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Journal - Page 16

  • Salons de l'Habitat

    Dans les salons de l’Habitat qui se tiennent en France en diverses villes de régions, et qui voient défiler durant plusieurs jours des milliers de visiteurs – jusqu’à 35000, de tout le Grand Est à Epinal – évoque-t-on dans les colloques et débats conférences publiques, les effets dévastateurs du changement climatique réduisant à néant tant de réalisations de « bricoleurs », de gens qui passent des années de leur vie souvent pendant leurs congés ou en week end, à rénover, aménager, construire, se procurant les matériaux les plus innovants, se dotant de machines outils, de tout un équipement de menuiserie, de maçonnerie, etc. …

     

    Il est évident, vu le nombre de visiteurs et d’afficionados de la rénove et de l’aménagement autant extérieur qu’intérieur ; qu’à aucun moment durant les journées de salon de l’Habitat, il est question des risques liés à des évéments climatiques dévastateurs… Comme si le « Grand Projet » de « belle maison » et de « bel intérieur -de style » dont beaucoup rêvent et pour lequel Grand Projet ils se donnent les moyens de réaliser, d’innover, au prix de tant d’heures et de jours de travail – et d’argent dépensé… Devait non seulement être celui d’une vie entière mais encore un Grand Projet qui continuerait de vivre « au-delà de la tombe » ! (pour combien de générations, notamment quand on pense aux personnes qui n’ont pas d’héritiers directs!)…

     

    Cela paraît « surréaliste » une telle dimension de somme d’activité, d’espérance et de travail en vue d’un projet immobilier (la motivation principale dans la vie, pour disons 9 Français sur 10)… Face au risque accru et s’accroissant encore plus d’une année à l’autre, lié à des événements climatiques de plus en plus violents, de plus en plus étendus et de plus en plus destructeurs de réalisations dans le domaine de l’Habitat !

     

    Alors « à vos marques, prêts ? Partez ! Allez y de la truelle, de la perçeuse, du marteau, de la scie ; et coyez y au Grand Projet, à la maison de vos rêves… Bon si vous passez entre les tornades, les coups de vent furieux, les averses de grêle, les débordements de la rivière voisine, votre belle maison sortant indemne de la grande dévastation locale… Et si vous avez des enfants et des petits enfants voire des arrière-petits enfants motivés, qui continueront votre œuvre (tout ce monde là, de jeunes et nouvelles générations qui divorcent pas, se bouffent pas le nez, ne s’établissent pas à perpète à l’autre bout de la planète, sont respectueux, travailleurs, enfin tout ce que l’on veut qu’on espère)… Vous aurez « gagné le yoyo » !

     

     

  • Réflexion du jour samedi 21 septembre 2024

    Il y en a marre, plus que marre, de devoir « se prendre la tête » chaque jour ou presque (enfin très souvent) pour installer sur son ordi ou sur son smartphone , une appli pour ceci, une appli pour cela, ou télécharger tel machin censé résoudre telle chose dont on a besoin ; devoir ouvrir ceci, ouvrir cela (s’inscrire, créer un compte) ; aller sur « Mon Leclerc » (ou autre « Mon quelquechose ») pour voir si on a gagné (gagné combien sinon que dalle ou un malheureux euro)… Et tant d’autres trucs où il faut suivre une procédure, comprendre le système (on se plante presque toujours à un moment ou un autre, de telle sorte qu’on finit par abandonner, ayant ouvert et essayé pour rien le truc restant dans ton historique d’activité comme une chrysalide vide suspendue sur un fil de clôture avant d’être emportée par le vent)…

    Ce qu’il faudrait c’est une IA sous la forme d’un personnage (ou d’une « personnagette ») virtuel avec lequel tu entres en contact sur demande (une espèce de Copilot imitant un vrai personnage technicien résolveur de problèmes) qui aurait accès direct à ton ordi (jouant ainsi le rôle d’un technicien assistance informatique internet venant chez toi) et qui te dirait point par point, dans le détail, ce qu’il faut faire comme toi tu veux ; de telle sorte que le travail de mise en place pour le prêt à fonctionner, serait réalisé comme toi tu le souhaites…

    Bien sûr une fois la mise en place effectuée, le cadre c’est à dire l’architecture, conçu spécial pour toi… Il reste plus qu’à créer, inventer, produire, exprimer, et ça, tu sais faire !

