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Journal - Page 91

  • La démocratie est-elle en danger, mais surtout par qui et par quoi est-elle en danger ?

    Michel Onfray : « On ne peut pas continuer à dire que Marine Le Pen est un danger pour la démocratie »…

     

    En « assez probable vérité », Marine Le Pen et son parti le Rassemblement National, sont vus par leurs opposants comme un danger pour la démocratie… Mais de quels opposants s’agit-il sinon d’opposants « de longue date » ?

     

    Rappelons qu’au printemps de 1968 s’est formé, faisant suite à des mouvements d’extrême droite issus des années 1930, un parti « Occident » dont le symbole était une croix celtique et qui a été dissous le 1er novembre 1968… Mais qui s’est reformé sous la dénomination de « Ordre Nouveau » dont le symbole était un cercle avec une croix, en 1969…

    Et en 1972 « Ordre Nouveau » est devenu « Front National » jusqu’en 2017 où il devint « Rassemblement National » avec pour symbole une flamme bleu-blanc-rouge.

    Au travers de ces dénominations – impliquant des orientations et des politiques définies – que furent Ordre Nouveau et Front National et qu’est aujourd’hui Rassemblement National, l’on assiste à une « évolution » si l’on peut dire, qui – dans une certaine mesure » cesse de susciter de la crainte à une partie des électeurs (une partie plus importante notamment depuis 2017)…

     

    En réalité la démocratie n’est en danger – de disparaître totalement – qu’avec le développement et l’implantation dans les sociétés dites « occidentales » ainsi que dans les sociétés « autres qu’occidentales », du fondamentalisme Islamiste radicalisé du Djihad et de la Charia, et cela depuis 2014 avec l’état islamique califat de Daesh en Irak Syrie capitale Mossoul, et ses groupes et cellules et formations de combattants faisant allégeance à l’État Islamique en Afrique sub-saharienne, Lybie et pays du Moyen Orient, Tchétchénie, Asie centrale, pays de l’Union Européenne…

     

    Les autres fondamentalismes religieux tels que par exemple le catholiscisme intégriste ne sont que des mouvements, aussi implantés et influents qu’ils soient, qui demeurent minoritaires et ne menacent pas réellement la démocratie…

     

    Hors fondamentalisme Islamiste, la démocratie est « encadrée, dirigée, orientée, soumise aux lois du marché et à la consommation de masse, aux décideurs économiques, aux puissances d’argent, aux lobbies et grands groupes industriels agro-alimentaires et pharmaceutiques ; ainsi qu’aux systèmes de contrôles et de surveillance, de robotique, de numérisation, intelligence artificielle, exploitation de données, technologies de l’information et de la communication, médias…

     

    Le Rassemblement National à la différence d’autres partis soit « plus modérés » ou « de gauche » ou de « de droite et centre traditionnel » ; renforce l’encadrement, le dirigisme, l’autorité de l’état… Et pérénise encore davantage la domination des puissances d’argent, des lobbies, des décideurs en laissant croire aux peuples qu’il œuvre (le Rassemblement National) « pour son bien, pour une meilleure reconnaissance des gens modestes, honnêtes et travailleurs, pour sa sécurité, pour restaurer des valeurs, etc. »…

     

    Le vrai et réel danger pour la démocratie, surtout depuis 2014, c’est le fondamentalisme islamiste radical djihadiste implanté dans les sociétés occidentalisées (et dans les pays arabes et d’asie centrale et africains)…

     

    Combattre le système économique (loi du marché, puissances d’argent, décideurs, dominants, milliardaires, possédants, consommation de masse) actuel tel qu’il est devenu et s’est imposé sur toute la planète… C’est difficile, de plus en plus difficile… Mais pas totalement impossible, du fait du pouvoir que représente et possède potentiellement, un immense ensemble de centaines de millions de gens dans le monde…

