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Paroles et Visages - Page 55

  • Obsèques de Alexeï Navalny 1er mars 2024

    Des milliers de Russes se sont rendus, à Moscou vendredi 1er mars 2024, aux obsèques de Alexeï Navalny mort en prison le 16 février 2024, sans doute par empoisonnement « discrètement commandité » par Vladimir Poutine, de telle manière que la cause de la mort d’Alexeï Navalny, non « officiellement déterminée » paraît comme « faisant suite à une intoxication alimentaire ou inconnue »…

     

    L’élimination d’opposants au régime Poutinien, par diverses méthodes passant pour « accidentelles » (accident qui survient, empoisonnement, voire assassinat commandité par arme) est assez fréquente en Russie notamment – et surtout- depuis que Vladimir Poutine est arrivé au pouvoir en 2004 (ou 2000?)…

     

    Si l’événement que furent ces obsèques de Alexeï Navalny en présence des ambassadeurs de pays européens et de quelques milliers de citoyens russes informés indirectement (dans la mesure où ils ont pu, ces citoyens russes, avoir accès à des médias étrangers ou à des réseaux sociaux par infiltration extérieure)… A été commenté, diffusé, relayé dans le monde entier – donc au vu et au su de millions de personnes partout dans le monde (mais sans doute moins en Chine et dans les pays de dictature)… En revanche dans toutes les russies en ville comme à la campagne, de Minsk à Vladivostok, aucune information, aucun reportage, n’a été présenté par les médias russes (télé, presse, radio) sur ces obsèques d’Alexeï Navalny, et en conséquence ce sont quasiment 130 millions de russes qui n’ont pas été informés et qui au quotidien, n’ont accès qu’à la presse et qu’aux télés du pouvoir en place selon les mêmes discours et propagande…

    Autrement dit « quelques milliers de citoyens russes pour accompagner Alexeï Navalny lors de ses funérailles » c’est – en Russie - « très peu en rapport de 130 millions de personnes »… Mais dans un contexte de violences policières, d’interdiction de manifester, de répression permanente, et sans la moindre liberté d’expression, et avec le risque d’être emprisonné pour de longues années ou d’être tué… L’on peut dire que lors de cet événement (funérailles du principal opposant au régime Poutinien) « quelques milliers de personnes » (mettons 3000) c’est – en Russie - « beaucoup » dans un tel contexte aussi défavorable pour la liberté d’expression…

     

    L’on prend ainsi la mesure du « chemin qui reste à parcourir » pour qu’un jour en Russie les citoyens soient enfin libres de s’exprimer et qu’un régime « plus souple » (avec quelque chose qui ressemble à de la démocratie) puisse s’installer…

    Et en prenant aussi la mesure de l’évolution rapide – « dans le mauvais sens » - qui est en train de se préciser au sein du monde encore libre, celui de nos « démocraties relatives et républicaines et des droits humains », une évolution par laquelle on voit peu à peu se mettre en place des mesures de plus en plus restrictives, autoritaires – et mettant en danger la liberté d’expression…

     

    Futurs votants et actuellement sympathisants -et « hésitants penchant pour » - des partis d’extrême droite – en France, en Europe et ailleurs – et tous les « il faut parler à Poutine » et « dans le lot » les « pro Trump »… « Bon sang, réfléchissez 2 minutes » ! …

     

    Cela dit il faut rappeler que durant la courte période (5 ans) du Hollandisme et que dans les premières années du Macronisme, soit entre 2015 et 2020, la France a livré à la Russie de Vladimir Poutine, des équipements militaires de pointe, notamment des tanks, des avions de chasse et des hélicoptères de combat, ainsi que des caméras thermiques pour équiper des chars de combat, des systèmes ultra sophistiqués « dernier cri » de navigation et des détecteurs infra-rouge pour avions de chasse… Le tout pour un montant global de 152 millions d’euros sous 76 licences d’exportation d’armement… Alors même qu’avait été décidé par l’Union Européenne, le 1er août 2014, un embargo affectant la Russie, à la suite de l’annexion de la Crimée et à l’auto-proclamation des républiques séparatistes pro-russes de Louhansk et Donetsk – et du crash d’un Boing 777 abattu par un missile russe en juillet 2014…

