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  • Généalogie, précisions

    Seuls, les documents officiels tels que des actes d’état civil – naissance, décès, mariage – ainsi que d’autres documents historiques précis concernant une personne en particulier… Numérisés et consultables sur les sites départementaux d’archives (ou encore en se rendant au centre d’archives de son département afin de consulter les registres)… Sont les sources référentes et exactes.

     

    Sur les sites de généalogie – MyHeritage, Heredis, Généanet, Filae – et en particulier avec Généanet surtout plus encore que les autres (du fait que c’est sur Généanet que l’on trouve le plus grand nombre de renseignements et d’indices issus des arbres réalisés par des dizaines, des centaines de milliers de personnes de par le monde), apparaissent ainsi pour tel ou tel ancêtre de notre famille, ces indices exploitables…

    Ce sont ces indices communiqués qui nous permettent de construire au fur et à mesure, notre arbre.

    Cependant – et c’est souvent le cas – la liste des indices concernant telle ou telle personne, comporte plusieurs indications (au delà d’une seule, de deux, trois, quatre et jusqu’à au moins une bonne dizaine).

     

    Il est alors nécéssaire afin d’être « à peu près sûr » de la bonne indication parmi plusieurs, de comparer une à une, les « fiches » de renseignements et de s’assurer des correspondances en dates de naissance, dates de décès et lieux, nom du conjoint, enfants obtenus…

     

    Ce travail de comparaison et d’analyse des données fournies (accessibles sur Généanet par exemple, en cliquant sur un petit cercle contenant deux flèches rouge et bleu), il faut le reconnaître, est tout de même « moins fastidieux » que de consulter un à un, des actes d’état civil numérisés sur le site d’archives départementales… Il faut dire à ce sujet que, passer une vingtaine d’heures pour finir par tomber sur un acte « inexploitable » parce que trop mal écrit, indéchiffrable, c’est assez frustrant !

     

    Soit dit en passant, du fait que depuis déjà trente ans environ, nous n’écrivons plus de lettres manuscrites, que nous lisons et écrivons « standardisé » (caractères d’imprimerie claviers Azerty et autres) sur ordinateur, smartphones… Nous avons perdu la faculté de lire et de comprendre les écritures manuscrites, et que nous-mêmes d’ailleurs, n’écrivons plus comme on écrivait jadis, avec un stylo plume ou à bille ou au crayon sur papier (et s’il nous arrive de le faire on écrit en « standardisé »… Résultat on ne sait plus lire ni comprendre quand c’est écrit à la main par quelqu’un qui a son style d’écriture et de formation des lettres…

     

    Enfin, au sujet de la question des limites pour la constitution d’un arbre (jusqu’où et jusqu’à qui on peut aller, ou inclure qui) il faut savoir que la filiation déjà, directe, est autant et tout aussi également, paternelle ET maternelle et implique donc que l’on avance dans le passé, autant du côté paternel que maternel jusqu’au delà de la 6ème génération ; que toutes ces personnes du côté paternel et du côté maternel ont eu pour la plupart d’entre elles des frères et des sœurs, constituant ainsi les branches collatérales…

     

     

    Un exemple de « vraie limite » :

     

    Prenons un Dehez Etienne né en 1794, qui, âgé de 19 ans en 1813, se marie avec Anne Larroque déjà mère d’un fils qu’elle a eu avec un autre homme, deux ans plus tôt.

    Cet Etienne Dehez met sa femme Anne Laroque enceinte et, le 14 avril 1813, nait son enfant -de lui- qu’il appelle Etienne aussi…

    Le jour de la naissance de son fils Etienne, Etienne Dehez père né en 1794, reconnaît officiellement l’enfant qu’avait eu sa femme avec un autre homme, lequel enfant portera le nom de Dehez.

