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Paroles et Visages - Page 4

  • Solstice

    Le 13 décembre entre Dax et Mont de Marsan 43 degrés latitude Nord, était le jour où, depuis le 5 juillet, le soleil passait sous l’horizon le soir, le plus tôt… Et le 26 décembre sera le jour où le soleil apparaîtra le plus tard, depuis le 10 juin…

    Le décalage entre le coucher du soleil autour du 10 décembre et le lever du soleil le plus tardif fin décembre dans l’hémisphère nord, n’a rien à voir en lien avec l’applatissement de la Terre aux pôles.

    Il résulte, ce décalage, de la combinaison de l’inclinaison de l’axe de la Terre et de l’orbite elliptique de la Terre autour du soleil.

    Dans l’hémisphère nord en latitudes moyennes (entre 35 et 60) le jour du soleil disparaissant le plus tôt le soir, se situe entre le 4 et le 13 décembre et plus précisément au 43 ème, entre Dax et Mont de Marsan, le 13 décembre (à 17h 14 GMT plus 1)… Et le jour où le soleil apparaît le plus tard au matin, se situe entre le 25 décembre et le 8 janvier, plus précisément entre Dax et Mont de Marsan sur le 43 ème, le 26 décembre (à 8h 45 GMT plus 1) …

    GMT c’est « l’heure solaire » (l’heure des anciens) qui est aussi l’heure astronomique (qui sert de référence pour tous les pays du monde)… On a donc GMT plus 1 heure officielle d’hiver en Europe, et GMT plus 2 heure officielle d’été en Europe.

    L’axe de la Terre n’est pas perpendiculaire à son orbite.

    La Terre ne tourne pas autour du soleil à vitesse constante : elle est plus rapide à la périhélie (dans l’hémisphère nord donc en janvier) et plus lente à l’aphélie en juillet.

    Périhélie : point où l’orbite de la Terre est plus proche du soleil (janvier hémisphère nord

    Aphélie : point où l’orbite de la Terre est plus éloigné du soleil (juillet hémisphère nord)



    Bon vous m’direz – d’aucuns m’diraient : « ça me fait une belle jambe » ! ( si l’on apprenait en « scoop du jour » à la Télé ou dans le journal que « la moitié de la planète venait de sauter – une catastrophe nucléaire – c’est que l’on serait forcément du bon côté !) – rire…



  • Combats

    Certains combats que l’on mène toute sa vie durant – contre l’Ordre du Monde (ou plus en vérité contre DES ordres de l’Ordre du Monde mais aussi contre les désordres du monde (ou plus en vérité contre les désordres du monde faits ordres)… Combats en lesquels on est seul engagé aussi personnellemnt que l’on l’est contre ordres et désordres, ne rencontrent ces combats que l’on mène, que silence, indifférence de tout le monde, oui, indifférence et silence des personnes qui nous entourent avec lesquelles nous devons coexister… Ces combats là sont souvent, le plus souvent, des combats désespérés, perdus d’avance… Mais que l’on refuse d’abandonner et que seule notre mort interrompt…

     

    La meilleure défense (ce qui nous soutient, nous anime, nous fait agir, nous fait nous exprimer) dans ces combats que l’on mène contre l’indifférence, contre le silence, contre la violence, contre les Ordres et les désordres… C’est encore la littérature, l’art, la musique, la création, la pensée… Et surtout ce « quelque chose en soi à nul autre pareil » qui, même sans la littérature, sans l’art, sans la musique – dont on peut ne pas être imprégné, et même aussi sans le don, sans le talent dans l’accomplissement ; est une force en soi, donne un sens à notre existence…

    Ce « quelque chose en soi » tous les humains l’ont même le plus démuni d’entre les humains…

    Et en ce sens, il n’y a plus de combat désespéré, perdu d’avance…

    Ce « quelque chose en soi » - de son vivant – rejoint toujours « quelque chose du quelque chose en soi » des autres et, à partir de là s’ouvre le possible…

    Tout le monde n’a pas la capacité de réaliser, de dire, d’exprimer, de rallier, d’entraîner, d’impacter, de « faire trace » durable sur le mur ou par des livres ou par des compositions artistiques…

    Mais tout le monde, chacun d’entre nous même le plus démuni, le plus fragile, le moins bien connu, qui « ne fera rien dans sa vie au sens de ce que l’on entend dans l’Ordre du Monde par faire » a en lui ce qui le différencie des autres et dont l’image est son visage, et dont le regard est son langage… Et dont l’œuvre est son rapport, sa relation à l’autre…

     

     

  • Ce qui manque le plus au monde

    Dans un monde où de toute évidence depuis l’origine des sociétés et civilisations humaines - et à mon sens encore plus marqué, plus accru dans le monde du 21 siècle, où l’argent, la violence, l’orgueil, l’individualisme, le culte de l’apparence, le prestige, la visibilté de chacun en fonction de ce qu’il exprime et produit, où la révolution, où le pouvoir, où ce qui compte le plus, où ce qui s’impose dans les pensées, dans les opinions de chacun, c’est de gagner, d’être performant… Il m’est toujours venu depuis ma lointaine enfance, de la mansuétude, de la sympathie, de l’affection, de la considération, de la bienveillance, de la solidarité… Pour les perdants, les « losers » comme on dit, pour ceux qui « ratent », ne réussissent pas en dépit de leurs efforts et de leur travail, pour ceux et celles qui sont méprisés, maltraités, abusés, réduits au silence, ignorés, dévalorisés, « zappés » sur les réseaux sociaux, lorsqu’ils « taguent ou graffitent – ou même pour quelques uns d’entre eux « font des monuments de littérature si ça se trouve » sur tous ces murs le long desquels tout le monde passe, tout le monde écrit ou trace…

