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Journal - Page 12

  • IAG, outil d'intelligence artificielle

    L’un des risques les plus importants lié à l’utilisation d’un outil IAG – Intelligence Artificielle – réside dans l’authenticité de l’information produite par une photo, par une vidéo, par un écrit, postés sur Internet et notamment sur les réseaux sociaux les plus fréquentés tel que Facebook et Instagram…

     

    Voici un document à consulter, relatif aux dangers de l’intelligence artificielle générative, du CESI, Centre d’expertise en sécurité de l’information, de l’Université du Québec :

     

    dangers-intelligence-artificielle-v1-long-20241004.pdf

     

     

    Notamment ce paragraphe :

     

    Pour se protéger contre les hypertrucages, il est essentiel de vérifier systématiquement l'identité des demandeurs en cas de requête urgente, notamment par un autre canal comme un appel direct. Il faut également rester vigilant face aux comportements inhabituels, provenant même de sources de confiance. Enfin, limiter la diffusion d'informations personnelles en ligne réduit les risques que ces données soient exploitées pour des tentatives de manipulation.

     

    Une « requête urgente » en effet, peut être celle qui est adressée sous la forme d’un couriel par une ou plusieurs personnes en association, dans le but de nuire à la réputation de quelqu’un en particulier, et surtout, de tenter, par chantage, de soutirer une somme d’argent relativement importante.

    Ainsi dans un premier temps est proférée une menace qui incite à réagir le plus rapidement possible. Et si la menace n’est pas prise en compte, alors sont diffusées de fausses informations sous la forme d’images produites, récupérées, accompagnées d’écrits… Bien sûr, de telles images et de tels écrits en réalité, n’ont jamais été postés…

    C’est si grave, une telle malveillance, que cela peut entraîner jusqu’à une enquête de police, jusqu’à des poursuites judiciaires et à une condamnation pénale… Dans la mesure où ont été produites des « preuves » sous forme d’images et d’écrits, et accompagnées, ces « documents », de témoignages « fabriqués »…

     

    Les techniques d’hameçonnage, déjà très efficaces, se voient aujourd'hui renforcées par la simplicité d'utilisation des outils d'IAG. Des enregistrements audios, des photos ou encore des imitations vocales d'un proche, d'une personne influente au sein d'une entreprise ou d'un ami peuvent être utilisés pour créer des situations urgentes et convaincantes, telles que des demandes de transferts bancaires ou la divulgation d'informations sensibles. La confiance suscitée par ces hypertrucages amplifie considérablement le taux de succès de ces tentatives d'hameçonnage.

     

    Il y a ce dilemme qui est celui du choix entre s’exprimer et produire du texte, de l’image, sous un pseudonyme et sous un avatar, et donc sans aucune indication, aucune représentation de son vrai visage et sans jamais communiquer la moindre information personnelle, de sa vie privée, de sa famille, de ses enfants… Ce qui, en quelque sorte « sécurise » ce qui est produit (et son auteur) – ou du moins « tend à sécuriser »…

    Et « se produire » en s’identifiant avec son vrai visage, son vrai nom ; ce qui bien sûr peut sembler préférable si l’on veut être reconnu par ses connaissances là où l’on vit et l’on exerce son activité (travail, emploi, implication dans une association, etc. )… Mais avec le risque d’exposition à des malveillances…

    C’est là, oui, une dilemme…

     

    Reste que – à mon sens – si l’on n’a point sur le « mur sur lequel tout le monde écrit ou trace » une « ribambelle d’amis – de plus de par exemple 50 personnes ; et si l’on n’est pas un personnage influent – avec un certain rayonnement – et si, pour peu que l’on ait quand même « un certain rayonnement » mais que l’on veille à ne pas « directement divulguer » et à produire du récit avec des personnages fictifs, si en quelque sorte on « habille » ou « enfouit dans des généralités » ; en somme si l’on rend difficile une tentative de malveillance parce que rien ne nous fait accuser formellement… Alors le risque est moindre, même s’il demeure potentiel…

     

    L’intelligence artificielle dis-je… En dépit de son immense puissance et pouvoir, peut-être « coiffée sur le poteau » ou « battue à la course »… N’oublions jamais que le cerveau humain, au naturel, fonctionne comme un ordinateur dont le disque dur a une capacité de stockage de données de cent milliards de tétra-octets… Et que l’intelligence artificielle finalement ne sera jamais que le produit de l’intelligence humaine via les ingénieurs et les chercheurs de la Silicon Valley et de Shangaï City au service des Elon Musk and Cie !

