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  • Les élites

    Cette élite internationalisée, anglophile, progressiste, néolibérale, de « Gauche intellectuelle bien sapée dans les modes ventempoupesques les plus singulières et les plus personalisées », qui va en vacances en juillet à l’île de Ré, se réunit fin août début septembre en université d’été… Si méprisante à l’égard de ce qu’entre eux ils appellent « le petit peuple »… Me gonfle, m’horripile, et je l’iconoclaste, la conspue, l’écrabouille de tout mon vocabulaire !

     

    Mais… Je rejette tout autant une « autre élite » celle là « pas du même bord – vous voyez de quel bord je veux parler… Qui, d’une autre manière, sous couvert de ce qu’elle avance (justice, égalité, rendre l’argent gagné au peuple, sécurité, police efficace etc. ) ne remettra jamais/jamais en cause les grandes inégalités sociales, du côté qu’elle est des millardaires, des dominants, des actionnaires, qui, selon eux, « font tourner la baraque et donnent du travail aux gens » (putain de discours!)…

    De « leur côté, ça sera autant de mépris pour les « petits » qu’avec cette caste actuelle faite de « droit’goche centre » encore au pouvoir !

     

    Quant à la « gauche de la gauche de tout ça » de Philippe Poutou et de Nathalie Arthaud, et même des « anarchistes – pseudo anarchistes » (avec parfois au pieds des godaces à 300 euro et à la main des smartphones à 1300 euro)… C’est « pas si sûr que ça » que tous ces gens là, avec leurs rappeurs, leurs « pestiférés tant soit peu médiatisés plébiscités sur les réseaux sociaux » soient des « messies » pour le « petit peuple » !

     

     

     

  • Le temps qui passe

    L’écoulement du temps est dépendant de nos activités quotidiennes, ainsi que du contenu dont nous meublons chacune de nos journées…

    Plus les activités quotidiennes sont répétitives et se ressemblent, plus le contenu de chacune de nos journées est fait de ce qui s’entasse, se superpose et compose le même ensemble… Et plus le temps « passe vite »…

    Ce n’est qu’avec le recul (lorsque le temps s’est écoulé et que les jours d’avant deviennent un « paysage » qui se déroule sous nos yeux), que parfois, lorsque « un coin particulier du paysage » contient du souvenir aussi dense que précis, de ce qui fut… Que le temps écoulé, alors, nous semble avoir moins vite passé…

    Lorsque les souvenirs sont à la fois nombreux, denses et précis, que l’on soit âgé de 18 ans ou de 30 ou de 80, le « paysage des jours d’avant » qui se déroule sous nos yeux, nous paraît aussi vaste que le paysage que l’on aperçoit, par exemple depuis le sommet du Mont Ventoux à 1912 mètres d’altitude, d’où l’on voit dans le lointain, la Méditérranée ; à 110 km à vol d’oiseau…