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  • Heureux/heureux...

    Heureux sont celles et ceux, ce samedi 5 juillet 2025 – dont je fais partie – qui ne circulent pas en un long trajet de centaines de kilomètres à travers la France, sur les routes et les autoroutes saturées dans des embouteillages montres, depuis très tôt ce matin, et dans la journée, écrasés par la chaleur ; souvent pour bien d’entre eux en famille, à quatre ou cinq dans leur véhicule avec les enfants, plus le retreiver ou le patou des pyrénées ou le labrador ou le berger allemand, qui halète et peut-être bave – j’imagine sur une aire de repos d’autoroute, à peine sorti de la voiture, le toutou lâchant un « colombin » de la taille d’un gros concombre – sans compter « Minou » dans son panier de minou, et -ou - « Cui-cui » dans sa cage, voire quelque gros lézard exotique en son vivarium… Et sur la galerie tout un entassement de matériel de camping ou un coffre de toit volumineux…. Et les vélos accrochés sur porte vélo Feu Vert… L’affluence et la galère pour touver où se placer (à l’ombre l’on y renonce) sur n’importe quelle aire de repos d’autoroute…

    Heureux sont celles et ceux, ce même jour samedi 5 juillet, jour de grands départs en vacances, qui ne galèrent pas dans les aéroports en se « prenant la tête » avec leur billet d’avion pour un vol annulé… Celles et ceux qui sur le coup de 10h du soir, exténués et « n’ayant rien prévu » cherchent désespérément et sans succès quelque chambre d’hôtel ou maison d’hôte… Leur GPS pourtant performant ne leur signalant rien de libre à 50 km à la ronde…

    Heureux celles et ceux qui dans les grandes gares parisiennes et autres de grandes villes points de départ, n’ont pas en toute hâte, à traîner leur bagage le long du quai bondé, ne découvrant l’heure de départ de leur Ouigo, de leur Inoui, qu’à peine 10 minutes à l’avance - sans compter le retard éventuel ou l’annulation du train… Et se hisser dans la voiture numéro tant, chercher sa place devant enjamber force genoux qui dépassent…

    Heureux donc, dis-je, sont celles et ceux qui aujourd’hui 5 juillet 2025 – ou un autre jour de grand départ- ne partent pas, n’ont pas à galérer en bagnole des heures durant, ou dans des gares et des aéroports où à chaque fois ou presque, surgissent des « problématiques » d’une complexité extrême…

    Le pouvoir d’achat est mal mené, en effet « tout coûte » au moins 30 % de plus qu’il y a deux ou trois ans… Mais « tout le monde ou presque » (façon de parler) part en vacances à la mer, à la montagne, à la campagne – avec « là bas » tout ce qu’il faut comme en ville pour la consommation de masse les jeux, les loisirs, les casinos, les restaurants, les bistrots, les boutiques de fringues ; le « gros crocodile vert » pour le « baba’ou » sinon le bateau gonflable…

    Et sur les « tam-tam-roye – la peau des fesses péages » ça roye/ça roye les bagnoles jour et nuit sans interruption, ça sature dans les aires de repos… Le « pain bagnat » est à 7 euro, la « biboule » ou à « triboule » de glace à la fraise est à 4 euro… T’arrêtes pas de mettre cent balles dans le Dada…

    Va voir en Ukraine ou à Gaza, ou au Soudan, si ça roye/roye, si ça rutile, si ça lèche la biboule !

     

     

  • La puanteur du monde atteint des sommets

    Vanity Fair, magazine d’origine Etasunienne, des Editions Condé Nast, propose chaque mois à ses millions de lecteurs, des articles dont certains se prétendent « intellectuels », articles relatifs à des personnages du monde de la politique, de la mode, du spectacle, de l’actualité « people »…

    Selon ce magazine – qui soit dit en passant est loin d’être le seul dans ce genre tant il en existe de similaires et dont les tendances se rejoignent – Brigitte Macron « serait une femme transgenre » et cette « information » serait partagée notamment sur les réseaux sociaux, par des millions de personnes à travers le monde…

     

    https://www.vanityfair.fr/article/becoming-brigitte-comment-la-rumeur-sur-la-transidentite-de-brigitte-macron-a-pris-une-ampleur-mondiale?utm_source=firefox-newtab-fr-fr&fbclid=IwY2xjawLVgaFleHRuA2FlbQIxMQBicmlkETBTdndCb252bDhMSUh1NjNlAR7Kx5zQp2nVMUiiTrU60D7tW9XLk-wDDojvEhID5am5BJ-hrVrTU0bH0ncVKw_aem_pnaKUlRuy_ZDNJyQbKdOiQ

     

    Dénigrée pour son physique, pour son visage ravagé par une chirurgie esthétique « haut de gamme » ayant pour clientèle des millardaires, Brigitte Macron en tant que femme du Président Emmanuel Macron, suscite, exite, amplifie et relaye la « curiosité morbide et dévoyée » de millions de gens tant aux USA, qu’en France et partout dans le monde, surtout dans les pays où Emmunel Macron président de la France est critiqué…

     

    Je ne suis ni Macroniste ni pro-transgenre loin s’en faut… Mais j’ai honte de ce dont est capable l’espèce à laquelle j’appartiens, l’espèce humaine… Honte de cette puanteur, de toutes ces rumeurs nauséabondes, de ces « fake news » fondées sur le dénigrement systématique, sur la haine, sur l’insulte, sur le raccourci de pensée, sur l’imbecilité, sur la hargne, sur tout ce qui rend ce monde où nous vivons, invivable… Et dont on finira tous par « crever » en masse, « les bons et les méchants » (les « bons tant pis ça sera du dégât collatéral hélas, mais les méchants au moins eux, ils morfleront comme ont morflé (ont été « raccourcis ») les « vrais salauds » en 1793/1794 lors de la Terreur)…

     

    Déjà, le changement climatique avec la multiplication accélérée des incendies, des ouragans, des inondations, des sècheresses et des températures d’été hors normes, des tornades, des orages de grêle… Qui met de plus en plus à mal le patrimoine immobilier de tout un chacun qui possède une maison… Est « une forme de Terreur » …

     

    Je ne me sens plus « si solidaire que cela » des représentants de mon espèce et, sans pour autant « verser dans une jubilation manifeste » au vu et su de quelque catastrophe naturelle, accident météorologique dévastateur survenant de ci de là – dans mon pays ou ailleurs – je me dis que « ça remet les pendules à l’heure » (certes brutalement) dans la mesure où la puanteur, où la haine, où le déni, où l’opprobre, permanents, sont « fly-toxés » !