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  • "Tristes sires" les prévisionnistes du climat !

    Certains prévisionnistes, scientifiques, projectionnistes – ou « futuristes » - de l’évolution du climat et des conséquences de cette évolution climatique sur nos paysages en France, nous décrivent une France méridionale – ou d’en dessous de la Loire – de paysages semblables à ceux du sud de l’Espagne, avec des garrigues, des étendues rocailleuses, arides, une végétation rabougrie… Dans les années 2080-2090…

    Et dans la partie Nord de la France, pousserait de la vigne et les paysages autour de Paris, de Lille, de Metz, seraient semblables aux paysages méditérranéens actuels… Dans les années 2080-2090…

     

    Mais comment et par quelle aberration et erreur manifeste – et absence même de logique et d’intelligence – tous ces « scientifiques » prévisionnistes, projectionnistes, « futuristes »… Peuvent-ils nous annoncer comme si « ça coulait de source », que la France du Sud deviendrait aride, désolée, sans arbres, sans vignoble ; et que la France du Nord deviendrait « méditéranéenne »… En 2090…

    Alors que d’ici là, depuis toutes les inondations, les pluies torrentielles, l’humidité ambiante combinée à la chaleur, les nappes phréatiques qui débordent, les sols, les terres gorgées d’eau… Qui, à présent, depuis 2024 se succèdent après chaque épisode de canicule en été, ou de grande douceur en hiver, les paysages de France en vérité, vont devenir plutôt semblables à des jungles tropiquo-équatoriales, dans les années 2080-2090 …

     

    Nous avons certes connu, entre 2016 et 2023 (jusqu’à octobre 2023) en France notamment dans les régions Lorraine, Centre, Aquitaine, Sud Est Méditérranéen et Languedoc Roussillon, plusieurs années consécutives d’insuffisance en quantité et en fréquence de précipitations, ce qui avait fait baisser le niveau des nappes phréatiques…

    Mais depuis octobre 2023, sans discontinuer pour ainsi dire, les années précédentes de sècheresse ont été non seulement effacées en l’espace d’un an mais remplacées dans le même temps bref d’un an, par un très important excédent de précipitations pluvieuses qui a noyé les terres, les champs, les prés… À tel point que, dès que revient un jour de pluie quelque part en France, les cours d’eau se mettent à déborder parce que les sols étant saturés, il n’y a plus d’infiltration…

     

    La probabilité qui se dessine durant les cinquante ou cent prochaines années, c’est celle d’une alternance d’années déficitaires en précipitations (de l’ordre de 3 à 5 ans) et d’années très humides avec de fortes précipitations fréquentes (de l’ordre de 2, 3, 5 ans) et avec à chaque nouvelle période pluvieuse une resaturation des sols en eau…

    Ou même peut-être des périodes de pluies intenses plus longues que les périodes sèches…

    Dans ces conditions, on voit mal comment la France du Sud pourrait devenir aride, sèche, désolée, de paysages à végétation rabougrie !

     

     

     

  • Faire tomber un gouvernement ce n'est pas faire tomber un Système !

    L’Assemblée Législative sortie des urnes le 7 juillet 2024 avec près de 70 % de participation des électeurs inscrits sur les listes, composée en gros, de trois formations politiques inconciliables : NFP, Rassemblement National et Horizons/LR/ Macronistes… Ne répond pas –aucune des trois formations – à ce qu’attendent, espèrent, 70 % des personnes qui ont déposé un bulletin dans l’Urne…

     

    HorizonsMacronistes d’une part, et LR d’autre part, étaient 2 groupes minoritaires dans cette assemblée élue le 7 juillet 2024… Minoritaires parce que ne répondant plus à l’attente d’une grande partie de la population française…

     

    Prenons l’une des revendications populaires les plus importantes : le pouvoir d’achat…

    En déposant une motion de censure, les deux groupes parlementaires LFI et Rassemblement National – avec probablement l’aval du PS et des Ecologistes - « scellent le sort » du pouvoir d’achat des Français pour 2025, en ce sens que le pouvoir d’achat « va prendre un sérieux coup dans l’aile » (bien plus que ce qui était prévu avec le budget de Michel Barnier)…

    LFI, RN, qui prétendent « se soucier du pouvoir d’achat des Français » ! Parlons en ! Voilà le résultat avec la motion de censure !

