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  • Un "Islam des Lumières" ?

    Existerait-il un « Islam des Lumières » comme il existerait un « Christianisme des Lumières » qui serait une réponse envisageable – ou une alternative crédible – à l’islamisme radical du 21ème siècle, ou à tous les intégrismes religieux dont le catholiscisme missionnaire du 16 ème siècle aux résurgences bourgeonnantes du 21ème siècle ?

     

    Un « Islam des Lumières » qui pourrait-être celui de ces nouveaux jihadistes qui ont pris le pouvoir en Syrie le 8 décembre 2024 et se présentent aux yeux des états et des nations qui les entourent, et des USA et des pays d’Europe, comme des interlocuteurs crédibles ?

     

    Ne nous y trompons pas : le jihadisme reste le jihadisme, quand bien même il n’aurait plus recours au terrorisme ni au despotisme avec prisons et gibets…

     

    L’Islam ou le Christianisme « des Lumières » n’est qu’une idée, une sorte de justification d’un nouvel « Ordre du Monde » qui parviendrait à être établi.

     

    Mais… « À choisir », à défaut d’un Ordre du monde qui existe indépendamment de celui instauré par l’espèce humaine ou par toute autre espèce dominante et évoluée dans l’Univers… Peut-on « donner une chance » à un « Islam des Lumières » comme l’on croirait à un « Christianisme des Lumières » ?

    Devrait-on assimiler ce mouvement jihadiste islamiste « HTS » à un « Islam des Lumières » ?

    Ma réponse est NON… À mon sens il n’existe aucun mouvement religieux -qu’il soit islamiste, chrétien, catholique, judaïque, etc. … Que l’on puisse qualifier de « religion des Lumières »…

    Et, indépendamment des religions, des fois et croyances, y-a- t-il des mouvements de pensée des Lumières ? Comme par exemple le « siècle des Lumières » que fut le XVIII ème ?

     

    Quant à donner une chance à « HTS », oui pourquoi pas ? (avec cependant des réserves)…

     

    Les Lumières ?

    Ce sont celles que l’on voit, éclairant la scène, de ce que font les états, les nations, les empires, les régimes politiques, les sociétés… De leurs femmes, de l’éducation de leurs enfants, de leurs marginaux, de leurs minorités, de la diversité de leurs ethnies et de leurs cultures, de chaque composante sociale de leur population, de comment sont traitées leurs femmes, éduqué leurs enfants, considérés leurs marginaux… Déjà en premier lieu…

     

    Ces Alaouites en Syrie – en majorité regroupés dans la région de Lattaquié (deux tiers d’entre eux) – sont tous « pro Hassad » et résistent, armés, au nouveau pouvoir en Syrie.

    Combattus et débusqués, et pris, ils sont immédiatement exécutés… Il n’y a pas lieu de s’en offusquer et il serait « mal venu » que des associations humanitaires du genre « amnesty international » condamnent ces exécutions d’Alaouites résistants en armes… Parce que leur souhait – cela paraît évident- c’est de faire revenir Bachar Al Hassad dans la mesure où ils parviendraient à bousculer et à faire reculer HTS…

    Et il serait encore tout autant mal venu – en France ou dans un pays Européen d’accueil – de recevoir en tant que « réfugiés politiques » ces Alaouites de Syrie…

     

    Je ne sais pas dans quelle mesure il y aurait « des êtres de Lumière » ou « des régimes, des religions, des sociétés de Lumière »… Mais ce qu’il ya de sûr, sûr et certain, c’est qu’il y a « des êtres d’obscurité », et que ce sont les « êtres d’obscurité » qui font ce qu’il y a d’obscur dans les religions, dans les régimes, dans les sociétés…

     

  • Une "nécéssité douloureuse" ?

    Selon Albert Camus, qui vécut de 1913 à 1960 ( mort le 4 janvier 1960), les êtres dont la conscience est aiguë et l’esprit en ébullition, doivent fournir un effort extraordinaire pour s’adapter à une réalité qui heurte leurs pensées. Et c’est là que réside leur véritable souffrance : tenter de s’accorder avec un monde qui ne résonne pas avec leur profondeur… Pour autant – j’ajoute personnellement – que « s’accorder avec la réalité du monde » (de « l’ordre du monde ») puisse être perçu comme une nécessité… Une nécessité douloureuse oui, mais une nécessité tout de même… En évitant de renoncer, d’abdiquer, de se « fondre dans la masse »…

     

    Il y a aussi, outre ces êtres là, conscients et l’esprit en ébullition ; les marginalisés que sont les artistes, les poètes, les écrivains, les intellectuels qui ont rompu avec les opinions dominantes, avec les modes, avec les modèles, et qui eux tous ou presque, ne sont pas lus, pas écoutés, pas suivis, déconsidérés, méprisés, écartés – mais qui parfois sont achetés, pervertis et entraînés par les « officiants gouverneurs » maniant la perche pour maintenir la barque dans les flots grondants de la « rivière monde »…

