compteur

Ok

En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.

Paroles et Visages - Page 2

  • Solitude

    Toi parmi beaucoup d’entre nous, qui, sur le « mur » où tout le monde ou presque « tague » (si ce n’est point ce mur là en particulier ç’en est un autre)… Qui voit passer un nombre indéterminé de promeneurs dont certains s’arrêtent pour regarder les « tags »…

    Mais dont les « tags » ne sont jamais – ou si rarement- accompagnés d’une marque faite en réponse, ne fût-ce qu’un « smile » (l’une de ces toutes icônes « expressionnelles ») ou d’un « like » et très exceptionnellement parfois ça arrive, d’ un « vrai petit laïus » en général d’approbation …

    Si « d’aventure » l’un des promeneurs prend la peine de tracer au vu de ce que tu exposes, quelque trait rouge ou noir bien appuyé, qui ne convient guère trop à ta vue… Alors ne vaut-il pas mieux, au lieu d’éliminer ce trait rouge ou noir, le laisser tel qu’il a été tracé, visible, accompagné ou non d’un signe ou d’une marque en réponse de ta part ?

    La solitude, la vraie solitude, c’est surtout celle qui se fait à l’intérieur de soi-même et que consciemment ou non, l’on entretient ; c’est aussi celle qui est faite de l’absence des autres, de leur indifférence, de leurs non-dits… Et cette solitude à l’intérieur de soi (un douloureux et inconfortable refuge à vrai dire), cette solitude par le ressenti de l’absence des autres, elle est brisée lorsqu’elle est dérangée, investie – même brutalement… Et il n’est pas sûr du tout qu’elle soit brisée, au contraire, lorsqu’elle est « caressée »…

     

    Je me souviens de cette phrase écrite par Jean Paul Sartre « l’enfer c’est les autres » : je pense exactement le contraire – sans pour autant dire que les autres c’est « un paradis hors pair »… (Ça serait, les autres, « une très bonne école de la vie » en fait)…

     

     

  • France idéalisée, France réelle

    La France idéalisée, des terrasses de café où l’on se trouve, buvant un verre en compagnie de gens différents de nous ; où l’on rencontre dans des trains, des personnes qui deviennent des amis… C’est aussi la France réelle d’une partie de sa population toutes générations confondues – et il faut le dire, des nouvelles et jeunes générations – qui, elle, n’est pas majoritaire mais dont on peut espérer qu’elle le puisse devenir un jour, majoritaire…

    Ce n’est pas à proprement parler, l’ignorance qui est l’un de nos défauts majeurs à beaucoup d’entre nous ; mais plutôt la méconnaissance de la réalité, des réalités, des êtres et des choses… Du fait du conditionnement qui nous fige, par ce qu’il contient d’opinions toutes faites, de ressenti et de vécu personnels, de tout ce monde en soi en lequel on se retranche, s’abrite, se protège, se réfugie, en y entretenant ses propres certitudes…

     

     

  • Le visage réel de la société française

    La soirée Télé sur LCI présentée animée par David Poujadas mercredi 5 novembre 2025 de 21h à 23h 30, un débat « la grande confrontation » ayant eu pour thèmes entre autres la justice sociale, le dynamisme économique, avec pour invités 12 Français issus de divers horizons, Philippe Arghion Prix Nobel d’économie 2025 et François Ruffin député « transfuge » de LFI… Donnait l’image d’une société française, d’une France… « Idéalisée », présentée aux téléspectateurs de l’émission comme étant une « une France du dialogue  où les gens se parlent en dépit de leurs divergences de vues et d’opinions » (c’est ce qui ressortait de la conclusion émise dans le « plus bel optimisme » par Philippe Arghion économiste et Prix Nobel)…

     

    Les 12 invités venus de différents horizons étaient des personnes « triés sur le volet à dessein » (et d’ailleurs chacun a pu observer que certains de ces 12 invités – des salariés d’entreprise en situation personnelle difficile ou en recherche d’emploi-) n’ont guère trop pris la parole, peu sollicités qu’ils furent en fait…

     

    Cette France des gens qui parviennent à se parler en dépit de leurs divergences de vues et d’opinions, de leur situation difficile dans l’un ou l’autre des secteurs d’activité où ils exercent ; cette France de « l’écoute et de la considération de l’Autre » dans un dialogue « constructif, apaisé et sans agressivité, sans position ou parti pris figé… N’est pas du tout, dans la réalité au quotidien, cette France là !

