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Paroles et Visages - Page 73

  • Nombre accru de sinistres déclarés

    Le nombre PAR JOUR en France, en 2020, de sinistres déclarés et traités par l’ensemble des sociétés d’assurance, était de :

    19200 automobiles, tous véhicules et acdidents de la circulation

    9750 concernant l’habitation – dégâts incendie, inondation, tempêtes, cambriolages etc.

    Et 3660 en entreprises et commerces mêmes raisons que pour l’habitation

     

    Dans les années suivantes 2021, 2022 et 2023, ce nombre est en augmentation du fait des dégâts causés déjà par les intempéries, et ensuite par les autres causes…

     

    L’on imagine sans peine chaque jour pour les sociétés d’assurance le nombre d’affaires à traiter avec ce que cela suppose d’expertises, de mobilisation d’entreprises pour les réparations, et de tout l’appareil administratif et gestionnaire et judiciaire assorti…

     

    Il ne faut donc pas s’étonner que pour les sinitres « mineurs » liés à des « froissements de tôle », à des fenêtres ou des portes fracturées lors de cambriolages, les dossiers n’étant pas prioritaires, un temps « interminable » s’écoule avant même le début du traitement de l’affaire, autrement dit si tu as une portière de ta voiture enfoncée lors d’un choc avec un autre véhicule, du moment que ta voiture roule, tu vas rester plusieurs semaines avec ta portière enfoncée… Ou qu’après un cambriolage ta fenêtre forcée avec un carreau cassé devra rester fermée sommairement (« les moyens du bord ») durant deux ou trois mois avant que ne vienne le réparateur agréé par ton assureur…

    Quant à une partie de ta toiture endommagée par une tempête, la chute d’un arbre, eh bien tu vas rester deux ou trois mois ou plus avec la bache des pompiers recouvrant la partie endommagée…

     

    Et que dire du nombre énorme de sinsitres déclarés – par centaines, par milliers même, dans tout un département (l’on pense au Pas de Calais depuis début novembre 2023 avec la dernière tempête accompagnée de pluies diluviennes sur plusieurs jours, des centaines de maisons devenues inhabitables, de voitures inutilisables, de commerces et d’entreprises devant cesser leur activité, ou très impactés par les dégâts causés)…

     

     

  • L'appel de la buse Uhlémane

    Et retentit par delà les monts les crêtes les plaines les vallons et par dessus les paysages autoroutés péri-urbanisés jusqu’au désert de Gobi depuis l’Atlantique en passant par toutes les sahélies pré-endoctrinées… L’appel de la buse Uhlémane qui, de la périphérie des Cités maugréhabines mais aussi des plus petits blédaillons aux clochers effondrés par le dernier Cinthia en terre bretonnante, soulevait des hordes de croisés d’upercules et de spongicules, d’humanuscules métissés, de crapinuscules mordorés scandant des airs minés et jetant de ci de là dans les jardins de blédaillons ou dans les entrées d’immeubles des Cités, des escarcelles enflammées sur les élituscules et sur les inconvincuscules…

     

    Et Primogénix, le fakir de La Roche sur Jaretelle dans le Morpionant, interpelle la Buse en ces termes : « tais toi et t’occupe pas de la couleur de l’âne qui me véhicule, ma femme courbée sous le fardeau de mes zeuvres et me suivant attachée peinant à suivre l’âne ; c’est pas parce que t’es née Ulhémane que tu dois proscrire le sens de ma déambulation ! »…

     

    Primogénix dont l’épaule carapaçonnée luisait de cire et de vernis à ongle, griffée par les serres de la Buse s’abattant parfois en chantanfiantant, argumentait les citoyens rencontrés afin que les suspicieux, les mordus de la baise, des packs de bière, de la rappe insolente, du smartphone aux chiottes et des instagram’storie’s ; que les saoûlographes et les zésitants, les padamalgames et les indifoireux, ainsi que les combattants de la Foi vésiculaire, consentent à enfoncer dans leurs oreilles des boules quiès ou des suppositoires à la menthe dans leurs orifices anaux…

     

