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  • La différence entre Androïd - tablettes - et systèmes d'exploitation Windows ordinateurs

    En général – c’est juste une constatation- les mamies et les papys qui se servent d’une tablette plutôt que d’un ordinateur – fixe ou portable – (et pas seulement les mamies et les papys mais aussi les quinquas, les quadras, les trentenaires et les ados) sont assez rarement des « accro » de la bureautique, et privilégient dans leur activité sur la Toile, la production d’images, de séquences vidéo, le visionnage de films, les achats en ligne notamment sur Amazon, les réservations de billets de train et d’avion, les recherches pour des séjours de vacances, les discussions – brèves- (avec photo, vidéo, « scoop du jour ») sur les réseaux sociaux (davantage Instagram que Facebook), la messagerie instantanée avec photo ou vidéo par messenger, whatshapp… Ainsi que les jeux en ligne, sans compter une profusion d’applis pour les courses, pour le ciné, pour les sorties, qu’ils installent sur leur tablette android…

    Il faut tout de même reconnaître qu’Android autorise la bureautique (par exemple avec Office suite 8 – mais payant-) , mais c’est « galère » ! (j’ai essayé, j’y suis arrivé, mais c’est pas facile, avec la pression du bout du doigt – sélectionner, copier/coller, etc.)…

    Le « grand avantage », cependant, de la tablette par rapport à l’ordinateur portable, mais aussi par rapport au smartphone, c’est pour lire des e-books, pour voir des films, de la vidéo, des albums de photos… Car la tablette se transporte plus facilement avec soi (plus maniable) et que l’écran d’au moins 10 pouces, de la plupart des tablettes, est plus grand que celui d’un smartphone…

    Ce n’est pas pour autant « si probant que cela », mais l’on reconnaît ainsi, entre utilisation de tablette et utilisation d’ordinateur, à quel genre de personne on a affaire… Puisque, visiblement, les utilisateurs de tablette en général, sont davantage des « consommateurs de produits de loisirs et d’activités de la vie au quotidien » que des passionnés d’écriture ou de productions personnelles, que des créateurs, des imaginatifs, des artistes… Qui eux, ont forcément besoin de suite bureautique telles que celles pour les ordinateurs avec système Windows et outils « fichier, insertion, copier, coller, format, etc. …

     

     

  • Mortalité par catastrophes naturelles et par guerres en rapport avec la population mondiale

    En 2023 les catastrophes naturelles survenues dans le monde – toutes confondues – ont tué 86 473 personnes.

    Et les guerres en 2023 ont tué 122 000 personnes dont 71 000 en Ukraine et 23000 à Gaza ; ce qui hors Ukraine et Gaza, porte le nombre de victimes dans le monde -toutes guerres et conflits hors Ukraine et Gaza – à 28000…

     

    Soit 208473 victimes – guerres ET catastrophes naturelles en 2023, pour une population mondiale de 8 milliards d’humains.

     

    Ce qu’il faut dire de ce nombre de victimes, et la « lecture » qu’il convient de faire, de ce nombre de victimes… En somme la réalité qu’il en ressort – ou le constat – c’est que :

     

    Au 20ème siècle – en 1918 – il y avait 1,8 milliards d’humains et la 1ère guerre mondiale a causé la mort de 20 millions de personnes (civils et militaires)…

    Durant ce même 20ème siècle en 1942 il y avait 2,4 milliards d’humains et la 2ème guerre mondiale a causé la mort de 60 millions de personnes (civils et militaires)

     

    En 1789 il y avait un peu moins d’1 milliard d’humains (1 milliard en 1800).

     

    « Si mes calculs sont exacts » la 1ère guerre mondiale a fait disparaître environ 1,11 % de la population de 1918.

    Et la seconde guerre mondiale en a fait disparaître 2,5 % par rapport à la population de 1942.

