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  • Quel vocabulaire dans la communication?

    La pauvreté du vocabulaire n’a jamais autant engendré de publications de centaines de milliers de personnes depuis qu’existent les réseaux sociaux que sont Facebook, Instagram, Tik-Tok et autres…

    Comment avec si peu de mots – entre 300 et 500 dans les échanges et dans les publications d’autant de gens en France notamment de bon nombre de jeunes de moins de 30 ans – alors que le Français usuel compte environ 30 000 mots ( 90 000 dans le Robert ou le Larousse)… Peut-on être aussi prolixe dans ce que l’on exprime – idées, avis, opinions, commentaires, argumentaires, récits, critiques, etc., en ne se servant que de 500 mots, mille au mieux ?

    De quoi est fait en vérité, le contenu de cette sorte de gigantesque toile de peinture dont on ne discerne pas les bords, où tout est dessiné, représenté, inscrit, rendu visible de tout un chacun d’un bout à l’autre de la Terre, en un nombre limité de couleurs et de formes… Mais dont ces formes, ces couleurs, en s’associant, en se juxtaposant, en se mélangeant, en variant à l’infini les compositions en « patchwork » dans une telle prolixité… Se fondent finalement en un même ensemble aussi uni que disparate et sans nuances véritables ?

    Et quel en est le sens de ce contenu ? Que ressort-il de ce contenu ? Quelle en est la finalité, ou le destin ? Sinon de laisser se fondre le regard qui nous vient, dans mille bleus, mille jaunes, mille rouges, mille blancs et mille noirs que l’on retrouve partout dans le tableau en un nombre indéfini de représentations de ceci ou de cela ; et qui, d’une certaine manière, composent le même tableau…

     

     

  • La prédominance de l'idée reçue

    Dans la vision ou l’idée ou la version de l’un ou de l’autre – du monde, de la société, de tel ordre des choses - notamment lorsque ces dernières sont opposées et ne peuvent s’accorder ; il y a cette part de vérité liée à des faits, des actes, des comportements, à la réalité de ce qui s’est effectivement passé… Et qui est soit méconnu, soit occulté…

    Cette part de vérité, de réalité, de quelque côté que ce soit… Méconnue, occultée, déformée…

    Mais il y a aussi la dimension qui est celle, prise aux yeux de l’un ou de l’autre, par la part de vérité et de réalité…

    Et il y a toujours dans la dimension que l’on fait prendre à la part de vérité, ce qui fonde une opinion majoritaire, et qui trompe…

    Nous sommes plus que jamais, au 21ème siècle, dans le dimensionnement non seulement du vrai mais du contrefait et du déformé…

    Il arrive qu’un « esprit éclairé », libre, indépendant et informé de ce qui est occulté ou méconnu ; s’exprime et témoigne de ce qu’il sait et dont on n’a pas parlé… Et cela dérange tous ceux et celles qui se sont fait de l’idée reçue une vérité incontestable…

     

  • Religions et laïcité

    Les religions en France, se sont fondues dans la laïcité, à savoir, le catholiscisme, l’évangélisme, le protestantisme – c’est à dire toutes les religions chrétiennes… Et cela depuis 1905 l’année de la séparation de l’église et de l’état…

    Il n’en demeure pas moins en France que même encore aujourd’hui, l’on voit dans des chambres au dessus du lit, un crucifix… Et que presque tout le monde se marie et s’enterre à l’église… Et que la religion notamment « catholique apostolique et romaine », si elle n’est plus aussi présente dans la vie des gens comme elle l’était avant 1950 surtout dans les campagnes, est toujours là en « arrière plan » dans le « paysage social »…

    Si les religions chrétiennes se sont fondues dans la laïcité, il n’en est pas de même de l’Islam qui s’invite dans l’espace public de manière invasive…

    Et il n’est pas « de bon ton » aujourd’hui de désigner en le stigmatisant, un Islam trop visible dans l’espace public … Selon cette idée qui s’impose de ne pas faire d’amalgame, c’est à dire ne pas confondre le « bon musulman respectueux des valeurs de la République, qui ne fait de mal à personne ; avec le fanatique, l’intégriste, le radical, le jihadiste, et qui pose problème…

    Sauf que… Le « bon musulman », sa femme porte le voile ou le foulard jusqu’autour des épaules dans l’espace public, veut qu’à la cantine scolaire pour ses gosses on ne serve pas de cochon, veut des horaires aménagés au travail, pour le ramadan…

     

     

  • 1792 la patrie en danger, 2025 l'humanité en danger

    L’antisémitisme ou pour « appeler un chat un chat » la haine des Juifs, et, il faut le dire aussi, l’antisionisme (il n’y a qu’une « infime nuance » entre antisémitisme et antisionisme » ; n’est absolument pas « compatible » avec l’anti islamisme (notamment l’anti islamisme radical)…

    L’on ne peut donc être « en même temps » (ou « conjointement) « contre les Juifs » ET « contre les islamistes » puisquent les islamistes détestent les Juifs tout comme les antisémites détestent les Juifs…

    Ainsi les antisémites ET les islamistes se rejoignent dans la haine des Juifs…

    Eh bien je vous le dis clair et net : pour ma part ma haine c’est celle des antisémites et des islamistes qui tous deux, sont le cancer et la honte de l’humanité !

