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Paroles et Visages - Page 77

  • Les dessins de Guy Sembic, Tome I

    Pour information : 

     

    Je viens de publier en Arts graphiques un livre de mes dessins réalisés durant l'année 2023 :

    LES DESSINS DE GUY SEMBIC Tome I

    Format 21/29,7

    82 pages, un dessin par page

    https://www.thebookedition.com/fr/



    Pour accès image couverture, résumé et extrait du livre : en recherche auteur Guy Sembic (à côté de "librairie" en haut à droite de la page d'accueil The Book Edition)





  • Société numérique et intelligence artificielle

    Dans les dispositions, principes et projets actuels qui sont ceux, déjà mis en place et prévus dans les années qui viennent, par les dominants et par les décideurs de ce monde ; mais aussi, adoptés par soumission, implicitement ou par facilité, par une très grande majorité d’humains en ce monde… La société numérique et l’intelligence artificielle nous déshumanisent, nous formatent, nous nivellent  ; nous individualisent, nous isolent ou nous séparent dans nos besoins et dans nos aspirations plus qu’elles ne nous personnalisent ou nous singularisent ou nous relient les uns aux autres en ce que nous pouvons avoir de commun à partager…

    La société numérique et l’intelligence artificielle nous incitent à considérer la réalité comme une imposture.

     

    Dans des dispositions, des principes et des projets actuels et à venir, qui ne seraient plus ceux des dominants et des décideurs mais qui nous appartiendraient en propre à nous tous, autrement pensés et réfléchis ; la vocation de l’intelligence artificielle et du numérique consisterait à faire de nous des humains « plus évolués » - mais des humains demeurés des humains…

     

     

  • Blanc ou Noir

    En toutes choses, humain, être vivant, pays, société, culture, mode de vie, passé, avenir, histoire… ( pour « religion » je ne saurai dire ou plus exactement je ne sais pas quoi dire d’autre sinon de mauvais très dominant)… En toutes choses donc, rien n’est « tout blanc » ou « tout noir »…

     

    Le blanc et le noir ne se mélangent pour former du gris, qu’en dessin ou en peinture car en toutes choses existantes – en particulier l’humain, la société, un pays, une culture, une civilisation, une idée, une pensée, un agissement – il y a pour le blanc des nuances de blanc et pour le noir des nuances de noir ; le blanc étant la clarté, la lumière ; le noir étant l’obscurité, la sombritude, l’absence de clarté… Le blanc, encore, symbolisant le bien, ce qui est bon ; le noir symbolisant le mal, ce qui est mauvais…

     

    Et les nuances autant dans le blanc que dans le noir sont innombrables, par exemple il ya le blanc écru, le blanc neige, le blanc mat, le blanc brillant, etc. … Il y a le noir ciel de nuit, le noir bleuté, le noir d’encre, le noir brou de noix, le noir de jais, etc. …

     

    En toutes choses existantes, les différentes nuances de blanc et les différentes nuances de noir co-existent ou peuvent être associées – dans la contradiction et en opposition ou dans la complémentarité – mais ne peuvent se mélanger au sens de ce qu’est un mélange (comme en dessin ou en peinture du gris)…

     

    Ainsi la bonté et la méchanceté ne se « mélangent » pas : elles peuvent être associées en existant l’une la bonté et l’autre la méchanceté, comme par exemple une pièce de monnaie présentant toujours deux faces…

     

    La question se pose du choix, de la préférence, de l’adhésion, du « parti à prendre » en toute chose existente, lorsqu’il nous est quasiment impossible de demeurer neutre ou indifférent… Aussi ce que l’on choisit, ce à quoi on adhère, ce qui nous incline d’un côté plutôt que de l’autre ; ne peut être que pris, porté en soi, qu’avec tout son contenu, ce contenu fait de blanc et de noir… Et avec ce que cela implique de réflexion, de mesure, de regard, d’acceptation (mais d’acceptation sans adhésion, sans pour autant approuver)… Par exemple dans un combat pour se défendre, dans une cause que l’on soutient et pour la quelle on se mobilise, l’acceptation sans y adhérer, des conséquences collatérales néfastes voire désastreuses et entraînant des victimes, des morts, des blessés, lors d’une opération de guerre… Fallait-il en juin 1944, depuis les navires destroyers bombadiers des forces armées alliées, ne pas tirer au canon sur les côtes françaises et donc ne pas détruire des villes, des villages, épargner les habitants de ces villes et villages ?

     

    Quand on a un ami, une personne que l’on apprécie et soutient, un fils, une fille, un père, une mère, un voisin que l’on fréquente ; que l’on fait partie d’une association, d’un groupe, d’une communauté… Pour autant que cet ami, que cette personne appréciée, que ce fils, que cette fille, que ce père, que cette mère, que cette association, que ce groupe, que cette communauté « entrent dans notre vie » on les prend en soi avec « tout leur contenu fait de blanc et de noir et de toutes les nuances de blanc et de noir »… Ce qui exclut – ou « devrait exclure » une « rupture brutale et radicale » (notamment à cause d’un différend, d’un « pétage de plombs » de l’un ou de l’autre à un moment donné, lequel « pétage de plombs » ne « reflétant pas », pas du tout, ce qu’est dans sa « vérité/réalité » la personne concernée…

     

     

  • Féminité

    Femme en noir et blanc.jpg

    La Féminité à l’état pur…

    Rien à voir avec ce que l’on voit habituellement dans les espaces publics – de passage et de lieux fréquentés – notamment en se promennant en ville : ces jeunes filles et femmes en pantalons très moulants, fesses bien apparentes, quand ce ne sont pas blue-jeans troués ou faussement rapiécés ; et… « quincaillerie » de piercings, bijouterie « à 2 balles », maquillage fond de teint etc. …

    Bon, je le dis « tout net » - à ma manière : « je n’ai rien contre » étant pour la liberté dans l’apparence que l’on se donne, dans ce que l’on veut montrer de soi aux autres (en souhaitant cependant que cette liberté soit assumée selon un choix personnel - et donc non influencée par la mode, ou par ce que les autres font, se mettent sur le dos et qui est « en vogue »)…

    Mais… Tout de même… J’ai une très nette préférence pour ce que l’on voit sur cette photo… Je le redis encore : « la Féminité à l’état pur » !

     

     

  • Post mortem amigos et désamigos ! (surtout désamigos)

    Du fin fond du plus lointain et plus profond sous-sol où votre descenseur m’aura mené et précipité dans la sombre, très sombre et interminable galerie aussi chaude et moite qu’une nuit de février à Mayotte…

    Je n’aurai de cesse de venir hanter durant vos nuits, tous ces rêves que vous faites et qui n’ont jamais été les miens…

    Et, sur la rivière égoût, artère principale de cet espace sombre, chaud et moite comme une nuit de février à Mayotte, je voguerai sur mon bateau pirate, bras-d’honneuramant de toutes mes forces, giclant tout mon vocabulaire non aseptisé qui, par les failles sinuant à travers les couches de terrain, de marne, de cailloux et de sable, et jusqu’à la terre de vos jardins, viendra vous puer au nez…

    Amen et Ramen… « Braves » et même « très braves » gens…