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Journal - Page 18

  • Le "vrai pouvoir" qui le détient ?

    Au 21ème siècle ce ne sont plus les gouvernements ni les états, pays ou nations avec leurs dirigeants, présidents, rois, princes, et leurs régimes politiques – démocratiques, républicains, ou autoritaires – et avec leurs institutions, leurs constitutions, leurs assemblées d’élus… Et encore moins les partis politiques ou même les opinions publiques dominantes qui s’expriment sur les réseaux sociaux… Qui « font le monde », soit le monde tel qu’il est dans toute sa réalité, qui « font la société » dans son ensemble, dans ses composantes… Et qui ont le « vrai pouvoir »…

     

     

    Le « vrai pouvoir » aujourd’hui est entre les mains des possédants et dominants des plus grands secteurs les plus étendus et les plus marchands de l’économie et des activités humaines – industrie, agriculture, équipements et biens de consommation, services, loisirs, pharmacie, médecine, biotechnologies, chimie, etc. …

    Le « vrai pouvoir » absolu et sans commune mesure avec ce qui reste en matière de pouvoir aux gouvernants et aux partis et aux assemblées d’élus ; est entre les mains de :

     

    -Elon Musk avec Tesla constructions automobiles véhicules électriques, tous équipements et instruments de précision, SpaceX (astronautique et technologie spaciale)…

     

    -Larry Ellison avec Oracle (gestion bases de données Database, Cloud, Microsystem et Dyn systèmes informatiques adresse IP nom de domaine) …

     

    -Bernard Arnauld avec LVMH et 70 marques de cosmétiques et produits de luxe entre autres Vuitton, Sephora, etc. …

     

    -Mark Zuckerberg avec Meta – Facebook, Instagram depuis avril 2012, Whats App depuis février 2014… Et en lien avec Google Microsoft – les GAFAM – Appel et Amazon…

     

    -Bill Gates et Sergey Brin avec Google, Microsoft et ses suites bureautiques…

     

    -Jeff Bezos avec Amazon « leader » du marché sur Internet…

     

    -Les Chinois Zhong Shanshan, des eaux minérales et des équipements médicaux ; Zhang Yiming pour TIK TOK, et Jak Ma le patron d’Alibaba (le concurrent d’Amazon)…

     

    Sans compter tous les grands patrons et leurs équipes et actionnaires principaux de l’industrie, de la chimie, des biotechnologies, de l’agro alimentaire et de la pharmacie, de la médecine, des gros équipementiers électro ménager et producteurs de services – télécommunications, loisirs, tourisme…

     

    Tous ces gens là, multi millardaires, détiennent, vu les activités en lesquels ils dominent (et dont tout le monde a besoin dans sa vie quotidienne) un pouvoir tel (et sans cesse accru) sans commune mesure avec le pouvoir que pourraient encore avoir les gouvernants, ce sont donc eux les « maîtres du monde » … Et tous, soutiennent les gouvernements autoritaires, les régimes d’extrême droite, et ont pour objectif de faire disparaître la démocratie, de « niveler » la société, les peuples, les institutions… « selon leurs aspirations, leur bon vouloir, l’idée qu’ils se font et qu’ils imposent de l’Ordre du Monde…

     

    Et comment leur résister, s’opposer à eux, alors que nous tous, chacun de nous, quelle que soit sa condition sociale – privilégiée ou non – a besoin dans sa vie quotidienne, d’électricité, de moyens de communication, de s’exprimer, de s’informer, d’utiliser un ordinateur, un smartphone ; de se servir d’équipements ménagers, d’avoir recours à des services particuliers, de s’alimenter, de se soigner avec des médicaments, de se déplacer en voitures, vélos, scooters, trains, avions, de se distraire ( tourisme, voyages, cinéma, télé, lecture, sports) …

    Comment résister, face à tous ces besoins qui pour beaucoup d’entre nous « raisonnables que nous pouvons être » ne sont pas des besoins « superflus » ? Des besoins inhérents à notre mode de vie auquel nous sommes habitués ?