    Est-ce que « apprendre à maîtriser de la pure technologie, de la mécanique de fonctionnement, c’est valorisant, est-ce que ça prouve que t’es plus intelligent qu’un autre ? Et qu’est-ce que ça t’apporte dans ta vie ? C’est juste des contraintes, de l’emmerdement, un véritable carcan, ça te rend pas meilleur qu’un autre, ça fait pas de toi un vrai créateur, un artiste, un écrivain, un penseur, ni rien qui ne vienne de ton intériorité et du potentiel réel de ton intériorité !

    Tout ce qui est purement mécanique, procédurier, de mise place et d’installation de ceci de cela, de cadre, d’architecture, tout ça n’a strictement rien à voir avec le talent, le vrai talent, la capacité de créer, d’imaginer, d’inventer, de transmettre, de partager, et qui, tout cela, fait ton intériorité, ton vrai pouvoir, ta vraie intelligence…

    Tout ce qui est donc, purement et seulement mécanique et procédurier, l’IA peut s’en charger, afin de te libérer toi le créateur (te libérer de ces épouvantables et assommantes contraintes qui absorbent ce temps précieux de création qu’il te faut)…

     

     

     

  • Les trois domaines d'environnement de relation

    L’on peut distinguer – en gros- dans les relations que nous entretenons au quotidien – et occasionnellement – avec nos proches, nos amis, nos connaissances … Trois environnements ou domaines de relation :

     

    - Le plus intéressant pour chacun de nous est celui des personnes qui, quoiqu’il arrive ou survienne, susceptible d’altérer la relation, nous serons toujours fidèles en ce sens que, sans forcément être toujours d’accord avec nous, ne cesseront jamais de nous reconnaître et de nous apprécier tels que nous sommes, et seront en conséquence, au quotidien, ou selon les occasions de se rencontrer, toujours présents, écouteront ce que l’on exprime, seront sur les réseaux sociaux – sur la Toile – ceux et celles qui nous suivent, nous lisent, et nous répondent, seront donc nos principaux interlocuteurs…

    Mais il faut dire que cet environnement là, de proches, d’amis, de connaissances ; le plus intéressant pour nous, n’est pas loin s’en faut celui qui compte le plus grand nombre de personnes… D’autant plus si ce que l’on est n’entre pas dans « l’ordre habituel des choses » et donc, se démarque de ce qui prévaut ou domine dans la société où nous vivons…

     

    - Le monde – de relation- le plus étendu, le plus commun, autour de nous ; est celui des gens – les proches, les amis et les connaissances – qui « font comme s’ils nous reconnaissaient », et, en quelque sorte nous acceptent comme « faisant partie du paysage social »… Mais souvent se montrent indifférents, silencieux à notre égard ou au mieux si l’on peut dire, accueillent nos propos, tout ce que nous pouvons exprimer, montrer, « par principe et par civilité » et parfois avec une certaine condescendance n’apparaissant pas forcément… En somme « ils », « elles » font comme s’ils, elles aimaient (alors qu’au fond d’eux mêmes ils, elles n’aiment pas ou s’en contrefichent)…

     

    -Et il y a enfin le monde – de relation – qui nous est étranger, hostile, impénétrable : celui des gens – les proches, les connaissances (mais assurément plus les amis comme dans les deux domaines précédents) – avec lesquels nous sommes en désaccord sur presque tout, et qui eux, lorsqu’ils se manifestent, nous agressent, dénaturent nos propos, contestent systématiquement tout ce que l’on exprime, nous méprisent, cherchent à nous nuire… En général ces gens là sont d’un milieu social et intellectuel très différent du milieu dans lequel on vit…

     

    Cependant – et c’est bien là le « hic » - chacun de ces trois domaines ou environnements de relation n’a pas comme une sorte de frontière bien délimitée qui le sépare de l’autre, car il existe une « zone de transition » plus ou moins étendue où règne l’incertitude, l’aléatoire…

    Et, à tout ce qui se trouve dans la « zone de transition » notamment ces repères imprécis ou parfois changeants ; s’ajoute tout ce qui en soi nous conditionne c’est à dire nos croyances, nos préjugés, nos modèles, notre culture et notre vision personnelles du monde, des êtres et des choses…

     

     

  • Dans les cimetières ...