    Et la buse Ulhémane s’envolant, son appel se répandant par delà les paysages et les hordes de pèlerins en migrations forcées sur les routes fracassées en traversant des blédaillons quasiment tous occiécroulés ; les ânes s’accroupirent, refusant de supporter sur encore tant de lieues gauloises, Primogénix imprécantant, haranguant ses congénaires zapizappant indiférendus…

     

  • Putrécanti

    Dans la frange abyssale, vert et or et feu, élargie, qui déborde et emplit de toutes ses absurdités, le ciel -ravin du Nouveau Millénaire, où sautillent sur l’unique patte qu’il leur reste, entre les cicatrices béantes et purulentes laissées sur des nuées de fer, tous les oiseaux blessés dont le bec est empourpré de goutte de sang d’orage… Reviennent avec les inextricables pelotes d’atomes nénuphars, les barbillons de naseaux de poissons, les éléphants se balançant sur des toiles d’araignées, les cortèges de nonnes égrenant des chapelets d’olives, et toutes les images, les mots et les phrases hiéroglyphes qui ont battu semelle Dadaïque et Dalique…

    La frange débordant du ciel – ravin se fait aujourd’hui boulevard Maelstrom ou Murdondes, et des miriades de mouches encrebleuies fondent en un bourbonnement de fusée Arianne sur de jeunes chiots vociférant en meutes…

    Putrécanti acide nitrique brasier de digitales flétries cendres glacées arrogances manigances et fulminances… C’est la java de post-sapiens en partance accélérée pour Nova Rataterra, c’est les mémoires mutilées, l’Histoire déshistoriée, les racines arrachées, les verrues plastifiées, le retour du glyphosate… Et les terres argentées inaccessibles aux vitriolés…

     

     

  • L'Homme ne naît pas bon, il naît naturel

    Hannah Arendt, Jean Jacques Rousseau et Platon en leur temps ont dit :

    « L’Homme naît bon, c’est la société qui le corrompt »…

    Ces trois grands philosophes que sont Hannah Arendt, Jean Jacques Rousseau et Platon, dont je reconnais la justesse et la profondeur de leur pensée et de leur enseignement en leur temps ; par cette réflexion qu’ils ont eu « l’Homme naît bon, c’est la société qui le corrompt »… Cependant m’étonnent, m’interpellent, mais leur réflexion sur « l’Homme bon » n’emporte pas mon adhésion…

     

    L’homme – dis-je- « ne naît pas bon mais naît naturel » - encore que la nature ne lui a pas donné à sa venue au monde, comme aux autres êtres vivants, « l’intelligence innée acquise dans les gènes » ou si l’on veut « ce qui est acquis sans l’avoir appris, directement transmis de génération en génération de son espèce en tant qu’être vivant »…

     

    L’Homme actuel depuis un peu plus de 200 mille ans, Sapiens, n’a pas comme avait eu Néandertal son « cousin », dans la partie arrière de son cerveau, aussi développé que son « cousin », le siège de l’intelligence innée et donc de l’aquit naturel transmis de génération en génération mais en revanche Sapiens a dans la partie avant de son cerveau (le lobe frontal) le siège plus développé que ne l’avait Néandertal, de l’intelligence qui se « construit » à savoir la capacité d’apprentissage, d’adaptablité et d’accumulation de connaissances (mais aussi soumis et conditionné par ce qui l’influence, par ce qui l’incline à tel ou tel comportement et qui vient de ce qu’il reçoit et perçoit de son environnement)…

     

    La bonté est en fait une « réalité et en même temps un concept purement et uniquement humain » - que nous attribuons, nous humains, aux animaux, en particulier aux animaux que nous domestiquons…

    Une louve par exemple, protège ses petits, de même une chatte, une chienne, une renarde ; la plupart des animaux vivant en communauté ou en meutes, groupes, bandes ; dans leur instinct de survie et de perpétuation de leur espèce, afin de se protéger des prédateurs, sont solidaires entre eux – quoiqu’ils éliminent leurs éléments indésirables ou trop faibles…

     

