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Journal - Page 16

  • 23 milliards de pensions de retraite non versées

    L’argent des retraites non versées par année en France s’élève à 23 milliards d’euros.

    1 personne sur 4 en moyenne en France, meurt avant d’atteindre l’âge légal de la retraite, aujourd’hui fixé à 62 ans (le paiement des pensions de retraite ne commençant donc qu’à partir de 62 ans)…

     

    5 ans c’est la durée moyenne estimée, du temps écoulé – entre 57 et 62 ans – pendant lequel 1 Français sur 4 décède (compte tenu de ceux et de celles qui meurent avant 57 ans)…

    Ainsi 250 000 personnes chaque année en France décèdent avant 62 ans – dont la majorité (les deux tiers probablement) entre 57 et 62 ans – et l’ensemble de ces 250 000 personnes, c’est 23 milliards d’euro par an.

     

    Combien de pensions de retraite peut-on servir par an, en France, avec 23 milliards d’euro ?

    Eh bien justement 250 000 chaque année, payées elles, chacune de ces pensions, à partir de 62 ans…

    En 2025 le nombre de personnes en France accédant à la retraite à l’âge de 62 ans est de l’ordre de 55 000, ce qui fait donc en 2025, 55 000 retraités en plus des déjà retraités… Mais… Sur les plus de 15 millions de retraités en France, chaque année environ 600 000 (donc un peu plus d’un demi million sur les 15 millions – soit 1 sur 30 - ) meurent…

     

    Est-ce qu’en 2035, en 2040, l’on arrivera à 250 000 personnes arrivant à la retraite ? ( en effet, entre aujourd’hui 55 000 et 250 000 en 2035 ou 2040, ça fait vraiment une différence « surréaliste » !

     

    Où vont les 23 milliards d’euros de pensions de retraite non versées ? Alors que « seulement » 5 milliards suffiraient pour pensionner à partir de 62 ans, 55 000 personnes ?

     

  • Regard sur le monde depuis le début du 20 ème siècle

    Guillaume Apollinaire, Marcel Proust, Frantz Kafka… Et le mouvement « Dada » - puis des surréalistes – avaient changé, dans les milieux artistiques et littéraires du premier quart du 20 ème siècle, le regard porté sur le monde ; la grande guerre de 1914 – 1918 dans ses horreurs et son extrême violence ayant aussi été, un facteur déterminant sur ce reagrd porté…

    Et au-delà, bien au-delà des milieux artistiques et littéraires, c’est l’ensemble de la société, aux États Unis d’Amérique, en France et en Europe, qui est entrée dans – comme l’écrit Benoît Duteurtre dans « Ma vie extraordinaire »- « une première forme de modernité » - quoique cette « première modernité » en fait, ait été précédée par la « modernité ambiante » de la seconde moitié du 19 ème siècle – avec notamment les peintres impressionnistes, les poètes dits « maudits » Arthur Rimbaud, Charles Baudelaire, Stéphane Mallarmé ; l’écrivain Emile Zola…

    Puis dans les années 1930-1940- 1950, avec encore une fois – la 2 ème- la terrible épreuve de la seconde guerre mondiale en tant que facteur déterminant – une nouvelle forme de modernité s’inscrit dans la continuité de la « première moderntité » mais avec ceci de particulier qu’elle s’est faite « aventureuse » et en même temps s’est « radicalisée » dans ses idéologies, dans les « systèmes de pensée » qu’elle a construits… Et c’est ainsi que la société – des milieux littéraires et artistiques jusqu’aux « gens du commun » a commencé à se fracturer, à « ne plus avoir les mêmes repères que ceux et celles des générations nées au milieu du 19 ème siècle…

    Puis de la décennie 1960 à la décennie 1990, avec ce qu’il est convenu d’appeler « Les trente glorieuses », l’on assiste – soit pour les uns, en le subissant, soit pour les autres en s’y jetant dedans – au développement d’un « maelstrom » dans lequel tournent et se meuvent les mécanismes de l’industrialisation, de la technologie, du consumérisme et de la tyrannie des nouveaux maîtres du monde…

    Et pour finir – mais… Soit dit en passant personne ne sait (tout en « croyant savoir ») comment cela finira (si ça finit) – Dans le premier quart du 21ème siècle (et encore davantage dans le deuxième quart commençant), la tyrannie des nouveaux maîtres du monde s’est considérablement accrue…

     

     

  • Papy ou Mamy ?

    Papy ou Mamy.jpg

    Ni l'un ni l'autre ... Sauf que... Avec lequel des deux je risque le plus de voir éliminé du Web une bonne partie de mes vingt mille lieues d'écriture sur la Toile ?

