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Journal - Page 15

  • Conversations, échanges entre personnes

    Dans les conversations entre personnes, que ce soit entre personnes dans une famille, par exemple avec sa femme ou son mari, son fils ou sa fille – pour ne citer que les principaux interlocuteurs les plus proches de soi ; que ce soit entre différentes autres personnes se fréquentant régulièrement ou occasionnellement…

    Au téléphone, de vive voix en présence l’un de l’autre, les uns des autres… Ce sont pour sujets dominants dans la plupart des conversations, les centres d’intérêt, les préoccupations, les activités au quotidien, de chacun des interlocuteurs et, accessoirement des sujets portant sur l’actualité familiale, locale, ou plus générale sur des événements survenus, des « faits divers ou de société », cela peut-être aussi des échanges et des partages de souvenirs communs, des échanges d’idées, etc. …

     

    Il est évident que, lorsque les centres d’intérêts, les préoccupations, les activités au quotidien, sont trop éloignées et trop différentes entre l’un et l’autre des interlocuteurs, la conversation alors, devient – enfin peut parfois devenir - « un véritable parcours du combattant » en ce sens qu’il faut « trouver l’inspiration nécessaire pour alimenter » - sans quoi l’échange se trouve réduit au minimum de base !

     

    L’on rencontre souvent des personnes qui déplorent que leur fils, leur fille ne donne pas de nouvelles ; ou qu’un tel, une telle, que pourtant on a un temps fréquenté, ne donne pas signe de vie… Mais l’on n’ a pas présent à l’esprit que ce fils, que cette fille, que ce untel, que cette unetelle, n’a plus comme cela a été le cas jadis, avec nous, des centres d’intérêt, des préoccupations et des activités au quotidien, en commun… Du fait « qu’un beau jour » ce proche, cette connaissance s’est trouvé dans un environnement de relation différent et avec en conséquence de toutes autres préoccupations et activités…

     

    Alors que lui dire, que lui raconter, lui parler de quoi ? De ce qu’on fait dans le jardin ? De la sortie qu’on a faite dimanche dernier ? De ses patates, de ses salades, de ses géraniums ? Tout ça il s’en faut, ça ne l’intéresse pas ! … En revanche si tu lui parles de ce qu’il – elle – aime, de ce qui le ou la passionne, là oui, la conversation « s’étoffe » (mais en « sens unique » - ce n’est déjà pas si mal!)…

     

    C’est ça les « coups de fil » rares, c’est ça « il, elle ne donne pas de nouvelles »… Et quand d’aventure « ça sonne » et que tu « décroches » - téléphone fixe ou smartphone i-phone – eh bien il faut pouvoir « meubler », et l’inspiration manque… À moins que l’autre (l’interlocuteur) te pose des questions précises et particulières auquelles tu peux facilement répondre…

     

    Il est « assez stressant » en effet, lorsque rien ne te vient à l’esprit dans l’immédiat, lors d’une conversation téléphonique – ou de vive voix en présence l’un de l’autre – si l’autre de son côté « n’alimente pas » ou ne questionne pas… Il est « assez stressant » donc, ce moment de communication ! ( Des silences qui se prolongent, des hésitations, et l’attente soit de la réaction, soit d’un « truc à dire » - n’importe quoi »)…

    Et puis, comment conclure ? Quels termes employer pour conclure ? ( Je dois faire des courses… J’attends quelqu’un… Il faut que je parte travailler… )

     

    Il est évident que lorsque les centres d’intérêt, les préoccupations, les activités au quotidien et de surcroît les sentiments, les idées, les aspirations, les besoins, les engouements, les passions, les émotions… Se rejoignent, sont communes, se partagent, entre les interlocuteurs, la conversation est bien plus aisée, bien plus « étoffée »… Et que, dans le cas contraire, au téléphone ou de vive voix en présence l’un de l’autre, la conversation s’engageant est plus difficile à établir dans la durée (au delà de quelques minutes), du moins pour celui des deux qui sent que l’autre n’est pas intéressé par ce qu’il peut raconter de lui même, de sa vie et de ses activités quotidiennes…

     

