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Paroles et Visages - Page 4

  • Le Droit International

    Le Droit International, tel qu’il a été défini officiellement – ou si l’on veut « écrit noir sur blanc » - dans la charte des Nations Unies (193 pays), précisé par la convention de Vienne de 1969…

    Ne peut être appliqué qu’aux pays qui ne pratiquent pas le terrorisme d’état, qui n’appellent pas à la destruction et à l’anéantissement d’un ou de plusieurs pays…

    Ainsi l’Iran est le seul pays du monde qui appelle à la destruction et à l’anéantissement d’un pays : Israël…

    La Russie, la Corée du Nord, par exemple, qui possèdent l’arme atomique n’appellent pas précisément à la destruction d’un autre pays, bien que ces deux pays, la Russie et la Corée du Nord, soient des pays « particulièrement belligérants et menaçants »…



    Cependant, lorsque la Russie a attaqué l’Ukraine le 24 février 2024, cette attaque était une agression au sens du Droit International défini dans la charte des Nations Unies ; et, en conséquence le Droit International ne peut s’appliquer à l’égard de la Russie…

    Et de même le Droit International ne peut être appliqué à l’égard de la Corée du Nord dont le dirigeant Kim-Jong-Un envoie à la Russie des armes et des troupes nord-coréennes en appui à la Russie contre l’Ukraine.



    Certes oui, Israël et les USA, lorsqu’ils attaquent les bases d’enrichissement de l’uranium (83,7 % à Fordo) et plusieurs bases militaires en les bombardant massivement depuis des avions de combat ayant pénétré dans l’espace aérien Iranien, il est clair qu’il s’agit bien là, d’une violation du Droit International tel qu’il a été défini, puisqu’il y a effectivement agression directe d’un pays par un autre pays…

    Or, il se trouve que cet autre pays agressé, l’Iran, est manifestement un pays hors-la-loi qui, lui, ne respecte pas le Droit International, d’autant plus que, outre son objectif d’enricchissement d’uranium à 90 % pour fabriquer au moins dix bombes atomiques, il soutient le Hamas et le jihad islamique qui attaquent les cargos en mer rouge, et envisage de fermer le détroit d’Ormuz sans l’accord des Emirats Arabes Unis…



    Israël et les USA, en agissant et en intervenant contre un état hors la loi, montrent au monde, prouvent au monde, que le Droit international ne peut pas être appliqué à l’égard d’un pays hors-la-loi qui juré la perte d’un autre et qui « à coup sûr » utilisera l’arme atomique lorsqu’il disposera de cette dernière afin de « rayer Israël de la carte …

    Soit dit en passant, deux mille trois cent kilomètres séparent Israël de l’Iran ; l’on imagine avec la circulation atmosphérique d’est en ouest, le transport des particules radio-actives, et donc les retombées sur le territoire Iranien… Et les mollahs et leurs affiliés – une partie de la population – acceptant de vivre dans un environnement dégradé et donc, concevant nécéssaire le prix à payer (environnement dégradé) pour l’anéantissement d’Israël !



    Les salauds, les vrais salauds, les « total-salauds » sur cette Terre, se foutent de devoir vivre dans un environnement dégradé : ils auront, les plus éminents et les plus puissants d’entre eux, des forteresses « relativement protégées » et jouiront de ce que la radio-activité ambiante aura « un peu moins pollué » … Et les cancers, les malformations de naissance, les nuisances au quotidien, la vie pourrie, les maladies, les peaux et les visages ravagés, ça sera pour les « pauvres bougres » surtout !





