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  • Les religions du Livre incompatibles avec la Science

    Les religions du Livre – Judaïsme, Christiannisme, Islam – avec la Torah, la Bible, le Coran… Sont incompatibles avec la Science.

    En revanche « croire en Dieu » n’est pas incompatible avec la Science… C’est le Livre qui n’est pas compatible avec la Science : le Livre avec ce qu’il dit de la Création - « en sept jours » il y a 6000 ans, le Livre dans lequel il n’est pas question de Néandertal, des dinosaures, des ères géologiques de 500, de 250, de 65 millions d’années…

    Un scientifique ou, plus généralement une femme ou un homme d’esprit scientifique ne peut pas avoir pour « livre de chevet » la Torah, la Bible ou le Coran ; ces trois livres étant pour lui étrangers à ce qui fonde sa pensée tant ils diffèrent de ce qui a été acquis par la connaissance, par la recherche, par la découverte…

    À la limite, à l’extrême limite… Ce qui est écrit, de la Création, dans la Torah, dans la Bible, dans le Coran ; n’est qu’une représentation très simplifiée, réduite à une « image par les mots », une « représentation » ou plus précisément un « modèle » universel, sensé convenir à tous les humains… Sauf que certains humains ne se satisfont pas de ce « modèle » du fait de leur connaissance acquise… (Pour ma part j’en suis de ces certains humains)…

    Comme une fois j’ai dit « Dieu, il faut peut-être l’aller chercher dans l’ère de Planck, cette ère dont l’origine s’approche de zéro sans jamais atteindre zéro, qui dure jusqu’au moment où naît le plus petit espace ou dimension connue, de l’univers ( 1,616 X 10 puissance moins 35 mètre de diamètre) et où dans le temps qu’il dure, tout se crée, s’élabore, se prépare, se « projette » en quelque sorte dans l’avenir, où tout, en somme, est en « gestation »…

     

     

  • Transmission d'un patrimoine, d'une œuvre

    Si de nos jours, la transmission à sa descendance ( ses enfants dans la majorité des cas et, à défaut ses petits-enfants ou encore par les branches collatérales les nièces et neveux) d’un patrimoine immobilier et financier que l’on possède, d’une entreprise artisanale ou commerciale que l’on a créée… S’avère difficile vu la complexité et la diversité des situations qui se présentent (familles dites « recomposées », rupture de liens familiaux, séparations et divorces « dramatiques », veuvage et remariage et enfants d’un « second lit », absence de descendance directe, enfants adoptés, etc. … Il en est d’une autre, de transmission, qui elle, est « encore plus problématique et incertaine voire ne pouvant se faire », c’est celle de la transmission d’une œuvre artistique et ou littéraire dont on est l’auteur, le créateur – l’œuvre artistique et ou littéraire de toute une vie…

     

    Pour ce qui ressort du patrimoine immobilier, d’une entreprise artisanale, c’est là une affaire de juridiction, il y a le Droit, les Lois, avec les « chargés d’affaire » que sont les avocats, les juges, les notaires…

     

    Mais pour ce qui ressort de la transmission d’une œuvre artistique et ou littéraire, là, c’est une affaire de relation humaine, de volonté de l’un ou de l’autre de ses proches – enfants, petits-enfants, nièces, neveux, frères ou sœurs ou cousins ou cousines plus jeunes que soi selon le cas – et la volonté, la détermination à entretenir, à continuer de faire connaître, à promouvoir… C’est très souvent, le plus souvent à vrai dire, « loin d’être gagné, loin d’être acquis »… Et encore faut-il pour l’auteur, pour le créateur de son œuvre, qu’il puisse « subodorer » quelle serait la personne la mieux à même de continuer à « porter le flambeau » et donc à contribuer à faire passer dans les générations suivantes…

     

    Peut-être que dans le monde où l’on vit aujourd’hui, où tout se délite, où tout se décompose et où plus rien ne s’inscrit dans la durée, où les repères s’effacent ou ne sont plus les mêmes qu’avant… Faudrait-il se résoudre à ne plus envisager de transmission d’une œuvre artistique et ou littéraire – voire à « faire une croix dessus »…

     

    Il y a en effet tous ces projets, toutes ces aspirations, tous ces modes de vie – relation, activités – des uns et des autres (des proches notamment et de leurs descendants) qui sonr « à mille lieues » de l’homme, de la femme que fut durant toute sa vie, l’auteur d’une œuvre artistique et ou littéraire.

     

    Pour la transmission d’une œuvre artistique et ou littéraire, en somme, il n’y aurait vraiment que :

     

    -WayBack Machine (Internet Archives) pour celles et ceux, écrivains, auteurs, créateurs, qui publient leurs œuvres « en ligne »… Internet Archives donc, pouvant être « comparé » - dans une certaine mesure non définie- à la durée de vie d’une étoile dans l’univers… Laquelle étoile poursuivant sa course parmi de très nombreuses autres étoiles, et pouvant être découverte par des êtres tels que les humains de la Terre pour autant que ces êtres soient parvenus à un stade avancé de leur évolution…

     

    -Et, plus « spécifiquement et uniquement » sur notre monde, la Terre ; tous ces auteurs, écrivains, artistes, dont les œuvres sont évoquées et transcrites dans les livres d’Histoire, dans les livres qui sont lus de par le monde… Les livres n’ayant pas cependant la même durée de vie que les étoiles…

    Et il est peu probable que des êtres - « humanoïdes » ou non, dotés d’intelligence, quelque part très loin dans l’univers, « découvrent » quelque œuvre d’humain réalisée il y a des millions d’années sur la planète Terre…