     

     

  • Lien entre la pensée et l'écriture cursive

    « Vous êtes-vous déjà demandé pourquoi on n'apprend plus aux enfants à écrire en cursive ? Et non, ce n'est pas un hasard si on l'utilise de moins en moins. Écrire en cursive, c'est traduire la pensée en mots, c'est s'obliger à ne pas lâcher le papier. C'est un effort stimulant, qui permet d'associer des idées, de les lier, de les mettre en relation. Ce n'est pas un hasard si le mot "cursive" vient du latin "currere", qui signifie courir, couler, car la pensée est ailée, elle court, elle vole. Il est évident que la cursive n'a pas sa place dans le monde d'aujourd'hui, un monde qui fait tout pour ralentir le développement de la pensée, pour l'engorger. Je crois que la cursive est née en Italie et qu'elle s'est ensuite répandue dans le monde entier. Pourquoi ? Parce que c'était une écriture compacte, élégante, claire.

    Mais notre société n'a plus le temps pour l'élégance, pour la beauté, pour la complexité ; nous avons la synthèse mais pas la clarté, la vitesse mais pas l'efficacité, l'information mais pas la connaissance ! Nous en savons trop et pas assez parce que nous ne sommes plus capables de faire le lien entre les choses. Les gens ne peuvent plus penser. C'est pour cela qu'il faut revenir à l'écriture cursive, surtout à l'école. Car il ne s'agit pas seulement de retrouver une écriture, mais de redonner vie à notre pensée. Tout ce qui nous fait vivre, ce qui nourrit l'âme, ce qui soutient l'esprit, est lié à la respiration. Sans souffle, disaient les Grecs anciens, il n'y a pas de pensée. Et sans pensée, il n'y a pas de vie. Je vous laisse le soin de décider si cela est important ou non..." Guendalina Middei, Professeur X - écrivain

     

    Guendalina Middei, écrivain(e) Italienne sous le pseudonyme de Professeur X

     

    S’il y a du vrai – et de la logique – dans ce qu’exprime Guendalina Middei, et que d’ailleurs je partage, il n’en demeure pas moins que je me pose tout de même la question de l’existence et de la réalité du lien entre la pensée, la réflexion, d’une part ; et l’écriture cursive d’autre part…

     

    Dans les langues issues du latin telles que le Français, l’Italien, l’Espagnol ; dans les langues anglosaxonnes, slaves ; ainsi qu’en Arabe… L’écriture manuscrite, celle que les enfants pratiquent à l’école lors de l’apprentissage de la lecture et de l’écriture, est le plus souvent cursive – donc avec les lettres reliées- (mais moins cependant, avec les nouvelles méthodes selon les programmes scolaires actuels, pour l’apprentissage de l’écriture à l’école en CP et CE)…

    Dans ces langues là, Français, Italien, Espagnol, Anglais, Russe, Allemand, Neéerlandais, et Arabe, le lien entre la pensée (la pensée développée et la réflexion) et le fait d’écrire à la main avec un stylo, un crayon, en cursif, s’impose en ce sens qu’il existe bien une logique, une réalité quasi évidente, dans le lien entre la pensée et l’écriture cursive…

    Mais alors, que dire du Mandarin (le Chinois), que dire du Japonais, que dire des langues qui n’ont pas d’alphabet mais s’écrivent et se lisent par signes ou signes reliés, de telle sorte qu’au lieu d’un alphabet de 26, 28 ou 29 lettres, l’on se retrouve avec plusieurs milliers de signes différents les uns des autres non reliés ? (Ce qui remplace en Mandarin ou en Japonais, l’écriture cursive, c’est la calligraphie c’est à dire le dessin du signe, l’art de bien dessiner ce signe)…

     