    En revanche combattre et détruire le fondamentalisme islamiste, ça c’est « une autre affaire » et ça demande une mobilisation du plus grand nombre autre que celle à la quelle on assiste et qui « fait la part belle » au fondamentalisme islamiste…

     

     

  • Tchétchènes en France

    Les migrants Tchétchènes, ainsi que les Tchétchènes résidant en France depuis plusieurs années, dont ceux d’entre eux qui, probablement sont en situation irrégulière sur le territoire Français…

    Sont-ils les « bienvenus » dans notre pays ? Vu le contexte de l’actualité des attentats islamistes (Samuel Paty le 16 octobre 2020 et Dominique Bernard le 13 octobre 2023 ayant été assassinés par des Tchétchènes)…

     

    Je pense à ces associations humanitaires soucieuses de l’accueil des migrants, à certains partis de Gauche tout aussi soucieux du sort des migrants – qui sans doute « ne font pas de différence » entre les migrants « général » (que sont ceux venus du Moyen Orient, d’Afrique, d’Afghanistan) et les Tchétchènes en particulier…

    Certes, les Tchétchènes dans l’Histoire, sont « un peuple martyr, plusieurs fois déraciné et déporté » - du temps de l’URSS notamment – mais l’Histoire, aussi dramatique qu’elle ait pu être pour certains peuples persécutés, « n’excuse pas tout » !

     

    Deux cents Tchétchènes sont actuellement regroupés à Évreux (j’imagine l’inquiétude des habitants d’ Évreux, de cette « présence » en leur ville, de migrants venus de Tchétchénie)…

    Les Tchétchènes seraient entre 20 et 60 mille en France, de nos jours… Près des trois quarts d’entre eux proviennent du Caucase du Nord, revendiquant des liens avec des combattants, proches du fondamentalisme islamiste et contestant nos valeurs républicaines de démocratie, de liberté, ainsi d’ailleurs que l’Occidentalisme et sa culture qu’ils rejettent…

     

    Il est certain, « sûr et certain » que je n’accueillerais pas dans mon jardin, des migrants Tchéchènes sous des tentes et avec accès à l’eau du robinet extérieur à la maison !

    S’il l’on parle à propos de migrants « d’indésirables » c’est bien des Tchéchènes qu’il s’agit… D’ailleurs l’Armée Russe de Vladimir Poutine en a recruté des bataillons de centaines voire de milliers d’entre eux contre l’Ukraine…

    Tous hors de France ! Aucune mansuétude à leur égard ! Que les associations humanitaires et les partis de Gauche arrêtent de nous bassiner avec des photos, des vidéos, de gosses tchéchènes en grande détresse, ou périssant dans le voyage en passant par la méditéranée (« de la graine d’islamistes combattants, assassins ou « au moins pire » qui, adolescents seront des collégiens violents, insolants, irrespecteux et contestataires, puis adultes des délinquants, des trafiquants de drogue, des incendiaires, des casseurs, des voyous)…

     

    A-t-on jamais vu dans l’Histoire – passée et récente – des intellectuels, des artistes, des écrivains, des savants Tchétchènes ? (J’attends que l’un d’entre vous m’établisse une liste de « brillants Tchétchènes)…

    Ces gens là n’ont rien, rien de rien à nous apporter !

    Est-ce que des Globe-Trotters particulièrement aventureux et intrépides, de grands marcheurs, autostoppeurs ou cyclotouristes avec équipement adéquat du « Vieux Campeur » ont séjourné en Tchétchénie par le passé ou récemment ? J’aimerais bien connaître leur expérience, si tant est qu’il y en ait eu vraiment, en Tchétchénie, de ces globe-trotters aventureux et intrépides « rompus aux situations les plus difficiles » !

