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Journal - Page 18

  • La colère sans la haine

    Non à la haine mais oui à la colère « gros coup de gueule », oui à être horrifié par un comportement qui heurte, oui au rejet exprimé haut et fort de l’inacceptable, oui à la dénonciation de ce qui agresse, violente, brutalise, traumatise, abuse, trompe…

    La haine, cependant, peut-elle être confondue avec le fait de se sentir horrifié, avec le fait de rejeter ce dont on a horreur ?

    Non, parce que la haine implique que l’on souhaite du mal et -ou- que l’on fasse du mal à une personne ou à des personnes ; ce qui n’est pas le cas pour la colère aussi « gros coup de gueule soit-elle »…

    L’on peut-être donc en colère, en très grande colère, sans pour autant haïr…

    Toutefois, « par exception » : haïr Vladimir Poutine, haïr les islamistes jihadistes terroristes fanatisés, haïr les pédophiles, OUI…

     

     

  • Otage israélien retenu par le Hamas

    Otage.jpeg

    D’aucuns, fort nombreux, au vu de cette image « passée en boucle » sur les télés et aux infos diffusées sur internet par les médias, représentant un otage israélien décharné, maltraité par le Hamas, enfermé dans un « tunnel trou à rats » ; ne manqueront pas de s’exprimer sur les réseaux sociaux, pour dire : « en comparaison des dizaines voire de centaines de milliers de Palestiniens de Gaza en situation de famine, de précarité et de surcroît tirés comme des lapins à l’approche des points de ravitaillement d’accès difficile et ne distribuant que peu de nourriture, y’a pas photo » !

    Et ne manqueront pas, également de proférer, sur les réseaux sociaux, leur haine des Juifs et d’Israël, leur soutien aux Palestiniens qui pour plus de 90 % d’entre eux, sont pour le Hamas !

     

    Eh bien, « n’en déplaise à tous ces d’aucuns », ma réprobation entre pour 80 % à la vue de cet otage Israélien retenu par le Hamas dans des conditions effroyables de maltraitance et de barbarie, et pour 20 % à la vue « diffusée en boucle et largement relayée par les médias et sur les télés » des dizaines de milliers de Palestiniens de Gaza en situation de grande famine.

     

    Tant qu’il y aura des guerres il y aura des « victimes collatérales » - des civils, des femmes et des enfants – et la principale origine et cause de toutes les guerres, c’est celle venant des salauds aux ambitions démesurées, agressifs, envahisseurs, attaquants, contre lesquels il faut nécéssairement se défendre, qu’il faut combattre… Et autre cause celle de l’économie et du marché de la guerre avec les marchands et les lobbys de l’armement avec lesquels traitent les gouvernements des états et des nations…

     

    Le jour où il n’y aura plus de guerre, il n’y aura plus de « victimes collatérales »…

    Si les terroristes du Hamas n’avaient pas attaqué et assassiné 1200 Israéliens le 7 octobre 2023, Gaza ne serait pas aujourd’hui un champ de ruines à perte de vue et 50 000 ou plus de Palestiniens dans la bande de Gaza n’auraient pas péri sous les bombardements et sous less assauts de l’armée Israélienne…

    Si les nazis n’avaient pas attaqué l’europe occidentale en 1940, il n’y aurait pas eu ni les bombardements si meutriers des villes normandes en juillet 1944, ni les mêmes bombardements tout aussi meurtriers sur les villes allemandes entre 1943 et 1945…

     

    Les combattants qui périssent sur les champs de bataille les armes à la main en face de l’agresseur ont leur nom qui figure inscrit sur des monuments et le souvenir de leur sacrifice est perpétué lors de cérémonies commémoratives – guerres de 1914/1918 et de 1939/1945… Et c’est vrai qu’il n’y a pas de liste de victimes civiles – de personnes tuées dans les bombardements… Et ce qui est « aussi juste que certain » c’est que les victimes civiles des pays agresseurs vaincus par les pays agressés qui se sont défendus, seront d’ici moins de 50 ans, des victimes dont personne ne se souviendra, que personne n’honorera… Par exemple qui, parmi nous en 2025, aurait « une pensée » pour le Havrais encore Pétainiste en juillet 1944 mort dans l’écroulement de sa maison bombardée ?

     

     

  • Des temps troublés ...