  • Dans un visage ce sont les yeux et le regard qui font exister ce visage

    Les yeux, le regard… C’est ce qui reste lorsque « tout a foutu le camp » - par le ravage des années sur le visage…

    Les yeux, le regard, ça demeure intemporel, de la toute petite enfance juqu’à l’extrême vieillesse en passant par tous les âges de la vie…

    Dans les yeux et dans le regard d’une personne, ce qui « lumine » c’est le meilleur, le plus vrai, le plus authentique, le plus singulier et à nul autre pareil, de cette personne…

    Dans les yeux et dans le regard d’une personne, l’on y peut « lire » ce que cette personne exprimerait si elle l’écrivait, l’on y peut comme « entendre en soi » ce qu’elle dirait de vive voix…

    Les yeux et le regard d’une personne sont comme une fenêtre ouverte sur l’intérieur d’elle même…

    Mais ces yeux là, ces regards là ne sont pas – loin s’en faut- les regards de tous… Ou les yeux et le regard qu’à un certain moment, une personne peut avoir…

    Que dire de la vacuité, de ce tout ce qu’il y a de décoloré, d’obscur, de toxique, d’inamical, d’indifférent et de silencieux en tant d’yeux et de regards qui eux, « glougloutent » ou cacardent, selon ce que l’on perçoit d’eux qui ne nous attire pas ?

    Que dire, aussi, de ce que l’on ne sait pas voir, dans les yeux et dans le regard d’une personne ?

    Quoiqu’il en soit, les yeux et le regard, c’est ce qu’il y a d’intemporel dans un visage… Parce que les yeux et le regard ça n’a pas d’âge…



  • Les solstices d'été et d'hiver

    À partir du 10 juin si chaque matin vous notez à quelle heure précise – à la minute près – se lève le soleil (demi disque sur la ligne d’horizon), vous observez qu’à partir de ce jour du 10 juin, il y a une différence tout d’abord de 20 secondes, puis 30 secondes entre le 10 et le 15, puis de 45 secondes à une minute entre le 15 et le 21… En moins…

    Donc au 21 juin les jours ont un tout petit peu diminué depuis le 10, le matin.

    À partir du 13 décembre si chaque soir vous notez à quelle heure précise (demi disque apparant) s’enfonce le soleil en dessous de l’horizon, vous constatez qu’à partir de ce jour du 13 décembre, il y a jusqu’au 22 décembre, 20, 30 secondes puis une minute… En plus…

    Donc au 22 décembre les jours ont un tout petit peu augmenté depuis le 13, le soir.

    Lorsque vient le solstice du 21 juin, et jusqu’au 26, durant 5 jours encore, le soir ça augmente encore un peu pour atteindre le maximum le 26 ; puis du 26 juin jusqu’au 5 juillet, le soleil disparaît en dessous de l’horizon exactement à la même heure minute, les minutes en moins le soir, ne venant qu’après le 5 juillet…

    Lorsque vient le solstice du 22 décembre, et jusqu’au 26, le matin ça continue de diminuer pour atteindre le maximum le 26 (je jour où le soleil se lève le plus tard) ; puis du 26 décembre au 5 janvier, le soleil apparaît à l’horizon exactement à la même heure minute, les minutes en plus le matin, ne venant qu’après le 5 janvier…

    Voilà pour l’hémisphère boréal de la planète.

    Pour l’hémisphère austral c’est le contraire de tout ce qui s’observe dans l’hémisphère boréal…





    Une toute autre observation : celle des aurores boréales…

    Jusqu’à encore il n’y a pas si longtemps – mettons jusque dans les années 2010/2020 – les plus méridionales des aurores boréales pouvaient être observées (parfois) à la latitude de Paris et de la région Ile de France durant la période du solstice d’hiver (entre mi décembre et début janvier)…

    Mais depuis peu, depuis passé 2020, à Paris et dans la région Ile de France les aurores boréales peuvent être observées durant plus longtemps – de fin novembre à fin janvier… Et elles arrivent à être observables à la latitude d’Orléans voire de Tours durant une courte période entre mi décembre et début janvier…

    C’est là l’un des signes du changement climatique, cette « descente en latitude de décembre à janvier, des aurores boréales…