    Si je m’en rapporte à mon expérience personnelle, depuis plus de vingt ans, mon écriture manuscrite ne ressemble plus à l’écriture que j’avais lorsque j’étais au Lycée de Mont de Marsan en 1965 ou à celle que j’avais dans mes carnets, au crayon, entre 1983 et 1997…

    Cela fait une bonne vingtaine d’années que, lorsque j’écris à la main, je forme mes lettres presque comme en script, à peine ou non reliées entre elles, et que je ne sais plus écrire de « belles majuscules en écriture cursive » (je forme les majuscules en lettres d’imprimerie)…

    Cela vient de l’habitude d’écrire au clavier, certainement…

    Est-ce que pour autant, n’écrivant plus en cursif, ma pensée se serait atrophiée ? C’est bien là la question !

     

    D’autre part, il y a aussi une réalité non négligeable, à la perte de la pratique de l’écriture cursive :

    L’on en arrive à ne plus savoir ou pouvoir déchiffer certaines écritures de personnes que nous connaissons ou dont nous lisons ce que ces personnes expriment par écrit à la main… Et, quant à la lecture et à la compréhension de textes manuscrits anciens, très anciens pour certains, d’auteurs du 17ème, 18ème siècle, de documents historiques, etc. … C’est encore plus difficile pour les contemporains que nous sommes !

    Je m’en suis aperçu lors de recherches généalogiques avec l’accès aux fiches d’état civil numérisées notamment pour la période 1793 – 1806 : les actes rédigés avec les noms, prénoms du déclarant, des témoins… Sont très difficilement lisibles (forme des lettres) …

     

     

     

  • La stratégie des géants du marché

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    Tant que l’on verra circuler sur les océans tous ces énormes porte-containers dont certains sont chargés en hauteur au maximum possible, cela signifiera que les consommateurs de toutes sortes de produits – usuels ou accessoires – sur les cinq continents de la planète, seront assez nombreux pour « justifier » le transport maritime de marchandises à grande échelle, et surtout, pour permettre aux géants des marchés que sont les trusts et les multinationales dirigés par des multimilliardaires et des assemblées d’actionnaires, de réaliser des profits, des plus-values, des bénéfices de plus en plus importants…

     

    Ce sont bien, en effet les consommateurs qui « font le marché », ce qu’ est le marché, par la demande, par la capacité d’achat, et par le nombre…

    Tout l’équilibre entre ce qui se produit et se vend d’une part, et ce qui s’achète et se consomme d’autre part, réside dans la réalité du nombre de consommateurs de par le monde.

     

    Il est certain qu’une pression exercée par les possédants dominants décideurs -notamment les plus influents et les plus puissants d’entre eux, et soutenus par les gouvernants – (pression par exemple pour réduire le coût du travail, délocaliser des entreprises vers des pays à bas coût de main d’œuvre, licencier des salariés, rentabiliser ce qui se produit par automatisation, robotique, intelligence artificielle)… Ne peut si elle devient abusive, que nuire au marché tel qu’il se pratique…

     

    En effet, avec des salariés rétribués au plus juste – au minimum possible en fonction de l’environnement économique local associé au mode de vie – et avec un nombre relativement important de chômeurs, de diminution générale de revenus réguliers ; c’est le pouvoir d’achat qui se réduit, ce sont les consommateurs en moins grand nombre…

     

    L’équilibre actuel qui continue à perpétuer et même à renforcer la consommation, réside dans le fait que la pression exercée par les géants du marché et leurs servants les gouvernants, devient en quelque sorte une « valeur ajustable » (tout comme les salariés sont « valeur ajustable »)…

     

    Ainsi dans les pays dits « émergeants » où l’on gagne « un peu plus qu’avant » la consommation augmente… Mais dans les pays dits « développés » où l’on « gagnait relativement bien » et où la pression exercée fait que « l’on gagne moins » (ou que l’on gagne plus mais que l’on achète plus cher) la consommation stagne ou diminue…

     

    Vu la quantité de population dans les pays « émergeants » en Chine, Inde, Afrique notamment, il est certain que « gagner un peu plus » qu’il y a vingt ou trente ans dans ces pays, cela fait des consommateurs en plus…

     

    Perdre des consommateurs d’un côté, mais en gagner d’un autre côté, et au final, plus gagner que perdre, c’est la stratégie des « faiseurs de l’ordre du monde » …

     

     

     

  • C'est "ce monde là"...