     

    Sans compter le risque d’une « mise sous tutelle de la France » comme ce fut le cas pour la Grèce en 2008… Ou, ce qui ne vaut guère mieux, « un Gouvernement technique » qui lui, n’a « rien d’humain » ! (N’est que le résultat d’une élaboration par l’Intelligence Artificielle avec algorythmes, robotique, informatique, numérique)… Au service des puissances dominantes…

     

    Faire tomber un Gouvernement c’est une chose…

    Mais faire tomber un Système ( celui de l’Ordre du Monde, de la finance, des marchés, des multinationales, des lobbies, des dominants et des décideurs, avec leurs multi milliardaires et leurs hordes d’actionnaires)… Ça, c’est « tout autre chose » (qui suppose et surtout exige que soit mené un tout autre combat d’une toute autre dimension que celle (dimension) d’un combat pour faire tomber un gouvernement !

     

     

  • Que dire de tous les budgets ? ...

    Qui, depuis 1789, au fil des régimes et des gouvernements successifs jusqu’à celui de Michel Barnier, ont été établis ou votés ?

    N’ont-ils pas, « un peu moins si l’on veut » que les budgets de l’Ancien Régime (de la Royauté et des nobles) favorisé, tous, certaines personnes plutôt que d’autres ; et n’ont-ils pas été, tous, aussi dépensiers pour la « Pompe », pour l’apparence, au détriment des besoins les plus élémentaires d’une population qui, dans son ensemble (classes moyennes et classes défavorisées et leurs composantes – travailleurs et entrepreneurs) a toujours supporté la charge financière du fonctionnement du pays, de l’état, de la nation ?

     

    Dans l’établissement d’un budget annuel – en l’occurrence celui de la France – en ce qui concerne les économies à réaliser (réduction en coût salarial, en postes de travail, équipements, gestion, etc.)…

    Encore faut-il, « disons au cas par cas » décider où et comment on réduit, dans quelle branche d’activité, dans quel secteur d’activité, dans quelle situation se présentant… Et donc de déterminer au plus vrai, au plus exact, au plus juste, où il faut réduire, et ce qu’il faut réduire en fonction des besoins réels (de ce qui est nécéssaire à tous)… Ou en fonction du superflu, du « non essentiel » ou de la « pompe » et donc de l’apparence (dépenses inconsidérées ou faites afin de préserver des privilèges)…

     

    Déjà « zéro euro » pour la « pompe », pour le superflu, pour le non essentiel, pour la préservation des privilèges… C’est bien là, oui, réellement économiser ! (De ce côté là, je pense que dans notre pays, la France, « il y aurait de quoi faire »! … Sans doute des sommes assez importantes, de l’ordre – globalement – de quelques centaines de millions d’euros…

    Ce qui serait « autant de gagné » que nous m’emprunterions plus sur les marchés financiers pour « faire marcher la boutique France » !

     

    Ainsi, un budget pour l’école, un budget pour la santé publique (l’hôpital), un budget pour la police, un budget pour l’armée, un budget pour la recherche, un budget pour chacun des rouages de fonctionnement du pays… Le tout dans un budget global… Mais dans chaque budget, une évaluation précise des besoins réels « au cas par cas » selon les situations – locales, régionales, nationales ; l’habitat, l’environnement, la démographie, les ressources de tel ou tel lieu, village, ville, canton, terroir ; les commerces, les entreprises industrielles, commerçantes, artisanales et agricoles implantées en tel lieu, ville, village, terroir…

     

    Tant que des minorités de par leur statut social, leur influence, leur pouvoir local, leur aspiration à s’étendre, à dominer, demeureront inflexibles et « intouchables », attachées à leurs privilèges et protégées en haut lieu… Il y a aura forcément des dépenses qui ne seront jamais réduites…

    Tant que des projets qui ne sont pas « d’utilité publique pour les besoins élémentaires communs à tous » continueront à être financés – notamment par de la dette – il y aura forcément des dépenses qui ne seront jamais réduites…

     

    Tous les gouvernement qui se sont succédés en France depuis 1789, sans exception y compris les plus à gauche ; ont tous conçu et mis en place des budgets plus avantageux pour les uns que pour les autres… Autrement dit pour préserver les avantages d’une minorité possédante, dirigeante, influente… Ou encore pour « la pompe », pour l’apparence, pour le superflu plutôt que pour la nécéssité publique élémentaire…

     

