… Avec le décalage horaire – sur la base de l’heure GMT qui est en fait l’heure universelle ou « solaire » (naturelle), à New York quand il sera midi à Paris (12h GMT) les horloges New-Yorkaises indiqueront 6h GMT… Mais à Paris avec « l’heure d’hiver » qui est GMT+1, c’est à dire 13h à midi, à New York il sera 7h (GMT+1) heure de Paris…
Et à San Fransisco ou à Los Angelès, à 13h heure de Paris à Paris il sera 4h de la nuit heure de Paris GMT+1…
Les bureaux de vote pour l’élection américaine pour les gens qui votent avec des listes papier, ouvriront à New York à 8h GMT soit pour nous Français 9h, puisqu’en Amérique l’heure officielle c’est l’heure GMT c’est à dire ni GMT+1 heure d’hiver en France, ni GMT+2 heure d’été en France…
Avec les six heures de décalage cela donne à Paris 15h pour l’ouverture des bureaux de vote à New York.
Mettons que les bureaux de vote ferment à 19h heure en Amérique (à New York) soit 1h du matin (le 6 novembre) heure de France… Et en conséquence, à Los Angelès et à San Fransisco, 4h du matin le 6 novembre heure de France…
Donc nous ne saurons rien de décisif (ou d’à peu près décisif), de l’élection américaine du 5 novembre 2024 Harris-Trump, avant 5h du matin, sinon 6h ou 7h… Le 6 novembre…
Cela dit, l’image de la famille américaine (étasunienne) « modèle » ou « faisant référence » (celle que l’on voit, évoquée, dans les grands succès hollywoodiens de cinéma à grand spectacle « mythiques ») : famille chrétienne, qui prie à table à chaque repas, qui va dans les églises le dimanche, qui envoie ses enfants dans les « bonnes écoles » exigeant pour les parents de gros sacrifices financiers… Cette image là me gêne… Parce qu’elle renvoie à chaque élection à un vote pour le candidat républicain, conservateur, pour Dieu/pour l’Amérique…
Aux USA « on met Dieu partout » et dans les tribunaux on fait jurer sur la Bible… Et toutes ces confessions, ces églises baptistes, méthodistes, évangélistes, toutes fréquentées le dimanche par autant de gens, de familles… Sans compter la « vie associative sur fond de religion » qui « soude la communauté des citoyens » localement… « Ça ne fait aucunement mon admiration loin s’en faut ! »
L’Américaine qui « m’interpelle » et à laquelle j’adhère « culturellement et idéologiquement et de mode de vie, ça serait plutôt celle de Californie (plutôt que celle du Wyoming ou du Montana des cow boys, des rodéos et des festibeuveries communautaires) ; celle des artsites, des « déjantés » (non violents), des écrivains, des musiciens de « musique qui zombe », des intellectuels « proches du commun des mortels », de l’ouverture d’esprit, de l’accueil, de l’intelligence dans la relation humaine, de la créativité, de l’imaginaire, de la solidarité, de la liberté… Enfin tout cela faisant défaut dans l’Amérique de Trump et de ses prédécesseurs républicains conservateurs genre « pour Dieu/pour l’Amérique »…
Cela dit, encore, chez les Démocrates, Dieu il est là aussi, peut-être pas de la même façon, mais il est bel et bien là !