    Enfin, les personnes en communication lors d’une conversation, d’un échange de nouvelles et d’informations relatives à un événement ; ne sont pas forcément enclines à « se raconter » c’est à dire à parler de ce qu’elles font et aiment faire dans la vie, et à « se mettre en avant », à s’étendre sur leurs réalisations, sur leurs projets, sur leurs aspirations… Notamment lorsque ces personnes se retrouvent en groupe, en association, donc à plusieurs et en présence de gens qui ont des « vécus » et des activités, et des idées, différents… Car « se livrer » c’est se fragiliser, s’exposer, se découvrir, et ainsi, être vulnérable…

     

    « Se raconter » et « raconter » ce n’est pas la même chose en effet ! Raconter c’est évoquer des personnages que l’on a connus, c’est témoigner de ce que l’on a observé, à la rigueur c’est par la même occasion se livrer à une réflexion , c’est exprimer une pensée qui nous vient… Mais « se raconter » c’est essentiellement parler de soi, de ce qu’on fait, de ce qui nous intéresse (le plus souvent d’ailleurs sans se préoccuper de ce qui intéresse l’autre)…

     

    Soit dit en passant, dans les réseaux sociaux notamment sur Facebook qui, bien plus qu’Instagram, Tik Tok et Twitter ; permet à tout un chacun de « davantage tartiner » (rire)… L’on « se raconte » bien plus que l’on « raconte » ! Et l’on « scoope » ou l’on se « storie’se » plus qu’on ne développe, argumente, témoigne…

    « Un peu dommage » quand on sait que l’internet et que la technologie de la communication, vu les possibilités offertes, offrent à tout un chacun la possibilté de diffuser, de partager en toute liberté, autre chose que du « tout venant » ou de l’ordinaire ou de l’effet de langage ou d’image – ce qu’avant Internet, on ne pouvait faire que dans le « courrier des lecteurs » ou dans un livre publié à 500 exemplaires…

     

     

  • "Amis" et amis ...

    Les « amis » - amis entre guillemets – ne voient de nous, que ce que nous paraissons, que ce dont on « s’existe »…

    Les amis – sans guillemets – voient de nous « un peu plus que ce que l’on paraît, autrement dit ne voient qu’une partie de ce l’on est réellement – et que l’on ne montre ou n’expose pas toujours – mais peu d’entre eux nous « existent » en ce sens qu’ils ne viennent pas souvent nous chercher – parce qu’ils sont davantage préoccupés de ce qui les anime, de ce qu’ils font et qu’ils montrent ou exposent ; que de ce qui emplit notre vie, dont ils ne sont cependant pas indifférents, tout comme les « amis » - avec guillemets – qui, eux, sont indifférents ou condescendants à notre égard – ou parfois méprisants… Et le plus souvent il faut dire, silencieux de ce silence « qui en dit long »…

     

     

  • "Si t'es d'accord, partage!"

    « Les jeunes en galère, les vieux dans la misère, le peuple est en colère, si tu es d’accord, partage ! »

     

    C’est un peu ça sans être vraiment ça… Dis-je

     

    Reprenons point par point :

     

    -Les jeunes en galère… Mais ils ont quasiment tous un smartphone dont le prix d’acquisition varie entre 150/200 euros (pour les appareils vendus en Grande Surface) et jusqu’à des 1300 euro voire plus, chez Orange ou ailleurs… Et on les voit, des lycéens notamment, en groupe au café du coin – chacun sa tournée – c’est tout de suite au minimum 2,5/3 euro le demi ou le coca ou autre chose alcoolisé…

     

    -Les vieux dans la misère… Mais les bateaux ou navires de croisières ne désemplissent pas, beaucoup de vieux ont des vélos électriques au minimum à 2000 euro, et… Qui c’est qu’on voit dans les restaurants gastronomiques ou renommés, le dimanche et même en jour de semaine, prendre le menu à 30/40 euro, sinon en majorité – plus de 50 % - des « rassis » bien confortables accros des toutes dernières technologies, des « mémés » à coquet livret d’épargne, des papys casquettés sacoche en cuir de vache qui lisent Le Monde et achètent les grands bestsellers du moment à 22 euro le livre éditions Gallimard le dernier succès à la mode…

