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Paroles et Visages - Page 5

  • Promptitude à accueillir

    Le téléphone – ou le smartphone – à portée de main, afin de répondre au plus vite ; la porte jamais fermée à double tour, mais juste d’un tour de clé d’une seule serrure de manière à l’ouvrir en moins d’une demi seconde à celui ou à celle qui vient te rendre visite ; la boisson à servir, à proximité (le frigo n’est pas loin), à un ami ou à une connaissance, un voisin venu…

    La promptitude, donc, à accueillir…

    C’est aussi – parfois (cela arrive) – risquer d’être importuné, au téléphone par un démarcheur, un « emmerdeur », sans compter que le timbre de la sonnerie retentit au moment où tu te trouves sur la cuvette des WC ou en train de te laver les dents, ou encore au moment où tu finis ce que tu as dans ton assiette avant que cela ne refroidisse ; à l’ouverture de ta porte d’entrée à un gitan te proposant quelque objet de vannerie, ou de repeindre ta façade… Et, quant à la boisson à servir, si oui c’est un ami, une connaissance, un voisin qui vient te voir, manque de pot dans ton frigo y’a pas ce qu’il faut, et t’as juste un fond de pernod dans une bouteille sous l’évier…

    La promptitude à accueillir…

    C’est « civil », c’est « de bon ton »… Y déroger est-ce critiquable, est-ce que ça fait de toi un « mauvais coucheur », un impoli, si tu transgresses ; est-ce que déroger à ce qu’il est « de bon ton » de faire, en matière d’accueil, ça doit susciter une « levée de boucliers » de la part des autres, de ces autres qui soit dit en passant « ne sont pas irréprochables » ?

     

  • Le jeu de mots du jour

    Il la sent sûre…

    Mais… De qui la sent-il sûre ?

    De son âme, tiens pardi !

    Ah bon, son âme est si sûre que ça ?

    Et s’il l’avait vendue, son âme, la sentant si sûre…

    Aux banques hier ?

    Le jour de la censure

    Qui dépouilla son âme

    Des oripeaux dont il disposait encore

    Bien que décolorés déjà ?

    C’est que la Grande Finance

    Mondiale elle…

    Ne fait point dans la dentelle !

    Car plus que de décolorer

    Elle lacère

    Réduit en quarts de confettis

    La Fête finie

    La Fête de ceux qui font la Fête

    Sur la tête des sans dents

    Qu’ont qu’les yeux pour pleurer

    Des yeux qu’déjà n’y voyaient plus grand-chose

    De tout le fourbi

    De tout le cinéma

    De toute la chiure

    De toute l’obscénité

    De toute la crapulerie

    Qu’ils prenaient

    Pauvres sans dents

    Pour ce que l’on l’en leur disait

    Les médias

    Les résosocios

    Les illusionnistes

    Hop hop hop le lapin d’un chapeau

    C’est marre

    C’est bon l’olive dans le trou de bale

    Tant pis la colique à venir

    La tripe qui te brûle

    Si tu la sens sûre

    Ton âme

    Dans le cirage

    Dans la confiote

    Dans les fourniments engluée

     

  • Mercredi 4 décembre 2024

    C’était, du 26 juillet au 10 Août 2024, puis, du 28 Août au 8 septembre, dans le temps – comme suspendu au dessus des idéologies partisanes, des conflits, et de toutes les difficultés de la vie au quotidien pour des millions de personnes dans notre pays – Dans l’esprit des Jeux Olympiques et des Jeux Paralympiques de Paris, esprit des JO incarné par ce que notre pays la France, symbolisé pour ainsi dire par sa devise inscrite sur le fronton des mairies « Liberté Egalité Fraternité », et garant « aux yeux » du monde, de nos valeurs républicaines…

    Effectivement « un temps hors du temps »…

    Un temps oui, suspendu, durant lequel tout ce qui nous fait rager, tout ce que l’on déplore, tout ce que l’on dénonce, les hypocrisies, les haines, les exclusions, les violences, les comportements individualistes et agressifs, les crispations, les revendications des uns et des autres, les communautarismes exacerbés, les idéologies partisanes, les conflits entre personnes et groupes de personnes … « Toute la chienlit sociétale » en somme… Avait été « mis de côté » …

     

    Il n’en a plus été de même, le mercredi 4 décembre 2024, jour de la chute du gouvernement de Michel Barnier après plusieurs heures de débats houleux, de discours incendaires des groupes parlementaires…

     

    J’ai suivi entièrement, sans interruption, de 3h de l’après midi jusqu’à 9h du soir, sur « Public Sénat », écouté tous les intervenants, tous les discours des uns et des autres… Jusqu’à l’annonce à 20h 25, du résultat : 331 voix contre le gouvernement de Michel Barnier…

    Jusqu’à la dernière minute, j’ai néanmoins et contre évidence manifeste, espéré que la motion de censure n’aurait pas fait voter « pour », 288 de nos députés élus… Il y en eut donc 43 de plus, à savoir 331…

     

    Je ne sais que dire… « À quoi bon » ?