     

    Et il y a encore tous les êtres ordinaires, anonymes, invisibles que sont des centaines et des centaines de millions de personnes sur cette planète dont ce « quelque chose en eux qui fait qu’ils se ressemblent tous » est une réalité, une sorte de scène de théâtre peuplée de figurants réduits à l’état de silhouettes, une scène de théâtre qu’aucune rampe de feux n’éclaire et dont la levée de rideau pour le spectacle commençant n’est jamais annoncée par les trois coups frappés…

     

    C’était au début de la seconde moitié du 20ème siècle qu’exprimait cela Albert Camus, alors que notre planète la Terre ne supportait sur sa surface habitable «que » trois milliards et demi d’êtres humains…

     

    Et c’est, aujourd’hui, dimensionné à ce qu’est devenu le monde, dans la complexité de son actualité et de ses « ordres », dans ses violences, dans ses codes, dans ses technologies de l’internet et du numérique, de la connectique et de la robotique… Que s’inscrit en très gros caractères comme sur la première page d’un journal, la pensée d’ Albert Camus, celle de ces êtres dont la conscience est aiguë et l’esprit en ébullition, confrontés à la réalité du monde…

     

    Et la réalité du monde d’aujourd’hui, c’est celle de la montée des extrémismes – surtout de droite- et des populismes, des totalitarismes, de la crispation des communautarismes, de l’islamisme radical, avec pour meneurs Vladimir Poutine, Xi Jinping, Donald Trump et… Peut-être… De « nouveaux islamistes » qui n’auront plus besoin si ça se trouve de recourir au terrorisme ni même à un despotisme avec des prisons et des gibets pour s’imposer…

     

    S’accorder à la réalité du monde d’aujourd’hui, pour des êtres conscients et à l’esprit en ébullition, est-ce un défi, est-ce que c’est toujours une nécessité, en quoi cela peut-il « servir la civilisation » de manière à ce que la civilisation évolue dans un sens – on va dire - « plus heureux » ?

     

     

     

  • Le Grand Victor Hugo

    Victor Hugo – 1802 – 1885 – dont le cercueil fut suivi à Paris, pour son enterrement, par deux millions de personnes ; a été élu député de la deuxième République Française instaurée en février 1848 à la chute de Louis Philippe et de la monarchie constitutionnelle en place et pouvoir depuis 1830…

     

    En juin 1848, devant tous les députés de l’Assemblée Nationale, il a fustigé les « Ateliers Nationaux » qui selon lui, était « une dépense inutile, trop coûteuse »…

    La fermeture des Ateliers Nationaux a précipité dans la misère et dans le chômage – sans indemnités- cent mille parisiens , ce qui provoqua l’insurrection du peuple de Paris le 23 juin 1848.

    Nommé par la Constituante pour rétablir l’ordre à Paris lors de l’insurrection des ouvriers et du peuple le 23 juin 1848, et ayant pris la tête d’un détachement de gardes mobiles en armes en face du peuple, il a lui même commandé le feu…

    « Paraît-il » (enfin c’est « à peu près certain ») que Victor Hugo « aurait hésité » avant de faire tirer à balles réelles sur la foule… Et que par la suite, il a « regretté » au point qu’il aurait traîné comme un boulet sa vie durant, cette terrible décision de faire tirer sur le peuple…

     

    Ce que l’on retient de cette « affaire là » c’est que la République – Française – a tiré sur le peuple… Sur l’ordre de Victor Hugo menant une compagnie de gardes mobiles…

    La Troisième République avec Adolphe Thiers et ses vingt mille Versaillais accompagnés de cent trente mille soldats libérés des Pussiens en mai 1871, a « remis ça », fusillé plusieurs milliers de « communards »… Et que 150 ans plus tard, l’opinion majoritaire des gens en France rejoint celle des Français de l’époque, qui disaient des insurgés de Paris en 1871 « que c’étaient des ivrognes, des paresseux, des braillards, des voyous »…

     

    Cela dit, de même que les Catholiques font la différence entre « ce qui appartient à Dieu » et « ce qui appartient à César » ; et que les gens « d’esprit éclairé et raisonnable » différencient l’auteur d’œuvres magnifiques, de l’homme (ou de la femme) dans son comportement et ses actes parmi ses semblables dans la vie quotidienne… L’on peut donc différencier – et séparer- l’œuvre de Victor Hugo, du personnage de Victor Hugo…

     