    Cet enfant reconnu, donc, ne peut être inclus dans l’arbre de l’auteur et propriétaire de l’arbre, puisqu’il n’est aucunement de la lignée conjugale (de son père ET de sa mère) mais de la lignée de sa mère ET d’un autre homme…

     

    Un enfant « reconnu » (engendré par un autre homme) ne peut donc être inclus dans l’arbre, avec sa descendance…

     

    Autre exemple de limite :

     

    Prenons un Albert Daudhomme « pacsé » avec une Jennifer Lafon, qui a avec sa compagne deux enfants Robert et Julie.

    La compagne Jennifer Lafon figure – comme en tant qu’épouse qu’elle n’est pas – dans l’arbre, incluse donc en tant que mère de Robert et de Julie.

    Mais l’ascendance de Jennifer Lafon (à commencer par son père et par sa mère) ne peut être incluse dans l’arbre.

    Il appartiendra alors à Robert et à Julie, s’ils le souhaitent l’un et ou l’autre, de constituer l’arbre d’ascendance à partir de leur mère (l’arbre créé par Robert et ou par Julie et qui lui, sera constitué de l’ascendance de son père Albert Daudhomme et de l’ascendance de sa mère Jennifer Lafon.

     

     

     

  • Le RN en face de Trump et de Poutine

    Si Donald Trump et Vladimir Poutine préfèreraient qu’en France en 2027 soit élue Marine Le Pen à la présidence de la république (ou Jordan Bardella), il y a bien là une raison…

    Et c’est ce que les électeurs du Rassemblement National (50,5/51 % des Français selon un sondage récent – mais encore éloigné dans le temps, de 2027) semblent « ignorer » ou plus exactement « ne s’expriment pas à ce sujet » (« silence radio »)…

    Et cela, ça me gêne beaucoup, de penser que la moitié environ de mes concitoyens, « font l’impasse » sur la position du Rassemblement National en face de l’élection probable de Donald Trump et du maintien de Vladimir Poutine…

    Que le Rassemblement National fasse l’objet – actuellement et depuis déjà quelques années- d’une « dédiabolisation » par rapport à ce qu’était l’extrême droite il y a vingt, trente, quarante ans et plus… Je veux bien essayer de le croire (« évolution oblige »)…

    Que le Rassemblement National ne soit pas un « parti anti juif » ou antisémite comme l’était le régime de Pétain en 1940… Je veux bien encore croire que ça peut être vrai…

    MAIS… Que le Rassemblement National en face d’un Donald Trump ou d’un Vladimir Poutine, ne se pose pas en opposant ferme (mais plus plutôt dans l’acceptation), là pour moi c’est la « ligne rouge absolue » infranchissable !

    En pensée « j’engueule donc haut et fort » la moitié de mes concitoyens qui regardent du côté du Rassemblement National, et je ne me reconnais plus, plus du tout, dans une France qui « penche du côté de l’extrême droite »…

    Je veux bien considérer (comprendre) ceux et celles qui « ont peur de voir la France envahie de migrants », en ont marre de trop de délinquence et d’incivilités et de perte de valeurs etc. … Mais de là à ce qu’arrive au pouvoir un parti qui convient à Donald Trump et à Vladimir Poutine, NON mille fois NON !

    Ne me dites tout de même pas, électeurs potentiels de Marine Le Pen, que vous êtes « pro Trump » et, pire, « pro Poutine » ! Car si c’est le cas pour quelques uns d’entre vous, vous ne pouvez pas être de « bonnes personnes » !

    Trump au pouvoir et Poutine gagnant la guerre, c’est pour vous (oui déjà pour vous en dépit de ce que vous pouvez croire) comme pour tous en France et en Europe ; une vie au quotidien qui n’aura plus rien à voir avec celle d’aujourd’hui que vous vivez et dont vous déplorez les défauts et les dérives ( tout ce dont vous avez marre aujourd’hui, vous en arriverez à le regretter lorsque Poutine gagnera la guerre et que Trump aura fermé la porte à l’Europe !)…

     

     

     