     

    -Le peuple est en colère… Mais il pense que la Gauche c’est pas l’avenir de la France, et sa colère penche plus vers le RN que vers le FP (Jadis dans les années 70 il votait communiste…

    Le peuple est en colère mais sa colère c’est pas contre les lobbys, les milliardaires et les actionnaires (d’ailleurs, des actions, ils en ont en tant que dizaines de milliers de porteurs de portefeuilles chez leur banquier, à environ 20 000 euro en moyenne)

    Le peuple en colère en fait c’est un tiers pour la « Gauche relookée » et un peu plus d’un tiers pour le RN, soit deux colères qui se font la guerre (ce qui arrange bien ceux qui gouvernent et ceux qui se remplissent les poches… Sans oublier les mafias, les dealers, les voyous, les trafiquants, les escrocs ; les communautarismes exacerbés, les fanatismes religieux, les minorités agressives et les « klaxomerdeurs » en Fiat Panda ou en Audi ou en Dacia Duster)…

     

    -Si tu es d’accord partage… Mais « partage » c’est juste un coup de clic pour dire oui/oui/oui… Et y’a jamais de réponse argumentée qui explique pourquoi on pense comme ça (et si la réponse fait plus de 10 lignes on la lit pas ; en revanche 3h ou 4h par jour sur son smartphone à navigoter dans les applis, les vidéos instagram, galeries de photos du bébé, du moutard, du dernier séjour en Corse, de la rando dans le Vercors, du barbecue de samedi dernier avec les copains… Ça tout le monde fait ! Les Vieux, les Jeunes, les Ados, les Rassis, jusque dans les EHPAD (mais plus chez les Alzhzeimer faut dire)…

     

    Imaginons si de nos jours, le Titanic coulait… Ou si « bien d’actualité catastrosophique », en fête foraine hyper géante, dans le bateau dingue tout le monde la tête en bas, la photo partagée par mille followers du dernier sourire de sa meuf, au moment où une tornade carabinée arrache le bateau dingue…

    Titanic.jpg

  • La pensée du jour, lundi 23 septembre 2024

    … Si Jordan Bardella avait été premier ministre – au lieu de Michel Barnier – il n’aurait pas trouvé pire ministre de l’Intérieur premier flic de France, que Bruno Retailleau ! (il eût en effet été très difficile de trouver pire que Bruno Retailleau comme premier flic de France !)

    Du coup, le RN a de quoi se réjouir car il est pour ainsi dire « coiffé sur le poteau » !

    Mais bon… De là à penser qu’il eût mieux vallu que Jordan Bardella aurait dû être nommé Premier Ministre…

    Il y a gros à parier qu’en 2027, le RN cette fois obtenant plus de la moitié des sièges à l’Assemblée Nationale, reconduise Bruno Retailleau ministre de l’Intérieur !

     

  • L'œuvre de Dieu ou d'Allah

    Ah, elle est belle l’œuvre de Dieu ! Elle commence par une première famille celle d’Adam, d’Eve et de leurs deux fils Abel et Caïn dont l’un des deux, Caïn, tue l’autre, son frère Abel…

    Il n’y a pas encore de population d’hommes et de femmes et d’enfants sur la Terre, que déjà, se commet un premier assassinat…

    C’est dire de ce que sera par la suite, la relation entre les Hommes…

    Si c’est ça, le projet de Dieu, il vaut son pesant de sang versé ! Et sa litanie de guerres et de violences !

    Que ce soit la Bible ou le Coran, ou la Torah… C’est du pareil au même !