    Dans les temps troublés que nous vivons et vu ce qui circule sur les réseaux sociaux à propos des « sujets difficiles et sensibles » - sur Israël, sur Gaza, sur les Palestiniens, sur l’islamisme, sur la délinquance, sur les incivilités, sur les violences et les agressions, sur l’homosexualité, sur les juifs, sur les immigrés, etc. …

    Le fait de s’exprimer publiquement sur plusieurs de ces sujets – notamment sur l’islamisme ressenti comme envahissant, ostentatoire et agressif – laisse penser que l’on est d’extrême droite si l’on déplore et dénonce l’islamisme envahissant, la délinquance, les incivilités, si l’on critique violemment une « gauche molle ou trop laxiste », un état déficient, si l’on ne soutient pas la cause palestinienne, etc. …

     

    Assurément – avec horreur, stupéfaction et immense déception je le constate – la Gauche que je voudrais voir au pouvoir n’existe pas… A-t’elle d’ailleurs jamais existée ?…

     

    Cette Gauche là, rêvée et souhaitée, serait celle qui soutiendrait Israël dans son combat contre le Hamas, le Hezbollah et l’Iran des Mollahs (même au prix certes déplorable du traitement des Palestiniens de Gaza) ; serait celle qui lutterait (même dans une violence d’état déterminée) contre les mafias, la délinquance, les incivilités, l’antisémitisme, l’homophobie, le racisme ; qui rétablirait les valeurs républicaines, démocratiques et laïques en partie perdues depuis plus de 40 ans…

     

    Ce que l’extrême droite à sa façon -délétère- propose (avec un gros bémol en ce qui concerne la condition des femmes au travail, dans la famille et dans la société, la condition des homosexuels et des « qui marchent pas trop dans les clous », sur le devenir de la Culture, et sur le devenir de la démocratie, sur les inégalités sociales et sur l’ultra prédation et autoritarisme des possédants et des dominants)…

     

    Tout ce que l’extrême gauche – aussi délétère à sa manière- n’inscrit pas dans son programme, agite de « tolérance torchon sale » au nom de la liberté et de la solidarité de complaisance à l’égard de minorités agressives supposées plus à tort qu’à raison persécutées ; déconstruit dans un désordre devenu « désordrorde », « fait une litière » de l’Islamisme…

     

    Et pour couronner le tout, par delà les gauches et extrême gauche actuelles, voilà -t-il pas que même les anarchistes (ceux là de « pacotille » et des « erzatz » ou de tristes illusionnistes ou encore véritables escrocs) se mettent de la partie, disqualifiant totalement l’anarchisme « pur et originel » et fondé non pas sur les lois humaines mais sur les lois cosmiques, naturelles, intemporelles, et sur une intelligence qui vaut mille fois mieux que l’intelligence artificielle crée par les humains à la Silicon Valey et à Shangaï !

     

     

     

  • Imaginons le Palestinien idéal :

    Il n’est musulman que « de tradition familiale et ancestrale », ne se rend à la mosquée que lors d’événements tels que le mariage, l’enterrement d’un proche… Sa femme a une vie sociale, est elle son égale dans la gestion des affaires du foyer, des décisions à prendre, elle exerce une activité professionnelle, ne porte pas le voile- juste parfois un foulard sur sa tête (comme les femmes catholiques des années 1950/1960 en France, en Europe, aux USA) et s’habille sobrement et décemment (on ne voit que ses jambes, son cou et le haut de ses épaules)…

     

    Il est contre le Hamas, contre tout régime politique autoritaire, guerrier, jihadiste, contre toute forme de terrorisme ; il veut son pays, la Palestine en tant qu’état républicain, démocratique et laïque…

     

    Il est -ou n’est pas- un artiste, un écrivain, un poète, un philosophe, un témoin de son temps, un intellectuel, un passionné dans l’art qu’il exerce… Et, s’il n’est pas un artiste, un écrivain, un poète, un philosophe, un intellectuel ; il peut-être un ouvrier, un artisan, un salarié, un employé, un commerçant, une personne de condition modeste ayant reçu à l’école une éducation de base – primaire ou secondaire- mais en tant que personne de condition modeste, il pense, il réfléchit, « ne fait pas n’importe quoi dans sa vie question comportement avec les autres » ; lui aussi en tant que personne de condition modeste, il est contre le Hamas, et veut pour son pays, la Palestine, un régime républicain, démocratique et laïque…

     

    Autre particularité, également, de ce Palestinien idéal : si à l’école dans son enfance et son adolescence il a été éduqué dans la haine d’Israël et des Juifs, il n’a pas pour autant, adhéré à la « philosophie de la violence, de la vengeance et de la haine » enseignée par les éducateurs « politisés » par le Fatah, puis par le Hamas…

     

    Ce Palestinien là, assurément est « un être d’exception », ne représentant sans doute qu’une très petite minorité du peuple Palestinien… Mais il existe certainement, et celui là, oui, on peut l’accueillir chez nous en France s’il parvient à émigrer de « l’enfer de Gaza »…

    Le Palestinien qui ne répond pas au « profil » mentionné ci dessus, est comme un Russe engagé volontaire dans l’armée de Poutine, comme un Russe pro-Poutine… « N’en disons pas plus »…

     

     

    Pour conclure… Juste un « petit rappel » :

