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  • Prendre le temps ou non, de parler

    Certaines personnes vous parlent quand elles ont le temps et d’autres libèrent leur temps pour vous parler. Faites la différence…

     

    Oui, mais la différence c’est aussi cela :

     

    Qu’elles vous parlent quand elles ont le temps ou qu’elles libèrent leur temps pour vous parler… Encore faut-il savoir de quoi il y a lieu de parler !

     

    Déjà, de vive voix et en face l’un de l’autre, c’est mieux (peut-être plus facile?) que par téléphone… En effet le problème à mon sens majeur de la communication par téléphone c’est « comment conclure, lequel des deux décide de la conclusion et comment » – en principe celui qui conclue c’est celui qui a appelé l’autre…

    C’est la raison pour laquelle « par mail » ou par « message rédigé » c’est plus aisé parce que pour conclure ça se fait tout seul sans problème donc sans tergiversation stressante (« à plus, bien à toi, bises, bonne journée » )…

     

    Savoir de quoi parler c’est pour ceux et celles qui ont entre eux des intérêts communs relatifs à des faits ou à des sujets de la vie quotidienne que l’on partage (jardinage, promenade, sortie, cinéma, télé, actualité du coin et ou du monde autour de soi, météo, « dadas » qu’on a en commun, projets de l’un ou de l’autre…)

    MAIS… Lorsque les intérêts, les activités, le mode de vie entre l’un et l’autre sont totalement différents et que l’un des deux n’est pas du tout intéressé par ce que peut faire l’autre dans la journée… Et qu’en plus y’en a un des deux qui revient à chaque fois sur le même sujet qui « pose problème »… Alors que tu aies le temps ou non de parler, ou que tu aies la volonté de bien vouloir prendre le temps « ça ne change pas grand’ chose ! » dans la mesure où cela n’incite ni l’un ou ni l’autre à parler (de vive voix ou par téléphone) – dans ce cas le silence s’avère « confortable » (et l’on s’y habitue très bien)…

     

    « Il y aurait beaucoup à dire » sur le silence, sur l’absence, sur l’indifférence – supposée ou réelle – des autres, ou de tel autre en particulier qu’il soit un proche, une de ses connaissance…

    « Beaucoup plus… À réfléchir en fait… »

    Parce que cela n’a pas forcément quelque chose à voir avec une morale, avec un principe, avec du bien ou mal fondé – il faut considérer la réalité de telle ou telle situation de relation , avant de reprocher quoi que ce soit ou au contraire de louer, de « montrer en exemple un comportement jugé convenable »…

     

     

  • À Rive-de-Gier les notaires et les agents immobiliers ont les pieds dans l'eau

    Les sinistrés de l’innondation du 17 octobre 2024 auront du mal à s’équiper en équipements de bricolage, en moquette, tapisserie, peinture, enduits, mobiliers, et de tout ce qui est nécessaire pour réaménager un salon, une cuisine, une chambre, un garage, dévastés ; puisque les grandes surfaces de bricolage ont elles mêmes, comme les notaires et les agents immobiliers, les pieds dans l’eau… Et en conséquence les sinistrés devront pour s’approvisionner en divers matériaux et outillages, se rendre dans d’autres centres commerciaux situés à une vingtaine, une trentaine de kilomètres, à la périphérie d’une ville où la rivière la plus proche coule en contre bas d’un plateau surrélevé… Sous réserve que leur véhicule n’ait point été emporté par les eaux ou devenu inutilisable, le moteur recouvert de boue…

    J’imagine dans les vitrines des agences immobilières à Rive-de-Gier, toutes ces annonces de logements, maisons, terrains, à vendre, acheter, louer…

    J’imagine également des propriétaires de maisons, d’appartements, à Rive-de-Gier, désireux de vendre leur bien plutôt par nécessité que par désir de réaliser une opération rentable…

    Il y a là « quelque chose de tout à fait surréaliste » - qui « laisse rêveur » et qui « interroge …

