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Paroles et Visages - Page 3

  • Gaza, Israël, le Hamas, l'antisémitisme, les haines et les violences

    Il y a – c’est une réalité- de par le monde, une réprobation, une condamnation, une opposition très marquée, médiatisée, entretenue dans la plupart des esprits, relayée et exprimée quotidiennement sur les réseaux sociaux, par les journaux, par les radios, par les émissions et bulletins d’information sur les chaînes de télévision, dans les propos et dans les discussions dans l’espace public où les gens se rencontrent et échangent… Partout dans le monde, très nettement en France et dans les pays européens ainsi qu’aux USA, accompagné de nombreuses manifestations de protestation le plus souvent dans la violence et soutenues, ces manifestations par des partis politiques de gauche et d’extrême gauche (mais pas seulement), par des organisations humanitaires (qui elles, sont à vrai dire dans la dénonciation, dans le témoignage ou dans le vécu de situations dramatiques, mais pas dans la violence)…

    Il y a , oui – c’est une réalité qui s’amplifie et « mobilise » les opinions publiques – une réprobation unanime, de ce qui se passe à Gaza : les destructions, les bombardements, les souffrances endurées – dénuement, famine, maladies, vie au quotidien dehors sans aucun abri et au milieu de ruines à perte de vue, avec chaque jour son lot de morts par centaines…

     

    Les Israéliens – les uns en tant que citoyens vivant et travaillant dans leur pays (et qui manifestent contre la politique de Benyamin Netanyaou) ; les autres, tous les autres, hors Israël c’est à dire aux USA, en France, ou d’un pays européen en tant que citoyen ou résident aux USA, en France, en Europe… Ne sont pas nettement « différenciés » des Israéliens « en général » accusés de « génocideurs » et pris pour responsables… Parce que visiblement ces Israéliens là – considérés comme les plus nombreux- ne manifestent pas « contre » et « adhèreraient à la politique menée par le Gouvernement et par l’Armée d’Israël, soutiendraient les « colons » implantés en Cisjordanie…

     

    Il est certain, absolument certain – mais cela ne fait pas pour autant l’objet d’une médiatisation et d’une prise de conscience dans les opinions publiques – que les Israéliens (les Juifs) vivant en France notamment, qui ne sont pas « pour » la politique du Gouvernement Israélien de Benyamin Netanyaou, doivent forcément « se sentir mal dans leur peau » en tant que citoyens Français ou résidents… Autant dire qu’ils se sentiraient « mis dans le même sac » que « tous les Juifs en général »…

     

    Qui, en « haut lieu et détenant une autorité mandatée et reconnue » s’attache vraiment à différencier et à protéger – protéger efficacement – les Juifs opposés à la politique de Benyamin Netanyaou ?

    Car ces Juifs dans l’opposition – qui déplorent les destructions et les bombardements de Gaza – eux aussi, tout comme les « pro Netanyaou », ne veulent pas du Hamas, sont pour l’anéantissement des groupes terroristes islamistes ; et ce qui les différencie des « pro Netanyaou », c’est que eux, ils seraient « pour » un état Palestinien (mais sans le Hamas, et en tant que république laïque et démocratique – soit le contraire de ce que veut instaurer le Hamas ou une autre organisation terroriste d’obédience islamiste…

     

    Soit dit en passant dans les manifestations de soutien aux Palestiniens, en France et ailleurs, on ne voit jamais de pancarte «  Palestine sans le Hamas » - parce que les partis de gauche et d’extrême gauche (mais pas seulement) tiennent les dirigeants du Hamas – ou d’autre formation terroriste – pour des interlocuteurs avec lesquels un dialogue serait possible aussi difficile qu’il soit…

    Les assassins ne sont jamais, jamais/jamais, des interlocuteurs : ils doivent être purement et simplement éliminés (identifiés puis éliminés plus précisément)…

     

    Mais – je vous le demande- quelle différence y-a-t-il entre : les extrêmes droites ( toutes les extrêmes droites qui existent de par le monde – avec leurs dictatures, leur antidémocratisme souvent « déguisé ou caché ou revêtu du manteau républicain » en général et pour -archi pour – les possédants, les dominants… D’une part ; et une extrême droite Israélienne de colons gros propriétaires implantés dans les territoires d’une ancienne palestine datant de l’empire ottoman… D’autre part ?

     

    Quelle différence entre un très gros propriétaire terrien (et milliardaire) du Texas, de Louisiane, un oligarque russe ou chinois, un dirigeant Islamiste Jihadiste… Et l’un ou l’autre de ces « gros colons possédants, Israéliens, implantés dans des territoires palestiniens occupés, investis ?

