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Journal - Page 16

  • Les goulags

    Il n’y a jamais eu de goulags de salauds…

    Tous les goulags ont été ceux que les tyrans ont mis en place en des lieux reculés de leurs empires, de leurs royaumes, de leurs états ; et en lesquels ils ont enfermé, torturé, brisé, assassiné les indésirables, les contestataires de leur ordre…

    Ainsi y-a-t-il eu les goulags des nazis hitlériens de 1933 à 1945, les goulags de Staline en Russie, précédés des goulags des Tsars en Sibérie ; les goulags de Mao Tsé Tung le maître de la « Révolution Culturelle », et au 21ème siècle les goulags de Xi Jinping, les goulags des Mollahs d’Iran, les goulags d’Erdogan en Turquie, les goulags de Bachar Al Hassad en Syrie, les goulags de Corée du Nord, les goulags de Vladimir Poutine…

    Et même aux États Unis d’Amérique le goulag de Guantanamo…

     

    Il n’y a jamais eu de goulags de salauds mais cela ne veut pas dire que l’on n’ait jamais essayé d’en mettre en place, des goulags de salauds – de « vrais/vrais salauds »…

    On a essayé, oui…

    Mais quand on les a faits ces goulags de salauds – de « vrais/vrais salauds » - on y a mis « par erreur » - erreur souvent « délibérée »- des « pas salauds du tout » qu’on a confondus, mélangés avec les « vrais/vrais salauds »…

     

    Les grands humanistes, les grands penseurs et esprits éclairés, avec leurs organisations, leurs adhérents, par les combats qu’ils ont mené et qu’ils mènent encore pour « un monde plus juste et meilleur », un « monde de paix, d’amour, de tolérance »… Ne veulent plus qu’il y en ait, des goulags, nulle part sur la Terre des Hommes…

    Ils se sont fait « anges »… Mais les anges sans potences, sans fusil, sans gardes en armes, sans geôliers… Sont les délivreurs de passeport aux candidats tyrans qui ont déjà derrière eux et les suivant, leurs hordes à leur dévotion…

     

    Les goulags de salauds qu’on a essayé de mettre en place, dont l’Histoire se souvient – je pense à la Terreur de 1793-1794 – de la France de la 1ère République et de la Convention, ont eu au moins pour résultat « qu’un certain nombre de vrais/vrais salauds » ont été « raccourcis » (éliminés)… ( C’est la raison pour laquelle « de cœur et d’esprit » je déplore la Terreur mais que « de raison et de réflexion » je ne la condamne pas)…

     

    Tout le problème est là pour l’avenir du monde, de la civilisation humaine : que puissent exister des goulags de salauds – de « vrais/vrais salauds » dans lesquels on ne mette pas par erreur – erreur délibérée – des « pas salauds du tout » confondus ou assimilés aux vrais salauds…

    Il faut que les « anges » se résolvent à ne pas remiser leurs fusils et se fassent délivreurs attentionnés et circonspects de passeports…

     

    Y’en a qui disent « les vrais/vrais salauds totaux » ça n’existe pas : un salaud aussi salaud soit-il est un être humain, pas un extraterrestre, pas un alien venu de l’Espace…

    Soit… Ils ont peut-être « en partie raison »…

    Mais… Qu’il y-t-il de « bon », de « purement humain dans le plein sens de ce qu’est un humain »… En un Vladimir Poutine, en un Bachar Al Hassad, en un islamiste jihadiste, en un pédophile violeur assassin ? En un policier lourdement armé et protégé hyper convaincu du régime de dictature qu’il soutient ? Vous avez déjà vu en Russie Poutinienne un policier se faire assassiner, ou tabasser comme cela se voit en France ?