     

    La France que l’on connaît au quotidien c’est celle de l’automobiliste sur la route, dans les ronds-point, dans les aires de stationnement ; c’est celle des innombrables personnes qui font du shopping dans les galeries marchandes des grandes surfaces commerciales, c’est la clientèle tous âges et générations confondus de la restauration rapide et des mêmes habitudes de consommation alimentation habillement équipements courants ; la France de tous les « petits accrochages » dans la relation à l’autre, des comportements incivils, agressifs ; des dépôts de déchets, d’ordures au bord des routes et des rues, des poubelles qui débordent ; de la débrouille individuelle dans les environnements hostiles ; de l’irresponsabilité, de l’indifférence, de l’absence de regard, de considération, des uns vis à vis des autres ; de toute cette inimitié ambiante faite de méfiance, de rejet, de mépris de l’autre fondé sur ce qui paraît ou est supposé…

     

    C’est la France des individualismes exacerbés, du « quant-à-soi », de l’expression de soi, porté à son paroxysme, des comportements agressifs directs ou indirects (un regard, un geste en apparence anodin mais « significatif ») … Alors que, tout à fait paradoxalement, dans la file d’attente d’une boulangerie, c’est « bonjour monsieur, madame ; merci, s’il vous plaît » et 10 minutes après dans un rond point en bagnole c’est coup de klaxon rageur…

     

    C’est cette France là qui devient de moins en moins supportable, qui incline au repli, au renoncement à devoir subir un environnement hostile, qui fait que l’on se sent de plus en plus isolé, inécouté, déconsidéré, dès lors que l’on ose exprimer ce que l’on ressent (tu passes pour un tordu, un malade, un emmerdeur, un « à côté de la plaque », tu es zappé)…

     

    Et les réseaux sociaux « n’arrangent pas les choses » bien au contraire, parce qu’ils sont des congrégations, des agglomérats de gens qui « pensent pareil », se retrouvent entre eux par « profilages », par affinités décryptées via les algorithmes et l’intelligence artificielle…

     

    Parfois – cela devient rare mais c’est encore heureux – tu lis un commentaire de quelqu’un d’à peu près sincère qui prend au moins la peine de te répondre en deux phrases « qu’il n’éprouve aucune émotion positive en lisant ce que tu écris sur ta page »… (la plupart du temps pour ne pas dire à 99,9 % c’est « silence radio » permanent et quotidien durant de longues années… Sauf si t’es une sorte d’ « aspirant influençeur » soutenu par quelques centaines ou milliers de « followers », ou quelque « youtubeur » en vogue )…

     

     

     

  • Les influençeurs : une nouvelle espèce dans la comédie humaine

    Aux mages, aux sorciers, aux généraux, aux grands producteurs, fabiquants et artisans, concepteurs, développeurs, maîtres du monde de l’économie de marché mondialisé… Tous multimiliardaires, dominants, possédants, décideurs… Toute la « Secte » au Pouvoir sur cette Terre en somme… Des experts de la croissance, de la compétivité, de l’emploi, de la gestion des crises, de tout ce qui relève de la capitalisation boursière, de l’actionnariat ; de tout ce qui sort des forteresses de l’argent roi et des grands centres décisionnels… Avec leurs nervis que sont les gouvernants, leurs structures et leurs organisations que sont les appareils d’état et les systèmes d’encadrement et de conditionnemment de la société – de fond en comble du plus bas au plus haut en passant par toutes les diversités possibles et imaginables…

