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Journal - Page 32

  • La "réalpolitic" de l'Ordre du Monde

    « L'Assemblée nationale a approuvé mercredi soir la suppression des "zones à faibles émissions", qui restreignent la circulation de certains véhicules thermiques, en adoptant un article du projet de loi de "simplification".

    L'article, introduit en commission à l'initiative de LR et du RN, a été adopté par 98 voix contre 51. Le vote devra encore être confirmé par l'adoption du projet de loi dans son intégralité. Initiées en 2019 pour limiter les émissions de particules fines, ces zones sont toutefois critiquées sur tous les bancs, y compris au centre et à gauche, par des élus qui considèrent qu'elles excluent des catégories de la population. »



    Cette décision limitative relative à la circulation des véhicules thermiques c’est à dire des voitures « vieillissantes » achetées d’occasion pour quelques milliers d’euro par des personnes à « petit budget » dans des zones urbaines définies sensibles à la pollution par émission notamment de particules fines, qui avaient été adoptées en 2019 ; pénalisait, il est vrai, ces catégories peu favorisées financièrement, d’une partie de la population en France…

    Ainsi la suppression approuvée par l’Assemblée Nationale, mercredi 28 mai 2025, de ces « zones à faible émission », permettra-t-elle à des gens circulant dans des véhicules « posant problème », de se déplacer pour aller faire leurs courses, se rendre à leur travail, là où les transports publics font défaut ou dont les horaires ne sont pas adaptés (déplacements surtout « tard le soir » au-delà de 20h hors métro et RER Franciliens, pour des catégories de salariés travaillent le soir et la nuit)…

    Concilier les nécessités écologiques et les réalités de la vie quotidienne des gens, et aussi l’économie de marché, autre réalité, avec la consommation habituelle et souvent incontournable de produits considérés « peu vertueux » écologiquement parlant…

    C’est « une gageure » ! C’est prétendre et surtout croire que c’est possible de ménager pour ainsi dire « la chèvre et le chou »… Ou « d’attraper les mouches avec du vinaigre »…

    D’un côté – je pense là à des décisions restrictives pour limiter ou interdire des pesticides, prises par l’Union Européenne, aux normes définies en matière de composition de produits de consommation alimentaire et autres par la même UE…

    Mais d’un autre côté je pense à tous ces énormes navires de croisière qui stationnent, font étape, vont et viennent, continuellement du matin jusqu’au soir, dans des ports tout le long du pourtour méditérranéen, émettant de grandes quantités de « particules fines » forcément respirées par les « gens du coin »…

    Et «ça », c’est la « réalpolitic » d’un Ordre du Monde axé sur le développement et sur la croissance économique, sur le « tourisme de masse », un « Ordre du Monde » qui, hypocritement et dans un réalisme « tout ce qu’il y a de plus prosaïque » inscrirait – soit disant- dans son « programme » « quelques dispositions en matière de protection de l’environnement, de la nature, de la biodiversité, etc. … Tout en encourageant et en développant « ce qui génére de la richesse, du profit, du « bien être formaté médiatisé accru » pour le plus grand nombre – autant que possible 6 milliards d’humains ( mais au détriment et par la réduction en esclavage et conditions de vie des plus précaires de 2 milliards d’autres humains)…

    9 humains sur 10 sur cette planète sont d’accord avec ce « principe » ! Ou y souscrivent par « la force des choses » c’est à dire par la force du besoin et des habitudes acquises,et de la dépendance qui en découle…



    Et, « ce qui n’arrange pas du tout les choses » dans cette affaire « de sauver la planète » en contradiction avec la pression de l’activité humaine…

    C’est… Ce sont… Tous ces fanatismes – écologistes, religieux, communautaires, tous engagés dans la violence, dans des polémiques épuisantes, laminantes, explosives ; menant des combats acharnés, prétendant tous détenir la vérité, pourrissant la vie des gens… Qui parfois « arrivent à avoir gain de cause » et dont le résultat de leur combat s’avère au final pire que le mal lui-même ! (exemple : l’affaire de l’A 69 décision de justice prise alors que laisse par l’abandon des travaux une gigantesque blessure dans le paysage ravagé – une abberration)…