    Les antisémites qui se prétendent contre les islamistes sont des hypocrites, des vendus !

    Et la « vocation d’une vraie Gauche révolutionnaire » c’est de combattre et d’éradiquer « en même temps dans la même rage et dans la même violence » : Et l’islamisme, Et l’antisémitisme, Et tous les fanatismes religieux, Et tous les obscurantismes, Et tout ce qui par la loi du plus fort et du plus dominant en pouvoir et argent, nuit à l’humanité !

    1792 la patrie en danger, 2025 l’humanité en danger ; la réponse c’est la Terreur pour éliminer les salauds que sont les antisémites, les islamistes, les poutiniens, les vance-trumpistes, les mafiosos, les voyous, les gourous, les cadors de l’intelligence artificielle, des nouvelles technologies et de l’économie de marché…

     

     

  • Essais et ouvrages antérieurs à 2025

    Que dire de la pertinence – sinon du sens même- de la plupart de ces ouvrages…

     

    Qui sont des essais, d’actualité sociale, d’économie, de politique… Publiés et mis en vente en librairie, maisons de la presse, rayons de grandes surfaces commerciales ; ou lors de salons du livre, ou encore sur des marchés locaux… Tous ces ouvrages dont le mois de parution, d’édition, est antérieur à janvier 2025 ?

    Ainsi d’ailleurs que des romans ou des récits dont l’histoire s’inscrit dans une actualité événementielle antérieure à janvier 2025 ?

    Parce que forcément – comment pourrait-il en être autrement – ces dizaines, ces centaines, ces milliers de livres, essais d’actualité sociale, d’économie, de politique, d’auteurs bien connus et médiatisés, que l’on peut apercevoir partout dans les différents points de vente que sont non seulement des librairies plus ou moins spécialisées, mais aussi et surtout des grands centres commerciaux en espace librairie…

    Aujourd’hui encore en mars 2025, sont quasiment tous de 2024 pour les plus récents, ou des années précédentes 2023, 2022 et avant…

    Il va donc falloir attendre que l’année 2025 soit suffisamment avancée pour voir apparaître des ouvrages, des essais d’actualité sociale, d’économie, de politique, qui « collent » à l’actualité présente, du monde…

    Jusqu’à la fin de l’année 2024, en dépit de tous les « grands changements, événements, bouleversements, évolution dans la technologie, dans les modes de vie et de consommation, problèmes et thématiques de société, etc. … » nous demeurions en quelque sorte dans un même monde évolutif ou encore dans un même monde d’environnement géo-politique de « blocs », d’alliances, de stratégies, de relations internationales, de traités, de concurrence de marché… Et dans ce monde là, d’avant janvier 2025, les thématiques, les problèmes, les environnements politiques, économiques, sociétaux… Faisaient le « fond du tableau dans sa couleur dominante » …

    Et dès lors que tout cela, que nous avons connu, dont nous avons été témoins, observateurs – dont en particulier les écrivains- « vole en éclats »… C’est toute une littérature événementielle d’actualité sociale, économique, politique, qu’il faut « revoir de fond en comble » parce que brutalement et rapidemment bouleversée ; et « désactualisant » ce qui avait cours et que l’on n’imaginait pas pouvoir être remis en cause…

     

    Pour retrouver dans l’Histoire un tel changement aussi radical, aussi perturbant, aussi déstabilisant et d’impact et de conséquences sur la société, l’actualité, l’économie, la politique… Il faut remonter à la fin de 1989 et au début des années 1990 avec l’effondrement de l’URSS et de la vision bipolaire entre deux blocs l’un d’économie communiste collectiviste étatisée et l’autre d’économie libérale capitaliste dans un contexte de « guerre froide » et qui avait marqué le 20ème siècle…

    L’on peut même préciser cette date : le 9 novembre 1989 avec la chute du mur de Berlin…

    De même pourrait-on préciser au sujet de l’actuel grand bouleversement : le 28 février 2025 avec pour symbole la discussion ayant mal tourné entre Zélensky et Trump dans le bureau ovale de la Maison Blanche…