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  • Ah, tous ces "bouffeurs" du soir !

    Lors de sorties qu’il m’est arrivé de faire durant ce dernier été, et encore cet automne, à Gérardmer, Saint Dié, Kaysersberg, Alsace, route des vins et autres lieux fréquentés en Lorraine… J’ai été surpris de voir tous ces gens attablés – en terrasse donnant sur la rue mais autant à l’intérieur – le soir, dans les restaurants, dès 19h voire parfois avant…

    C’est donc fou, ce que l’on peut « bouffer autant le soir qu’à midi » pour bien des gens, pas forcément des jeunes de 30/40 ans en bonne santé et « aux dents longues » mais aussi des « rassis », des « seniors et senioresses » de plus de 70 ans même !

     

    Toutes ces « bouffes », ces plats, ces menus, ces cartes s’ouvrant en chemises à plusieurs volets, ces pinards (avec la carte des pinards), ces cinquante mille sortes de préparations culinaires souvent avec des sauces aux noms bizarres et imprononçables sortis « de derrière les fagots »… Et dans les quantités servies, sur des assiettes carrées, rectangulaires, en losange, en triangle, coins recourbés… Ça me donne le tournis ! Et « ça ne me fait ni rêver ni saliver » (rire)…

     

    Si le « fast food » c’est vrai, envahit notre pays et entre dans les habitudes des gens notamment des jeunes ; il n’en demeure pas moins que la restauration traditionnelle et gastronomique « ne se porte pas si mal que cela », et qu’il y a encore une importante clientèle de tous âges et en famille ; pour se rendre en quelque établissement renommé proposant un menu du jour à la carte « dans les 20,25,30 euro  - ou plus »…

     

    Et l’on voit souvent écrit « fait maison et avec des produits locaux »… Mais l’on « sait sans le savoir », aussi, que beaucoup de viandes d’animaux d’élevage, de denrées, de fruits, légumes… Viennent d’Amérique, d’Afrique, de Chine, d’Australie ; dans le cadre de traités économiques de marché passés avec des pays qui « ne respectent pas certaines normes relatives à la santé publique »…

     

    « Bouffer autant le soir qu’à midi, des repas complets avec hors d’œuvre plat fromage dessert »… Il semble que ce soit la norme dans tout le monde développé de la consommation de masse… Du moins pour – rien que chez nous en France – des millions de gens ayant « budgétairement parlant » la capacité de dépenser des 20,25,30 euros dans les restaurants autant le midi que le soir…

    Il faut croire que tous ces gens qui « bouffent le soir autant qu’à midi » n’ont pas de problème de digestion (soit dit en passant, des renvois de choucroute, de gratin dauphinois, de civet de chevreuil, de navarin, de gambas en sauce américaine et autres préparations bien sauçues aux divers fumets… à une plomb’du mat en discothèque dans une danse rapprochée, « c’est pas très heureux ! » (rire)…

     

  • Série Histoire de France sur France 2

    Lundi 22 ocobre épisodes 5 et 6… Dans cette série documentaire « Notre Histoire de France » réalisée par Caroline Benarrosh, Yannick Adam de Villiers et François Tribolet, nous sommes – je me risque à le dire - « dans une Histoire pour les Nuls »… Mais l’on doit cependant reconnaître que, vu le niveau de culture historique actuel du commun des mortels dans ce beau pays de France, notamment chez les jeunes des écoles, des collèges et des lycées – mais également chez les 30/40 ans… L’on pourrait tout de même qualifier ce documentaire Notre Histoire de France , de « premier choix », ayant au moins le mérite d’esquisser « dans les grandes lignes » l’histoire de notre pays, la France…

     

    Je ne sais pas si c’est « si heureux que cela » d’introduire comme témoin des événements de chaque époque évoquée (comme s’il s’y trouvait au beau milieu des personnages de chaque époque en tant que narrateur présent sur les lieux) le comédien Tomer Sisley…

    Les passionnés d’Histoire ayant acquis -disons- « quelques connaissances » en regardant cette série documentaire « n’apprendront certainement rien de plus que ce qu’ils savent déjà »…

     

