnage principal, se déplacerait « dans la région équatoriale de la planète »…

    Or, à la lecture de cette phrase « le soleil se trouve à la verticale au milieu du jour » (comme si, partout sur la planète le « soleil » se trouverait « au dessus de la tête » au milieu du jour)… C’est, pour qui a au moins quelques notions de base en matière d’astronomie et de géographie physique, « un peu dur à avaler » - autrement dit « simpliste, réducteur et idiot, « complètement débile » !

     

    Il est vrai que bon nombre de lecteurs de romans de science – fiction (ou anticipation ou fantasy) se foutent de réalité astronomique, n’ont aucunement à l’esprit les lois qui régissent l’univers, et ne s’intéressent qu’au caractère purement fantastique, imaginaire, de l’histoire racontée où apparaissent des personnages mystérieux, dotés de pouvoirs extraordinaires, où magie, sorcellerie, guerres spatiales, démons, animaux monstrueux, végétation étrange, etc. … Constituent la trame, l’essentiel du roman… Sans compter ces « grands vaisseaux spatiaux » de formes et de structures bizarres qui, dans un « hyper espace » se déplacent sur d’incommensurables distances vers des « confédérations de planètes » dans un « empire galactique »…

     

    « De la science – fiction de cet acabit, je trouve ça complètement débile ! »… Aussi, les seuls romans de science -fiction qui me semblent « acceptables », à la limite, sont ceux par exemple, d’un auteur tel qu’Isaac Azimov…

     

    C’est la raison pour laquelle je lis peu de romans de science – fiction, car à mon sens, il faut tout de même dans le livre, dans l’histoire, qu’il y ait « un minimum de crédibilité » et, tout au moins « une base scientifique de réalités étudiées, découvertes (et non pas des « idioties », de la « magie » des « pouvoirs extraordinaires », des choses trop irréelles et purement imaginaires totalement éloignées de la réalité scientifique)…