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  • Visages d'écrivains

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    Est-ce pour autant « significatif » ? J’ai souvent observé qu’en général (et en particulier pour bon nombre d’entre eux) – comme l’on peut le voir ici avec cette photo de Paul Auster né en 1948 décédé en 2024 à l’âge de 76 ans – les écrivains « ont un visage d’écrivain »…

    Ce ne doit pas être à mon sens un « hasard » qu’un écrivain ait un visage d’écrivain…

    Cela dit… « Si une œuvre d’écrivain » toute entière aussi immense soit-elle pouvait  tenir dans un regard, dans un sourire, dans une expression de visage, et ainsi atteindre autour de soi dans un hall de gare, dans une rue passante, un autre visage rencontré et considéré (ou plusieurs autres visages de ci de là)… Cela vaudrait bien, assurément, cent mille lecteurs ou cent mille « followers »… « quasi orgasmique » - si je puis dire – que cela se révèlerait ! Et… Plus beau encore que de « voler comme un oiseau » !

     

     

  • Visages et sourires cassés

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    Visages et sourires cassés

    … Dans un grand « han » de heurts, les morceaux éparpillés des visages et des sourires cassés, se rejoindront…



  • Des "vagues visages" ...

    « Si l’on pouvait regarder dans le cœur des gens et comprendre les défis auxquels chacun fait face, je pense qu’on les traiterait avec beaucoup plus de douceur, d’amour, de patience, de tolérance et de respect »… [ Louis Longwater, musicien producteur auteur compositeur]…



    Cette phrase me fait penser à des vagues de l’océan qui viennent en rouleaux et en crêtes blanches se déverser le long du rivage, une plage de sable et de galets le long de laquelle marche un promeneur tout seul…

    Chacune de ces vagues, murmure en se déversant sur le rivage, comme le ferait une voix de femme, d’homme, d’enfant…

    Chacune de ces vagues est un visage de femme, d’homme, d’enfant…

    Et le murmure de chacune de ces vagues visages, se faisant voix et parole, raconte au promeneur tout seul le long du rivage, tout ce qui jamais, n’a encore été dit, que personne ne connaît mais qui a été vécu, « vécu roulé », de la vague parmi toutes les autres vagues…

    Assurément, le promeneur tout seul le long du rivage, est l’interlocuteur rêvé de toutes ces vagues visages…

    Puissent de nombreux autres promeneurs être pour toutes ces vagues visages, autant d’interlocuteurs…

    Le « vécu roulé » -autant dire les défis, tous les défis qui ont surgi ainsi que tout ce qui fut épreuve, solitude, questionnement, peur, obstacle, écueil, trahison, déception, attente vaine, souffrance, espérance, aspiration… Tout cela est encore davantage qu’une « explication », c’est… Une « révélation »…

    Et, devenu voyant, le promeneur le long du rivage, puis les autres promeneurs venant ; peut alors se faire Interlocuteur (interlocuteur dans le plein sens du terme)…

    C’est tout de même « curieux » d’être – comme nous le sommes la plupart du temps - « aveugles avec des yeux qui voient »…