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    C’est ce monde là auquel croient les généreux dépourvus de toute dureté, les compatissants et rêveurs sachant bien le mal du monde mais faisant comme si le mal n’existait pas sauf quand on ne peut le nier ; les offusqué(e)s du lapin dépouillé dont les tripes tombent par terre, les « guiliguili-ieurs » des « bons musulmans » et autres pratiquants de religions « de paix », les « Trumpépoutine c’est pas la cata », les « j’ai-un-joli-jardin-et-en-prom’ton-avec-des-amis-j’évoque- ma-tata-qui-croit-aux-fées », les « qui-se-balancent-dans-les-forums-du-net- des-mamours-et-des-bisuqueries »…

    C’est ce monde là, tel celui que symbolise l’image de ce gros nounours accompagné de deux poupées dont on peut se demander soit dit en passant si elles ne sont pas Qataries…

    C’est « ce monde là » qui a, dans son espérance contre-productive et dans son beau rêve pernoëllique… Fait en vérité – en lui permettant par manque de fermeté la possibilité d’exister – le monde réel tel qui l’est et tel que nous le subissons…

    Indirectement mais aussi sûrement que la Terre tourne autour du soleil… Indirectement et contre toute attente… « Nounours » - le « gentil nounours » s’est fait assassin sans le savoir, il a tellement cru « faire dans la dentelle » qu’en définitive il a laissé les déchireurs de dentelles « singer » les confectionneurs de dentelle et mettre sur les étals des marchés, de la dentelle faite de déchirures de dentelles…

     

  • Stupéfiants, un fléau !

    Si même un chauffeur de bus scolaire peut-être un consommateur de drogue, tout comme en moyenne 1 français sur 5 actuellement, alors un gendarme, un infirmier, un enseignant, un salarié d’entreprise, un écrivain, un artiste, un intellectuel, un député, et, en somme « tout un chacun » dans ce pays, la France ; c’est dire du fléau qu’est la consommation de stupéfiants !

    Toute une société ainsi gangrenée !

     

    Et l’on s’étonne, l’on s’offusque de la déterioration du lien social, familial, de la violence et de l’agressivité au quotidien, du nombre d’accidents de la circulation notamment d’autocars et de camions de transport… De toutes ces bandes de trafiquants et de règlements de compte avec armes de guerre, de cette insécurité généralisée dans les quartiers de grandes et moyennes villes où sont présents au vu et su de tout le monde, tous ces dealers !

     

    Et, à côté de ça, haro sur le fumeur qui « se fait une clope – de tabac et non de hasch – sur un trottoir où passent des gens !… Haro sur le jeune couple qui se rend chez Mac Donald avec ses deux mômes pour bouffer des burgers et des frites et boire du coca cola !

     

    La drogue tue plus que la clope, la vape, ou Mac Donald ! Et non seulement elle tue, la drogue, mais elle assassine, elle fout des bus en l’air, et peut- être – ça va devenir possible – des avions et des trains ! Et des brigades de gendarmerie, des enseignants, des toubibs, en congrès ! On aura tout vu ! Quelle chienlit cette société ! Ça pue la haine, le sang, l’hypocrisie, l’individualisme forcené, la consommation de masse, la shoote ; ça se plaint de tout, ça veut jouir de tout, et en plus ça moralise !

     

    Pourquoi bon sang autant de stigmatisation des fumeurs de cigarettes – dont la plupart d’entre eux, il faut dire, se tiennent en extérieur pour fumer- alors que pour un « joint » on ne dit rien, on trouve cela « normal » - comme si c’était « entré dans les mœurs » !

     

    Je dis à ce chauffeur de bus testé positif à la consommation de stupéfiants, responsable de la mort d’une jeune fille de 15 ans : « toute ta vie t’auras la mort de cette jeune fille sur la conscience et si tu veux pas que ça te pourrisse la vie, suicide toi, c’est ce que tu as de mieux à faire ! ; de toute façon, t’es foutu, tu perds ton boulot et pour faire autre chose, ça sera la galère, personne ne voudra de toi ; alors avale des cachets, pend toi, ou fous toi à l’eau , ou jette toi sous un train ! »