     

     

     

  • Les lunettes de soleil

    Lunettes soleil.jpeg

    Les lunettes de soleil en public c’est un voile sur le regard…

    Oui afin de se protéger d’un vif ensoleillement sur la plage, en promenade dans un lieu découvert en été sous un soleil éclatant, assis sur un banc devant chez soi au soleil un livre à la main… Mais en public dans la rue non…

    Le pire c’est de porter des lunettes de soleil alors qu’il n’y a pas de soleil ! Et… Moins pire mais à mon sens désolant de banalité et de conformisme et d’habitude : les lunettes de soleil dans les cheveux ! (plus le cas pour les femmes que pour les hommes)… Ou « en sautoir sur le poitrail », ouvertes attachées avec une cordelette lacet – ou encore glissées fermées dans l’encolure du pull, du maillot… Et aussi, bras ouverts sur la table du café, du restau, à côté de l’assiette…

     

  • Le réel, l'imaginaire

    La poésie du réel d’une part, et la poésie de l’imaginaire d’autre part… Sont-elles conciliables, compatibles ?

    Dans une œuvre littéraire diversifiée peuvent-elles coexister, être celles d’un même auteur ?

    Oui si l’imaginaire – qui n’est pas le réel – demeure crédible…

    Toutefois il n’y a pas de poésie de l’effet produit, parce que de toute une évidence qui n’est pas perçue comme telle, l’effet produit est soutenu, obtenu par la technologie – du numérique, de l’intelligence artificielle et de leurs outils mis à la disposition de chacun connecté à internet… Ou bien est le résultat de l’impact que peut avoir une « formulation de langage »

    Quelle poésie dans la production d’une image, d’une photo, d’une vidéo, fabriquée par « Photo-shop » ou autre application logicielle de traitement de l’image ?

    Quelle poésie dans une « formulation de langage » qui rejoint, quelle que soit son « originalité » un courant d’opinion générale ?

    L’écrit, l’image, aujourd’hui, ne sont plus reconnus pour leur authenticité, pour ce qu’ils ont de naturel, d’exempt de tout artifice, de tout effet du paraître (de l’imposture du paraître)…

    Dans leur inachèvement, dans leurs imperfections, dans leur forme qui n’est pas définitive, dans ce qu’il peut y avoir de malhabile dans les contours, dans les tracés… Mais avec leur devenir en formation, en évolution, et qui est perceptible ; l’écrit et l’image – qui ne font pas ou plus recette du fait de leur inachèvement et de leurs imperfections l’écrit et l’image du réel ou de l’imaginaire (de l’imaginaire « crédible ») sont oui, « œuvre poétique » (non contrefaite)…

     

  • Salon de l'Habitat et du Bois 2025 à Epinal

    Le salon de l’Habitat et du Bois se tient du 18 au 22 septembre 2025 au parc des expositions d’Epinal…

    En ce dimanche gris et pluvieux du 21 septembre il est à parier que le nombre de visiteurs sera plus important que par beau temps ensoleillé vendredi 19 (où il y avait ce jour là beaucoup de monde sur la route des Crêtes du côté du Honeck)…

     

    À mon sens, les personnes les plus intéréssées et les plus motivées pour un salon de l’Habitat sont – en priorité- les trente et quarantenaires avec enfants ayant soit un projet immobilier, soit désirant aménager l’intérieur de leur maison… Mais également les « 70/80 ans » qui ont de grands petits enfants en passe d’acquérir une maison ou envisageant de rénover, d’entretenir, d’équiper leur habitation…

     

    Mais quel intérêt pour des personnes d’autour de 80 ans qui n’ont pas un petit-fils ou une petite fille – marié(e) et avec enfants, et de surcroît peu soucieux de la valorisation de leur patrimoine immobilier ?

    Quel intérêt – de la valorisation et de l’entretien d’un patrimoine immobilier – pour ces mêmes personnes d’autour de 80 ans qui sont en désaccord avec leurs enfants ou dont les enfants ne voient plus leurs parents ?

    Qu’est-ce d’ailleurs (que vaut) la « valorisation d’un patrimoine immobilier » lorsque la descendance directe est absente, et que le fils ou la fille n’a pas de descendance ?

     

    « En principe » les « grands enfants » - âgés de 50/60 ans – eux, ont, beaucoup d’entre eux, leur maison arrangée, valorisée, entretenue, bien équipée…

     

    La « grande idée » dans les salons de l’Habitat des années présentes, c’est l’adaptation des matériaux (nouveaux) et des projets et techniques de construction au changement climatique.

    Très bien.

    Mais que dire des zones habitées et densément peuplées avec moult lotissements de maisons individuelles, inondables et encore plus qu’elles ne le sont, inondables en plus grande étendue et plus souvent ? Et des incendies, et des intempéries et des affaissements de terrain dévastateurs ?