    Cimetières.jpg

    En général dans les cimetières sur les tombes figurent sous le nom et le prénom du défunt – ou de la défunte – l’année de naissance et l’année de la mort…

     

    Et quand par exemple on lit « Gaston Untel 1929-1998 » l’on se dit – enfin je me dis - : « Il court vécut »…

    Mais si on lit « Fernande Unetelle 1906- 2001 » je me dis alors : « Elle long vécut »…

     

    Et que dire de, par exemple : « Ignace Machin 1947- … » sinon « il est né en 1947 » ? … Ça s’rait-il qu’il mourrait pas l’Ignace ?

     

    Chaque fois que je passe un 31 décembre je me dis que c’est pas écrit sur une tombe mon nom et mon prénom avec date de naissance 1948 et date de ma mort l’année qui vient de s’achever… Mais… Merde, l’année en cours – on est en tel mois – ça s’ra p’être écrit mon nom mon prénom 1948 – l’année en cours…

     

    Jusqu’à moins de 80 ans – il faut bien fixer un repère (qui vaut ce qu’il vaut) – c’est : « Il (ou Elle) court vécut »…

    Après 80 ans, enfin « de préférence » proche de 100 – et même si possible jusqu’à 110 voire encore plus – c’est : « Il (ou Elle) long vécut »…

     

    Et c’est que… Une année de plus (à force d’être encore en vie)… Ça fait « quelques fichiers en plus sur One Drive » pour un « témoin de son temps » qui s’exprime…

     

     

  • Bing Copilote

    Il est certain – et heureux – que « Bing Copilote » c’est bien mieux, mille fois mieux que Recherche Google et autres moteurs de recherche que l’on utilisait avant l’arrivée de « Bing Copilote »…

    Lorsque tu poses une question précise et correctement formulée à Copilote, tu obtiens en 1 ou 2 secondes une réponse détaillée et appropriée, ce qui est bien plus simple, bien plus pratique, que jadis, lorsqu’il fallait faire défiler plusieurs pages Google de liens et choisir le bon lien… En réponse à la phrase de quelques mots que tu avais inscrite dans la barre de recherche…

    En recherche Google ou autre en effet, c’est assez rare que le résultat apparaissant (plusieurs pages de liens) corresponde exactement à ce que tu recherches : tu tombes sur des liens « censés répondre » mais parfois éloignés de ce que tu recherches sinon même totalement étrangers à ta demande… Et, lorsqu’enfin tu cliques sur le « bon lien » il n’est pas sûr du tout que ça t’éclaire vraiment…

    Bon c’est vrai : entre le temps de recherche dans des encyclopédies et des dictionnaires qu’il te fallait avant Internet ; et le temps de recherche de liens sur Google… « Y’a pas photo » !

    Et à présent avec Copilote, c’est le « top du top » !

    Une recherche « traditionnelle » en consultant des documents, des ouvrages, des encyclopédies, des dictionnaires, comme on le faisait avant Internet… C’est du « travail purement mécanique » (et fatiguant) et qui n’apporte rien de plus à ton développement intellectuel personnel…

    Alors que, délivré de ce « travail » purement mécanique, cela te laisse davantage de temps et de possibilités, justement, pour développer ton esprit, ton intelligence, ta créativité…

     

    Cependant – il faut le dire – le « hic » dans cette affaire de Bing Copilote, c’est d’être en capacité d’utiliser l’Intelligence Artificielle mise à notre disposition, avec toute son indépendance d’esprit, sa liberté que l’on parvient à construire en soi dans un monde où la liberté est illusion ou factice ou conditionnée ; et avec en soi un potentiel de capacité de réflexion, d’analyse, de « clairvoyance » si possible… Sinon, tu deviens un « humanuscule » ( pas très loin du robot ) …