     

    En tant que « témoin de mon temps » je dis que ce qui manque le plus au monde, qui a toujours manqué d’ailleurs et qui aujourd’hui fait encore plus défaut que jamais… C’est de la bonté, de l’humilité, du « bon sens des choses » (de la vie, de la relation humaine) associées bonté et humilité, de simplicité, de sincérité, de dignité, d’honnêteté et de ce « quelque chose en soi à nul autre pareil » qui n’ a rien à voir avec gagner, être performant, réussir, avoir une belle maison, un bon compte en banque, des tas d’amis, de la prestance, du talent…

     

    Je ne dis pas que le monde actuel est dépourvu de tout cela, de ces valeurs là si essentielles ; oui ça existe je l’ai vu, bel et bien vu… Seulement je dis que « ça fait encore pas pencher la balance du côté tant espéré tant attendu tant rêvé ! »…

     

    Néanmoins je souhaite demeurer vivant, conscient, observant, exprimant, témoin… Le plus lontemps possible sur cette Terre des Hommes, et sans désespoir autre qu’occasionnel et donc passager, en dépit d’interrogations qui me viennent, d’inquiétudes – je ne dirais pas de peurs- si lourdes à porter en moi, ces interrogations et ces inquiétudes… Je ne crois pas en Dieu, sinon que Dieu pour moi ce sont les interlocuteurs que peuvent être les autres autour de moi…

     

     

  • La blague du jour

    C’est une manif de femen à poil fesses et seins tatoués et y’a Jean Luc Mélenchon accompagné de musulmans progressistes en tête du cortège…

    Y’a Ursula une femen accorte, boudinée de partout, qui s’approche de Jean Luc et lui dit « alors tu me le mets lent et chaud ? » …

    Un autre femen apercevant au bout de la rue une contre manif RN, s’écrie « eh, ça barde eh là ! Attention à vos fesses » !

    Et l’Ursula : « c’est pas la peine de baliser, on va toutes loufer ensemble sous les narines des fachos » !

    Et encore l’Ursula : « on termine par un couscous de l’amitié avec nos amis musulmans ! »

     

     

  • Le monde arabo-musulman au 13 ème siècle

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    Le monde de l’Islam du 7 ème au 13 ème siècle était un monde – et une société- esclavagiste, tout comme le fut, après le monde de l’antiquité Egyptienne, Grecque puis Romaine, le monde Chrétien (Catholique notamment) des empires coloniaux du 16 ème au 20 ème siècle…

     

    Le Coran, tout comme la Bible ou la Torah, n’interdit pas la pratique de l’esclavage.

    L’Islam, de nos jours encore, au 21 ème siècle, pratique des formes d’esclavage : condition de soumission des femmes, travail forcé ou très peu rémunéré des enfants, de personnes démunies vivant dans la misère, exploitation par des pays tels que l’Arabie Saoudite, le Qatar, les Emirats, de populations d’immigrés et de clandestins ayant fui leur pays d’origine au Banglasech ou en Asie du Sud Est ou en Afrique – Soudan, Ethiopie, Somalie, Kenya, Tanzanie et autres… Tous ces milliers d’immigrés constituant une main d’œuvre à très bas coût et dont le passeport de chaque personne entrée dans le « pays d’accueil » est confisqué ou conservé durant le temps du séjour…

     

    Au 13 ème siècle époque de maximum d’extension du monde arabo-musulman tel que l’on le voit sur cette carte, dans tout le bassin méditérranéen le long de la côte Africaine du Maghreb à l’Egypte, la piraterie en mer soutenue par les Turcs Ottomans Musulmans effectuant des raids et se livrant à des attaques, à des pillages en terres Chrétiennes, livrait aux caïds et aux gouverneurs et aux grands propriétaires des pays sous autorité Ottomane et musulmane, en organisant des marchés, de grandes quantités de captifs et donc d’esclaves ; ce marché d’esclaves étant très répandu et généralisé dans le monde arabo-musulman du 13ème siècle…

     

    Ainsi dans l’Algérie d’avant 1830, avant, bien avant la colonisation Française de 1830 à 1962, et donc bien avant que ne soient exploitées par les Français, les populations locales, il y avait des Chrétiens, des Européens dont des Français, réduits en esclavage par milliers…

     

    En regard de l’Histoire, on peut dire avec certitude que l’esclavage à partir des 7ème et 8ème siècle et jusqu’au 16 ème, est d’abord avant celui pratiqué par les Européens « blancs et chrétiens », celui pratiqué par les arabo-musulmans…

     

    Ce « procès » qui est intenté de nos jours et qui « juge » et condamne le colonialisme des grandes puissances Chrétiennes Européennes pratiqué en Afrique aux 19ème et 20 ème siècle (L’Algérie pour la France) … Et qui culpabilise nos sociétés européennes d’aujourd’hui, nos gouvernants, nos intellectuels, nos « moralistes » ; inspire les rappeurs et toute une flopée d’artistes, s’insinue dans les opinions, s’érige et se construit en « arrangeant l’Histoire quitte à s’asseoir sur la réalité et sur la vérité historique » ; est un procès qui en éclipse un autre qui lui, devrait être fait : celui de l’esclavagisme et du colonialisme pratiqués durant des siècles par les arabo-musulmans – et qui précède le colonialisme et l’exploitation des populations locales par les Bancs Européens à partir du 18 ème siècle…