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écologie

  • L'écologie : un "serpent de mer"

    Si effectivement la réduction des gaz à effet de serre – notamment produits par les véhicules à essence et diesel- peut diminuer la teneur en CO2 dans l’atmosphère, et en conséquence l’augmentation de la températire moyenne sur la Terre entre 0 et 500 mètres d’altitude (ou contribuer à limiter cette augmentation de température) … Il est manifestement un tout autre sujet d’inquiétude pesant bien plus lourd – et d’une toute autre manière- sur les générations d’humains à venir, sur le devenir de notre planète ; c’est l’exploitation des ressources de minerais (« métaux rares » notamment) nécessaires pour la fabrication des véhicules électriques, des batteries ; ainsi que l’exploitation des ressources en énergies fossiles (en particulier le pétrole) pour la fabrication d’objets, d’emballages, de contenants, d’appareils ménagers et autres, de matériaux de construction… En plastique…

    Une exploitation – des ressources de notre planète- qui, vu la diversification et l’augmentation de l’activité humaine, des besoins ( surtout des nouveaux besoins créés) devient de moins en moins supportable pour notre planète… De telle sorte que des pénuries vont survenir en masse et impacter nos vies au quotidien…

    La voiture électrique par exemple, est une aberration : pourra-t-on – et comment et avec quelles dimensions et poids de batteries – faire rouler des camions de 38 tonnes, des autobus, des cargos porte-containers, des avions avec de l’énergie électrique ?

    D’un côté un milliard de bagnoles électriques oui, mais d’un autre côté un autre milliard de gros véhicules de transport que l’on ne pourra pas – du moins dans les dix ou vingt prochaines années - faire rouler avec de l’énergie électrique ?

    Et toute cette quantité d’électricité nécéssaire, de plus en plus énorme, il faudra bien la produire !

    L’écologie – notamment politique et d’organisations – est un « serpent de mer » !

    Les uns qui sont sceptiques ou même qui nient (à commencer par Donald Trump) ne sont aucunement dans le « vrai » mais dans l’erreur et dans l’irresponsabilité (et dans la prédation pure et dure)…

    Et les autres qui s’activent, combattent, « moralisent », dénoncent, mettent en place des politiques, conçoivent des projets si novateurs, si réalistes, si intelligents, si prometteurs qu’ils soient… Sont rattrapés par la réalité et par l’ordre du monde (une réalité et un ordre qui n’ont rien d’écologique – ou si « un peu » mais « pour faire croire que... »)…





  • Les mouvements écologistes

    … Les « écolos purs et durs » ne se rendent aucunement compte que notre planète n’est pas faite pour huit millards d’humains et à plus forte raison pour bientôt 9 ou 10 milliards…

    Et de même, les écologistes en général, ceux qui sont pour une économie et une gestion des ressources de la Terre étroitement associée à ce qu’il est convenu d’appeler  une économie écologiste de croissance durable, moderniste voire futuriste ; ne se rendent pas mieux compte que notre planète n’est pas faite pour huit, neuf ou dix milliards d’humains…

    Cette écologie là, des « purs et durs » et engagés, militants, et il faut dire fanatisés et menant des actions violentes, subversives ; ainsi que l’écologie « raisonnable, intelligente, adaptée et généralisée » ( de certaines politiques gouvernementales) est faite pour une planète de trois milliards d’humains au maximum, et ne peut devenir une réalité au quotidien, qu’en des lieux, pour l’essentiel ruraux ou à densité modérée de population) et selon des modèles locaux se développant et se multipliant…

    Comment en effet, répondre aux besoins alimentaires, aux besoins en services et équipements (de tout ce qui entre dans le quotidien de millions de gens de nos jours), besoins qui sont ceux où vivent par millions et dizaines de millions, des gens dans de grandes métropoles urbaines et des régions à très forte densité de population, autrement que dans une économie de production massive et industrialisée, qui force la nature en épuisant les ressources naturelles ou en rendant les sols, les surfaces cultivables, artificiellement fertiles ou encore par la biochimie, la biotechnologie, les engrais, les pesticides, etc. ?…

    La nature ne peut donner que ce qu’elle a, et cela dans les meilleures conditions possibles pouvant donner davantage, oui, mais jusqu’à une certaine limite (au delà de laquelle il faut alors que les humains se fassent « alchimistes »)…

    L’« alternative » est donc aussi simple que dramatique :

    -Une économie vraiment/vraiment écologique, de qualité (notamment en ce qui concerne les produits alimentaires) et un mode de vie dans le sens d’une « vraie » écologie… Mais qui, du fait de son coût de production, du coût de la mise en œuvre d’un mode de vie vraiment écologique, précarise voire exclue forcément (en partie) plus de la moitié des humains.

    -Une économie productiviste de masse mais industrialisée, à moindre coût de production, qui permet à 80 % des humains de vivre dans une aisance relative et avec des besoins plus ou moins satisfaits, mais qui, telle une meute de chevaux sauvages lancés au galop, se dirige vers un précipice. (La meute de chevaux lancés au galop symbolisant la population humaine toute entière).