     

    Avec les guerres de 2023, 122 000 victimes, c’est durant cette année 2023 : 0,001525 % de la population mondiale qui a disparu…

     

    Avec les catastrophes naturelles toutes confondues en 2023, ce sont : 0,001081 % de victimes…

     

    La conclusion ou plus exactement l’analyse ou la constatation qui s’impose c’est que :

     

    Avant 1800, proportionnellement à la population mondiale de telle ou telle époque (Moyen Age, Antiquité), il mourait beaucoup plus de 2,5 % de la population par guerres, violences, massacres…

    Rien qu’un exemple : les armées de la Convention en 1793/1794, ont fait disparaître en Vendée et Ouest de la France, 250 000 personnes…

    Les guerres des Mérovingiens et celles des Bysantins entre les 5ème et 8ème siècles faisaient disparaître dans de nombreux massacres et de combats entre troupes de guerriers, des dizaines de milliers de gens…

     

    Donc (rire) : le monde de 2023/2024, avec 0,001525 % de morts par guerres… Est « un monde d’enfants de choeur » !

     

    Et, quant aux catastrophes naturelles, avec actuellement 0,001081 % de victimes, on est très loin, très très loin du nombre de victimes dans le monde antique méditérranéen, dans l’Europe du Moyen Age…

     

     

    Et, autre constatation :

    Les armes du 21ème siècle sont tout autrement bien plus puissantes et ont une capacité de destruction massive ainsi qu’une efficacité dans les guerres et dans les conflits ; que les armes dont on se servait dans l’antiquité, au Moyen Age et au 19ème siècle… Et pourtant, elles font beaucoup moins de victimes de nos jours que jadis ! …

    Bien sûr la barbarie n’a pas disparue ( génocide de six millions de Juifs, d’un million d’Arméniens, d’un million de tutsis entre autres massacres de populations, d’actes de tortures, de tueries)… Mais… Est-ce qu’il y a quelque part dans le monde où nous vivons présentement, par exemple, comme en Vendée en hiver 1794, des dizaines de milliers de femmes et d’enfants jetés vivants dans des fours ?

    Bien sûr il y a les bombardements qui tuent, blessent, mutilent des milliers de civils…

     

     

  • La motivation face aux contraintes liées au changement climatique...

    Notamment en ce qui concerne la mise aux normes et l’aménagement des habitations dans le but de réaliser des économies en énergie, de réduire le nombre des « maisons passoires »…

     

    Prenons le cas d’un couple âgé de retraités à modeste revenu mensuel – 1000 euros – demeurant dans une « maison passoire », une vieille maison dans laquelle s’imposerait rénovation, réaménagement, mise aux normes 21ème siècle, travaux d’isolation, installation de pompe à chaleur ou géothermie, etc. … Lequel couple de retraités pouvant néanmoins bénéficier d’aides du Gouvernement lui permettant de financer jusqu’à 90 % des travaux ; et qui ne se déciderait point pour autant à améliorer l’état de son habitation, continuant à se chauffer avec des poêles à pétrole ou des appareils à gaz, à ne rien faire pour l’isolation, etc. … Puisque selon les dires de ce couple de retraités âgés : « dans quelques années on devra quitter la maison, aller en EHPAD, qu’on n’a pas d’enfants ni de petits enfants pour hériter, et qu’après nous le déluge ! »

    Ce qui est le cas dans notre pays, actuellement, d’au moins près de deux millions de retraités de plus de 70 ans aux revenus mensuels inférieurs à 1000 euro et qui en dépit des aides gouvernementales accordées pour changer de mode de chauffage, pour isoler leur habitation, sont démotivés, se satisfont des conditions dans lesquelles ils vivent, leur habitation demeurant en l’état où elle se trouve ; et qui, tous ces retraités là, soit n’ont pas d’héritiers, soit ont des enfants qui se sont établis très loin d’eux, vendront la maison en l’état où elle se trouvera à leur disparition…

     

    Rénover, faire écologique et économe en énergie, oui… Mais pour un couple de trentenaires avec enfants, accédant à la propriété, se portant acquéreur d’une maison à rénover – avec pompe à chaleur ou géothermie, isolation – et cela pour les nombreuses années de la vie de ce couple ; c’est motivant, logique, c’est le bon choix…

