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Paroles et Visages - Page 2

  • Intelligence, connaissance, obscurantismes

    Pourquoi « guilli-guilli » à un bébé ? Pourquoi se mettre à quatre pattes courbé tête penchée pour causer à un très jeune enfant ?

    Et « partant de là » - du « guilli-guilli » au bébé, de « causer applati courbé tête penchée à un très jeune enfant » …

    Lorsque l’on parle d’écoute de l’Autre, du respect de l’Autre, de la considération de l’Autre, de « dialogue apaisé constructif pas tapé du pied par terre », d’échange, de communication dans la sérénité sans repli sur ses positions ses croyances ses convictions et donc sans blocage sans déni de ce qu’exprime l’Autre… Pourquoi lorsqu’il est question de tout cela, ce serait à l’intelligence à la connaissance à la vérité et réalité des choses, de s’abaisser – donc de « se mettre à quatre pattes »- en face de la brutalité, de l’obscurantisme et des croyances empiriques faisant obstacle à la science, au simple « bon sens naturel des choses » ?

     

    Ce n’est pas à l’intelligence, à la connaissance et au bon sens des choses, de s’abaisser ou de « se mettre à niveau »… C’est à la brutalité, à l’obscurantisme, aux croyances empiriques et aux comportements qui découlent de la brutalité, de l’obscurantisme et des croyances empiriques, de plier, de « mordre la poussière », de s’effacer, de « rendre gorge »…

     

    Le prof dans un collège devant les 30 élèves de sa classe qui explique la préhistoire, l’origine de la Terre, qui voit se lever un élève dire « m’sieur c’est Dieu qu’a créé l’monde » d’une manière aussi péremptoire que brutale ; comment doit-il régir, quelle réponse doit-il donner, ce prof, à cet élève ?

     

    Nous sommes entrés en ces années vingt du 21ème siècle, dans un monde de relation, de communication, d’échange, de relais et de partage d’informations reçues, de comportements et d’habitudes qui en découlent… où s’imposent et se propagent majoritairement la brutalité, l’obscurantisme, les croyances empiriques, les communautarismes exacerbés, la violence, le déni, l’absence de « bon sens des choses », le « tapé du pied par terre » dans la fureur… Et dans ce monde là tel qu’il est devenu, tel qu’il se crispe dans sa brutalité et dans ses obscurantismes ; les résistances sont muselées, sont écrasées par l’indifférence, sont repoussées, rendues invisibles…

    D’autant plus qu’un « crépuscule numérique » où l’Intelligence Artificielle bouleverse notre rapport à la vérité, s’étend sur le monde en faisant disparaître la frontière entre le réel et le virtuel, en falsifiant, dénaturant, orientant les images, les vidéos, les documents à volonté et dans le dessein conçu et organisé planifié formaté par les « maîtres du monde » que sont les dominants, les influençeurs, de façonner la société, d’éliminer les résistances, de réduire les humains – des générations présentes et à venir – à des « humanuscules » (autant dire des robots »)…

     

    Et dans ce « dessein », les dominants distribuent (en fait vendent à prix toujours plus compétifs au plus grand nombre possible de « moutards » que nous sommes) des milliers de hochets ou de « joujoux » tous plus imbéciles et plus vivement colorés les uns que les autres… Et les « guilli-guilli » se font de plus en plus chatouilleurs en profondeur…

    Et… Que dire – entre autres « nourritures » - de ces énormes seaux de pop corn vendus à la boutique des Ciné Palaces ?

     

     

  • Ce que peut valoir un livre

    Un livre n’a de valeur marchande que si à partir du moment où il sort en librairies et points de vente il y a pour le mettre en valeur et en situation d’être acheté, une logistique de commercialisation, de promotion, de publicité, de diffusion, tout cela qui justifie sa parution et lui assure durant un certain temps – limité- une présence dans les rayonnages des points de vente ; que si il a été publié par une maison d’édition des plus et des mieux connues… Et si son auteur a participé à des salons du livre – où à ce qui s’apparente à des salons du livre : marchés locaux, manifestations littéraires, culturelles…

    Son prix varie entre 20 et 25 euro, exposé qu’il est en librairie ou en point de vente…

    Mais à partir du moment où un livre n’est pas ou n’est plus dans le courant ou dans la mouvance de cette logistique de commercialisation, de promotion, de diffusion ; qu’il paraît dans une collection de poche, qu’il devient un livre ordinaire parmi des milliers d’autres livres, et que l’on va finir par retrouver dans un vide grenier à 1 euro pièce, dans un « easy cash », et à l’étape ultime dans une « boîte à livres » au coin d’une rue… Il ne vaut plus rien !