    Bien entendu les aurores boréales observables à une latitude aussi méridionale, jusque dans le ciel nocturne d’Orléans… Ne sont aucunement comparables à celles que l’on voit au-delà du cercle polaire… (Elles sont « moins belles, moins impressionnantes »)…





  • Voie royale

    Dans les salles de conférences, dans les temples, dans les églises, dans les mosquées, dans les débats d’idées où les gens s’accordent ou s’opposent, dans les livres, dans les journaux, dans ce qui est exprimé par l’un ou l’autre d’entre nous et qui est défendu avec vigueur, partagé ou non, découvert ou non, « liké » ou commenté, transmis ou gardé en soi ; dans ce qui est vu et écouté à la télévision…

    En ce monde où nous vivons…

    Ou -peut-être ?- ailleurs que sur notre Terre, de longs couloirs lumineux en faisceaux ou en éparpillements où circulent des ondes magnétiques, et qui conduisent, formant réseaux ou séparés et éloignés les uns des autres, à de grands dômes métalliques…



    Ainsi en notre monde, des essaims lumineux qui dansent tels des brûlots sur tous les océans de la Terre, des « œuvres-cathédrales » dont les flèches de pierre s’élèvent dans le ciel de la Terre…

    Ainsi ailleurs que sur la Terre, des courants vibratoires qui partent des grands dômes métalliques…

    Aucun des essaims lunineux sur les océans de la Terre, aucune des « œuvres-cathédrales » édifiées sur la Terre ; aucun des courants vibratoires partis des dômes métalliques… Ne peut être LA Voie Royale…



    Il n’y a nulle part de Voie Royale…

    Mais il y a de l’Existence partout là où c’est possible…

    Et l’Existensce dans tout son ensemble et dans son immense diversité, dans son infinie étendue et dans sa dispersion sur des milliards d’années lumière d’espace, est d’une toute autre dimension que cette d’une Voie Royale…

    En notre monde, en l’Existence sont chacun de nos visages qui, par milliards qu’ils sont, ne sont qu’une infime partie de l’Existence…

    Et toute l’Existence en notre monde n’est que l’infime partie de l’Existence de partout…





  • Dix ans plus tard

    Ils sont du même pays, de la même région…

    Ils s’étaient trouvés l’un à côté de l’autre, en vacances dans un camping de la côte vendéenne…

    S’étaient échangé des livres et durant les quinze jours qu’ils avaient passé ensemble avec d’autres personnes, ami(e)s occasionnels et de passage, installés dans ce camping ; un soir ils s’étaient réunis autour d’un barbecue…

    Ils avaient pris ce soir là, les uns et les autres, des photos ; ri et conversé jusque tard dans la nuit…

    Un jour de très beau temps, ils s’étaient aventurés en une excursion pédestre par des chemins côtiers, un autre jour, avaient déambulé entre les étals d’un marché local…



    Dix ans plus tard ils s’étaient rencontrés tout à fait par hasard dans la galerie marchande d’une grande surface commerciale d’une ville de leur région…

    L’un avait reconnu l’autre mais l’autre n’avait pas réagi…

    Dix ans c’est un grand espace de temps lorsqu’entre personnes ayant un temps vécu ensemble, l’on ne s’est plus revu…

    L’un s’était souvenu, l’autre pas…

    Ainsi lorsque des personnes en un moment et en un temps donné s’étaient senties reliées, des rêves avaient-ils pris feu qui emportés par quarante saisons, se sont éteints … Pour l’un mais pas pour l’autre …

    L’un était devenu pour l’autre un étranger, dix ans plus tard…

    Et que dire, que penser, que faire, pour l’un qui se souvient et reconnaît, en face de l’autre qui ne se souvient pas, ne reconnaît pas ?

    Peut-être, pour l’autre, qui n’a pas réagi, un visage comme un dessin en partie gommé, surgi d’un bouillonnement de souvenirs…

    Ce visage de l’un dont le regard perçu par l’autre, et n’ayant rien évoqué à cet autre, ressenti comme une intrusion dans la vie présente de cet autre…