     

    La réponse ne peut être « on ne peut rien faire »…

    La réponse reste « à inventer »…

    La réponse doit-elle passer par la violence ?

    N’y a-t-il pas dans la réponse – si elle existe- (et probablement oui la réponse existe) une … Question de regard ? De regard que l’on porte selon que ce regard est tourné vers soi, vers ce à quoi on aspire pour son bien être personnel et pour ses proches ; ou que ce regard est tourné vers l’ensemble de la communauté humaine ?

     

     

  • Des choix "cornéliens"

    Entre ces deux ensembles que sont :

    -L’un, celui des pays occidentaux à économie développée et de régimes démocratiques…

    -L’autre, celui des pays à économie émergeante anti-occident et de régimes autoritaires…

    Mon choix est clair et demeure déterminé et indéfectible : ma préférence nette est celle des pays occidentaux à économie développée et de régimes démocratiques…

    Et cela quand bien même, ou plutôt aussi malheureux qu’à mon sens ce soit, que la civilisation et la société occidentales se délitent, se fracturent, se décomposent, se consumérisent, se fondent sur les valeurs de l’argent et des apparences ; et dont les régimes démocratiques ont tendance actuellement à verser dans l’autoritarisme…

     

    Soit dit en passant, il faut le dire aussi parce que c’est évident : les pays à économie émergeante anti-occident et de régimes autoritaires, ont eux aussi des sociétés qui se délitent, se fracturent, se décomposent, se consumérisent, se fondent sur les valeurs de l’argent et des apparences - et en ce sens, ces pays n’ont « aucune leçon de morale à donner…

     

    Tout le drame de notre époque – celle des années vingt du siècle présent et celle à venir – réside dans le fait – désastreux pour le devenir de notre planète – d’une sorte de « rapprochement » entre les deux ensembles concurrents et opposés, avec pour l’un en « chef de file » Donald Trump en Amérique et des gouvernants d’extrême droite en Europe, et avec pour l’autre Vladimir Poutine en « chef de file » des pays anti-occident…

    Ce « rapprochement » cependant, reste « frictionnel » et « ne concourt point loin s’en faut à la paix dans le monde…

     

    En somme Trump et Poutine incarnent deux sociétés, deux systèmes, deux ordres dont aucun des deux n’est à mon sens « préférable par rapport à l’autre »… Et, en conséquence, le choix entre les deux ensembles de société, de civilisation, est « cornélien » (autrement dit difficile)…

    « cornélien » dis-je, parce que le rejet absolu étant celui de Poutine et de l’anti occidentalisme, impliquerait donc, hélas, de « préférer » Trump ?

     

    Mais « il y a encore autre chose » :

    C’est le fait de l’existence de deux autres ensembles « superposés l’un et l’autre aux deux ensembles de civilisation, de système, d’ordre et de société ; et imbriqués l’un dans l’autre » en deux versions ou deux lectures différentes dans chacun des deux ensembles de civilisation et de pays :

     

    -Celle des fondamentalismes religieux – du Christianisme (notamment du catholiscisme et de l’orthodoxie), de l’Islam et du Judaïsme (et des sectes) qui incarnent un retour à la « fusion » de « Dieu et de César » en une seule et même toute puissance, avec les mêmes principes directeurs ( La Charia de l’Islam, la Loi divine pour les chrétiens)

     

    -Celle de ce que l’on pourrait appeler « religion des Lumières » et qui incarnerait un « Islam modéré, de démocratie, d’égalité homme femme, tolérant, bienveillant et fondé sur des valeurs humanistes » … Et un Christianisme incarnant les mêmes valeurs de démocratie, de tolérance, de bienveillance, d’humanisme…

     

    Il va sans dire qu’à mon sens, le rejet absolu est celui des fondamentalismes religieux…

    Mais là encore il me paraît « cornélien » (et donc difficile) de « préférer » soit un « Islam des Lumières » soit un « Christianisme des Lumières »…

     