     

    En 1994 et en 1999 lors des deux guerres menées par la fédération de Russie contre les Tchétchènes, toute la communauté internationale s’offusquait de ces massacres, bombardements et destruction quasi totale de Grosny… Et tout comme la majorité de mes concitoyens Français, à l’époque, je déplorais ces massaces, ces bombardements, Grosny rasé, tous ces morts…

    Et le fait que les Tchétchènes étaient musulmans « n’entrait pas en ligne de compte » à l’époque… Alors qu’en 2023, oui archi oui…

    Ce qu’il y a de sûr, c’est que tous les Tchétchènes massacrés dans les bombardements à Grosny, n’ont pu engendrer de descendants, leurs enfants ayant été tués, et que cela a fait un certain nombre de futurs assassins, terroristes, fanatiques islamistes et ennemis de la France, en moins !

    Que n’eussent-ils été à l’époque, par les Russes, totalement éliminés !

     

    Parmi les vingt ou soixante mille Tchétchènes actuellement sur le territoire Français, bon nombre d’entre eux sont issus des réfugiés des deux guerres de 1994 et 1999, originaires de ces régions du Caucase, tès attachés à leurs traditions de guerriers, de combattants, à leur identité, à leur culture « essentiellement assise sur selle et à cheval », musulmans purs et durs qu’ils sont, vomissant de toute leur âme : et la Russie, et l’Europe, et la France, et l’Occident, et nos démocraties, nos régimes républicains, nos valeurs, nos droits de l’homme, notre culture… Alors que, pourtant, depuis 1994 que certains d’entre eux vivent en France, ils bénéficient de notre régime de protection sociale, et sont des consommateurs eux aussi, de produits qu’ils achètent dans les GIFI, Farfouille, supermarché, galeries marchandes ; et que leurs enfants vont dans nos écoles (et, qu’au nom de la « culture de la diversité » et d’une « pluralité humaniste et de tolérance et de considération de l’autre », il faut accueillir, accepter leur différence, leur religion, etc. )…

     

    Le résultat de tout ça c’est – entre autres attentats terroristes, agressions, atteintes à nos valeurs de laïcté, de liberté, de démocratie, viols, délinquance organisée, communautarisme exarcerbé – l’assassinat de Samuel Paty et de Dominique Bernard, deux professeurs, et de tous ces ados qui dans nos collèges, contestent, insultent, tous issus de ces communautés de Tchétchènes et autres dont nous devons subir la présence…

     

     

  • Ce qui différencie l'humain des autres êtres vivants

    L’homme – l’être humain – est le seul être vivant sur notre planète, à ne pas possèder « une science – une sorte de science – innée (un instinct naturel et intemporel) de l’environnement qui l’entoure, de l’univers en quelque sorte, alors que tous les autres êtres vivants ont cette « science innée » en eux ; le comportement de toute « créature » vivante étant spécifique de sa structure, de sa forme, de quoi et de comment il est composé, dans un nombre et dans une diversité immenses, selon une articulation, des règles de fonctionnement, d’une infinie complexité… La vie étant partie à l’origine, il y a 3,7 milliards d’années sur notre planète, d’éléments de base assemblés en structures très simples, puis d’assemblage en assemblage, d’association en association et en « dérivations » et ramifications, s’est complexifiée…

     

    Tous les animaux, les insectes, les oiseaux, les poissons, s’orientent avec une précision étonnante à nos yeux d’humains, alors même qu’ils ignorent tout de ce qu’ils sont eux-mêmes chacun d’entre eux, et du milieu dans lequel ils vivent…

    C’est à dire qu’ils « ignorent tout » mais qu’en fait ils « savent d’instinct » alors que l’être humain lui, quand il vient au monde, doit apprendre et ainsi peu à peu lors des premiers temps de son existence, faire connaissance avec ce qui l’entoure (les choses et les êtres)…

     

    Si l’on considère la vie, l’existence et l’organisation de la vie dans son ensemble, sur notre planète, comme étant une sorte d’intelligence (« d’énergie vivante »), comme si cette intelligence était « un être Tout » ; c’est comme si cet « être Tout » avait « décidé » que la vie pour s’introduire et évoluer, « choisi » deux « procédés » complètement différents : l’un celui de l’instinct ou de la science innée, commun à tous les êtres vivants autres que l’humain ; et l’autre celui de l’intelligence et de la volonté, de la pensée, du raisonnement, de la connaissance et de l’expérience acquises, spécifique, uniquement spécifique à l’humain…