    D’autre part, en ce qui concerne l’édition « en ligne » qui va faire venir dans sa boîte aux lettres ou en point relais, un livre commandé, payé par carte bancaire, revenant plus cher soit 25 ou 30 euro, qu’un livre nouvellement sorti présenté en libraitie ou point de vente coûtant lui, entre 20 et 25 euro ?

    D’où l’absurdité de l’édition en ligne qui implique outre le prix d’achat du livre supérieur au prix d’un livre en librairie, ce que coûte à l’auteur une logistique de promotion diffusion proposée par l’éditeur en ligne … Qui ne garantit en aucune façon que ce livre soit acheté par au moins quelques dizaines de personnes (en général, le livre n’est pour ainsi dire acheté par personne)…

     

     

  • Nouvelle orientation de l'Islamisme

    L’islamisme est en train de passer de la lutte armée à l’infiltration, ses madrasas (ses écoles) ont désormais intégré les universités aux USA et en Europe et ses sermons sont devenus des colloques…

    Les mouvements islamistes influencent les dirigeants occidentaux, s’invitent dans les administrations gouvernementales, dans les ONG, dans les médias : c’est ainsi que prend forme leur nouveau combat, plus efficace que celui de la lutte armée…

     

    Islamic Relief France, organisation humanitaire « de façade », s’avère être en fait une « machine idéologique » en laquelle sont présents les Frères Musulmans et qui bénéficie de subventions de l’ordre de plusieurs milliards d’euros.

    Le forum des organisations de jeunesse et d’étudiants musulmans de France et d’Union Européenne a reçu en 2020 la somme de 340 000 euro pour une campagne en faveur du port du hijab.

    En France la Cour des Comptes a révélé que des subventions publiques d’état ont été versées pour un montant de 7,5 milliards d’euros entre 2021 et 2024 à des associations sans aucune vérification idéologique – notamment des  associations islamistes « soit disant paisibles »…

     

    Craignant d’offenser des millions de musulmans en France et en Europe, les gouvernements et les partis politiques (mais surtout les partis de gauche dont LFI en France) limitent la liberté d’expression de telle sorte que les réseaux sociaux les plus utilisés subissent le conditionnement de la « machine des algorithmes » qui filtre, modère, censure tout propos, toute image pouvant être jugé inconvenant à l’égard de « certaines personnes » - musulmanes sous entendu…

     

    D’ailleurs, à ce sujet il faut dire que des termes tels que « terrorisme ou vengeance » ont été remplacés par « résistance ou justice »… Et que l’usage du terme de « décolonisation » ou d’ « équité », permet désormais de « blanchir » toute idéologie jugée discriminatoire ; et de se soustraire à tout contrôle considéré abusif…

     

    Déchiré par l’interrogation civilisationnelle, le monde occidental – d’Amérique du Nord et d’Europe – se livre ainsi, par l’implantation de l’Islamisme dans les appareils d’état et dans la société, à un « suicide assisté »…

     

    Parallèlement et « mine de rien » - et en apparence s’annonçant et se définissant anti Islam- les partis d’extrême droite « profitent » et se servent de la restriction des libertés afin de parvenir aux objectifs qui sont les leurs : la domination par l’autorité, par l’argent, par le grand patronat, par les possédants, par leurs élites – tout cela sous couvert de considération pour le peuple, pour le bien du pays, etc. …

    Ainsi les Islamistes et les partis d’extrême droite ont pour même objectif la domination du monde…

     

     

     

  • Vol au musée du Louvre : qui est derrière ?