    Les Lumières au sens de ce qu’elles sont vraiment, sont incompatibles avec les religions ; les Lumières étant le contraire des obscurantismes, et les religions étant associées aux obscurantismes quand bien même dans le meilleur des cas, elles prétendent combattre les obscurantismes…

     

     

     

  • Civilisation, société

    Dans les débats, dans les conflits, dans les oppositions ; avec il faut le dire toutes les polémiques entrant pour une grande partie dans les débats, les conflits et les oppositions à propos de civilisation, de culture, de société, de politique, d’économie, de modes de vie… Dominent plusieurs courants d’idées et d’opinions en lesquels ne sont pas pris en compte les rapports de force devant être instaurés si l’on souhaite « changer la donne » en matière de combat, de résistance à tout ce qui nuit, se répand, déferle pour ainsi dire, sur le monde tout entier, dans les sociétés, et même la civilisation humaine dans son ensemble…

     

    En termes de civilisation et de société, et des évolutions de ces dernières – notamment l’évolution actuelle depuis le début du 21ème siècle- il se fait une « lecture de l’Histoire » (et des événements) articulée sur l’idée d’ensembles cloisonnés le plus souvent inconciliables ou entretenant entre eux des relations difficiles » (à savoir, en gros : l’ensemble des pays occidentaux à économie développée, de régime démocratique ; et l’ensemble des pays d’économie émergeante anti occident, de régimes autoritaires … Ou encore l’ensemble des pays de Christianisme et de Judaïsme, et l’ensemble des pays d’Islam)…

     

    « Philosophiquement parlant » il y a bien là une difficulté majeure qui freine toute avancée de la civilisation humaine dans le temps (le temps qui va dans un seul sens celui d’avant vers celui d’après), et qui ne permet pas d’identifier et de faire ressortir ce qui dans chaque ensemble fracture et les façades et les contenus de chaque ensemble…

     

    Quels sont donc ces principaux courants d’idées et d’opinions dominantes dans le monde d’aujourd’hui ?

     

    -Il y a – majoritairement- ce « réflexe » à chaque attaque terroriste, ou cette « tentation » qui consiste à invalider les règles du Droit, les lois de l’asile, les valeurs fondatrices de la démocratie, de la liberté, en gros ce sur quoi s’articulent les constitutions des états Européens, des États Unis d’Amérique et des grandes démocraties des pays occidentaux…

    Ce « réflexe » donc, qui occulte, rend vaine la nécessité du maintien des valeurs fondatrices dans les pays occidentaux d’économie et de société libérales, de Christianisme et de Judaïsme…

    Et, parallèlement, tout aussi majoritairement, dans les pays d’Islam ainsi que dans les pays d’économie émergeante et de régimes autoritaires (Chrétiens, catholiques, ortodoxes et musulmans), il y a cette détermination parfois extrémiste à condamner une civilisation occidentale jugée dévoyée et dont le passé colonial et de domination économique indispose… Mais il faut dire aussi que ces pays là, anti occident, ont eu également pour certains d’entre eux, un passé de même nature, colonial, esclavagiste, conquérant, guerrier, qu’ils semblent aujourd’hui occulter…

     

    -Et il y a au contraire, mais moins majoritairement, dans le monde occidental principalement, cette « fidélité » à la raison des philosophes et des humanistes (et des intellectuels) résistant avec fermeté à la culture de l’excuse et du compromis, sans pour autant céder à la vengeance et à l’idée de « mesures exeptionnelles à prendre » … Mais il faut dire, hélas, que la raison des philosophes et des humanistes (et des intellectuels) a été pervertie, dénaturée et s’est révélée contre productive… Dans la mesure où la pensée des humanistes et des intellectuels s’est faite « trop conciliante et trop libérale » à l’égard de minorités bafouées entrées en résistance revendicative et agressive, et qu’elle, cette pensée, s’est mise en devoir de défendre jusqu’à même l’armer…

     

    -Et il y a encore, des « proximités  d’opportunisme » (parfois honteuses), des rapprochements et des alliances « contre nature », des solidarités occasionnelles qui s’organisent lors par exemple, de cataclysmes naturels… Qui créent des « courants fédérateurs » … Tout cela générant de la confusion… (Et compliquant la donne)…