    À toute la « Secte » s’est à présent – et c’est récent, tout nouveau et ça prend de l’ampleur- amalgamé, rajouté… Une nouvelle espèce issue cette implacable, sinistre « comédie humaine » gangrenée aujourd’hui d’économie de croissance durable… Celle des influençeurs…

     

    Les influençeurs sont les prometteurs, les charlatans, les magiciens, les « moralistes » de l’Ordre du Monde du 21ème siècle, envahisseurs des galeries marchandes, tenants des boutiques aux mêmes enseignes partout, des clientèles et des réseaux… Ils sont ces nouveaux créateurs de contenus – parfois controversés mais à vrai dire plus souvent écoutés et suivis et encensés- dans les domaines du marketing, du divertissement, de la publicité, de l’information ( et surtout de la désinformation déguisée) et présents sur les réseaux sociaux, dans les médias (dont les télés)…

     

    Leur outil priviliégié est celui de l’Intelligence Artificielle,de la robotique, des algorithmes et de l’exploitation des données relatives à tout un chacun dans ses comportements, ses achats, ses préférences, ses propos tenus ; leur mode de transmission diffusion est celui des réseaux sociaux d’internet sur lesquels ils sont suivis…

     

    Ce sont les influençeurs, les nouveaux gourous, les nouveaux prêtres, dignitaires, cardinaux de la Religion de l’économie de croissance et de consommation, dont le pouvoir est quasi illimité – plus encore que celui des maîtres du monde (des puissants, des gouvernants, des décideurs) et dont les revenus, les émoluments, les primes, les dividendes, les « royalties » qu’ils perçoivent sont « astronomiques »…

     

    Ils ont « bétonné » l’Ordre du Monde, les influençeurs ! C’est la « race » la plus abjecte qu’il ait pu exister sur cette Terre ! La féodalité des Seigneurs du Moyen Age, c’est de « l’enfant-cœurisme » à côté du « ballet » et du « chant grégorien » des influençeurs !

     

    La révolte la plus urgente aujourd’hui, c’est celle à faire contre les influençeurs, déjà en se défollowérisant d’eux !

     

    Vu en recherche Google : Na Billa, Cyprien, Michou, Lena Mahouf, Léa Elui, Akam Twenty, MisterV, Tiboin Shape, Hugo Decrypt, Squeezie, Inoxtag…

    Qu’est-ce que c’est que ces enfoirés ? J’en connais aucun, absolument aucun ; j’accompagne mon ignorance aussi insolente que délibérée de ces personnages et de tout ce qu’ils concoctent, représentent et projettent dans l’actualité du monde d’aujourd’hui, d’un bras d’honneur à m’en bleuir le creux du coude !

     

     

     

     

     

  • Franco le dernier dictateur, de Serge de Sampigny ...

    Documentaire inédit sur France 5 à 21h05, 115 minutes, le dimanche 2 novembre 2025.

    775 000 téléspectateurs : l’on est loin des 4,5, 6, 8 millions ou plus, des émissions les plus « emblématiques » telles par exemple, que « Retour de terre inconnue » ou « Echappées Belles » ou encore « Plus belle la vie », « Koh-Lanta », « Secrets d’Histoire »…

     

    Dans le contexte mondial actuel d’attaque contre la démocratie, de conditionnement ou restriction de liberté d’expression, de renforcement des autoritarismes de gouvernance – notamment aux USA- et d’arrivée au pouvoir ou de développement accru des partis d’extrême droite, en particulier dans les pays Européens – France, Allemagne, Pays Bas, Italie, Hongrie…

     

    Ce documentaire « Franco le dernier dictateur » porte un « message » clair sur le « vrai visage » de ce que peut être – ou devenir- un régime de dictature… Dont la caractéristique essentielle (et bien visible) est, avant tout ce que l’on sait déjà sur un régime de dictature (son autoritarisme, la pression su’il exerce sur un peuple, les prisons, la censure, les exécutions)… L’ acceptabilité ou la reconnaissance par les autres états et nations, le fait de « figurer dans le concert des Nations » donc en aucun cas « mis au ban des Nations » ou jugé « état scélérat »…