    Ce vol au musée du Louvre des bijoux les plus précieux de France, de valeur inestimable, dans les condtions où ce vol s’est déroulé… Ainsi que d’autres vols commis récemment dans d’autres musées… Entre dans un plan d’agressions et d’attaques de la Russie de Poutine avec les cyberattaques menées contre nos structures administratives, nos hôpitaux, nos entreprises, nos appareils d’état, nos institutions, nos centres de recherche scientifique, etc. … Par des hackers et des espions disséminés dans notre pays, hyper organisés et sous diverses « couvertures », commandités par Poutine et ses proches.

    Ce sont des caïds de la mafia russe du grand banditisme au service de Poutine qui ont préparé et commis ce vol au musée du Louvre.

    Il est difficile de concevoir que ce soient des voleurs appartenant à des organisations françaises de grand banditisme, ou même à des organisations de mafia internationale non liées à des puissances étrangères et agissant essentiellement dans le cadre d’un commerce illicite dans des pays étrangers en Asie, Russie, Moyen Orient, pays d’Amérique, Afrique, Europe de l’Est… Qui aient pu commettre ce vol…

    Ces bijoux d’une valeur inestimables volés au musée du Louvre ne peuvent en effet être revendus après être passés par des receleurs, car même transformés, dégriffés, ils resteraient encore reconnaissables…

    Il faudra nécéssairement qu’ils soient entièrement et chacun d’entre eux, décomposés, pierres et perles desserties, retravaillées ; les métaux précieux dont ils sont faits, fondus… Et tout ce « travail » ne pourra être effectué que dans des laboratoires sans doute russes qui les transformeront en or, en argent, et leur donneront de nouvelles formes, et ce qui sera obtenu après transformation, on le retrouvera chez les oligarques russes, ou encore vendu en Chine ; le produit de ce marché intérieur et extérieur entrant dans le budget de l’armement en Russie…

    Ces bijoux ne seront jamais retrouvés ni les voleurs qui déjà à l’heure qu’il est se sont volatilisés et ont introduit ces bijoux dans quelque filière ou circuit occulte et déjà quitté la France…

     

     

  • Petit conte crado comique ne pouvant être qualifié de monument littéraire

    C’est Archibald, 22 ans en troisième année de faculté de Lettres Classiques, major de sa promotion notamment en Latin et en Grec ancien ; qui, pour financer ses études exerce un emploi de 20h par semaine en CDD dans un Mac Donald situé à 1 km de sa chambre de location en résidence étudiants (il bénéficie d’une APL qui couvre le montant de son loyer), et à 500 mètres de la faculté… (il n’ a donc pas de frais de transport tram ou bus ni même besoin d’un vélo )… Il a très peu d’argent de poche et un soir qu’il se trouve libéré de son travail chez Mac Donald, il a envie d’aller dans le quartier des prostituées et de « se faire une fille »… Mais il ne peut donner que 20 euro…

    Il en trouve une, d’environ 35 ans, assez jolie de visage (de « beaux restes en somme ») mais elle a un drôle de regard du fait qu’elle a un œil qui ne bouge pas…

    Arrivé dans le studio de la fille ça commence tous les deux assis au bord du lit, Archibald fait part à Louna de ses succès aux dernières partielles (il a obtenu 16 sur 20 en thème latin et 17 en dissertation grecque), il lui récite un texte de Louis Aragon et un poème de Stéphane Mallarmé… Mais il lui dit aussi qu’il n’a que 20 euro sur lui pour « passer un moment » avec elle…

    Louna réfléchit en silence, puis dit à Archibald « il faut que j’aille au lavabo, vas-y avant moi, je t’attends et quand à moi j’en ai pour 5 minutes »….

    Effectivement après 5 minutes passées devant le lavabo – pendant ce temps Archibald avait commencé à se déshabiller – Louna revient… Non déshabillée, se met devant Archibald, s’agenouille en face de lui et brusquement, d’un geste vif elle enlève son œil de verre et dit « eh toi l’intellectuel, bourre-moi le crâne » !