    Alors, toute cette morale, cet « amour du prochain », ce « guide » qui est Dieu ou Allah, ce pardon, et tout ce qui fait la « bonté et les bienfaits de Dieu ou d’Allah », que les Croyants retiennent, ça efface pas les traces de sang ; et ça ferait dépendre l’amour, la bonté, les bienfaits, de commandements et de règles à respecter, ça devrait dépendre d’obéïssance et de soumission, d’abnégation, d’acceptation de la pauvreté ; ça ferait miroiter un au-delà de bonheur éternel, une promesse de place auprès de Dieu pour les humbles et pour les pauvres…

     

    Et ces dignitaires – catholiques, orthodoxes, califes, etc. … Vous avez vu comment ils sont affublés ? Avec leurs tiares, leurs turbans, leurs pierrerires, leurs joyaux, toute une pompe vestimentaire et ornementale, et ces évèques couronnés d’or, une main tendue montrant l’index et le majeur dressés, l’auriculaire et le petit doigt baissés !

     

    Et ça fait plus de deux mille que ça dure cette affaire ! Deux mille ans qu’on bâtit des cathédrales qui coûtent des vies, des générations, des fortunes ; ou des mosquées et autres temples et lieux de culte… Deux mille ans qu’on « cause » plus par le glaive – et aujourd’hui par le drone et par l’automitrailleuse et par la bombe à fragmentation – que par la parole ou par l’écriture…

    Deux mille ans de soumission, d’interdits, d’obéïssance, de prières aux repas, au pieu, aux cabinets : deux mille ans de collusion et de collaboration entre les gouvernants et leurs politiques, et la Religion qui tout en plaignant les pauvres encense les riches !

     

    Et, quant à la Révolution Française de 1789 et à la Terreur de 1793/1794 ; puis au Bolchevisme de 1917 en Russie… Tout le monde ou presque est horrifié qu’on ait transformé les églises en écuries, et qu’on ait occi des popes et abattu des icônes !

    Mais tout le monde ou presque trouve normal que pendant deux mille ans la Religion c’est du meurtre, du stupre, de la torture, ça a été des bûchers, des inquisitions, des archevêques et des cardinaux baiseurs de femmes et de mômes, et chefs de guerre ! …

    Enfin, quand je dis « tout le monde ou presque trouve normal » je veux dire que – en fait et de fait- en « vérité » l’on déplore oui, certes… Mais on accepte, comme si c’était « dans l’ordre des choses ! »

     

    Et, quand on dit que la Religion « perd du terrain » en France et ailleurs, il n’en demeure pas moins que tout le monde ou presque se marie et s’enterre à l’église et qu’une majorité de gens envoient leurs gosses au cathéchisme et leur font faire la communion (solennelle)…

     

    Et qu’un Mitt Romney lors d’une élection américaine, un Mormon, un « frère en christ », multi milliardaire et à la tête d’un empire financier, a été candidat à la Présidence des États Unis d’Amérique – je sais plus quelle année…

     

    Aussi quand je vois défiler sur le fil page actualité Facebook, des posts qui appellent à la prière et à Dieu, je les supprime (ce qui n’empêche pas pour autant leur réapparition)…

     

    Quant à la laïcité je la verrais bien à ma façon c’est à dire plus pour le respect des athées et des incroyants, que pour la liberté de pratiquer, de pas bouffer du cochon, d’écouter les curés, de foutre une croix au dessus du lit dans son logement ! (Heureusement je n’ai pas encore vue en chambre d’hôtes au dessus du pieu, un crucifix ! Il manquerait plus que ça !)

     

    Et quand l’extrême gauche ou même la gauche « bon teint » ou la Droite « rose-bleu » fait guiliguili aux musulmans par intérêt électoral ou par bizounoursisme, ça me gonfle ! Et ça me ferait presque « bénir » la Terreur de 1793/1794 ou la révolution bolchevique ! Avec des dadas, des mulets, des cocotes et des cochons et de la soldatesque et des sans abri dans les églises, les cathédrales et les mosquées et les synagogues et temples !

     

    Sans oublier – soit dit en passant – le « statut » (social et civilisationnel) de la femme, dans la « philosophie » et dans le « principe fondamental » de la Religion – Chrétienne, Musulmane, Juive, tout ce qu’on voudra – la femme étant la grande oubliée laissée pour compte dans la civilisation humaine essentiellement patriarcale pétrie de religion ! La quelle civilisation se targue de « quelques progrès » mais refuse encore notamment en France, de payer aux femmes le même salaire qu’aux hommes ! (du moins dans certaines activités professionnelles)…