    Mais à 70 ou 80 ans, pour qui pour quoi et pour combien d’années -si peu à vrai dire ? Pour des « clampins on sait pas lesquels » qui se porteront acquéreurs de la maison « en l’état où elle se trouve »… Et qui eux, feront ce qu’il faut faire…

     

    En ce qui concerne le transport en voiture pour ses déplacements – se rendre au travail, en courses – pour ses loisirs, voyages… Le nombre de gros véhicules « mastoc » genre 4X4, haut sur roues, de voitures imposantes, puissantes, confortables – de plus de 30000 euro à l’achat – est encore assez conséquent dans notre pays, tous ces véhicules étant thermiques et donc, de forte consommation en carburant… Il ne se passe pas un seul jour sans que l’on aperçoive autour de nous ces grosses voitures, Dodge, Pick-Up, etc. … Alors que les possesseurs de ces gros véhicules, en général des gens de 30/40 ans, habitent dans des maisons « aux nouvelles normes écologiques d’économie d’énergie »…

     

     

  • La prison intérieure

    Cette prison intérieure en fait, est comme une bulle en laquelle tout notre moi (notre intériorité) est enfermée…

    Cependant, depuis l’en dehors de la bulle, l’observateur qui est une autre personne ou plusieurs autres personnes, ou encore tout un ensemble de personnes autour de nous ; voit bien, très nettement, tout ce qui paraît, de l’intérieur de la bulle, à savoir les reflets irisés de quelque élément dans la bulle, et même, quoique souvent déformé, ce que contient un élément dans la bulle, ou ce que contiennent plusieurs éléments voire presque tous les éléments dans la bulle…

    Tout ce qui paraît oui, mais pas ce qui ne se voit pas, ne se sait pas, ne se montre pas, se dissimule, se garde en soi…

     

    De même que l’on est tout seul dans sa bulle du fait que les autres n’y peuvent entrer – puisque chacun des autres est dans sa propre bulle – l’on est « tout seul dans sa peau » puisque chaque autre que nous-mêmes, fût-il un très proche (l’ami absolu en quelque sorte, ou la personne la plus chère et la plus fidèle que l’on peut avoir auprès de soi) ne peut pas être à la fois dans sa propre peau et dans la nôtre, au point par exemple de ressentir réellement et avec autant d’acuité, ce que nous ressentons dans notre chair…

     

    Mais – il faut le dire parce que c’est une réalité vraie, absolument certaine et intemporelle – il y a cette « enveloppe de la bulle » faite d’une sorte de « matière » extrêmement ténue, transparente, et… traversable… Oui, je dis bien traversable… Mais pas, pour autant directement et concrètement traversable… En fait – et de fait – la « traversée » s’opère comme par une source de lumière fugitive, qui semble percer l’enveloppe mais ne fait en réalité que s’y fixer durant un bref instant, pouvant être imperceptible, le « flash lumineux ou éclairant » atteignant notre intériorité, le cœur même de notre intériorité… Alors nous vient une intuition, une connaissance, quelque chose de l’autre en nous qui vient nous rejoindre… Et qui d’ailleurs n’a pas de « propriétaire », procédant d’ un bien commun aux humains et aux êtres vivants, un bien commun pour autant qu’une quantité si minime soit-elle de ce « bien commun » soit présente et se manifeste… Et ainsi se fonde en nous par l’apport de ce qui, de l’autre, des autres, nous rejoint ; une culture faite de « l’en dedans de nous » et de « l’en dehors de nous »…

     

    Mais cela ne se passe pas tout à fait de la sorte :

    Déjà, la seule culture de « l’en dedans de nous » liée à ce que nous ressentons, à ce que nous percevons « dans notre peau » tout cela fondant notre propre vision du monde, de la société, et qui nous motive dans nos activités, nos aspirations, dans tout ce que nous exprimons, dans nos choix, dans nos décisions… Exerce durant toute notre vie une « force gravitationnelle » dont le pouvoir est le même que celui des barreaux d’une prison…

