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foudre

  • La foudre peut détruire une maison

    Un impact de foudre – parmi 200 autres aux alentours – fut la cause d’un incendie qui a détruit une maison à Saint Jean du Doigt dans le Finistère en Bretagne, récemment…

    Je me souviens d’un même orage d’une violence extrême, d’un impact de foudre qui avait entièrement détruit une maison dans un village Vosgien proche du village où je demeurais, dans les années 1990…

     

    La charge produite dans le bas du nuage (un cumulonimbus) par frottement entre des courants d’air vers le haut et les gouttes de pluie vers le bas, occasionnant une séparation des charges plus et moins, avec une différence de potentiel aussi brutale que rapide et importante… C’est ainsi que s’explique la foudre ( l’éclair ou une explosion de lumière vive dégageant une énergie considérable et donc une puissance de destruction)…

     

    Il faut pour l’avoir vu, observé, en avoir été témoin, un arbre frappé par la foudre : d’un seul coup, l’arbre frappé devient un foyer de lumière vive et ne demeure plus après l’impact, qu’un tronc déchiqueté et noirci… (Impressionnant)…

    Entre un arbre – qui tient peu d’espace- et une maison – de quinze mètres de long et de dix de large et de sept de hauteur – il y a tout de même une différence !

    C’est dire que lors de certains orages d’une violence extrême, la foudre peut détruire une maison en un seul impact (ce foyer de lumière vive qui embrase la maison toute entière)…

     

    Avec le changement climatique – d’autant plus rapide qu’il se fait – lors des rencontres de masses d’air les unes chaudes et chargées d’humidité, les autres froides, qui se rencontrent en altitude, la dynamique de développement des cellules orageuses s’accroît, ce qui renforce la puissance et l’intensité des orages…

    Ainsi ta maison, quelle que soit sa valeur sur le marché de l’immobilier – de moins de cent mille euros jusqu’à un million ou plus d’euro… Peut être frappée par la foudre (par un impact englobant toute ta maison – cet énorme foyer de lumière vive)…

    Événement rare, certes, mais qui est appelé à devenir plus fréquent dans les prochaines années…

     

    En fait, le plus souvent, lorsqu’une habitation est incendiée par un impact de foudre, c’est parce qu’un arbre – assez haut- proche de l’habitation, est foudroyé, et qu’avec le vent, des branches de l’arbre, enflammées, sont projetées sur l’habitation, la toiture étant en général en premier lieu, atteinte…

    D’où l’importance qu’il y a, de ne pas avoir à proximité de sa maison, un ou plusieurs arbres de plus de 3 ou 4 mètres de hauteur…

     

     

  • Tout le bien que tu fais

    Bien fait aux gens.jpg

    … Jusqu’au jour où « pétant un câble » tu déçois l’autre qui cesse de te voir, de te revoir, de te suivre, de t’inviter à participer à ce qu’il fait et à quoi tu adhères…

    … En gros, « péter un câble » c’est – dans le sens de déroger par rapport à l’image de soi que l’on donne et à laquelle les autres croient, notamment nos amis les plus proches – par exemple, exprimer lors d’un fait de société, d’actualité, quelque chose qui, sous le coup de l’émotion, de la colère, dérange, choque, est en totale contradiction avec ce que l’on dit et écrit par ailleurs…

    Dans le texte joint : « Avec le temps, ils regretteront amèrement votre présence » je ne suis pas sûr du tout qu’ils – ou elles – regretteront vraiment…

    C’est fou, et d’une fréquence évidente, ce que « tout le bien que tu as fait » ne serait-ce qu’en exprimant ce qu’il y a de meilleur en toi, est vite effacé, détruit, invalidé, oublié, renié… Dès lors que tu as un jour décroché, déplu, par un mot malheureux, jeté sous le coup de l’émotion, de la colère…

    Cet ou cette autre, que tu as déçu, choqué, entraînant inévitablement derrière lui, derrière elle, comme la chevelure d’une comète, tous ses amis, toutes ses connaissances… C’est autant de personnes qui, plus jamais, ne seront pour toi ce que l’on appelle des « followers » (des suiveurs, des fidèles, des attentifs, des lecteurs de ce que tu écris)… C’est donc toute une « clientèle » que tu perds…



    Reste cependant – en vérité – ce que « vaut » cette image de soi que l’on porte en avant et que l’on scénarise (et à laquelle on croit et que l’on « icônise »)…

    Aimer, apprécier, suivre dans leurs activités, des gens qui nous font du bien (à les lire, à les entendre et mieux encore à les écouter)… Ça, tout le monde ou presque « sait faire »…

    Mais… Demeurer fidèle et accompagner contre vents, foudres et marées, et emballements du moteur… Ça, y’en a pas beaucoup qui « savent faire » !