     

    Il a bien fallu qu’il y a un peu plus de sept millions d’années, « un beau jour » - ou plus exactement en une période de « transition » d’au minimum plusieurs millénaires ou dizaines de millénaires, que la « différentiation » se fasse entre d’une part tout ce qui devait demeurer purement animal (mammifères dont les primates, poissons, oiseaux, insectes, reptiles), et d’autre part, l’humain…

    À noter que cette différenciation ne s’est pas opérée dès même l’origine de la vie mais seulement lorsqu’il existait en suffisance, une grande diversité d’espèces ; cette différenciation n’étant donc pas possible à l’origine puisque les premiers organismes vivants étaient alors peu diversifiés et de structure basique très simple…

     

    Les premiers australopithèques étaient déjà des humains, et bien que n’ayant ni langage ni en conséquence de pensée, ils étaient en capacité d’appréhender et en quelque sorte de « déduire » - ce qui d’ailleurs, appréhender et déduire, n’est pas spécifique au seul humain mais à des organismes vivants déjà bien développés tels que par exemple, les primates, les singes, ainsi que d’autres mammifères…

     

    Le langage articulé n’existe que chez l’humain – à la limite le perroquet dit « parleur » mais cela tient, comme pour l’humain, à une configuration particulière des cordes vocales au niveau du larynx…

    Du langage articulé découle la pensée qui est en fait un langage articulé non prononcé ayant un siège dans le cerveau (un ensemble de connexions de neurones)…

    Les autres êtres vivants – par exemple les fourmis, les abeilles, les chauve-souris, les oiseaux, les insectes (coléoptères et autres) « communiquent » par ultra sons, ondes, phéromones, odeurs, se transmettant ainsi des « informations »… Et réagissent, établissent des relations avec les autres êtres vivants (d’opposition, de symbiose, d’association, de complémentarité) , appréhendent par leurs sens (vue, ouie, odorat) et par leur « science innée », par leur instinct naturel, tout cela en fonction des caractéristiques et des composantes qui sont celles de leur espèce, de leur appartenance à un genre dans l’espèce…

    L’humain qui lui, n’a pas cette « science innée » (ou cette « connaissance déjà naturellement acquise instinctivement) doit nécessairement avoir recours à son intelligence, à sa faculté d’anticiper, de prévoir, d’analyser, de penser, de concevoir, de créer, de fabriquer…

    À noter que l’homme de Néandertal, qui coexistait avec Sapiens/sapiens, en Eurasie, entre – en gros – moins 120 000 et moins 30 000, avait lui, du fait de la structure de son cerveau (une zone située à l’arrière), en partie cette « science innée » que n’avait pas Sapiens (dont le lobe frontal du cerveau est le siège de ce qui caractérise l’intelligence humaine (faculté de concevoir, de créer, de prévoir, d’analyser, en somme de penser et de raisonner – ce qui facilite l’adaptation à l’environnement en évolution)… Néandertal ayant donc d’une part une zone du cerveau siège de la « science innée » et en même temps d’autre part, mais moins développé que chez Sapiens, dans le lobe frontal réduit, le siège de l’intelligence comme son « cousin » Sapiens… (en revanche Sapiens n’avait plus ou presque plus dans la zone arrière de son cerveau, ce siège de la « science innée »)…

     

    Tout cela dit, cependant, si tu places devant un cheval, un écran blanc sur lequel tu projettes un film de bataille napoléonienne où l’on voit des grognards mutilés en retraite de Russie par moins trente degrés celsius, touiller dans le ventre ouvert d’une jument ou d’un étalon mort pour extraire le foie et le cœur, il est certain que le cheval de « Ous’pins » (La « dadaderie du coin ») regardera d’un « œil placide » la scène, cette scène n’éveillant en rien quelque souvenir historique qu’il ne peut avoir…