    Il n’y a pas de différence : un salaud de dominant possédant est toujours un salaud auquel l’Ordre du Monde tel qu’il est, donne toujours raison et justifie la « politique » de domination…

    Il y a autant de salauds, autant de milliardaires, autant de dominants, d’exploiteurs et de possédants – des ressources et des richesses de la terre et des sous-sols – chez les chrétiens, chez les musulmans, chez les juifs, chez les blancs, chez les noirs ! Autant de haines, de violences, de mépris, de déconsidération, d’inégalités provoquées et entretenues, d’injustices, de prédation, de spoliation, d’abus de pouvoir… Dans toute société, en tout peuple, en tout pays de la Terre, quelle que soit l’idéologie, la religion, le passé historique, la couleur de peau…

     

    La violence d’aujourd’hui est de même nature, de même intensité, de même diversité, de même barbarie, de même cruauté… Que celle qui régnait au Moyen Age et dans l’Antiquité, des temps des guerres l’une de cent ans, l’autre de trente ans en Europe… Sauf que – et c’est là où est la différence – de nos jours ce sont les armes, les moyens de destruction qui sont bien plus puissants en dimension et en étendue de nuisance et de cause de victimes, que les armes dont on se servait jadis jusqu’à l’époque de l’artillerie et des engins de guerre jusqu’au 19 ème siècle…

     

     

    Benyamin Netanyaou est, de tous les dirigeants israéliens depuis 1948, et de loin, celui qui a le plus creusé par sa politique, la tombe des Juifs en général, et de son peuple et de son pays en particulier ! Il n’y a personne pour l’arrêter sauf des discours qui sont autant de coups d’épée dans l’eau les uns les autres !

     

    Ma grand-mère disait lorsqu’elle s’occupait de son jardin : « j’ai beau occire les mauvaises herbes avec ce que l’on trouve de plus radicalement destructeur, y a rien à faire elles repoussent toujours les mauvaises herbes, elles y mettent parfois du temps à ne plus revenir, mais elles reviennent et plus nocives qu’avant ; et ce qu’il y a de sûr dans l’affaire, c’est que malheureusement, les bonnes herbes, elles, détruites « collatéralement », ne reviennent jamais, ou reviennent rachitiques ! »

    C’est ce qui est en train de se passer avec les radicalités des violences de par le monde pour éliminer ceci ou cela !

     

     

     

  • L'intrusion du religieux dans la vie publique

    Dans l’espace public, dans la rue, en tout lieu de circulation et de réunion de personnes, en environnement urbain ou rural, là où se tiennent des marchés, à l’intérieur et à l’extérieur des espaces commerciaux que sont les grandes surfaces de produits alimentaires, de produits de consommation ; dans les fêtes, manifestations culturelles, sportives, foires, expositions… Partout donc, dans tout l’espace public ; ainsi que sur les lieux d’exercice d’un métier, d’une profession, d’une activité où l’on est en contact avec les gens, avec une clientèle…

     

    L’on ne devrait jamais pouvoir circuler, se montrer ; un Juif avec la kippa sur la tête, un Catholique intégriste revêtu de son habit spécifique, un Musulman en tenue vestimentaire et coiffure tout aussi spécifique de son appartenance religieuse, en voile de la tête aux pieds pour une femme musulmane…

     

    Personne ne devrait pouvoir s’exposer, se montrer, être visible, dans l’espace public, avec quoi que ce soit de tenue vestimentaire, d’objets ou d’accessoires indiquant une appartenance, une croyance et une pratique religieuse…

     

    « Par les temps qui courent » - qui sont des temps de violence, de rejet, de haines, d’agressions (le plus souvent il faut le dire, de nature antisémite), quelle que soit en fait, la religion à laquelle on croit (et que l’on pratique ou non, ou dont on fait partie par tradition sociétale et familiale – catholiscisme en France et en Europe et en Amérique-) … « Par les temps qui courent » donc, circuler sur la voie publique avec une kippa sur la tête, être visible et reconnaissable du fait de ce que l’on porte sur soi (vêtement, coiffure, objet, accessoire) en tant que Chrétien (catholique intégriste), en tant que musulman homme ou femme, en tant que Juif, en tant que Boudhiste… C’est en quelque sorte « inciter » à la discrimination, à la stigmatisation ; c’est « provoquer », susciter des comportements agressifs… Que l’on n’aurait pas si l’on ne « voyait rien de significatif question appartenance religieuse »…