    Il vrai qu’à l’époque Vladimir Poutine était considéré – en France ainsi que dans d’autres pays Européens (et par Donald Trump aux USA) comme étant un « interlocuteur » et « partenaire » en matière d’échanges économiques de marché mondialisé… Et que la question des droits humains, de la liberté d’expression muselée, des prisons et des camps d’internement en Russie « post soviétique », du « régime de fer » d’un Vladimir Poutine maître absolu du Kremlin et de la Russie – et de son parti Russie Unie… Se trouvait alors éclipsée, ne faisant l’objet que de « quelques critiques »…

    Hollandisme, Macronisme, Rassemblement National, et « toutes gauches confondues »… Pour toute la « bien et moral’pensance en somme – et bien dans ses baskets question confort, consommation, baraque, bagnole, gosses à l’école privée, bobos croisières et sports d’hiver et j’en passe de toutes les façons/contrefaçons »… « L’argent n’a pas d’odeur » (pourvu qu’il rentre dans les caisses) !

     

    Pourquoi la France a-t-elle livré des armes à la Russie après l’embargo du 1er Août 2014 ?

    Parce que des contrats avaient été signés bien avant ce 1er Août 2014, et qu’il fallait « honorer » les contrats signés…

    Sauf celui de la livraison à la Russie, de 2 bâtiments de type Mistral que François Hollande en 2014 a décidé d’annuler… Mais que la France a dû, suite à la rupture de ce contrat, rembourser à la Russie : 409 millions d’euro, ce qui « équivalait » financièrement parlant, à « arroser » la Russie afin que cette dernière obtienne chez « d’autres fournisseurs d’armement » le matériel dont elle avait besoin…

    Afin d’« éponger » ces 409 millions d’euro, François Hollande avait décidé de passer un autre contrat avec l’Egypte qui, elle « voulait bien acheter les 2 bâtiments »… Mais entre temps, il avait fallu financer la formation de 400 marins russes et, compte tenu du résultat des négociations avec la Russie pour la rupture du contrat, des abandons de redevance et des indemnités versées à Naval Group constructeur des 2 bâtiments ; ce sont non plus 409 millions d’euro qui ont coûté à la France mais au final 947,7 millions d’euros…

     

     

  • Nul ne sait comment et quand prendra fin la guerre en Ukraine

    Emmanuel Macron – non seulement « à priori » mais « en vrai en réalité » doit savoir de manière certaine que « pour envoyer des troupes armées au sol en Ukraine » il faut nécessairement saisir le Parlement Français, déjà, et de surcroît obtenir en plus l’accord de tous les autres pays de l’OTAN à l’unamimité…

    Or, il se trouve que selon une décision prise par les pays de l’Otan en une assemblée qui s’est tenue lorsque la Russie a envahi l’Ukraine le 24 février 2022, il a été unanimement décidé par les pays de l’OTAN, de ne pas envoyer de troupes au sol sur le territoire de l’Ukraine en aide à l’ armée Ukrainienne…

     

    Donc – à mon sens – Emmanuel Macron dans son propos qui fait débat au sujet de l’éventualité d’envoi de troupes armées au sol en Ukraine, « sous - entendait » qu’une telle décision (que sans doute il « envisageait qu’elle soit prise ») dépendait de l’accord du Parlement (l’Assemblée Nationale) et aussi de l’accord des pays de l’OTAN…

     

    Imaginons « un seul instant » que, oui, des troupes – Françaises ou d’autres pays européens soient envoyées sur le front de guerre en Ukraine pour combattre l’armée Russe…

    Déjà, le nombre de « morts pour la France » en perspective (la France soutenant l’Ukraine en soldats envoyés, par exemple sur une unité de 100 hommes – et femmes puisqu’il y a des femmes dans l’armée, 30 victimes et autant de blessés)… Et, « bien pire encore » des missiles russes dont la portée est largement supérieure à celle de ceux qui atteignent le territoire Ukrainien ; tombant cette fois en n’importe quel endroit dans n’importe quel pays européen (dont la France)…

     

    Il est vrai que, sans troupes au sol, de pays de l’OTAN, pour aider l’armée ukrainienne, avec « seulement » une aide en fournitures, armements, engins de combats, avions, drones, munitions etc. … La Russie aurait pu attaquer des pays de l’Union Européenne en réaction et ainsi, porter la guerre au-delà des frontières de l’Ukraine.