    Certes dans les budgets, il y a ce qui vient des subventions -Européennes notamment- et celles des Conseils Généraux, départementaux, de l’État… Qui sont en fait des recettes « aléatoires » (non « inscrites dans le marbre »)… Mais il n’en demeure pas moins que beaucoup de pays, dont la France, recourent à la dette, laquelle dette ne fait qu’augmenter d’année en année, et avec les intérêts à rembourser…

     

     

  • Contre la motion de censure du gouvernement de Michel Barnier

    N’étant pas du RN sans pour autant être « cent pour cent » NFP à cause de la confusion du NFP entre islamisme et islam… Et, étant donc « de Gauche » (mais n’adhérant pas à « certaines orientations » - ou « dérives »- de la Gauche)…

    J’espère que la motion de censure que vont voter le NFP et le RN ne recueillera pas les 287 voix requises pour fairer tomber le Gouvernement de Michel Barnier (je ne suis pas loin s’en faut « POUR » ce gouvernement)… MAIS… Mon sang se glace dans mes veines à la pensée du risque d’une « mise sous tutelle du FMI, de l’UE et de la Finance internationale   de la France »

    Si ce gouvernement tombe, et cela quel que soit ce qui va se passer politiquement en France dans les semaines et mois qui viennent…

    Certes, ce budget est à juste titre contesté… Mais ce qui nous serait imposé en « haut lieu » à nous Français dans notre vie quotidienne, serait bien plus dur, bien plus contraignant (imaginez les pensions de retraite réduites de moitié, ainsi que la plupart des salaires… Et bien d’autres conséquences impactant les entreprises, les commerces, l’artisanat, le marché des services, la santé publique, les hôpitaux, les écoles, enfin tous les domaines de l’activité) !

    Souvenez vous de l’Argentine, de la Grèce…

     

     

  • "Trancher dans le vif" !

    Il est très difficile de s’entendre -et encore plus de se comprendre- avec des personnes d’une culture, d’une sensibilité, d’un mode de vie, d’idées, d’opinions, de comportements très différents ou opposés… Et de manifester à l’égard de ces personnes, de la considération, du respect, d’être à leur écoute…

     

    Dans la vie que nous vivons au quotitien, parmi nos connaissances – et même parmi nos proches – nous sommes souvent ou occasionnellement confrontés, selon les situations se présentant, lors de rencontres, dans des réunions, dans des activités communes, dans des associations de toutes sortes où l’on est adhérent, participant, à ces personnes si différentes de nous, et dont nous devons un temps donné, supporter la présence, les réflexions, les comportements, tout ce qui de ces personnes nous heurte…

     

    Accepter, faire « profil bas » ou « faire semblant » ou encore et surtout comme cela se pratique dans un ordre – ou « morale » - de civilité citoyenne ; ne pas se découvrir, demeurer « zen », éviter « les sujets qui fâchent » … Cela finit par devenir assez pesant, et inévitablement à un moment où un autre « ça craque » et alors on se lâche et ça fait forcément mal…

     

    Cet « ordre moral de civilité citoyenne, de considération et d’écoute de l’autre, ce « vivre ensemble » mis en avant et prôné – et inscrit dans les chartes des espaces de discussion sur la Toile- par les instances chargées de nous modérer, toutes aussi « moralisatrices » les unes que les autres… Que des gens d’une « Gauche de la tolérance, du partage, de la convivialité et de l’écoute » (mais aussi de la part de gens d’une « Droite du même genre ») veulent nous faire adopter par « martèlement de principes et de règles », par tous les « discours » véhiculés par des médias inféodés à la pensée formelle dominante… Cet « ordre moral de civilité citoyenne » est-il « une valeur » ?

    Est-ce un « crime de lèse-majesé », que de le brocarder, que de le contester, que de l’« iconoclaster » cet Ordre ?

     

    La vérité, la réalité, c’est que ces gens qui nous heurtent, dont on ne peut supporter les comportements, les idées, les réflexions, les opinions, les agressions directes et indirectes, et qui nous « pourrissent la vie » - mais qui assez souvent nous apparaîssent masqués – l’on ne s’entendra jamais avec eux et que « l’Ordre moral de civilité citoyenne » ne sera et ne restera qu’un « paravent aussi inutile, aussi vain qu’affligeant » !

     

    Il y a un moment dans la vie où il faut « trancher dans le vif » - c’est à dire « se battre, résister, répondre coup pour coup » , ne pas céder à la toute puissance des hypocrisies et des ordres dominants et imposés de pensée… Quitte dans le combat, à ce que d’une certaine façon on y « laisse la peau de son intériorité incorruptible – voire sa véritable peau » !