    Espérons que l’historienne Claude Gauvart, spécialiste du Moyen Age, tout comme Georges Minois ; se révèle « assez convaincante » dans sa tentative de rétablir la réalité historique du personnage mythique de Jeanne d’Arc – que tout croyant qui se doit et que même des gens ne mettant jamais les pieds à l’église – pense avoir été inspirée de Dieu par des voix entendues (ce qui fonde la légende)…

     

    Les « gros plans » sur les combats, sur les batailles, sont surtout à mon sens des « effets d’image » … Soit dit en passant je « rigole » en pensant à certaines personnes « sensibles » (plus des femmes que des hommes) « horrifiées » à la vue des « trucidages » à l’épée ou à la masse de fer… Qui néanmoins ne grimacent pas à la vue de la côte de veau servie dans leur assiette, ou à la vue d’une fricassée de cuisses de grenouilles…

    Et je « rigole » aussi en pensant à de jeunes dames et demoiselles ou même à des personnes d’une sensibilité exacerbée et « bizounoursique », horrifiées à l’évocation d’une tuaille de lapin ou de cochon pratiquée à la ferme dans la campagne des années 1950… Toutes ces personnes décidant de ne pas regarder « Notre Histoire de France » sur France 2 « parcequ’il y a trop de tueries et de massacres »…

     

     

  • Changement d'heure

    Deux fois dans l’année, c’est une galère pour changer l’heure des montres digitales à quatre boutons poussoirs S1 S2 S3 S4, lesquelles montres offrent l’avantage d’être phosphorescentes la nuit quand tu te réveilles pour une raison ou une autre et souhaites voir l’heure qu’il est, avec appui sur S1 en haut à gauche

    Un appui long sur par exemple S3 sur la droite puis un appui sur S2 droite pour accès à « SET » puis régler avec S3 ou S4 droite, valider par nouvel appui S3… Quelle galère ! D’autant plus que selon le modèle de la montre – il y a 36 modèles différents – c’est jamais tout à fait la même procédure pour modifier l’heure !

    Lire le mode d’emploi, c’est une chose, mais comprendre et appliquer, c’est autre chose !

    Donc c’est bien plus simple avec les montres à aiguilles où il suffit de tirer le petit bouton sur le côté droit pour faire bouger l’aiguille des heures dans le sens voulu… Mais en général, les montres à aiguilles ne sont jamais phosphorescentes la nuit !

    Quant à l’horloge intégrée dans le tableau de bord de la voiture, c’est encore plus galère ! Du coup, je laisse pendant sept mois l’heure d’hiver si c’est en février que j’ai acheté la voiture.

    Et il y a encore l’horloge de la cuisinière électrique ou à induction…

    « Question à deux balles » :

    Est-ce que celui ou celle qui sait faire, se trompe jamais, n’hésite jamais, maîtrise en un quart de seconde – et, soit dit en passant, prend celui qui sait pas faire pour un con ou un demeuré, est plus intelligent qu’un autre ?

    Et, « question subsidiaire » :

    Qu’est ce que l’intelligence, domment définit-on l’intelligence, sur quels critères ?

    Et, que dire du rat qui parvient à choper le petit bout de fromage fixé sur le crochet de la tapette sans que la tapette se détende et tue le rat… (Et idem pour la souris) ?

    Et que dire de la poule qui se démène à coups de bec répétitifs pour choper du grain derrière un grillage en face d’elle, alors que le grillage n’a qu’un mètre de long et qu’il suffirait à la poule de contourner le grillage ? La poule qui, pourtant, te reconnaît au son de ta voix quand tu l’appelles !