    Et « ça » c’est « assez significatif » de ce qu’est un régime de dictature…

     

    En ce qui concerne les 40 années de Franquisme en Espagne, il faut savoir qu’en 1939 à la fin de la guerre civile espagnole, la plupart des combattants républicains avaient été exterminés, et qu’ensuite, de 1940 à 1950 tous ceux et celles des opposants qui n’avaient pas fait le choix de quitter l’Espagne ont quasiment tous ou presque été soit éliminés, soit emprisonnés, soit réduits au silence, du fait d’une « épuration » qui a duré plusieurs années ( et s’est d’ailleurs prolongée jusqu’au début des années 1970)…

    En conséquence, les générations actuelles d’Espagnols – des nés après la fin du Franquisme- sont les descendants de ceux que Franco n’a pas éliminés ou contraints à l’exil, donc les descendants de ceux et de celles des Espagnols qui ont accepté le régime de Franco ou qui l’on soutenu…

     

    L’Espagne « qui faisait rêver » dans les années 1960/1970, c’était l’époque des plages de la Costa Brava, des danses andalouses, des ferias, des tapas et des paëllas, des feux d’artifice de 2 h de temps, des polverones et du turron, du Ricard moitié prix qu’en France, et des cigarettes de même… L’Espagne de la Fête et du bien vivre en somme… Du tourisme de masse… Car c’est vrai : sous Franco en 1965 c’était l’Espagne de la Fête !

    Et personne en France, en Allemagne ou ailleurs n’imaginait un seul instant quelles pouvaient être les conditions de vie du paysan d’Estremadure – sud ouest de l’Espagne- avant 1974, semblables à celle d’un serf du Moyen Age sous l’autorité du Grand Propriétaire d’un domaine aussi vaste que 3 départements Français !…

     

    De 1964 à 1974 alors que j’étais âgé en 1964 de 16 ans et en 1974 de 26, donc durant ces 10 années là, ma mère après son divorce d’avec mon père en 1962, a habité avec son compagnon à Alicante, puis à Torrelavega près de Santander, puis à Barcelone où elle exerçait dans cette dernière ville avec son compagnon lui aussi, le métier de professeur de Français à l’école Berlitz devenue l’école Inlingua…

    Chaque année durant cette époque entre 1964 et 1974, je passais une partie de l’été chez ma mère et son compagnon ; et j’ai donc bien connu l’Espagne de Franco telle qu’elle était en ce temps là…

     

    Il fallait voir dans les grandes villes d’Espagne, alors, ces grandes manifestations populaires de milliers de personnes défilant dans les avenues principales, criant et acclamant « Franco » lors de cortèges, de cérémonies, de visites en grand appareil d’état et de pontes du régime et du « Généralissime » dans de somptueuses voitures décapotables Franco debout dans la bagnole saluant la foule en levant le bras suivi des grands dignitaires de l’Église Catholique ! 50 ans après j’en ai encore le foie qui se tortille de douleur, ce putain de « Franco » scandé par dix mille gosiers résonne encore à mes oreilles ! Horreur et damnation !

     

    Certes oui, la Fête pour le Peuple, une sorte de sécu avec un médecin désigné d’office, l’hôpital et les médicaments gratuits (pour les soins de base), des hospices de vieux et d’invalides (les invalides des combats pour Franco – pas des Républicains), de la police et des curés partout ; la tortilla au repas de midi – ou la boîte de sardines avec une tomate , ou le « boccadillo » au chorizo, ; le « séreno » à qui il fallait demander la clef de la porte de l’immeuble passé 22h pour rentrer chez soi, les écoles avec la Religion obligatoire, les enfants apprenant à lire dans des livrets avec Jésus et la Vierge à chaque page, la paye en pesetas qui permettait à peine de se nourrir d’aliments de base et de se vêtir sans le moindre luxe ou superflu… Les jeux « pas chers du tout » le ciné – 2 films- pour 3 pesetas, les pétards et les feux d’artifice pour à peine quelques pesetas, la corrida où tout le monde pouvait aller…

    Mais qu’est-ce qu’il y avait comme mendiants devant les portes des grands magasins, ou des églises !