     

    Et de surcroît, la culture qui est celle, venue de « l’en dehors de nous » est aussi une culture qui exerce durant toute notre vie, une force ou une pression dont il est difficile de se libérer…

     

    Et la culture venue de « l’en dehors de nous » en cette première moitié de 21ème siècle, c’est celle, prioritairement, des Télés et des Réseaux Sociaux… Qui conditionnent et orientent les opinions…

     

    Les Télés et les Réseaux Sociaux incitent à être « pour » ou à être « contre » (ceci, cela)… Mais l’actualité étant ce qu’elle est – dans toute sa violence, dans toute sa déliquescence, dans tous ses communautarismes, dans tout ce qu’elle a d’inextricable, de désespérant, de « sans issue », d’absurde… Qu’est que cela signifie en vérité d’être « pour », d’être « contre » ? Faut-il alors « se mettre la tête dans le sable » et attendre ? La tête dans le sable ? On étouffe… Alors quoi ? Se hisser à la force de ses bras le long des barreaux de la cage, dans l’idée que tout en haut, il n’y pas de « grille plafond » ?

     

     

  • Ouvrages traitant de l'Histoire

    Dans la plupart des ouvrages historiques qui traitent dans le détail telle ou telle période, par exemple de Georges Minois « La guerre de cent ans » et « Histoire du Moyen Age » ; et de Christian Petitjean « Louis XIV »… La principale difficulté lors de la lecture de l’ouvrage, c’est celle de la succession tout au long du récit, d’innombrables noms et titres de personnages – souvent des nobles – difficulté également associée à la complexité des intrigues, des situations, des rapports de relation, d’alliances, etc. …

    Si la lecture de ces ouvrages peut permettre de conserver en mémoire une « vue d’ensemble » et laquelle « vue d’ensemble » peut, en soi, constituer un support ou un « réservoir » de connaissances sur lequel s’appuyer lors d’un entretien avec des personnes de notre connaissance intéréssées… Il n’en demeure pas moins que, quasiment jamais l’on ne parvient à préciser, de mémoire, le nom et le titre de tel ou tel personnage, ni non plus, à reconstituer exactement le déroulement de l’intrigue, du rôle et de la place des personnages dans telle ou telle situation, drame, affaire… de telle sorte qu’involontairement, on fait des erreurs, des confusions…

    Un « réservoir » ou un « support » de connaissances acquises, que l’on a pu se constituer par des lectures, par tout un travail de recherches, se trouve d’autant plus et mieux « valorisé », acquiert d’autant plus et mieux une « fiabilité et une crédibilité »… S’il est associé ou inhérent à une « culture intuitive en soi » qui, par sa sensibilité, par sa faculté de projection, de capacité analytique, parvient à demêler « au mieux » le vrai du faux (le faux n’étant pas « à proprement parler » vraiment du faux, mais de l’interprétation)…

    Il est certain, absolument certain, que « avoir beaucoup lu d’ouvrages », que « avoir effectué de nombreuses recherches » et « avoir eu souvent recours aux moteurs de recherches sur internet, voire avoir eu recours à l’Intelligence Artificielle »… Ne fait pas pour autant une Culture ! … Parce que la vraie question qui se pose – et que d’ailleurs l’on devrait se poser mais que l’on occulte- c’est de savoir ce que l’on va faire de l’acquis, du « réservoir » de connaissances », de la manière dont on va transmettre, partager, échanger…

    Parce que… Si c’est pour « faire comme la grenouille s’évertuant à devenir aussi grosse que le bœuf », cela n’a rien de convaincant, ni de fédérateur et ne contribue pas à l’évolution de la civilisation, de la pensée, de l’intelligence humaine (tout cela procédant d’une intelligence naturelle dans un ordre « universel, cosmique et intemporel)…