    En 1940 en France 90 % de la population était pour le maréchal Pétain « sauveur de la France dans une défaite honorable », pour la collaboration avec l’occupant Allemand du Reich d’Hitler ; en 1941 et en 1942, les opposants et résistants aux allemands et à la France de Vichy, étaient très minoritaires…

     

    En Allemagne du 3ème Reich d’Hitler, jusqu’en fin de 1944 voire jusqu’au printemps de 1945, 90 % de la population était pour Hitler, pour le régime mis en place des nazis et des SS…

    En 1944 lors des bombardements du Havre et de Caen – après le débarquement du 6 juin – dans ces deux villes, au moins entre le tiers et la moitié des habitants étaient encore pour Pétain et voyaient les anglais et les américains comme des ennemis (ces habitants là ne sont pas comme les soldats de 14/18 « morts pour la France » et ne peuvent être « honorés »)…

     

    Dans les bombardements de Dresde, de Nuremberg, de Berlin, des grandes villes allemandes qui ont fait des centaines de milliers de victimes, en 1944 et 1945, 90 % de la population de ces villes, était encore pour Hitler…

     

    Enfin « conclusion de la conclusion » : « on ne fait pas d’omelette sans casser des œufs » !

     

     

  • Femmes et filles en foulard islamique

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    Je – pour une fois je commence un texte par « je »- supporte de moins en moins de voir dans l’espace public, en faisant mes courses dans un supermarché, dans une fête, un spectacle, au musée, sur un marché local, en déplacement lors d’un trajet avec arrêts sur des aires de repos avec boutiques… Des femmes de religion musulmane avec foulard islamique ou qui plus est, voilées – au pire en niqab…

    La seule vues de ces femmes ainsi « attifées » me révulse et me fait baisser Et la tête Et le regard…

    Je remercie le ciel de ne pas m’avoir infligé un fils marié ou vivant avec une femme musulmane portant foulard islamique : je me voyais très mal, à l’intermarché du coin, faire mes courses avec à mes côtés une belle fille voilée ou en foulard islamique… Ou si j’avais eu une fille, que cette fille se soit mariée à un musulman qui aurait exigé que sa femme porte le foulard islamique ou le voile… Pour moi ça c’est « l’horreur et le rejet absolu » !

    Ayant été élevé par mes parents – nés en 1924 et 1925- ainsi que dans mes familles paternelle et maternelle, ainsi qu’à l’Ecole de la République Française dans les années 1950 et 1960, dans la culture du respect, de la tolérance, de l’écoute et de la considération de l’Autre- avec leçons de morale à l’appui… Je « ne m’excuse aucunement de le dire » mais à la vue d’une femme ou d’une fille en foulard islamique ou en voile et de surcroît en niqab, à la vue de tous ces hommes musulmans rigoristes, mâles dominateurs et imposant à leurs femmes un statut d’infériorité et de soumission ; je suis dans le contraire absolu de tout respect, de toute écoute, de toute tolérance, de toute considération… Soit je baisse la tête et le regard, soit je regarde d’un œil noir et réprobateur tellement ça me fait froid dans le dos, m’horrifie… Et je qualifie mon comportement de rejet de « fanatisme justifié » …

    Hier encore, un samedi 2 août au Leclerc de Bruyères dans les Vosges, j’ai vu un mec – un blanc bien blanc – en compagnie « rapprochée » de sa femme ou de sa compagne portant le foulard islamique jusqu’aux hanches (et en plus avec les lunettes de soleil sur le crâne – je déteste aussi les lunettes dans les cheveux autant pour les femmes que pour les hommes (ça fait à mon sens trop commun trop dans l’air du temps trop banal voire vulgaire, les lunettes de soleil dans les cheveux je comprends pas cette pratique!)

     

    La haine (haïr quelqu’un) n’est certes pas « une bonne chose »…

    La question que je me pose à propos de la haine est : la haine peut-elle être assimilée à du sentiment de rejet et d’horreur ?

    Je ne crois pas, parce que la haine (haïr quelqu’un) implique de souhaiter ou de vouloir faire du mal à une ou à des personnes.

    Or, il ne m’arrivera jamais d’agresser – physiquement ou verbalement – une femme voilée ou portant le foulard islamique- ou même le niqab…

    Ni d’ôter d’un geste brutal, le foulard ou le voile ou le niqab d’une femme musulmane dans la rue.

    Il m’arriverait même d’aider une vieille dame voilée à porter un sac lourd.

    Mais effectivement j’ai de plus en plus de mal à accepter de voir en espace public, une femme voilée ou portant le foulard islamique.

    L’homme que j’ai vu ce samedi 2 août avec sa compagne portant le foulard islamique était peut-être un « bon mec » et l’amour est ce qu’il y a de plus important… Mais néanmoins cela me dérange et m’horrifie, le port du voile ou du foulard islamique…