     

    La péponse que je suppute est la suivante :

     

    Avec Marine Le Pen, dans les 2 ou 3 premières annnées, je ne pense pas que "ça changera grand chose" pour mes publications sur Facebook, mon blog, mon site... Au delà de 2 ou 3 ans ou plus, c'est à voir, là, je suis assez sceptique (et pessimiste)... Mais bon, d'ici 2 ou 3 ans je serai peut-être mort... Et Marine Le Pen ne pourra pas alors, m'éliminer de "Wayback Machine"... Pas plus d'ailleurs que Jean Luc Mélenchon ou un autre...

     

    Avec Jean Luc Mélenchon au Pouvoir si "Dieu me prête vie" au delà de 2 ou 3 ans, je ne crains guère grand chose pour la publication de mes écrits... Cependant il me faudra sans doute "faire une grosse impasse" (qui me vaudra les foudres justifiées de quelques uns d'entre vous très anti Jean Luc Mélenchon) sur le "couscous de l'Amitié avec nos amis musulmans", sur les mosquées salafistes non interdites, et sur - peut-être des infirmières voilées à l'hôpital ou au guichet de la sous-préfecture...

    Je reconnais que l'impasse sera difficile à faire... Mais... Le prix à payer pour conserver ma liberté d'expression, ça demande réflexion...

     

    Et, autre question qui me vient à l'esprit "suis-je si sûr que ça qu'avec Jean Luc Mélenchon je pourrais continuer à vraiment dire tout ce que je veux"? ... Quoiqu'il en soit, si c'est l'un si c'est l'autre, il me faudra - je le fais déjà - "faire la nique aux neunœils dopés à l'intelligence artificielle sans pour autant me transformer en bouffon de la "Cour" future (qui il faut dire, bien que différente des cours précédentes, aura toujours ses tristes clowns empanachés plumes au cul tous dotés de cassettes remplies à ras bord de diamants et faiseurs de modes de pensée, d'opinions ; promoteurs de culture de masse jeuvidéoïque festiférialières et télédébilitantes...

     

  • Ces drones et avions russes

    Qui naviguent dans les espaces aériens de la Norvège, du Danemark, de la Pologne, de l’Allemagne…

    Le ciel Français va y avoir droit…

    Ils nous provoquent, nous menacent et au dire des autorités militaires de Poutine « si vous les abattez c’est la guerre »…

    Alors que faire ? Récriminer, « croiser les doigts », attendre, s’interroger… Et pendant que l’on attend et que l’on débat sur des mesures à prendre… On ne fait rien, on subit !

    Déjà, depuis pas mal de temps, avec toutes ces cyber-attaques, infiltrations poutiniennes dans nos appareils d’état et nos institutions ; avec ces partis d’extrême droite tacitement voire ouvertement complices, et gauches minimisantes, plus de l’islamisme téléguidé… « On aura tout vu » !

    La guerre ? Elle est bien là, déjà… Sans les chars et les armées présentes et en mouvement passant les frontières – pas encore- mais à coup sûr en préparation et en infiltration…

    Il serait temps que Trump « change son fusil d’épaule » - d’un côté… Et que les Européens « se magnent le popotin » !

    Poutine aux latrines !

     

  • Un jour tu t'envoleras

    Rares sont les écrivains ayant aussi bien exprimé que Benoît Duteutre dans « Ma vie extraordinaire », ce que la postérité comporte d’aléatoire voire de vain…

     

    Je cite :

     

    « La plupart des écrivains, peintres, musiciens, savants, songent à cette trace qu’ils pourront laisser, à l’image de ceux des siècles passés. Il s’agit certes d’une ambition peu réaliste et il ne restera rien de la plupart de nous, sauf des noms oubliés sur des tombes abandonnées. Nous communiquons dans le culte de la littérature, de la transmission de l’Histoire ; mais, dans les temps à venir, les notions même d’Histoire et de littérature risquent de se voir balayées par le vent nouveau… Ce qui n’empêche pas de se rêver en Baudelaire ou en Flaubert, avant de se résoudre à un destin plus modeste : celui d’écrivain secondaire dont quelques lecteurs redécouvriront les volumes avec curiosité. »

     

    « Pour ma part » voici ce que j’ai trouvé pour exprimer la même chose que Benoît Duteurtre, écrivain et homme dont je me sens proche et ayant lu ses livres :

     

    « Notre disparition est un envol dans les étoiles à peine suivi de quelques regards sur le sillage de notre âme ayant pris la forme d’une toute petite loupiote s’éteignant au bout de seulement un millième de parsec dans l’immensité du cosmos. »

     

    Peut-être que la postérité c’est autant le cosmos tout entier que la moindre des particules dont il est fait…

    Outre nos œuvres – de littérature, de musique, de peinture et de tout ce que nous réalisons – il en est de même des demeures somptueuses de quelques uns d’entre nous, et de tout simplement nos maisons bien arrangées, bien entretenues…

    Les gens ont des yeux et ils pleurent quand ils sont tristes, les maisons ont des fenêtres le long desquelles s’écoule la pluie sur les vitres : c’est là, aux maisons, toute leur tristesse, tous leurs pleurs : la pluie sur les vitres…