compteur

Ok

En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.

Journal - Page 87

  • Manifestations pour la défense de la cause palestinienne

    Si, en pensant à toutes les victimes des guerres (victimes civiles), de part et d’autre des parties engagées dans la guerre, je déplorais qu’il y eût autant d’habitants de Gaza tués (« honnêtement » oui je le déplore mais en étant davantage sensibilisé – et outré – par les victimes israéliennes du 7 octobre dernier)… J’envisageais – mais en vérité je n’envisage pas – de me rendre à une manifestation de soutien aux palestiniens, l’idée même d’envisager ne tiendrait en mon esprit qu’un quart de seconde… Et il ne me faudrait pas un deuxième quart de seconde pour « entendre à l’avance » dans la manif (la « manouf » dans mon jargon), des propos haineux à l’égard des juifs, et ce cri entre tous abhorré « hala ou akbar »…

    Car c’est bien hélas, inévitablement et quand bien même ça choque « quelques gens de Gauche », ce que l’on entend dans ces « manoufs » de défense de la cause palestinienne, ces propos haineux à l’égard des juifs, ce cri entre tous abhorré « hala ou akbar »…

    C’est la raison pour laquelle l’on ne me verra jamais dans une « manouf » de défense de la cause palestinienne… « Je ne pouvais pas mieux dire, je ne pouvais pas être plus explicite »…

     

     

  • Ces excellentes béquilles que sont Google, Bing et les bibliothèques numériques

    Jadis, du temps où internet n’existait pas, et donc, sans « Wikidedia », sans les moteurs de recherche, et à plus forte raison comme à présent « Bing »- Intelligence Artificielle logarithmique – et où pour se documenter afin d’étayer notamment une note, un texte, un article d’actualité, il fallait puiser tout ce dont avait besoin pour construire une œuvre écrite, un discours, un exposé ; dans des volumes d’encyclopédies, dans des revues scientifiques, littéraires, historiques, géographiques etc. … Et passer « un temps fou » en recherches… Ce n’était guère aisé pour un auteur, pour un écrivain, de produire une œuvre notamment sur la seule base de sa propre « culture personnelle » forcément limitée, aussi étendue qu’elle soit…

     

    « Il faut croire » - au vu de ce qui s’affiche, s’expose, se diffuse sur les réseaux sociaux, sur les blogs, dans les forums (quoique dans les forums de moins en moins) – que ces « merveilleux outils » de documentation, de recherche, avec résultat, réponse aussi rapide ; ne sont en réalité, le plus souvent, que peu utilisés par le « commun des mortels », par « l’internaute lambda » plutôt enclin à faire tourner le moteur de la « machine à émotions » et la « machine à produire du scoop et de l’effet », du mensonge déguisé en vérité, de l’imprécation, du « raccourci de propos » et de l’« à prioiri érigé en certitude »…

     

    Mais « il faut dire aussi » que, ce qui puisé dans l’immensité de la documentation numérique, ne contribue pas pour autant à construire une « vraie culture personnelle » dans la mesure où tout ce qui est puisé et qui sert à étayer un article, une note, un texte, n’est plus – comme du temps des universités du 13ème siècle – mémorisé afin de servir de base à des raisonnements, à des analyses, à de la réflexion, et à être à l’origine de création pure ( car la création pure ne vient jamais de rien, ne vient jamais du néant – tout comme d’ailleurs notre « univers connu de 13,7 milliards d’années » ne vient pas du néant)…

     

    « De bonnes, d’excellentes béquilles », oui, « Wikipédia », Google, Bing et compagnie… Et toute l’immensité de la documentation numérique en Giga Octets, en Téra Octot – abrégé Go, To… Et non plus en milliers de bouquins et de revues, et d’encyclopédies de 10 ou 12 gros volumes…

     

    Mais marcher, avancer, courir si l’on peut, avec des béquilles, ce n’est pas forcément ce qui rend les jambes plus fortes, plus musclées, plus aptes à de la grande randonnée en montagne ou en terrain difficile… Car dès que la béquille fait défaut, autrement dit dès que « Bing » a « pondu » et qu’on s’est servi de l’œuf pour faire l’omelette… Au bout d’une heure – sinon cinq minutes après- que reste – t – il de ce qui a été puisé ? … « Qu’à cela ne tienne » ! On rappelle Bing, on rappelle la « bibliothèque numérique » et « le tour est joué »…

     

     

  • Apaisement, un terme à propos duquel que penser ?