  • La loi sur la fin de vie

    La loi sur la fin de vie récemment votée à l’Assemblée Nationale le mardi 27 mai 2025, est assurément une « loi juste », une « heureuse » - si l’on peut dire- disposition prise concernant des personnes concernées c’est à dire en situation d’être des « morts vivants », dans l’inconscience et ou dans une grande souffrance permanente, souvent très âgées, invalides à quasiment 100 %, ou en phase terminale de cancer ou de maladie incurable…

    Cependant l’adoption de cette loi introduit – à mon sens – un « questionnement » ou « induit » une réflexion :

    En effet, nous sommes – encore – ou « du moins » reconnaissons – le, dans un monde, dans une société, dans une civilisation présente, dans une « philosophie de la vie humaine fondée sur la préservation de la vie », qui s’impose, s’inscrit « comme dans le marbre » dans ce que l’on pourrait définir comme étant « une pensée universelle »…

    Bien sûr cette « pensée universelle » d’une société, d’une civilisation fondée sur la préservation et sur la valeur de la vie humaine, est- il faut le dire - « mise à mal » par tout ce que l’on observe de l’actualité dramatique du monde : les guerres, les crimes perpétrés, les violences, les massacres notamment de femmes et d’enfants dans les bombardements… Ce qui nous amène à penser que dans la réalité du monde, l’on fait finalement peu de cas de la vie humaine, du moins « certains gouvernants, dominants, décideurs, et leurs affiliés, tous détenant des pouvoirs… Font peu de cas de la vie humaine…

    Paradoxalement – et heureusement- à côté de cette réalité de « mise à mal » de la pensée universelle (civilisationnelle) sur la préservation de la vie ; demeure encore dans les sociétés humaines de la première moitié du 21ème siècle, du moins dans les sociétés « occidentales » le « respect et la considération – si l’on veut – de la vie humaine…

    Mais… Et c’est bien là, la question qui se pose : qu’en sera-t-il dans 20, 30 ans, de cette considération et du respect, de la préservation et de la valeur de la vie humaine ?

    Et en conséquence comment évolueront les dispositions prises aujourd’hui (qui sont justes), d’ici une cinquantaine d’années ?

    Quelle « vision » - de la vie et de la mort- prévaudra dans la société humaine de la fin du 21ème siècle et au-delà ?

    Que seront en fait, en 2090, 2110, la vie humaine, la société, devenues ?

    Tout progrès – technologique, scientifique – apporte d’une part ce que l’on en attend de bénéfique, d’heureux, de mieux… Que l’on ne peut nier… Mais apporte aussi tout ce dont on ne mesure pas les conséquences, tout ce que l’on ne maîtrise pas ou qui introduit des nuisances, des effets néfastes pour les êtres vivants dont l’humain… Sachant que les choix, que les décisions, sont prises par ceux et celles qui détiennent des pouvoirs, en fonction d’intérêts qui ne sont pas forcément les intérêts communs à tous les êtres humains…

    Et ce qui est vrai – dans un sens et dans l’autre- pour le progrès technique, et de la science ; est vrai également pour l’évolution de la civilisation humaine (avancée « en mieux » d’un côté ; mais « statu-quo » de la violence, de la barbarie, d’un autre côté)… Et choix des dirigeants, des possédants, des dominants, des décideurs – et des allégeances d’une majorité de personnes sur cette planète- en fonction d’intérêts qui divergent de ceux de la communauté humaine dans son ensemble…

     

     