    Envisager de se fixer, de se loger, d’habiter, d’être propriétaire… Dans un centre ville proche d’une rivière ou d’un fleuve, ou dans une campagne plus ou moins urbanisée de lotissements et de résidences, inondable… Est-ce un projet, un rêve, une aspiration, un souhait « raisonnable » ? En effet, s’il faut dans l’avenir, tous les deux ans voire même tous les ans, « tout refaire »… Autant éviter et préférer se fixer, se loger, être propriétaire, mais sur un plateau surrélevé ou loin d’un cours d’eau ! Mais… Encore faut-il que l’endroit choisi pour construire et pour habiter, ne soit pas aussi, proche d’une forêt de résineux… Sans compter que, n’importe où en France, en Europe et dans le monde peut survenir à tout moment de l’année hiver ou été, une tempête dévastatrice, un ouragan, un cyclone, une tornade, une averse de grêle, un très violent orage… Sans oublier les zones sismiques à risque…

    La terre et la pierre peuvent-ils encore être des « placements intéressants » ? Et la fierté de posséder une belle demeure, bien arrangée, bien conçue, dans la modernité ; ne va-t-elle pas cette fierté, être « mise à mal » ?

     

     

  • Episode cévenol

    Après les inondations en Eure et Loir, Seine et Marne, ainsi que dans d’autres départements situés au nord de la Loire, dont Paris et l’Ile de France entre le 9 et le 12 octobre 2024, voici à présent le 17 octobre et les jours qui suivent, cet « épisode cévenol » bien connu depuis déjà plusieurs années, qui sévit, causant de catastrophiques inondations en Ardèche, Lozère, département de la Loire… Ce sont, du jour au lendemain, de nombreuses habitations, commerces, entreprises artisanales, agricoles et industrielles, dévastées, des centaines de personnes sinistrées, évacuées, dont les maisons de nombreuses personnes sont devenues inhabitables vu les dégâts occasionnés…

    Et nous ne sommes qu’en automne, avec l’hiver à passer, plusieurs mois durant lesquels, inévitablement, d’autres intempéries dévastatrices vont survenir dont ces fameuses très fortes tempêtes hivernales avec des vents de plus de 120 km/h, des arbres et des toitures qui vont être arrachés… De la détresse en perspective pour des milliers de personnes, de familles…

    Que va-t-il en être de la capacité des assureurs à gérer et à indemniser ? Car ce sont à chaque fois, des centaines de déclarations de sinistre en l’espace de quelques jours, que reçoivent dans leur boîte mail, les sociétés d’assurance qui, chacune d’entre elles, pour leur secrétariat, travaillent « à flux tendus » devant répondre à toutes ces demandes, bien plus qu’il n’en faut par jour et par employé au secrétariat… Au point d’arriver à saturation…

    Et par la suite, pour les indemnisations, il faudra des mois, voire des années afin que les sinistrés puissent financer des réparations voire des reconstructions d’habitations, de telle sorte qu’en attendant les sinistrés restent plus de six mois avec la bâche des pompiers recouvrant la toiture dévastée. Et, se débrouillant par leurs propres moyens forcément limités, et devant donc opter pour du provisoire !

    Et toutes ces voitures emportées par les eaux, devenues inutilisables, des centaines de véhicules… Cela donne le vertige rien que d’y penser !

    Et tous ces maçons, ces menuisiers, ces couvreurs, déjà « en temps normal » si fortement sollicités, souvent des entreprises d’à peine 5 salariés, qui devront être « partout à la fois » ! Une gageure !

    Il y a bien – c’est une réalité de surcroît durable – une énorme et évidente disproportion entre d’une part la capacité des assureurs à gérer et à indemniser ; et d’autre part, le nombre exponentiel, croissant, des sinistres !

     

  • L'humour du jour, samedi 19 octobre 2024

    Pour les croyants chrétiens et juifs, Yahya Sinouar, le chef du Hamas, ira en enfer…

    Tandis que pour les croyants musulmans, Yahya Sinouar ira au paradis…

    Mais alors « s’il n’y a qu’un seul dieu pour l’ensemble de l’humanité », que décidera ce dieu « de tous » pour Yahya Sinouar ? Il ne peut tout de même pas aller à la fois et en enfer et au paradis ! Une sorte de purgatoire ?