  • Bob Marley, film de Reinaldo Marcus Green

    Sorti le 14 février 2024 , ce film est un reportage, une exploration émouvante et profonde de la vie de l’icône du Reggae, Bob Marley ; un regard, toute une vue sur un héritage musical dimensionnant l’impact de l’œuvre de Bob Marley, de caracère intemporel par delà les générations…

    Le film est réalisé par Reinaldo Marcus Green qui s’est surtout attaché à retracer ces années emblématiques que furent pour Bob Marley, les années 1976 et 1978, à la Jamaique et à Londres…

     

    Une parole de Bob Marley, au début du film, retient l’attention et interpelle : « Aucun gouvernement n’est légitime »… Bob Marley dit cela lors de la guerre civile qui éclate à la Jamaique en 1976 entre les deux factions rivales revendiquant le pouvoir au lendemain de l’indépendance du pays qui était auparavant une colonie Britannique…

    Bob Marley décide alors en dépit de l’extrême violence qui règne à la Jamaique en 1976, de donner un concert « pour la paix », mais tous autour de lui l’en dissuadent sans parvenir à le faire renoncer…

     

    Le message de Bob Marley est clair : s’il y a des guerres, selon lui, c’est parce qu’il y a des discriminations, des dominants et des possédants qui décident et s’accaparent des richesses, trop d’écart entre les riches et les pauvres… Et j’ajoute pour ma part, les religions…

    Au 21ème siècle en 2024, neuf personnes sur dix de par le monde sur cette planète n’ont pas encore compris que la cause principale et essentielle de toutes les guerres, notamment les guerres actuelles, c’est celle de la domination exercée par les grands groupes des activités industrielles, agro-alimentaires, équipementières du Marché et de l’économie et de la finance, avec leurs dirigeants, leurs décideurs, tous multi milliardaires et avec leurs assemblées d’actionnaires ; les dictateurs dans le genre d’un Vladimir Poutine, et toute cette « racaille en hauts lieux » soutenue par les gouvernements…

    Et que, pendant que les gens « du commun des mortels » se disputent, se livrent à des polémiques à n’en plus finir, pour des questions de points de vue, d’intérêts personnels en jeu, de religion, dans des sensibilités divergeantes, selon comme en France, une vision « Rassemblement National à la Le Pen » ou « Mélenchoniste » ou « Macroniste » ou « tout ce que l’on veut »… Pendant tout ce temps là, les dominants, les décideurs, les milliardaires, les dictateurs ne cessent de réaliser des profits accrus « sur le dos de millards de gens » (et eux aussi soit dit en passant sont en concurrence et en divergeances et en combats entre eux… Mais pas dans la même dimension ni dans le même univers que le « commun des mortels »)…

     

     

  • Recherches généalogiques

    Deux choix de réalisation de sa généalogie se présentent :

     

    Le premier étant celui de la constitution d’un arbe d’ascendance – paternelle et maternelle – directe, sur 6 générations, qui comporte en tout 63 personnes…

    À cette fin, un album à rédiger manuellement, par exemple « Le livre généalogique d’ascendance six générations », ou encore la création d’un site de généalogie gratuit (sans abonnement, sans version premium) avec MyHeritage, Heredis, Filae ou Généanet, permettant d’inscrire jusqu’à 200 personnes – et donc au minimum de base les 63 personnes d’ascendance paternelle et maternelle directe… Suffit…

     

    Le deuxième choix étant celui de la constitution d’un arbre d’ascendance – paternelle et maternelle – mais qui comporte aussi toutes les ascendances des branches collatérales des frères et sœurs à partir de son père et de sa mère, puis de ses grand-parents, arrière grand-parents etc. … Jusqu’à la 7ème, 8ème, 9ème génération…

    Et, non seulement toutes les ascendances des uns et des autres le plus loin possible, mais aussi à partir des oncles, des tantes et de leurs conjoints, toutes les descendances jusqu’aux derniers enfants nés…