  • Réflexion du jour, mardi 27 mai 2025

    Le jeune de 11, 12, 13, 15, 16 ans ; ainsi que le jeune adulte qui, dans un bus, dans un train, dans un lieu public, à la caisse d’un supermarché, pour régler ses achats, ignore la pésence de l’autre, des autres autour de lui, ne retirant jamais ses écouteurs, passe plus de quatre heures par jour les yeux sur l’écran de son smartphone, et qui de surcroît entre autres comportements, pète torse nu et en slip en ouvrant le frigo, arbore quand il sort une casquette New York, un tee-shirt Fly Emirates, se gave, au ciné, de pop corn en seau de trois litres, écoute sur youtube des rappeurs insolents qui insultent la France, est peut-être fan du PSG… Et s’il a aux pieds dans des manifs des godaces à 300 euros la paire et une matraque ou un opinel dans son sac à dos…

    Ce jeune là, ado ou jeune adulte… Je me fous complètement de son avenir, de ce qu’il deviendra plus tard… Et lui de même, il se fout de ce que je suis, et, quand il sera vieux dans ces années au-delà de 2050 où je serai mort depuis longtemps, je me fous de la vieillesse qu’il aura – s’il y arrive ce qui n’est pas sûr du fait de son mode de vie, d’alimentation, de consommation…

    Je ne suis aucunement solidaire de l’un de ces ados et jeunes adultes là, qui ne verront que le monde de demain encore plus enlaidi, plus violent, plus décadent, plus absurde, plus « neunœillé », plus robotisé qu’il ne l’est en 2025 ; c’est pas d’eux, loin s’en faudra, que viendra « un autre monde » meilleur, plus vivable, plus heureux !

    C’est le « terrorisme » exercé par la nature, par la Terre toute en colère, qui « règlera les comptes » bien plus efficacement, bien plus radicalement que ne le font les terrorismes liés aux fanatismes religieux, aux vengeurs de toutes sortes, aux obscurantismes, aux extrême-droites… Et ça sera plus épurateur encore que la Terreur de 1793/1794, que le bolchevisme de 1917 ! …

     

     

  • Ce sont des personnalités du monde et des milieux ...

    -De la politique

    -Du sport

    -D’une partie – importante- des intellectuels

    -Du showbiz (métiers et activités du spectacle)

    -De bon nombre d’artistes de scène, de cinéma, de littérature

    -Des intervenants du « grand questionnement sur l’état du monde et de la société, autrement dit de penseurs, auteurs d’essais et d’ouvrages dont les publications se succèdent, se diversifient…

    -Des gens de télévision et de l’information

    -Des chefs et cadres d’entreprises

    -Du monde des technologies innovantes

    -De nombreux éducateurs et enseignants

    -Et même jusqu’à des gendarmes, des pompiers, des conducteurs de véhicules de transport de personnes (dont des enfants et des adolescents), des médecins…

     

    Qui, pour environ entre 4 et 6 sur 10 d’entre eux tous…

    En plus des 5 ou 6 sur 10 des « gens du commun » - exerçant toutes sortes d’activités, autant ceux et celles vivant dans une certaine aisance que d’autres ne disposant que de peu de revenus…

    Sont des consommateurs de cocaïne, de canabis et d’autres drogues…

     

     

     

    Et l’on s’étonne, l’on s’offusque, l’on déplore… Tous ces « points de deal » qui se multiplient exponentiellement partout, dans les « cités », jusque dans les villages…

    Et de la violence, des agressions, des trafics, des crimes, du racket, des guerres que se livrent les clans, au quotidien, et que génère le marché des stupéfiants…

     

    Bruno Retailleau veut combattre tout cela, toute cette « chienlit », toute cette pourriture…

    De même que les écologistes «purs et durs », d’une part ; et que l’Ordre du monde, de la société, de la consommation et de l’économie de marché dominée par les nouvelles technologies, d’autre part… Ne cessent de proclamer, d’affirmer, de prôner, de convaincre le plus grand nombre, que la civilisation actuelle peut « à la fois » se développer en « croissance durable et responsable » et « faire que la Terre ne crève pas de tout ce que l’on lui fait subir »…

     

    « Exit » donc, consommation exige et bien être et confort demeurant incontournables ; les huit milliards d’humains actuellement sur Terre pesant de toutes leurs activités et de leur pression sur les ressources de notre planète – comme si selon « eux », avec 2 ou 3 ou 4 milliards encore de plus d’humains sur Terre, on arriverait « quand même/quand même » à concevoir qu’une telle économie de développement dans une « croissance responsable » puisse se maintenir avec le moins de dommage possible pour notre planète et pour l’humanité !