     

    De toute manière, si oui effectivement, un envoi de troupes au sol en Ukraine par la France avec l’aval du Parlement Français et de l’OTAN, inciterait la Russie à porter la guerre sur le territoire de l’Union Européenne… Qu’il y ait oui ou non une aide militaire en troupes envoyées, le risque – depuis le 24 février 2022 – demeure important que la Russie porte la guerre dans les pays européens (par des frappes de missiles comme elle le fait en Ukraine).

     

    Il est clair que si l’Ukraine perd la guerre, ou si elle est obligée de négocier dans des conditions désavantageuses pour elle, alors la sécurité des pays de l’Union Européenne n’est plus assurée, et comme le dit notre président Emmanuel Macron « il ne faut à aucun prix que l’Ukraine perde la guerre »…

    En ce sens, donc, bien que n’étant point loin s’en faut, « pro Macron  et sa relative majorité parlementaire », je dis aussi que « la Russie ne doit en aucun cas, gagner la guerre »…

     

     

     

    L’espérance en une issue à cette guerre qui ne soit pas désastreuse pour l’Ukraine et inquiétante – et menaçante – pour l’Union Européenne ; réside dans la possibilité d’une chute du régime Poutinien en Russie…

     

    D’autre part – et cela est complètement « éclipsé » depuis le début de cette guerre, l’Ukraine avant l’invasion russe était déjà en guerre sur son propre territoire depuis 2014 avec les séparatistes du Donbass armés par la Russie, ces séparatistes étant des ukrainiens de culture russe, de langue russe (qui pour se défendre et obtenir leur indépendance ou autonomie – ou le rattachement de leur territoire à la Fédération de Russie - ont donc compté sur l’aide militaire de la Russie de Poutine – mais… Ne sont pas tous forcément des « fanatiques » de Poutine pour autant)… D’ailleurs, de toutes les Russies (fédération d’états composant la Russie actuelle) les habitants de chacun de ces états fédérés, sont sans doute « russes et slaves dans l’âme » (culture, langue) pour beaucoup d’entre eux… Mais « pas forcément pour Poutine et son régime » (ou s’ils le sont c’est contraints forcés au rique en cas de résistance de se voir emprisonnés voire tués – car le système policier s’apparente à une véritable inquisition organisée, verrouillée et très puissante…

    La possibilité qu’un tel régime s’écroule est « réaliste »… Et, avec l’écroulement de ce régime, la fin de la guerre en Ukraine « dans des conditions de négociations acceptables pour les deux parties…

     

    L’attitude – ou position- de Marine Le Pen et du Rassemblement National en rapport avec la Russie de Vladimir Poutine, est pour le moins « suspecte » : déjà, le prêt contracté – certes remboursé avec 3 ans d’avance – auprès de la Russie (puissance étrangère) fait bien état (comment pourrait-il en être autrement) d’une « dépendance financière » acceptée – d’une puissance étrangère et en ce sens, «bonjour le patriotisme et la souveraineté nationale ! »… Sans compter (et là il y a eu des déclarations, des écrits, des preuves) le choix d’un « rapprochement avec la Russie » - la Russie de Poutine depuis 2004…

    Marine Le Pen n’est d’ailleurs pas la seule à « vouloir parler à Poutine » (question « retombées économiques et d’intérêts » pour la France – à son avis )… Puisque Jean Luc Mélenchon lui aussi disait en 2022 qu’il « fallait parler à Poutine »…

     