    Avec bien sûr pour tout cela, le maximum pour chaque personne, de renseignements exacts ( date de naissance, lieu de naissance, date de décès, lieu de décès, date de mariage et avec qui, profession ou métier exercé)…

    Le deuxième choix implique un grand nombre de personnes incluses dans l’arbre, largement supérieur aux 63 de l’album rédigé manuellement, et aux 200 des sites en version gratuite de généalogie…

    L’on peut dire alors qu’à partir de 300 personnes dans son arbre, « ça commence à s’étoffer » - encore faut-il pouvoir y parvenir à ces 300 et plus…

     

    Personnellement j’ai opté pour le deuxième choix…

     

    Cependant plusieurs questions se posent, entre autres celle des « limites » que l’on peut se fixer (jusqu’à quelle personne, par exemple l’époux ou l’épouse d’un parent très éloigné ; ou encore le conjoint – ou « l’apparenté conjoint » d’un fils, d’une fille d’un oncle, d’une tante, d’un cousin, d’une cousine… Peut-on inclure?)…

    Quel est – objectivement- l’intérêt qu’il y a, à inscrire tel ou tel conjoint d’un cousin, d’une cousine au 2ème, 3ème degré ? (Pourquoi pas si on le décide?)

    Y-a-t-il des « limites » à la constitution d’un arbre généalogique ? Et lesquelles ?

    Il y a bien là, un « vrai débat » (intéressant et ouvert en rapport du choix que l’on fait d’inclure telle ou telle personne dans son arbre)…

    Pour employer une « image » si je puis dire, « représentative et pouvant avoir un intérêt » (déjà pour soi-même et ensuite dans une perspective de transmission et de communication pouvant « créer des liens familiaux ») ce serait, cette « image », celle d’une sorte de « cosmos familial sur le modèle de l’immensité de l’univers »… Autrement dit « plus il y a d’étoiles connues et identifiées et sériées dans le cosmos, et plus vient l’idée de se sentir relié à tout ce qui peut être connu et identifié dans l’univers » …

     

    La question se pose aussi de « remonter le plus loin possible dans le passé ». Pour peu que l’on arrive à parvenir dans la mesure où l’on déchiffre (arrive à lire) les documents anciens (très anciens) concernant la personne, dans le meilleur des cas en général pour le « commun des mortels » la « frontière » peut se situer dans la seconde moitié du 17ème siècle (les années du règne de Louis XIV)… Avant 1650, là, c’est l’obscurité quasi totale (la guerre de trente ans déjà…, la guerre de cent ans, la grande peste de 1350…)

     

    Enfin une « dernière question » si l’on peut dire : qui, de nos jours, dans le monde où nous vivons, effectue vraiment des recherches « longues et très approfondies » et a un arbe « étoffé » de plus ou largement plus, de 63 personnes ?

    Est-ce que, quand on est jeune, avant 30 ans, on s’intéresse beaucoup à la généalogie, et est-ce que l’on pense – enfant ou adolescent – à interroger nos parents, nos grands parents… Et eux-mêmes nos parents, nos grand-parents, lorsqu’on était enfant et adolescent, nous ont-ils informés (vraiment informés) ?

     

     

     

  • Droit du sol en France

    Un enfant né en France, de parents étrangers vivant en France mais ni l’un ni l’autre des deux parents ne sont nés en France, se voit automatiquement attribuer la nationalité française le jour de ses 18 ans (majorité à 18 ans en France)… À condition cependant de résider en France à la date de ses 18 ans et d’avoir sa résidence en France depuis l’âge de 11 ans durant une période continue ou discontinue de 5 ans…

    Cet enfant né en France, de parents étrangers vivant en France n’étant ni l’un ni l’autre né en France, jusqu’à sa majorité à 18 ans, a la nationalité de ses parents.

     

    Un enfant né en France dont l’un des deux parents est né en France (mais n’a pas la nationalité française) bénéficie du droit du sol et de la nationalité française dès sa naissance.