     

    « Surtout pas revenir sur ce qui est acquis ! (ou alors, « pour bien faire » s’adapter, innover, autrement dit « ménager la chèvre et le chou » ou « l’ours et le loup dans nos montagnes sans que le berger et que le randonneur n’en pâtisse ! »

    C’est « ça » la « grande philosophie des écolos purs et durs ET des « pro l’Ordre du Monde dans le déni de certaines réalités et dans le consensualisme de bon aloi et de convenance ! Des loups et des ours, faisons confiance aux technologies innovantes qui iraient dans le sens d’une croissance durable et responsable… Et « tant qu’à faire tant qu’on y est » un petit joint de temps à autre pourquoi pas !

    Et c’est avec « ça » qu’on prétend « faire le monde de demain » !

    Rendre à tout prix l’évolution technologique, la consommation, le confort, l’innovation, la croissance économique, ainsi que nos modes de vie d’aujourd’hui, compatibles avec une Terre et avec une humanité pouvant gérer – et durer, le temps d’encore je ne sais combien de générations !

    Le fer qui ne s’oxyde pas, ne rouille pas ! Juste quelques petits effritemens, quelques dégradations sans réelle gravité en conséquences ! On va « apprivoiser » l’ours, le loup, et même l’araignée géante carnivore ! On va faire dans « le bizounours qui roule ses mécaniques en convainquant tout le monde de la pertinence de sa philosophie de la conciliation » !

     

    Le « bizounoursisme » version Ordre du monde dans la consensualité et dans le principe fallacieux de la complaisance, de la permissivité de tout, du soit-disant progrès civilisationnel dans la croissance durable qui fait le moins mal possible à la planète, autrement dit « l’olive bien huilée dans le trou de bale sans colique ni brûlure intestinale ultérieure »… Ça fait « du grain à moudre » aux religions, aux fanatismes, aux guerriers ; ça génére les violences, les prédations, les dictatures, c’est donc contreproductif, inefficace et au final ça assassine la Terre et l’humanité !

     

     

  • Coocut, appareil de mayonnaise à la main

    Coocut.jpg

    En vente chez DUBIS et autres magasins d’objets ménagers…

     

    Totalement inefficace ! D’après le mode d’emploi pourtant suivi « comme il faut », j’ai essayé 5 fois, et sur les 5 fois j’ai eu 4 ratages complets et 1 résultat « qui a failli être concluant » (mais en fait la mayonnaise obtenue manquait de fermeté, elle était comme de la crème anglaise)…

    Selon ce qui est indiqué dans le mode d’emploi, la mayonnaise obtenue en secouant énergiquement le bocal à la main, est censée être réussie à chaque fois sans jamais de ratage ! … Et sans nécessité, de surcroît, de devoir utiliser le jaune d’œuf, la moutarde et l’huile à température égale et ambiante ! (donc avec l’œuf tout juste sorti du frigo, ainsi que la moutarde, c’est censé marcher quand même)…

    Ce qui n’est pas vrai du tout !

    Au fond du bocal, jusqu’au 1er trait de repère, il faut mettre le jaune d’œuf, l’huile et la moutarde avec dedans non encore mélangé, une petite boule en plastique jaune ; puis rajouter de l’huile jusqu’au 2ème trait et éventuellement pour une quantité plus importante de mayonnaise, de l’huile jusqu’au 3ème, 4ème trait… Et enfin, bien refermer le bocal et agiter vigoureusement en secouant verticalement, à la main durant quelques minutes…

    17 euro chez Dubis ! En pure perte !