    L’Homme ne « naît donc pas bon » mais il peut oui, acquérir la bonté et cela dès son enfance en fonction de l’éducation qu’il reçoit de ses parents ou de ses maîtres d’école, ou encore de personnes qu’il rencontre dans son environnement social… Ou même encore « de par son caractère » qui incline à la bonté, une bonté lui venant de ce qu’il perçoit dans son intériorité, dans son rapport avec les autres autour de lui…

    La société n’est rien d’autre que la somme – immense et diverse – de toutes nos individualités dont chaque individualité est un contenu d’une grande complexité de composantes…

     

    « La société corrompt l’Homme » ne peut pas être une affirmation comme par exemple « le jour est clair la nuit est sombre »…

     

    L’Homme « ne naît pas bon » - tout comme d’ailleurs il « ne naît pas mauvais » ; il naît avec tout ce dont il est fait, inégalement réparti, en partie relié, en partie désaccordé, et l’inégalité dans la répartition peut-être plus importante dans un sens ou dans un autre… Tout cela lui venant en naissant, de ce qui le précède et qui a déterminé un « profil » (son profil)…

     

     

  • Est-il « pertinent » de qualifier d’« ultra droite » des manifestations en réaction de la mort du jeune Thomas à Crépol ?

    L’ultra droite c’est rappelons le : les skinheads, les néonazis principalement, et aussi les antisémites purs et durs liés au nazisme et partisans d’un état policier et dictatorial avec retour de la peine de mort et des camps d’internement…

     

     

    Est-ce que s’opposer avec violence et détermination contre :

    Le « racisme anti blanc »

    Contre un Islam identitaire communautaire radical et fondamentaliste envahissant

    Contre ces bandes armées de trafiquants de drogue qui sèment la terreur et assassinent des gens en pleine rue

    Contre ces racailles toutes ethnies et origines confondues qui s’adonnent au racket, qui violent des jeunes femmes et des adolescentes, qui se livrent au pillage dans des manifestations, qui commettent des agressions dans des collèges et des lycées à l’encontre de professeurs, de proviseurs, d’autres élèves 

    Contre ces rappeurs violents et racistes dont les « textes » ne sont que des imprécations barbares anti France anti blanc etc. …

    Est-ce que s’opposer à tout cela qui pourrit la vie au quotidien de millions de Français habitant des villes et des zones péri urbaines… C’est « être d’ultra droite » ? (et être même « seulement » pour Marine Le Pen et le Rassemblement National contre une « gauche » déliquescence et complaiso – arrangeante à l’égard de l’islamisme identitaire?)…

     

    Cette « guerre civile » dont il est question dans des débats à la Télé, dans les médias, sur les réseaux sociaux… Et qui est brandie tel un épouvantail… Est d’abord et essentiellement – il faut le dire – le fait patent, avéré, constaté, subi, de ceux qui « tirent les premiers » c’est à dire les racistes anti blanc et tous ces individus agissant isolés ou en bandes, qui agressent, violent, tuent, sèment la terreur dans un quartier, rackettent…

    Ce sont bien eux, oui, les agresseurs, les envahisseurs, qui portent leur guerre, armes à feu et armes blanches à la main, qui saccagent, incendient, font des rues des champs de bataille et dont leurs victimes sont comme on dit dans les guerres des « victimes collatérales » !

     

    S’il y a oui, certes « de la récupération » derrière ce qui est justifiable – et une réaction de défense aux agresseurs et aux assassins- et qui se comprend ; il n’en demeure pas moins que le « justifiable » ne peut être condamné, passer pour « insurrectionnel » et faire l’objet d’une répression des forces de l’Ordre… Laquelle répression par les forces de l’Ordre « devrait » logiquement et impérativement et uniquement s’exercer contre les individus agissant isolés ou en bandes qui agressent, rackettent, dealent, violent, tuent… (Ce qui hélas, n’est pas forcément le cas dans bien de situations de violences et d’agressions et d’émeutes d’individus dangereux et prédateurs mais en revanche parfois contre des mouvements pour des causes « justes » ce qui est navrant, désolant, révoltant)…