     

    Mais dans l’actualité du monde d’aujourd’hui, avec le conflit Israélo-palestinien, et dans un contexte de flux migratoires accrus en provenance d’Afrique et du Moyen Orient, dans le contexte d’une société divisée et devenue plus violente… Force est de constater que ce sont les communautés israélites, juives, en premier lieu, qui sont les plus stigmatisées, les plus agressées, rejetées, bien plus que ne le sont les autres communautés religieuses, les musulmans venant après les juifs dans des proportions moindres…

     

    Et, outre la façon de se vêtir en fonction de la religion à laquelle on appartient, outre tous les signes distinctifs d’appartenance à une religion, outre les interdits (viande de porc, alcool, tabac, etc.) et outre les obligations de base du croyant – prière, fréquentation du lieu de culte…

    Il ne devrait pas non plus être possible par exemple à un musulman, à un catholique intégriste, à un évangéliste se livrant au prosélytisme, entre autres chrétiens de diverses confessions, à un juif ultra religieux, à un salafiste, à un islamiste fanatique … De pouvoir entrer dans l’Armée, dans la Police, dans la Gendarmerie, dans l’Education… À moins que toute trace soit effacée ou rendue non visible en cas de recherche, d’investigation, de définition de profil de la personne que l’on est… Et que « l’intéressé » soit suffisamment vigilant pour que « rien ne ressorte à aucun moment » de son appartenance, de sa croyance religieuse…

     

    Autrement dit dans l’Armée, dans la Police, dans la Gendarmerie, dans l’Education, et… D’une manière générale, dans tout exercice d’activité professionnelle ou autre, il ne devrait jamais être possible de montrer et de manifester quoi que ce soit, de son appartenance ou croyance religieuse… (Invisibilté totale et absolue)…

     

    La moindre suspicion de la part de personnes détenant une autorité légale et reconnue, la moindre interrogation qui se pose au sujet de qui que ce soit entré dans l’Armée, dans la Police, dans la Gendarmerie, dans l’Education, sur sa croyance ou sur sa pratique religieuse ; devrait faire l’objet d’une « investigation » et d’une recherche, de manière à ce que le doute soit levé – s’il peut l’être…

     

    En aucune façon le religieux ne peut être introduit, accepté ni même toléré par complaisance de principe, dans la vie publique ; le religieux devant demeurer sans exception et en permanence totalement silencieux, invisible – comme s’il n’existait pas, autant dire pour appeler un chat un chat : « qu’il existe sans exister » (avec tout ce qu’implique cette formulation qui est celle « d’exister sans exister »)…

     

    Nous ne devrions jamais voir sur des marchés hebdomadaires de bourgades et de villes ni lors de foires annuelles, de manifestations artisanales… Le stand de la Bible avec livres et brochures ; nous ne devrions jamais rencontrer circulant dans la rue, interpelant les passants, de ces « missionnaires ou évangélistes » en général par deux et se livrant au prosélytisme dans l’espace public ; de « crieurs ou annonceurs de bonne nouvelle Jésus revient, repentez vous, etc. » ; nous ne devrions pas en période de Noël voir installées des crèches dans les mairies, dans les locaux d’associations, dans les écoles, ou en exposition sur des marchés, sous le prétexte fallacieux d’une tradition séculaire de pays de la chrétienté ou d’« élargissement » du message du Christ entré dans les mœurs (le Religieux qui entre dans les mœurs non)…

     

     

     

    Nous ne devrions jamais voir de crucifix dans les lieux d’habitation – maisons, locaux, chambres destinées à l’hébergement d’amis, de personnes de passage…

     

     

     

  • Incivilités, violences, agressivité

    En ce qui concerne les incivilités, les violences, les comportements agressifs, le nombre de personnes sur l’ensemble d’une population, qui sont dans les inciviltés, dans les violences et dans les comportements agressifs ; existe-t-il des études comparatives entre la France et les autres pays Européens ?

     

    Il y a bien, entre autres :

     

    -Une étude réalisée par l’Observatoire Français des Conjectures Économiques sur les crimes et les violences en France et en Europe avec leurs tendances et leurs évolutions, mais cette étude date en fait du début du 21ème siècle et prend en compte pour l’essentiel une période correspondante à la seconde moitié du 20ème siècle…

     

    -Une analyse de l’INSEE mais qui se concentre sur les agressions sexuelles et sur les viols.