     

    Dans le cas de parents étrangers vivant en France, qui ne sont ni l’un ni l’autre nés en France, ils peuvent s’ils le souhaitent, demander conjointement (tous les deux) que leur enfant né sur le sol Français, obtienne la nationalité française avant d’avoir atteint l’âge de 18 ans (mais sous certaines conditions notamment de résidence)…

     

    Sous l’Ancien Régime avant 1789, et depuis le 16ème siècle, le droit du sol en France prévalait (mais sans être comme « inscrit dans le marbre »)… En ce sens, donc, depuis le 16ème siècle et jusqu’à 1789, toute personne née en France (ou plus exactement sur le sol du Royaume de France) était française (ou plus exactement était un sujet du Roi de France).

    À la Révolution (1789) lors de la promulgation de la constitution de septembre 1791, le droit du sol en l’état où il se pratiquait avant 1789, est alors fixé (validé, entériné) dans la Constitution (« inscrit dans le marbre » si l’on veut)…

     

    Il est certain qu’au 21ème siècle les conditions de vie, de mouvements et flux de populations, de démographie surtout, et d’environnement de société dans une diversité et dans une complexité accrues… Ne sont plus du tout les mêmes que du temps de la Révolution Française fin 18ème siècle, et que du temps de l’Ancien Régime avant 1789…

    Les conditions ne sont plus les mêmes, et la réalité non plus, de nos jours…

    Et la réalité telle qu’elle est, telle qu’elle se vit au quotidien par les gens, dans sa complexité, dans sa diversité, dans tous ses aspects, ne peut être occultée, ne peut être que reconnue du fait de son existence, de sa prégnance…

    En 1789 par exemple, Mayotte faisait partie de l’archipel des Comores et n’a été française qu’en 1841 (mais en 1841 il n’y avait pas de « dispositions sociales pour protéger les personnes démunies et leur assurer un revenu d’assistance)… Or Mayotte notamment depuis 2011 lorsque les Mahorais ont demandé à ce que leur île soit déclarée département français, se trouve à une courte distance maritime de pays d’Afrique (et des autres iles comoriennes) d’où partent beaucoup de gens à destination de Mayotte, un territoire d’à peine 374 kilomètres carrés devant supporter déjà 300 000 personnes recensées (mais en réalité avec en plus, environ 100 à 200 000 autres personnes non recensées, clandestines – dont beaucoup, notamment de mères comoriennes ou africaines donnant naissance à leur enfant sur le territoire de Mayotte…

     

    La réalité actuelle qui est celle liée au droit du sol en France, n’est pas une réalité pouvant faire l’objet d’une question de « morale », de gestion dans quelque réglementation que ce soit (ou de dispostions prises par un gouvernement), ou de vision de quelque ordre social que ce soit selon des vues de partis politiques ou d’opinions publiques dans un sens ou dans un autre)… La réalité n’est autre que ce qu’elle est, et elle est, la réalité, comme la formation nuageuse que l’on voit apparaître dans le ciel, comme la foudre lors d’un orage qui fend un arbre en deux, comme une rivière qui déborde, comme une forêt qui brûle, comme un séisme, comme une tempête (est-ce qu’on « commande » à tout cela, est-ce qu’on « régule » ou « légifère » face à tout cela?)…

    Tout ce que l’on peut faire c’est « tendre le dos, s’adapter en conséquence, « faire avec, que ça plaise ou non »…

     

    C’est donc pas le Rassemblement National de Marine Le Pen et de Jordan Bardella, ni le « ras le bol » exprimé par des millions de Français au sujet de « tout ce qui ne pas dans ce pays », ni la vision « Mélanchonienne » ou autre de « gauche », ou une vison « morale humaniste et tout ce qu’on veut dans ce sens « , ni non plus la volonté de gérer au mieux et avec de nouvelles dispositions, du Gouvernement de Gabriel Attal avec Emmanuel Macron président de la république… Qui va empêcher la réalité d’être ce qu’elle est !