     

    Une Justice « expéditive » (Pour les condamnés à mort par les tribunaux civils c’était le garrot – une corde qui te rompait le cou serrée en faisant tourner une croix en bois assis sur une chaise les mains liées dans le dos), des policiers – la Gardia Civil- partout… Aucune manif, pas la moindre protestation de qui que ce soit, et attention à ce qu’on se racontait entre connaissances, dans les conversations en lieux publics, rues places et cafés (y’avait toujours un mouchard)…

    Et à la Télé c’était tous les jours Franco, les curés, les grandes familles de la Haute, et des films débiles plein de morale et qui finissent bien, où les méchants sont liquidés !

     

    Voilà ce que c’était l’Espagne de Franco ! Que même des Espagnols d’aujourd’hui qui n’ont pas connu le Franquisme, voudraient voir revenir !

    Une société très inégalitaire et très hiérarchisée, très contrôlée très étatisée uniformisée et avec la Religion du matin au soir tous les jours en plus du dimanche… Les très riches vivant en demeurant à part, entre eux, sans contact avec le reste de la population, pas d’« ascenseur social ». Les riches, le « commun des mortels » ne les voyait qu’en photos dans les revues de gala en gros plan de personnages des grandes familles de l’aristocratie, de l’industrie, des grands domaines, des pontes du régime…

     

    Et quand aux 8 % de croissance économique par an entre 1960 et 1970, ils ont surtout profité aux grandes familles de la Haute, aux gros proprios et industriels et entrepreneurs de bâtiment, aux pontes de Régime, à Franco lui-même, avec la manne du tourisme… Mais absolument pas à plus de 90 % de la population espagnole d’ouvriers, de salariés, d’employés, de manouvriers, de paysans, de petits artisans… (pour eux y’avait que la Fête, les jeux, les tapas, y el vino ! Et la corrida… Et les processions des Saints et de la Vierge !)

    Néanmoins l’on voyait « quand même » apparaître dans les 90 % de la population, à partir de 1965, environ un quart de gens dont on disait qu’ils constituaient « une classe moyenne émergeante »…

    Et bien sûr avec toute cette police partout, la sécurité oui ça elle était assurée ! Tu pouvais laisser ouverte ta porte d’entrée ! Y’avait pas ou fort peu de pick-pockets, ni de rackett ni de délinquance en général !

     

     

    Ce « néo-fachisme » qui de nos jours, avec Trump et Poutine, Erdogan et d’autres, des partis d’extrême droite en version années vingt 21ème siècle, « ne fait plus peur aux gens », avance à pas feutrés en arborant un visage le plus attirant possible, s’arrange pour paraître acceptable, fait partie des G20 et même des G7, entre dans le concert des nations en tant qu’interlocuteur incontournable, envoie partout dans le monde ses influenceurs, ses intervenants, ses « porte parole »… Et est de plus en plus appelé par les urnes, dans les opinions, sur les réseaux sociaux, par des dizaines de millions de gens ! Et soutenu, financé par les dominants, les multimilliardaires, les lobbys industriels et agricoles, les maîtres du monde que sont les géants du Web, de l’intelligence artificielle, du numérique et de la robotique !

     

    « D’aucuns » en France et ailleurs, n’arrêtent pas de dire sur leurs pages Facebook ou Instagram, que « en Italie avec Meloni et en Hongrie avec Orban ça n’a rien changé dans la vie au quotidien pour les gens, qu’il ne faut pas fantasmer dans le catastrophisme ultrafascisant, avoir peur de Marine Le Pen ou de Jordan Bardella… Je ne partage absolument pas cette « conviction » ! C’est avec un tel « discours » que l’on fait revenir des Franco, des Hitler, des Mussolini ; et que l’on « bétonne » indéboulonables, des Trump, des Poutine, des Xi Jinping !