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histoire

  • Série Histoire de France sur France 2

    Lundi 22 ocobre épisodes 5 et 6… Dans cette série documentaire « Notre Histoire de France » réalisée par Caroline Benarrosh, Yannick Adam de Villiers et François Tribolet, nous sommes – je me risque à le dire - « dans une Histoire pour les Nuls »… Mais l’on doit cependant reconnaître que, vu le niveau de culture historique actuel du commun des mortels dans ce beau pays de France, notamment chez les jeunes des écoles, des collèges et des lycées – mais également chez les 30/40 ans… L’on pourrait tout de même qualifier ce documentaire Notre Histoire de France , de « premier choix », ayant au moins le mérite d’esquisser « dans les grandes lignes » l’histoire de notre pays, la France…

     

    Je ne sais pas si c’est « si heureux que cela » d’introduire comme témoin des événements de chaque époque évoquée (comme s’il s’y trouvait au beau milieu des personnages de chaque époque en tant que narrateur présent sur les lieux) le comédien Tomer Sisley…

    Les passionnés d’Histoire ayant acquis -disons- « quelques connaissances » en regardant cette série documentaire « n’apprendront certainement rien de plus que ce qu’ils savent déjà »…

     

    Espérons que l’historienne Claude Gauvart, spécialiste du Moyen Age, tout comme Georges Minois ; se révèle « assez convaincante » dans sa tentative de rétablir la réalité historique du personnage mythique de Jeanne d’Arc – que tout croyant qui se doit et que même des gens ne mettant jamais les pieds à l’église – pense avoir été inspirée de Dieu par des voix entendues (ce qui fonde la légende)…

     

    Les « gros plans » sur les combats, sur les batailles, sont surtout à mon sens des « effets d’image » … Soit dit en passant je « rigole » en pensant à certaines personnes « sensibles » (plus des femmes que des hommes) « horrifiées » à la vue des « trucidages » à l’épée ou à la masse de fer… Qui néanmoins ne grimacent pas à la vue de la côte de veau servie dans leur assiette, ou à la vue d’une fricassée de cuisses de grenouilles…

    Et je « rigole » aussi en pensant à de jeunes dames et demoiselles ou même à des personnes d’une sensibilité exacerbée et « bizounoursique », horrifiées à l’évocation d’une tuaille de lapin ou de cochon pratiquée à la ferme dans la campagne des années 1950… Toutes ces personnes décidant de ne pas regarder « Notre Histoire de France » sur France 2 « parcequ’il y a trop de tueries et de massacres »…

     

     

  • Ouvrages traitant de l'Histoire

    Dans la plupart des ouvrages historiques qui traitent dans le détail telle ou telle période, par exemple de Georges Minois « La guerre de cent ans » et « Histoire du Moyen Age » ; et de Christian Petitjean « Louis XIV »… La principale difficulté lors de la lecture de l’ouvrage, c’est celle de la succession tout au long du récit, d’innombrables noms et titres de personnages – souvent des nobles – difficulté également associée à la complexité des intrigues, des situations, des rapports de relation, d’alliances, etc. …

    Si la lecture de ces ouvrages peut permettre de conserver en mémoire une « vue d’ensemble » et laquelle « vue d’ensemble » peut, en soi, constituer un support ou un « réservoir » de connaissances sur lequel s’appuyer lors d’un entretien avec des personnes de notre connaissance intéréssées… Il n’en demeure pas moins que, quasiment jamais l’on ne parvient à préciser, de mémoire, le nom et le titre de tel ou tel personnage, ni non plus, à reconstituer exactement le déroulement de l’intrigue, du rôle et de la place des personnages dans telle ou telle situation, drame, affaire… de telle sorte qu’involontairement, on fait des erreurs, des confusions…

    Un « réservoir » ou un « support » de connaissances acquises, que l’on a pu se constituer par des lectures, par tout un travail de recherches, se trouve d’autant plus et mieux « valorisé », acquiert d’autant plus et mieux une « fiabilité et une crédibilité »… S’il est associé ou inhérent à une « culture intuitive en soi » qui, par sa sensibilité, par sa faculté de projection, de capacité analytique, parvient à demêler « au mieux » le vrai du faux (le faux n’étant pas « à proprement parler » vraiment du faux, mais de l’interprétation)…

    Il est certain, absolument certain, que « avoir beaucoup lu d’ouvrages », que « avoir effectué de nombreuses recherches » et « avoir eu souvent recours aux moteurs de recherches sur internet, voire avoir eu recours à l’Intelligence Artificielle »… Ne fait pas pour autant une Culture ! … Parce que la vraie question qui se pose – et que d’ailleurs l’on devrait se poser mais que l’on occulte- c’est de savoir ce que l’on va faire de l’acquis, du « réservoir » de connaissances », de la manière dont on va transmettre, partager, échanger…

    Parce que… Si c’est pour « faire comme la grenouille s’évertuant à devenir aussi grosse que le bœuf », cela n’a rien de convaincant, ni de fédérateur et ne contribue pas à l’évolution de la civilisation, de la pensée, de l’intelligence humaine (tout cela procédant d’une intelligence naturelle dans un ordre « universel, cosmique et intemporel)…