     

    Tant que demeurera cette « lecture de l’Histoire et des événements » qui se fonde sur des ensembles distincts et opposés, de civilisation, de société, de culture, de mode de vie, de religion – et que ne s’instaurera pas un « rapport de forces fédérateur dans une volonté commune de l’ensemble des humains » dans le but de combattre ce qui empêche la civilisation d’avancer (et lui nuit)… Cela restera, toute notre planète, un immense paysage désolé, minéral, avec des fleurs de sable, des cactus, de « fausses oasis », des caravanes de brigands, d’aventuriers, de guerriers et de sorciers…

     

  • Attentat islamiste à La Nouvelle Orléans

    Ce très dramatique événement qu’est l’attentat islamiste de l’EI, à La Nouvelle Orléans aux États Unis d’Amérique, le tout premier de l’année 2025, survenu le jour même du 1er janvier – en fait en fin de nuit du réveillon avant que ne se lève le jour (il devait être entre 11h et midi à Paris) – ne peut-il pas être vu, pressenti, considéré, comme le « signe » si l’on peut dire, de la principale menace qui pèse sur le monde à savoir le danger que représente l’existence depuis 2014, de l’État Islamique – Daesh et autres plus ou moins en lien entre eux – cet EI qui s’était implanté en Syrie et en Irak et avait eu pour capitale Mossoul et qui finalement fut arrêté dans son développement et réduit à des poches de résistance disséminées dans cette région du Moyen Orient, lors de la bataille de Mossoul entre le 17 octobre 2016 et le 10 juillet 2017, bataille et combat – il faut le dire- mené en grande partie par les Kurdes – Pehsmergas – sur un front de 1000 km de long des frontières du Kurdistan, de la Syrie et de l’Irak.

     

    Le peuple Kurde soit dit en passant, a été trahi par les nations s’étant prétendues « amies » du Kurdistan, lequel Kurdistan n’a jamais été reconnu comme un état indépendant, donc sans existence en tant que nation et peuple avec des frontières délimitées, et que le pouvoir Turk d’Erdogan veut détruire (la Turquie faisant partie de l’Otan)… Les Kurdes ont été purement et simplement lâchés par la coalition internationale de l’Otan, par les USA, la France, l’Irak ; alors qu’ils furent les plus actifs dans le combat mené contre Daesh…

     

    Rappelons que l’islamisme radical jihadiste est toujours présent non seulement en divers lieux de Syrie – principalement dans le désert Syrien proche de l’Irak – mais en Afrique Sahélienne, et surtout en Europe dans les pays de l’UE et dans les Balkans, mais encore aussi aux USA, en groupes d’activistes et de membres organisés, reliés entre eux et déterminés à tuer, à commettre des attentats meurtriers… Et qui de surcroît, tous ces groupes disséminés partout en Europe, USA, Afrique, Moyen Orient, sont tous affiliés à des mafias – Drogue, trafic d’armes, prostitution – mafias internationalisées et gangrénant les gouvernements, les sociétés, les économies de marché, les institutions…

     

    Rappelons encore que l’islamisme radical et jihadiste est « soutenu » (réel tout en ne se révélant pas déclaré) par Vladimir Poutine et son parti Russie Unie, par Erdogan, par les pays dits « pays tiers » (en « voie de développement et « anti occident ») d’Afrique, d’Amérique du Sud (avec le Brésil) … Et, en Europe et aux USA même, par des populations « maltraitées » déconsidérées, marginalisées, souvent pauvres et exclues de la société de consommation (mais pas seulement) et à vrai dire aussi par des partis de gauche « conciliants » au nom de la liberté et de l’égalité pour tous dans les modes de vie et les croyances … De telle sorte que nous avons là, dans nos sociétés « occidentales », un véritable « terreau » ou « réservoir » de « recrues potentielles » pour l’idéologie jihadiste…

     