    Le terme « apaisement » dans la situation très conflictuelle du monde présent, avec notamment la guerre en Ukraine depuis le 24 février 2022 et la guerre entre Israël et le Hamas depuis le 7 octobre 2023, plus la montée de l’antisémitisme et les explosions de haine, l’exacerbation des communautarismes, la violence accrue de la société et des individualismes dans leurs crispations et leurs revendications outrancières et agressives… Est un terme qui m’irrite, me fait penser à un placide gros crapaud, inoffensif, qui se tasse dans son trou, sans défense dans l’environnement hostile de garnements cruels dévastant les jardinets autour de maisons de lotissements, l’un de ces garnements se saisissant du malheureux crapaud pour le placer dans une boîte à chaussure emplie de papier journal et mettant le feu à la boîte à chaussures… Tous ces garnements à l’unanimité, pensant que le crapaud est un être malfaisant, dont l’urine est corrosive, la peau couverte de pustules et d’une laideur abominable ; un être que l’on peut torturer, tuer, sans que personne ne songe à lui venir en aide, à le secourir, à le protéger…

     

    Quel autre animal que le crapaud, en effet, par son comportement, son mode de vie, sa démarche, ses mouvements lents, par son apparence même ; peut-être aussi paisible, sans défense, et, ainsi « symboliser » le terme « apaisement » ?

     

    Comparativement parlant, le même terme en Allemand : Beschwichtigung ; en Néerlandais : Verzoening ; en Espagnol : Apaciguamiento ; en Italien : Pacificazione… Sauf en Anglais : Appeasement (qui ressemble au Français Apaisement) … Le terme Français apaisement évoque un animal placide, sans défense, inoffensif, exposé aux agressions…

     

    Dans un monde de violence et haines parvenues à leur paroxysme, l’apaisement n’est plus « à l’ordre du jour », il devient même dangereux car il incite l’agresseur à davantage de violence en face d’un interlocuteur qui lui, refuse de recourir à la même violence, s’évertue « en pure perte » à rendre l’interlocuteur agressif « enfin attentif et prêt à se résoudre au dialogue »…

     

    L’affreux garnement qui brûle le crapaud dans la boîte à chaussures remplie de papier journal, n’est pas un interlocuteur, n’est pas un « petit égaré », n’est pas comme on le dit « une victime de la société » par « intellectualisme humaniste »… C’est un « élément dangereux » pour la société, un assassin en devenir car plus tard ce sera non plus un crapaud la victime, mais des humains, de « paisibles humains »…

     

    Bon, c’est vrai, « cela dit » … Dans les guerres et dans les conflits actuels entre humains, en Ukraine, au Proche Orient ou ailleurs… Il n’y a pas de « paisibles humains », il n’y a « qu’au mieux », que des humains qui « prennent parti » pour une cause ou une autre, et en conséquence, sont les pourvoyeurs de combattants sur le terrain, dans les zones de combat…

     

     

  • Antisémitisme et "verrues sociétales"

    Sans les réseaux sociaux internet, notamment les plus connus et les plus utilisés d’entre eux de par le monde, l’antisémitisme – et « autres verrues sociétales » existeraient (et d’ailleurs ont toujours « endémiquement » existé dans l’Histoire – depuis deux mille ans…

    Mais les réseaux sociaux ont amplifié en le véhiculant et en le rendant plus visiblement présent, l’antisémitisme ; les « autres verrues sociétales » n’étant pas en reste faut-il dire…

     

    Lors des recherches, consultations, visionnage de fils d’actualité que nous effectuons par centaines de millions de connectés à internet que nous sommes, à tout moment et en des durées de temps parfois de plus de deux ou trois heures par jour, sur nos ordinateurs, tablettes, smartphones, sans doute plus encore dans les lieux que nous fréquentons – en déplacement, au travail, en faisant les courses – qu’à notre domicile… Il y a toujours, inévitablement, un moment où apparaît sur l’écran de notre smartphone, tablette, ordinateur portable, quelque « post » haineux accompagné d’une photo, d’une vidéo en rapport avec le propos tenu, d’une extrême violence haineuse à l’encontre des Israélites ou de quelque communauté « posant problème » (mais surtout à l’encontre des Israélites)…