    Et « au pire du pire » si l’on verse dans la peur d’une guerre avec la Russie, un drone de Poutine qui pulvérise la maison ?

     

    Vous me direz – et vous aurez raison - « dans ce cas on fait plus rien , on fait des habitations en algéco, on laisse passer les doigts de la main dans les fissures, on fait pas un beau jardin d’agrément, on ne met pas une belle niche pour le toutou, on se meuble chez Ikéa de tic et de toc… Et on se rend au salon de l’habitat comme on se rend au ciné ou à la plage ou dans une fête d’été – ou au mieux en tant qu’observateur curieux et désirant s’informer de l’évolution des technologies liées à l’habitat, aux matériaux de construction et aux équipements, ameublements…

     

    35 000 visiteurs tout de même pour ce salon de l’Habitat et du Bois 2025 à Epinal…

     

     

  • Dans la caracole des jours des semaines des mois des saisons

    Dans ces années 2008, 2009, 2010,2011…

    Et même jusqu’en 2019…

    Jamais tu ne pensais à ces années 2024, 2025, 2026…

    D’un siècle après les « années folles » ces vingt et quelque du 20 ème siècle.

    Tu étais, tu vivais…

    Année après année ou plutôt saison après saison sinon semaine après semaine…

    Depuis 2008 jusqu’à 2019

    Dans un présent comme un jour sans matin sans hier sans avant-hier et sans soir ni nuit venant ni demain ni après demain…

    Mais parfois te venaient des souvenirs des années 1960/1970, les souvenirs alors s’ouvrant tels des tiroirs qui ne grinçaient pas en coulissant.

    Tu n’imaginais pas un seul instant

    Dans la caracole des jours des semaines des mois des saisons

    En 2013 ou en 2016

    Ce que seraient ces années d’après 2020.

     

    Et tu y es à présent

    Dans ces années d’après 2020

    Qui te sont tombées sur les épaules

    Qui ont grisé le ciel au dessus de ta tête

    Décoloré les rêves qui te venaient.

    Et s’ouvrent alors les tiroirs des souvenirs de 2008, 2009, 2010, 2011… 2019

    Mais les tiroirs grincent en coulissant.

    Et te vient l’angoisse des années d’après 2030…

     

    Déjà en 2008 et en 2009 quand il t’arrivait de penser avec effroi à ces années 2030/2040, tu disais « je ne suis pas pressé de les voir venir »…

    Soit dit en passant, en 1956 tu aurais aimé être déjà en 1970…

    Pensant qu’en 1970 tu courrais plus à ta guise qu’en 1956.

    2030/2040 ce sont les années qui évoquent les EHPAD la vieillesse le rétrécissement du champ des relations par défection de ceux et de celles qui partent, nous avaient accompagné un temps ou une vie…

    Et par défection aussi de ceux et de celles qui eux, « footinguent et treckinguent » sur les chemins de randonnée, achètent à l’arrache des billets de train et d’avion ; dont le mode de vie et de consommation et d’aspiration et de besoins et de vision du monde… Eloigne, sépare, de ces « vieux » qui ne montent plus dans les trains et dans les avions et dont la marche avec 2 bâtons n’a rien à voir avec la « marche nordique »…

    Reste…

    Comme on dit…

    « Les bibliothèques qui brûlent » à propos des « vieux » qui s’en vont…

    La transmission de savoirs acquis par le vécu et ou par l’étude, la transmission de ce qui a été réalisé…

    Mais… La transmission à qui et de quoi et pourquoi ?

    Et avec tous ces vide-greniers, ces vide-maisons, avec tout ce que l’on porte en déchetterie, aux Emaüs…

    S’il n’y avait pas l’interdiction de brûler dans les jardins, les bibliothèques – avec les bouquins dedans dont le journal de Papy – elles partiraient en flammes et en fumée et le vent emporterait les cendres…

     

    Tu dis tout cela parce que tu es né dans les années du milieu du 20 ème siècle… Et quand on est né(e) en 2002 ou en 2010, les années que l’on imagine pas comment elles seront, sont les années 2090…