    Et qu’il est « à peu près certain » que, « dans les siècles des siècles à venir », l’on ne lira jamais dans les universités et dans les plus éminents cercles littéraires, un « très beau texte » de Vladimir Poutine, de Bachar Al Hassad, d’un grand caïd Taliban ou Houti, ni même d’un Donald Trump… Ni non plus de l’un ou l’autre de ces rappeurs en vogue sur Youtube, racistes, xénophobes et haineux…

     

    La littérature et la pensée ne sont pas loin s’en faut la priorité ni ne font partie de la Culture, du monde tendant à s’associer, de la Russie de Vladimir Poutine, de l’Iran des Ayatolahs, de la Turquie d’Erdogan, de la Chine de Xi Jinping, de la Corée du Nord, et de tous les pays hors Europe à gouvernements autoritaires très critiques et en opposition des pays occidentaux de liberté et de démocratie…

    Car nous voyons bien en ces années vingt du 21ème siècle, se constituer comme un « bloc » devenant peu à peu homogène et associant ses intérêts, de pays « anti occident, anti Europe, anti Blanc » un « bloc » qui, avec les Russes de Poutine – et malheureusement et oh horreur-toute une gauche contestataire et compatissante à l’égard de l’Islam, de pays républicains et démocratiques, qui, rejoignant en partie il faut le dire des partis d’extrême droite, contribuent au renforcement agressif de ce « bloc anti occident »…

     

    Poutine « ne peut pas saquer » les catholiques et les Chrétiens et leur idée de rendre à César ce qui appartient à César et à Dieu ce qui appartient à Dieu : pour lui, Dieu et César c’est la même chose (et dans l’Islam radical et fondamentaliste on pense pareil, comme Poutine chrétien Orthodoxe)… l’Islam et l’Orthodoxie chrétienne sont « proches »… Et c’est pourquoi Poutine soutient les islamistes… Mais reste que Xi Jinping par opportunisme « navigue et observe » (ce qui ne l’empêche pas de persécuter les Ouighours)…

     

    Ceux et celles d’entre nous qui s’expriment au sujet de ce qui menace de nos jours et dans les prochaines années, la littérature, l’art, la pensée, la liberté, la démocratie… Ne sont guère trop écoutés, lus, suivis ; et hélas trop souvent considérés « hors sol », zappés, méprisés, empêchés, on les prend pour des « intellectuels à côté de la plaque ou trop éloignés des gens »…

    Aujourd’hui ce sont hélas les salauds qui prennent le dessus, achètent les ingénieurs de la Silicon Valley et de Shangaï City afin d’être aux commandes des technologies de l’Intelligence Artificielle…

     

     

     

  • Secours à Mayotte

    Ce sont 1600 policiers et gendarmes, 1000 militaires, 800 personnes de la Sécurité Civile, ainsi qu’un grand nombre de médecins, mobilisés en plusieurs vagues successives, qui sont déployés à Mayotte…

    Cela implique la mise en place d’une logistique, d’une organisation et d’une intendance sur un territoire dévasté, d’une superficie de 374 kilomètres carrés supportant une population de plus de 300 000 habitants, soit 800 personnes au kilomètre carré…

     

    Quand on sait les conditions dans lesquelles vivent, complètement démunies de tout, sans eau, sans électricité, sans nourriture autre que ce qui peut être trouvé, 800 personnes sur 1 km carré en plein milieu de gravats en tas, sans abri et qu’il faut nécessairement monter des tentes, disposer du matériel lourd, toutes sortes d’équipements, toute une infrastructure et cela dans des espaces forcément réduits… L’on peine à imaginer comment peut être assurée l’intendance nécessaire à l’activité de tous ces policiers, gendarmes, militaires, personnes de la Sécurité Civile et médecins…

     

    En effet, il faut bien que ces milliers de secouristes sur place durant plusieurs jours, une période en fait indéterminée, puissent manger, dormir, se laver, et – il faut le dire parce que c’est une réalité- « éliminer »… Toilettes « algéco » ? Et il ne doit pas certainement être question de prendre une douche pour chacun de ces milliers d’intervenants ! Et pour la « bouffe » ça doit être dans des gamelles comme sur les fronts de guerre avec des « roulantes », on voit pas trop comment ça pourrait être autrement ! Sans compte que l’espace manque pour déballer, distribuer, apporter… Est-ce qu’on fait par descente de ballots depuis des hélicoptères ?… Et puis, tous ces secouristes au moment des repas distribués, entourés d’une multitude de démunis forcément… ça en fait de la bouffe à distribuer ! En plein milieu des ruines, tôles, poutrelles, pylones, parpaings, objets et appareils ménagers fracassés, meubles, planches, poutres, etc. …

     

    L’intendance c’est une réalité qu’il faut assumer ! Et ça, à la Télé on le voit pas !