     

    -Une enquête de l’Agence des droits fondamentaux de l’UE sur les actes de violence et de harcèlement qui seraient plus fréquents que ce qu’indiquent les données et statistiques officielles par pays concerné.

     

     

     

    Études, analyses et enquêtes qui, il faut dire, ne peuvent vraiment refléter, mettre en évidence quantitativement et dans la réalité du quotidien vécu, l’état de la société…

    Déjà, les données – les chiffres- dont on peut avoir connaissance, ne sont que ceux des faits enregistrés, ayant fait l’objet de dépôts de plaintes…

     

    Il est donc difficile de quantifier en nombre, tant en France que dans chacun des autres pays européens ; en fréquence, en présence au quotidien, en lieux et environnements divers, les incivilités, les violences, les comportements agressifs…

     

    Il semblerait qu’actuellement, dans les années vingt du 21ème siècle, que la société dans son ensemble toutes générations confondues, serait « plus violente, davantage en déliquescence en France, qu’ailleurs en Europe, et que la France se situerait question violences, insécurité, agressions de personnes, incivilités, à peu près au même niveau que l’Angleterre, que les Pays Bas…

     

    Dans notre pays, la France il y a deux indicateurs particulièrement probants et révélateurs ; soit deux constatations d’une évidence très nettement marquée, que l’on peut faire partout, quelle que soit la zone d’habitation ou de résidence – urbaine, péri-urbaine, rurale :

     

    -Le Klaxonnement rageur et agressif des automobilistes à la moindre gêne subie, donc violence manifeste, accrue et plus fréquente que jadis, dans la circulation automobile, en fait la circulation en général y compris les vélos et tous les engins roulants à deux roues, rollers et autres : personne n’accepte d’être limité ou gêné dans son mouvement…

     

    -Le dépôt sauvage d’ordures et de déchets à côté des containers, des poubelles, ou en tas, n’importe où dans la rue, dans la nature, au bord des routes et des chemins, en forêt… (Il m’est arrivé de voir de mes yeux des employés municipaux mettre dans le caisson métallique des ordures ménagères « rien que ménagères », des cagettes de légumes du marché ou des cartons de grande taille, usagés !)

    Et, au dépôt sauvage d’ordures et de déchets, il faut voir aussi le nombre de déjections de chiens sur les trottoirs, dans les rues…

     

    Il faut aussi noter que dans la société telle qu’elle est en train d’évoluer « dans le mauvais sens », donc vers davantage de violence, d’agressivité, d’incivilités… Et avec un nombre croissant de « mauvaises personnes » autour de soi… Viennent s’ajouter l’indifférence, le « faire avec », l’absence de réflexion, le recours au plus facile, au plus accessible dans l’immédiat, les individualismes exacerbés, l’adhésion à des modes ou à des modèles de pensées, le souci de son apparence, de sa visibilité…

     

    Quelle solidarité, quel respect, quelle considération, pour l’Autre, pour Les Autres, dans de telles conditions aussi défavorables à un bon rapport dans la relation humaine ?

     

    Et quelle transmission, quelle communication, possible, en face d’autant d’indifférence, d’absence de réactivité ?

    À qui dire, exprimer ? Et comment ? Avec quels mots ? De quel regard ? Dans quel cas, et pourquoi ?

     

     

     

  • Les clientèles de Décathlon et des magasins de sports

    Les clientèles de Decathlon, d’Intersport, de tout ce qui, grandes enseignes commerciales, boutiques, magasins de sports, de chaussures de marche, de bicyclettes, de matériel et équipement de camping… Ainsi que les clientèles du marché du loisir – randonnée, trekking, course à pied genre marathon, natation, ski nautique, ski en montagne l’hiver, hébergement en chambre d’hôtes, séjours touristiques de découverte de régions ou de lieux particuliers, nécessitant de devoir s’adonner à une activité physique soutenue et fréquente…

    Ne sont pas loin s’en faut, l’on n’en doute, des clientèles dont l’âge moyen se situe autour de 90, 95 ans !