     

    Même si les algorithmes de Facebook – l’intelligence artificielle- établissent des « suggestions » de consultations en fonction du « profil » de l’utilisateur, étant donné que, le plus souvent, ces « profils » déterminés et « affinés » sont des « profils » assez communs et se ressemblant dans un « ordre général de sensibilité, de réactivité et de productivité d’expression», il en résulte que ce qui apparaît sur nos écrans n’est pas toujours « en phase » avec notre « vrai profil » - si tant est que ce « vrai profil » soit déterminable vu la complexité de la personne humaine…

     

     

    Ainsi, antisémitisme et « verrues sociétales » véhiculées sur les réseaux sociaux, qui, « normalement » hors réseaux sociaux dans l’espace public (les lieux où l’on se rencontre, se rassemble, se parle entre voisins, connaissances, amis, gens de passage), ne « pèsent » qu’occasionnellement sinon même minoritairement en nombre ; exercent une pression émotive renforcée et prennent une dimension qui enfle et s’accroit…

     

     

    Les « personnes de bonne volonté », qui « ne font pas parler d’elles », demeurent dans la discrétion, la modération, n’accomplissent pas de « grandes actions »… Et qui sont dans notre pays, la France, une bonne partie de cette « majorité silencieuse », sont confrontées à ce qu’internet véhicule, et donc exposées à ce qui peut directement ou indirectement les influencer, les faire pencher du côté de ce qui s’exprime sur les réseaux sociaux.

     

     

     

  • "Un peu d'Histoire"

    Pangée.png

    Pangée, continent unique, formé avant la fin de l’ère primaire ( Paléozoïque) entre -355 et -295 millions d’années, au Carbonifère, maintenu en continent unique durant le Permien, dernière période de l’ère primaire de -295 à -250 millions d’années et durant le Trias, première période de l’ère secondaire ( Mézozoïque) de -250 à -200 millions d’années… Se sépare au début du Jurassique, deuxième période de l’ère secondaire, vers -160 millions d’années, en deux parties Laurasia et Gondwana entourées de l’océan Thétys… Puis au début de l’ère Tertiaire ( Cénozoïque) durant le Paléogène première période de l’ère Tertiaire entre -65 et -23,5 millions d’années, Laurasia et Gondwana se divisent pour former en dérivant, les continents actuels qui sont ceux existant depuis après -23,5 millions d’années mais surtout à partir du début du Néogène deuxième période de l’ère Tertiaire durant les deux premières périodes du Néogène qui sont le Miocène et le Pliocène ( de -23,5 à -7 millions d’années)… Le Néogène se terminant avec le Pléistocène et l’Holocène de -7 à -2 millions d’années…

     

    Pangée a eu pour « ancêtre » Rodinia, la première grande masse continentale rocheuse qui, elle, s’est formée durant la dernière période du Précambrien (le Protérozoïque) entre -1100 et -750 millions d’années, après une intense activité magmatique ayant poussé trois quarts de l’écorce terrestre en surface à partir de -1100 millions d’années. Cette intense activité magmatique s’est produite entre -2500 et -1100 millions d’années.

    Précision : la Précambrien est la période qui précède l’ère primaire, commençant à la naissance et formation de la Terre il y a 4,6 milliards d’années et finissant il y a 540 millions d’années…

    Aux alentours de -750 millions d’années, à la fin du Protérozoïque dernière période du Précambrien, Rodinia se fracture en 8 « morceaux » dérivant… Et ce sont ces 8 « morceaux » qui bien plus tard, vont former Pangée entre -355 et -160 millions d’années…

     

    Isaïe, Moïse, Mahomet, Boudda ; évêques, cardinaux, imams et compagnies… « Vous m’en direz tant » ! …

    Et… Humains, avec vos guerres, votre croissance économique technologique consumériste durable… « Vous m’en direz tant » ! …