     

     

  • Propagande dominante

    Combattre la haine avec des manifestations, des haut-parleurs diffusant des discours, en invoquant les droits de l’homme, en faisant appel aux tribunaux, aux lois internationales, à la justice, en déplorant la vindicte publique et la vengeance…

     

    Combattre la haine par la littérature, par l’art, par la culture, par l’éducation, par ce que la civilisation apporte d’humanisme, de justice, de bienfaits, de progrès dans la société… C’est, tout cela, ce à quoi croient environ un milliard d’humains c’est à dire un milliard de personnes dans le monde qui ne sont pas au quotidien de leur vie, directement confrontés à la violence, à l’insécurité, à la précarité ; et qui pensent que les hyènes et que les chacals peuvent être apprivoisés…

     

    C’est là une propagande, que celle d’un milliard d’humains, qui consiste à résister à la haine, à tendre la main, à comprendre, à considérer, à reconnaître, à composer, à concilier… Qui, dans une réalité brute, une réalité crue et nue, est en train de détruire la société, la civilisation même, qui est parvenue tant bien que mal à s’édifier à travers les siècles, sinon à travers les millénaires…

     

    Et en face de cette propagande il en est une autre, sans doute encore bien plus puissante, et qui elle, s’adresse à beaucoup plus qu’un milliard d’humains, appelle à adhérer, à croire en son bien fondé et en sa mission ; c’est cette propagande là, la propagande islamiste – ou d’islamisation du monde…

     

    Une propagande disposant de moyens financiers et humains (troupes, groupes, agents infiltrés) colossaux, à tel point que bon nombre d’organisations internationales -même humanitaires- sont investies, infectées…

     

    Car il existe – c’est une réalité- une ligue islamiste mondiale dont le Qatar, l’Iran, le Pakistan, l’Arabie Saoudite, les Emirats, l’Algérie, l’Egypte, font partie…

     

    L’organisation du travail – salarié ou contraint forcé – ainsi que l’organisation de la société en l’absence de démocratie et de liberté et dans une soumission totale, dans l’islamisme, est pire que celle qui existait au Moyen Age, pire que celle, imposée au 21ème siècle par les dominants, possédants et décideurs de l’économie libérale capitaliste marchandisée mondialisée…

     

    La haine, « eux » les islamistes et leurs milices, leurs troupes, leurs combattants, leurs dirigeants – et leurs infiltrés – ils ne la combattent pas, au contraire ils la distillent, la propagent, l’encouragent, la prônent…

    Et la manière dont environ un milliard d’humains dans le monde combat la haine, produit les mêmes effets qu’une politique de collaboration avec l’ennemi et l’envahisseur…

     

    La violence armée en réaction à ce que produit la haine, fait, occasionne ce que l’on convient d’appeler « des victimes collatérales »… Et ce sont ces victimes là qui « posent problème », sensibilisent, orientent les opinions (comme par exemple en 1944 lorsque les Alliés ont rasé Caen pour déloger et éliminer les occupants nazis, toute la France encore pétainiste anglophobe condamnait les bombardements des Alliés en Normandie)…

     

    Le Hamas et le Hezbolah, c’est comparable au nazisme : ils sont, le Hamas à Gaza, et le Hezbolah au Liban, comme à Caen et au Havre en 1944 étaient les Nazis occupants, au milieu d’une population autant subissante d’un côté, qu’adhérente de l’autre côté…

    Et… Eliminer, tuer les dirigeants, ça désorganise, mais restent les combattants sur le terrain, livrés à eux mêmes et non dirigés, qui font autant de mal chacun isolément… (le côté positif qu’il y a dans l’élimination d’un dirigeant, cependant, c’est que les combattants peuvent ne plus s’entendre entre eux et se séparer en plusieurs groupes, ce qui décoordonne leur action et donc les affaiblit)…

     

    Bien sûr être Libanais et pas pro Hezbolah, ou être Gazaoui et pas pro Hamas, et avoir une jambe arrachée ou être déchiqueté et broyé dans l’écroulement d’un immeuble bombardé, c’est dramatique, c’est injuste… Mais y’a-t-il une autre solution que le recours à la violence ? Nous citoyens de pays de l’Union Européenne et des Etats Unis d’Amérique, dans notre confort et dans notre sécurité relative, éloignés que nous sommes des zones de guerre, juste des observateurs qui voient à la télé, nous ne sommes pas sur place, au Liban, à Gaza, en Israël… Confrontés directement à la violence, aux conséquences de la guerre…

     

  • Désespoir

    « L’habitude du désespoir est pire que le désespoir lui-même » ( Albert Camus )

     

    Il faut dire que l’habitude du désespoir est entretenue par l’opinion dominante axée sur tout ce qui va mal et ne s’articule jamais sur ce qui va bien…