     

    Il serait d’ailleurs « intéressant » de se livrer à une recherche, ou à une étude, relative à une clientèle – de Décathlon, d’Intersport, d’activités de loisirs genre randonnée camping… De personnes ayant dépassé les 70 ans…

     

    Et de même sont absentes du marché de la consommation sports loisirs randonnée camping trekking… La plupart des personnes handicapées, appareillées ou même plus généralement se trouvant dans un état général de santé et de capacités physiques (obésité, diverses affections ou déficiences assez limitatives d’activités extérieures)…

    Lorsque l’on se rend – pas forcément pour acheter quelque chose dont on aurait besoin – chez Decathlon, ou Intersport, ou dans une boutique spécialisée en chausssures de marche randonnée, c’est là que l’on réalise, que le monde actuel, le mode de vie et de consommation qui est le nôtre et qui s’impose au quotidien, qui prévaut et intéresse des millions de gens… N’est pas du tout fait pour les nombreux exclus du marché du loisir et de l’activité sportive que sont les personnes de plus de 75 ans et les personnes handicapées…

     

    Cela dit, d’autres marchés de la consommation ont une clientèle beaucoup plus réduite : celle de « Aubert » la Grande Surface du Bébé et du très jeune enfant qui « passe largement par dessus la tête de tous les seniors sans descendance de petits et arrière petits enfants… Et peut-être aussi la clientèle du « joujou » à savoir toutes les personnes, parents ou grands parents qui ont de jeunes enfants et adolescents à gâter (mais il faut dire que le marché du joujou a encore de beaux jours devant lui du fait qu’en dépit de la diminution du nombre d’enfants de moins de dix ans, le nombre de jouets et de jeux par enfant à doublé, triplé, quadruplé par rapport à ce qu’il était par exemple au milieu des années 1950)…

     

     

  • Liberté Égalité Fraternité

    La liberté, l’égalité et la fraternité ; telles qu’elles existaient en esprit et « si l’on veut dans une réalité pouvant être en rapport avec l’esprit qui l’animait »… Dans les années 1950 et disons jusque dans les années 1990… Ou « plus idéologiquement » telle qu’elle avait été conçue, imaginée, rêvée, avant d’être « inscite dans le marbre » à l’origine (c’est à dire en 1789)…

     

    La liberté, l’égalité et la fraternité donc, c’est comme le communisme dans son esprit d’origine en Russie, avant le bolchevisme, le léninisme et le stalinisme… Et c’est aussi comme le libéralisme dans l’esprtit d’origine des fondateurs, premiers présidents et représentants des citoyens des États Unis d’Amérique (13 états devenus nation indépendante et donc plus colonies de la Grande Bretagne (Angleterre) en 1781…

     

    Si l’on réfléchit bien, le communisme et le libéralisme, autant l’un que l’autre, dans leur esprit et dans leur pensée d’origine ; ou mieux encore dans la pureté de leur concept, dans la réalité même de ce que l’un ou l’autre implique dans la vie sociale, dans les rapports humains, la gestion, l’organisation de la société… Ont « beaucoup de choses en commun » et sont en quelque sorte comme les deux facettes d’une même pièce de monnaie, comme la même pièce à l’intérieur d’une habitation, vue, perçue par qui y pénètre, selon l’éclairage (la lumière du jour) du matin, ou de l’après midi…

     

    Sans le partage, sans la conscience du bien collectif, de ce dont tout un chacun peut bénéficier par l’apport de tous, sans le dialogue, sans la concertation, sans l’apport de l’un ou de l’autre dans un projet commun à plusieurs personnes, d’une part… Et sans l’entreprise, sans l’activité, sans l’initiative, sans la détermination, sans l’intelligence, sans la réflexion, sans la question du pourquoi et du comment et du en quel but, des uns et des autres, de l’un ou de l’autre en particulier, d’autre part…

    Qu’en est-il de la liberté, de l’égalité, de la fraternité ; ou du communisme ou du libéralisme, sinon des « coquilles vides » ? Des dogmes avec pour symboles des icônes, des fanions, des mots d’ordre, des modèles…

     

    « Liberté Égalité Fraternité » sur le fronton des mairies, des préfectures et des écoles – quand c’est écrit ou gravé dans la pierre au dessus de la porte d’entrée du bâtiment (ce qui n’est pas toujours le cas il faut dire)… C’est, comme on peut le constater 50 ou 80 ans après l’inscription à l’origine… Aussi délavé, aussi usé, que ce qui paraît encore sur des tombes dans un cimetière, dates et noms à peine visibles, à moitié effacés…

     

    C’est la conscience, c’est la responsabilité, c’est le comportement dans la relation, c’est la réflexion, c’est l’échange, c’est l’apport de chacun et de tous, c’est l’intelligence, c’est la connaissance, c’est le partage, c’est un demain et un après demain auquel on pense, c’est de la continuité au-delà de ce qu’on a été et de ce que l’on a fait… Qui fonde « liberté – égalité – fraternité »… La société humaine, la civilisation…