    Le dieu des chrétiens (celui des juifs ça doit être pareil?) dit « tu ne tueras point » (depuis, il faut le préciser, la loi dictée par dieu à Moise sur le mont Sinaï)…

    Le dieu des musulmans Allah fait dire par son prophète Mohamed dans le Coran « l’infidèle doit être tué » mais, paradoxalement le Coran appelle à l’amour et à la paix (ce qui sous-entendrait que l’on ne devrait pas tuer son prochain)…

    Bon… Pour résoudre le problème entre l’enfer ou le paradis en ce qui concerne Yahya Sinouar, je propose que l’on se réfère à un « dieu universel pour tous » qui lui, déciderait que Yahya Sinouar pour les siècles des siècles et de millénaire en millénaire, autrement dit pour l’éternité ; devrait être astreint à devoir souffrir d’une indigestion perpétuelle après avoir bouffé du couscous frelaté , et que, éternellement allongé et malade à en crever, il serait éventé par quatre jeunes femmes en hijab qui, à chaque éructation ou renvoi de couscous mal digéré, ôteraient chacune leur hijab et montreraient leurs fesses…

     

     

  • Agressivité des automobilistes en France

    ...Selon plusieurs études et enquêtes portant sur le comportement des conducteurs d’automobiles en France, le long des axes de circulation – routes et autoroutes- ainsi qu’en ville ( Le Figaro, Automobile Magazine, France Bleu, Le Monde, Sud Ouest, TFI info, Vinci Autoroutes…), de tous les pays de l’Union Européenne, la France est le pays où les automobilistes sont les plus agressifs, et il faut noter que ce sont les hommes dans 80 % des cas, qui ont des comportements agressifs…

     

    Cela ne m’étonne pas, vu la seule fréquence et en nombre, par exemple, des « coups de klaxon rageurs » - ou appels de phare en circulation sur les axes routiers – à la moindre gêne subie par un automobiliste en général seul au volant et le plus souvent un homme…

     

    Ce qu’il y a à craindre, ne peut manquer de se produire un jour ou l’autre – d’ailleurs cela a été constaté maintes fois lors d’altercation entre automobilistes – c’est qu’un conducteur habituellement paisible et peu enclin au coup de klaxon rageur, de rage et de fureur, dans une situation où il peut se trouver en face d’un accro de la klaxonade, frappe, tabasse, menace d’une arme, d’un objet lourd métallique, celui qui l’a pris violemment à partie…

     

    Comment en effet, demeurer « zen » en face d’un clampin accro de la klaxonade qui ne comprend pas que toi, tu hésites sur une direction à prendre, ni ce qui te porte involontairement à faire un léger écart, à rater une voie de présélection, à « galérer » en milieu urbain où tu n’as pas trop l’habitude !

     

    En général, l’agressivité au volant est le fait d’hommes – dont beaucoup de « rassis » - seuls dans leur véhicule, sûrs d’eux, arrogants et méprisant les gens moins habiles… Gens agressifs et arrogants et sûrs de leur « bon droit », du bien fondé de leurs idées, d’un individualisme et d’un égoïsme assez marqués, les mêmes que ceux qui crient, tempêtent, invectivent, critiquent, sur les réseaux sociaux, dans les propos qu’ils tiennent en lieux publics… Ce qui rend la vie au quotidien dès que tu sors de chez toi, invivable ; et qui fait que tu en arrives à ne plus rien oser dire, exprimer, au risque de te faire incendier !

     

    Imaginons la situation suivante :

    Un couple de retraités dans une Fiat Panda ancien modèle s’avance hésitant, dans une rue d’un bourg ardéchois inondé, il y a environ 25 cm d’eau boueuse dans la rue…

    Derrière la Fiat Panda arrive un Duster Dacia conduit par un type âgé d’une trentaine d’années, qui peste contre ces retraités jugés trop lents… Coup de klaxon rageur du type de 30 ans…

    Question :

    Seriez vous solidaire de ce conducteur rageur dont la maison se trouverait en grande partie inhabitable, envahie par les eaux, à son retour chez lui ?