     

    D’ordinaire lors de grandes catastrophes naturelles qui impactent des territoires étendus en surface tels qu’une région tout entière, du fait que le territoire dévasté se trouve inclus dans un pays, sur un continent, il est plus « aisé » - si l’on peut dire – de « faire suivre toute l’intendance nécéssaire » aux nombreux secouristes, à partir de grands axes de circulation, avec des véhicules transportant du matériel, et de répartir sur place, le matériel, les équipements, les structures d’aide aux personnes sinistrées…

    Il est certain que dans le cas d’une île telle que Mayotte 374 kilomètres carrés supportant une population de 300 000 personnes, c’est beaucoup plus difficile !

     

    Dans l’esprit du « commun des mortels » d’une société consumériste où l’on vit dans le confort avec des salles de bains, des WC, des centres commerciaux, des télécommunications, une profusion de produits alimentaires et d’équipements et d’appareils, de vêtements, etc. … Personne d’entre nous n’imagine que l’on puisse ne pas prendre une douche, par exemple… Ni que l’on doive « trouver un endroit isolé pour pisser – contre un arbre, derrière un mur… En l’absence de WC…

     

     

  • Un rêve bizarre ce matin vers 4h, mardi 24 décembre 2024

    Je devais me rendre en consultation chez un médecin généraliste et c’était la première fois puisque mon médecin habituel venait récemment de cesser son activité. J’avais dû chez ce nouveau médecin prendre rendez-vous 2 mois à l’avance, alors que chez le précédent, je m’y rendais sans rendez-vous aux heures de consultations et attendant mon tour dans la salle d’attente…

     

    J’avais l’adresse exacte et officielle, répertoriée et mise à jour afin de me rendre chez le nouveau médecin ; le cabinet de consultation étant situé dans une « ZAC » entourée d’immeubles, en périphérie de la ville où je demeurais dans un quartier éloigné du centre et à l’opposé de cette « ZAC » périphérique…

     

    Pour accéder à cette « ZAC » il fallait emprunter une ceinture périphérique à 4 voies, très passante et avec embouteillages fréquents, sortir à tel endroit (la sortie 42), suivre la bretelle de sortie jusqu’à un premier rond point comportant 5 sorties, prendre la 4ème sortie, puis suivre une voie menant à un deuxième rond-point cette fois de 3 sorties mais avec en plus une autre sortie qui était en fait une « fausse sortie » c’est à dire une voie sur laquelle il y avait un peu plus loin des travaux en cours…

     

    Je disposais d’un GPS « Wase » sur smartphone en application, et arrivé à ce rond point de trois sorties avec en plus une « fausse », comme j’hésitais, craignant de prendre la « fausse » sortie, je décidai de faire – quitte à le faire 3 fois- le tour du rond-point…

     

    Le GPS disait à ce rond -point « prendre la 3 ème sortie » puis ensuite suivre la voie de gauche de l’avenue « machin » (un nom compliqué de général que je ne connaissais ni d’Eve ni d’Adam) et au bout de l’avenue prendre sur la gauche la rue « machin chose » (cette fois le nom d’un autre général), cette rue « machin chose » comportant 4 voies avec flèches sur la chaussée, de présélection ; suivre la deuxième voie de présélection soit la plus à gauche des deux de droite ; et enfin continuer tout droit pour atteindre votre destination…

     

    À environ – peut-être- 200 ou 300 mètres de l’adresse indiquée, après avoir contourné un centre commercial et son parking, puis encore « zigzagué » entre trois terrains vagues jonchés de gravats et de poutrelles métalliques tordues, débute enfin la rue dans laquelle se trouve le cabinet du médecin…

     

    Mais juste à l’entrée de cette rue se dresse bien visible et comme par défi un panneau « sens interdit », de telle sorte qu’il me faut garer la voiture en bordure du terrain vague et continuer à pied sur 300 mètres…

     

    Arrivé devant la porte d’entrée du cabinet du médecin, je vois, comme incrusté dans la porte, un écran de la taille d’une tablette androïd, avec une inscription qui apparaît sur l’écran « touchez moi »… Je touche l’écran, et je vois apparaître « inscrivez les 4 premières lettres de votre nom » dans les 4 cases présentes…

    J’inscris donc… Mais la porte ne s’ouvre pas… Je recommence, une, deux trois fois… La porte ne s’ouvre toujours pas…

     

    Au bout de 10 minutes passe dans la rue une jeune femme qui se rend à une boutique de vêtements située à proximité du cabinet du médecin…

    Je lui demande pour le médecin, elle me dit qu’elle est la vendeuse de la boutique proche, et que le médecin exerce depuis la semaine dernière dans un nouveau cabinet dont elle m’indique l’adresse, dans un quartier de la ZAC « des coquelicots » (pas la même ZAC que celle présente)…

    Il me faudra donc, ayant « loupé » le rendez-vous, redemander un autre rendez-vous…