    En attendant – pour combien encore, de temps – ce sont chaque jour de combat dans cette guerre, des centaines de morts et de blessés, autant ukrainiens que russes, et à cela il faut ajouter les victimes des bombardements sur le territoire ukrainien, des civils, des femmes et des enfants… Et nul ne sait combien de russes sont morts ( sans doute plusieurs centaines de milliers on ne saura jamais)…

     

     

  • Trois écuelles de céréales pour 112 h de travail hebdomadaire

    … Sous les Pharaons dans l’Égypte ancienne, les gens du commun des mortels (travailleurs manuels sans aucune qualification spécifique dont beaucoup étaient des esclaves) travaillaient 16 heures par jour soit 112 heures d’une semaine de sept jours, et ne recevaient pour rétribution que 3 écuelles par semaine de céréales…

    Alors, lorsque sur un chantier de construction d’immeuble à Doha au Qatar, un Bangladi ou un Indou immigré gagne 300 euro par mois pour 12h de travail par jour – en supposant qu’il bénéficie d’un jour de repos dans la semaine – (alors que, demeuré dans son pays d’origine au Bangladesh ou en Inde il ne gagnerait que 30 euro par mois)… L’on peut se dire qu’au 21ème siècle en dépit des nombreuses conditions de vie et de salaire très inégales d’un pays à l’autre, d’une société à l’autre en PNB ou PIB… Ce que l’on voit aujourd’hui de plus précaire, de plus misérable ( Haïti, Madagascar par exemple ) est tout de même plus « enviable » - si l’on peut dire ! - que 3 écuelles de céréales pour 112 heures de travail par semaine du temps des Pharaons…

    « Au train où vont les choses » dans l’« optique » des dominants possédants décideurs qui détiennent 1 % qu’ils sont de la population mondiale, 99 % des richesses de la planète… Nous ne sommes plus très loin d’un temps (futur proche) où l’équivalent des 3 écuelles de céréales pour 112 heures de travail hebdomadaire, sera une réalité…

    Et « ça commence » (ça a d’ailleurs déjà commencé) avec 300 euro par mois à Doha sur un chantier de construction, et avec l’immigré Africain qui cueille des clémentines dans une vaste exploitation en Espagne… Ou, plus près de chez nous, avec la caissière de Leclerc ou de LIDL employée 20 heures par semaine sur la base du SMIG… (Le SMIG soit dit en passant, que le Rassemblement National veut supprimer)…



  • Poulet Brésilien

    Il est quasi impossible d’établir une liste des grandes surfaces d’alimentation – qui sont également de bien d’autres produits utilisés dans la vie quotidienne et de toutes sortes d’équipements et appareils – ayant dans leurs rayons viande, du poulet brésilien…

    Sont donc concernés les Leclerc, Intermarché, Carrefour, Lidl, Grand Frais, Shopi, Super U et tous les « Discount »…

    Et il est tout aussi impossible – à tout le moins difficile – de reconnaître parmi les poulets proposés en rayon (poulets « non bio » et dont le prix est inférieur à 8 euro le kg), ceux d’origine Française et ceux d’importation brésilienne, et cela pour la simple raison que seules, les viandes bovines, porcines, ovines, doivent être étiquettées avec mention du pays d’origine. Et donc, pour tout ce qui est volaille, notamment poulet, il n’y a pas d’obligation d’indication d’origine autre que « UE » (Union Européenne). Ainsi un poulet brésilien à 5,80 euro chez Leclerc, est étiquetté « d’origine UE »…

    Cent vingt mille tonnes de poulet brésilien sont importées en France actuellement…

    Il y a donc de « fortes chances » pour qu’un poulet à moins de 8 euro le kg soit un poulet brésilien (raison de plus à moins de 6 euro)…

     

    Les réseaux sociaux étant des « vecteurs de communication » à grande échelle pouvant toucher des centaines de milliers de personnes… Il pourrait être proposé et diffusé ceci :