     

    Tout ce que je peux dire cependant, de « cette affaire là », c’est que nos 577 députés sont censés être les représentants du peuple Français dans toutes leurs composantes et sensibilités, idées, opinions…

    Nous les avons élus, en déposant un bulletin dans l’urne – près de 70 % d’entre nous électeurs inscrits… Et si les abstentionnistes, les réfractaires au vote représentent le tiers de nos concitoyens, il n’en demeure pas moins que les non votants, chacun d’entre eux, « ont un sentiment personnel » quel qu’il soit et bien réel…

    Et que le résultat du vote pour ou contre la motion de censure du gouvernement de Michel Barnier, est le « reflet » de ce que pensent environ 60 % des Français… Votants ou non votants…

     

    Cela dit, il y a une « autre réalité » : celle des 1 % de personnes de chaque pays du monde dont la France, qui détiennent le pouvoir et les plus grandes fortunes, et qui eux, « n’en ont rien à faire » des Gouvernements en place… Ou les soumettent à leur volonté d’une manière ou d’une autre qu’ils soient de droite ou de gauche, démocrates ou autoritaires, y compris les extrêmes…

     

    Comme je disais « faire tomber un gouvernement c’est une chose, mais faire tomber un Système, ç’en est une autre ! » (Ce n’est pas la même dimension)…

     

     

  • Le coup de gueule du jour

    Jour aussi, mercredi 4 décembre 2024, où ont voté  nos députés LFI, RN et d’autres, la censure du gouvernement de Michel Barnier…

    Que leurs portefeuilles financiers à tous tous ces gens là, nos élus, si le budget ne passe pas, si le gouvernement tombe, prennent un bon coup dans l’aile si vient une énorme tempête ou crash financier réduit en peau de chagrin leurs actions et leurs dividendes !

     

    Il sera bien difficile – à plus vrai dire impossible – à un plaisantin iconoclaste, d’écraser une boule puante, lors de la cérémonie d’inauguration de Notre Dame, auprès des grands chefs d’état invités, en particulier tout proche de Donald Trump… Ou peut-être « si ça se trouve » d’Erdogan – si ce dernier est invité !

    Quand on pense que des chefs d’état Arabie Saoudite, Qatar, Emirats seront présents lors de cette cérémonie d’ouverture de Notre Dame (des « mahométans ») en plus de Donald Trump personnage dont on n’attend rien de bon pour le monde et pour l’Europe sauf pour les dictatures du « tiers monde » et de la Russie, de la Chine et de la Turquie… Il y a de quoi « vomir toutes ses tripes » !

    Ne manquerait plus que ça, Erdogan invité – et au côté de Donald Trump ! Erdogan qui veut islamiser son pays et a fait de Sainte Sophie cathédrale, une mosquée !

    « Bien vu » le pape François, de préférer se rendre en Corse, plutôt qu’à cette cérémonie d’inauguration de Notre Dame, à laquelle sont conviés de « hauts crétins empanachés en beaux manteaux et enturbannés pour certains, qui iront tous en enfer » !

     

     

  • "Tristes sires" les prévisionnistes du climat !

    Certains prévisionnistes, scientifiques, projectionnistes – ou « futuristes » - de l’évolution du climat et des conséquences de cette évolution climatique sur nos paysages en France, nous décrivent une France méridionale – ou d’en dessous de la Loire – de paysages semblables à ceux du sud de l’Espagne, avec des garrigues, des étendues rocailleuses, arides, une végétation rabougrie… Dans les années 2080-2090…

    Et dans la partie Nord de la France, pousserait de la vigne et les paysages autour de Paris, de Lille, de Metz, seraient semblables aux paysages méditérranéens actuels… Dans les années 2080-2090…

     

    Mais comment et par quelle aberration et erreur manifeste – et absence même de logique et d’intelligence – tous ces « scientifiques » prévisionnistes, projectionnistes, « futuristes »… Peuvent-ils nous annoncer comme si « ça coulait de source », que la France du Sud deviendrait aride, désolée, sans arbres, sans vignoble ; et que la France du Nord deviendrait « méditéranéenne »… En 2090…

    Alors que d’ici là, depuis toutes les inondations, les pluies torrentielles, l’humidité ambiante combinée à la chaleur, les nappes phréatiques qui débordent, les sols, les terres gorgées d’eau… Qui, à présent, depuis 2024 se succèdent après chaque épisode de canicule en été, ou de grande douceur en hiver, les paysages de France en vérité, vont devenir plutôt semblables à des jungles tropiquo-équatoriales, dans les années 2080-2090 …

     

    Nous avons certes connu, entre 2016 et 2023 (jusqu’à octobre 2023) en France notamment dans les régions Lorraine, Centre, Aquitaine, Sud Est Méditérranéen et Languedoc Roussillon, plusieurs années consécutives d’insuffisance en quantité et en fréquence de précipitations, ce qui avait fait baisser le niveau des nappes phréatiques…

    Mais depuis octobre 2023, sans discontinuer pour ainsi dire, les années précédentes de sècheresse ont été non seulement effacées en l’espace d’un an mais remplacées dans le même temps bref d’un an, par un très important excédent de précipitations pluvieuses qui a noyé les terres, les champs, les prés… À tel point que, dès que revient un jour de pluie quelque part en France, les cours d’eau se mettent à déborder parce que les sols étant saturés, il n’y a plus d’infiltration…

     

    La probabilité qui se dessine durant les cinquante ou cent prochaines années, c’est celle d’une alternance d’années déficitaires en précipitations (de l’ordre de 3 à 5 ans) et d’années très humides avec de fortes précipitations fréquentes (de l’ordre de 2, 3, 5 ans) et avec à chaque nouvelle période pluvieuse une resaturation des sols en eau…

    Ou même peut-être des périodes de pluies intenses plus longues que les périodes sèches…

    Dans ces conditions, on voit mal comment la France du Sud pourrait devenir aride, sèche, désolée, de paysages à végétation rabougrie !