     

     

  • Hubert Reeves

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    Né le 13 juillet 1932, disparu le 13 octobre 2023 jour de l’assassinat de Dominique Bernard…

     

     

    Ce scientifique des secrets de l’univers, m’illumine – et me nourrit – bien davantage de lumière que ne le ferait le Christianisme ou l’Islam…

    À vrai dire les religions, notamment dans leur fanatisme et dans « l’explication » qu’elles donnent de l’origine du monde et de l’univers, jettent dans les yeux, « de la merde » ! Pas de la lumière !

    Et, comme si la merde dans les yeux ne suffisait pas, il faut encore que les religions fassent couler le sang des femmes, des enfants et des hommes, dans des guerres depuis deux mille ans…

    Le tout dernier livre, entre plusieurs autres, que j’ai lu, d’Hubert Reeves, c’est : « Je n’aurai pas le temps » [ Éditions du Seuil, avril 2008 ]

     

  • "Ça" et "ça" ...

    « Ça » c’est l’Islam fondamentaliste, radical et djihadiste qui ne t’« offre » que deux alternatives : te convertir ou être éliminé (tué)…

    La conversion devant être totale, absolue et sans restriction en regard de ce que prescrit la « doctrine » et d’un mode de vie au quotidien imposé et soumis à l’investigation d’une « police islamique »…

    C’est un « projet de société » dans lequel n’entre ni la liberté ni la démocratie, et qui doit s’imposer partout dans le monde en s’étendant sans cesse, toujours plus loin, comme ce fut le cas aux 7ème et 8ème siècles après l’an 622 et le prophète Mahomet…

    C’est la négation totale et absolue de l’Histoire, de la Culture, des Arts, de la Littérature, de la Musique – à l’exception de « louer Dieu (Allah)…

    C’est un « prononciamento », radical et définitif contre les écrivains, les artistes, les poètes, les musiciens – à l’exception de ceux d’entre eux qui « louent la grandeur d’Allah »…

    C’est la femme voilée dont on discerne à peine le visage, soumise à l’homme, recluse à la maison et au service domestique, sans aucun statut social, sans accès à l’éducation…

    En un mot c’est la « Charia » (la Loi de Dieu) et en conséquence la négation de toute autorité civile, de tout gouvernement dissocié de la religion…

     

    ... »ça » c’est la civilisation « occidentalisée consumériste individualiste, avec les riches et les pauvres, les inégalités sociales, les milliardaires, les actionnaires, les lobbies… Mais reconnaissons le – du moins pour un certain nombre de pays du monde occidental- avec « de la démocratie et de la liberté » (ou ce qui y ressemble « à peu près »)…

     

    « Ça » se sert de « ça » pour rallier des adeptes, prétextant que « ça » « pourrit le monde »…

    Je n’accepte pas d’entrer dans « ce jeu là »…

    Je combats « Ça » et « ça », mais je combats « d’abord » « Ça »…

    Et, plutôt que de voir « Ça » dominer le monde, je préfère mourir car la vie avec « Ça » ne vaut plus la peine d’être vécue, enfer qu’elle serait – ce qui est pire que de mourir…

    Il n’y a donc qu’une – une seule et unique et nécessaire alternative : résister, combattre… Tout comme l’on a combattu, contre le nazisme entre 1940 et 1944, notamment le 6 juin 1944 sur les plages du Débarquement…

     

    En face de « Ça », confronté à « Ça », il n’y a pas de « pacifisme possible », pas de « négociation possible »…

    Ceux et celles qui « envisagent » de « parler à « Ça » ou d’« apaiser » sont – qu’ils le veuillent ou non- les auxiliaires – indirects si l’on veut – de « Ça »…

    Et dans le « projet » les auxilliaires tout comme les « infidèles ou mécréants ou athées » seront eux aussi éliminés…