    « Rendez vous, consommateur que vous êtes, dans votre supermarché habituel, achetez pour moins de six euro (à la fin du mois vous n’en serez ni plus riche ni plus pauvre) un poulet, sortez du magasin et sur le parking, après avoir récupéré un cageot vide ou un gros carton d’emballage servant de support, placez le poulet sur le support, mettez lui dessus une étiquette « poulet brésilien » et à côté (ou même sur le poulet) déposez des merdes de chien (au préalable recueillies entre 2 feuilles de sopalin – ce ne sont pas les merdes de chien qui manquent dans le coin)… Imaginez que vous êtes des milliers et des milliers, dans toute la France, à accomplir cet acte ! »

    Le seul « risque » c’est que le « malheureux poulet » de ci de là, ne soit pas brésilien, mais roumain ou portugais… (Mais à 5,80 le kg, vous êtes quasi assuré qu’il l’est, brésilien, le poulet)…

     

    Allez les « pauvres » (et surtout les « pas trop pauvres qui comptent à dix centimes d’euro près pour la bouffe)… Fendez vous du prix d’un poulet à moins de 6 euro le kg, du temps mis pour la récupération du cageot ou carton support, et du ramassage de deux ou trois merdes de chien !

     

    Une « autre solution » est celle d’envahir en « commando » une grande surface, de retirer des poulets à bax prix et de les jeter en vrac sur le parking… Mais venir en tant que consommateur responsable de ses choix et de ses actes – de ses propres deniers » - et donc acheter le poulet et l’exposer à la vue de tout un chacun, souillé de merde de chien… Je pense que « ça aurait davantage d’impact »…

     

    « Qu’on se le dise » ! « Allez, chiche ! …

     

    NOTE : chaque fois que tu achètes un poulet brésilien tu enrichis les gros producteurs multi milliardaires et grands prédateurs, et contribues au versement de dividendes aux actionnaires... Mais, ton poulet que tu achètes et que tu vas poser avec des merdes de chien à la vue des gens devant le magasin, il va tellement impressionner "hors normes et iconoclaste" que, du coup, y'aura beaucoup moins de gens pour acheter du poulet brésilien, ce qui ne fera plus trop l'affaire des gros producteurs milliardaires prédateurs...

     

     

  • Sacralisation des vacances scolaires dans les associations

    En règle générale, dans la plupart des associations de personnes (loi 1901) en France (l’on en compte actuellement environ 1,3 million réparties dans les communes de plus de 1000 habitants)… Qui proposent toutes sortes d’activités – sportives, intellectuelles, ateliers divers… Et fonctionnant avec des bénévoles… Il est un fait « assez patent », commun à toutes ces associations : c’est celui, dirais-je, d’une « sacralisation » des vacances scolaires…

    En effet, lors de chaque période dans l’année scolaire, de deux semaines de vacances – d’automne, de Noël, d’hiver, de printemps (sans compter les vacances d’été de près de deux mois)… Bon nombre d’ateliers d’activités sont interrompus, parce que les participants et les organisateurs – souvent âgés de plus de 60 ans – ont des petits enfants en âge scolaire venus chez papy et mamy avec papa et maman qui habitent en région parisienne ou ailleurs, parfois à 1000 km…

    Bon, ça, c’est la réalité la plus « normative » on va dire… (la plus répandue)…

    Mais il y en a une autre, de réalité : tout le monde n’a pas forcément des petits enfants en âge scolaire, certains, d’ailleurs, n’ont pas de petits enfants – ou en ont mais ne les voient jamais ni leurs parents (qui n’habitent pas forcément à 1000 km)…

    Résultat : à quatre reprises durant deux semaines à chaque fois de septembre à juin, et durant deux mois d’été, plus d’activités, plus d’ateliers, et, du coup, un certain nombre de personnes sans petits enfants en âge scolaire doivent attendre la rentrée dans les classes pour profiter des activités de l’association…

    Bien sûr, les associations étant animées par des bénévoles, indéniablement, cela fait du repos pour les animateurs… Mais « il faut dire que les vacances scolaires reviennent souvent » et de surcroît selon les académies et régions de France, ne sont pas aux mêmes dates sauf celles de Noël Nouvel An…