    L’on voit bien que l’immigration illégale (combattue par l’extrême droite en Europe et par Donald Trump aux USA) n’est pas, absolument pas, loin s’en faut, la seule source d’apport au jihadisme (en particulier l’immigration en Europe, Maghrebine, Africaine, Moyen-orientale)… Et que des « Nationaux de souche », des « naturalisés de longue date » en Europe comme en Amérique, rejoignent l’idéologie jihadiste combattante et deviennent des auteurs d’attentats, au même titre sinon avec plus de radicalisme encore, que des islamistes immigrants illégaux entrés en Europe…

     

    Il y aurait – aux dires de quelques « intellectuels, penseurs, philosophes engagés » - un « Islam des Lumières » tel celui par exemple, des Kurdes et d’autres musulmans « démocrates » et « partisans d’une égalité de droits et de conditions à l’égard des femmes », de même qu’il existerait un « Christianisme des Lumières » de croyants attachés à des valeurs démocratiques, de progrès social, d’égalité, de justice, de connaissance scientifique et de culture…

    Or, il se trouve et c’est – n’en déplaise à ceux qui croient à cette idéologie des Lumières – une évidence : il n’y aura jamais, ni dans le présent ni dans l’avenir, une « religion des lumières » Chrétienne ou Musulmane, qui deviendrait et finirait par s’imposer comme étant une référence, un modèle, dans le monde entier…

    Parce que les Lumières au sens de ce qu’elles sont vraiment (le contraire des obscurantismes) ne sont absolument pas compatibles avec quelque religion que ce soit !

    En revanche, les religions, toutes les religions, sont associées aux obscurantismes…

     

    Et dans tous les obscurantismes, il y a de la remise en cause des connaissances scientifiques – voire parfois de la négation des acquits de la connaissance scientifique – des modèles proposés – souvent imposés par la force – des croyances « empiriques », des bénéficiaires qui sont toujours les mêmes et détiennent les pouvoirs, des masses et des peuples soumis à des directives, des contraintes, des obligations et maintenues dans l’ignorance (ou au mieux dans une connaissance et dans une culture standardisées conditionnées et forcément limitées à ce qui doit se croire et se savoir)…

     

     

  • Les enseignants à Mayotte

    Y-a-t-il beaucoup de jeunes Français de métropole, ayant eu une formation pour devenir « professeur des écoles » (instituteur/institutrice) ainsi d’ailleurs que des reçus au CAPES pour être professeur dans un collège ou dans un lycée… Qui se portent d’eux-mêmes candidats pour exercer à Mayotte ?

    Quand on sait les conditions difficiles – et c’est pas peu dire – qui règnent dans ce 101ème département Français situé à 8000 km de la métropole ! …

    « Cela ne doit guère courir les rues » !

    Il faut en effet « une foi de charbonnier et de grand humanitaire d’esprit et de cœur », une bonne dose d’abnégation et de volonté de porter la culture française dans un territoire de misère, de dénuement et d’habitat de « torchiottes » !

    Déjà, pour les jeunes mahorais qui vont jusqu’à la terminale et au BAC au lycée (qui y parviennent), du fait que, passé le BAC, ils doivent forcément poursuivre des études en France, l’on imagine par manque de ressources financières, l’impossibilité pour les parents, d’envoyer leur fils, leur fille en France, aux prix du billet d’avion aller retour !

    « Peut-être » que pour arriver à trouver sur place des enseignants à Mayotte, compte-t-on forcément sur des jeunes Mahorais titulaires d’un BAC qu’on va former dans des structures locales implantées afin de leur éviter d’avoir à se former en métropole…

    Vu le nombre d’enfants à Mayotte, il est clair que l’avenir d’un bachelier Mahorais est « tout tracé » : il peut devenir enseignant (s’il est formé sur place)…

    Donc si un jeune enseignant de France métropolitaine ne veut pas -et pour cause- exercer à Mayotte, ce n’est pas grave car à Mayotte il y a tous les Mahorais reçus au BAC qui peuvent devenir enseignants !