… C’est un ciel constellé d’espérances désactivées, strié d’immondes déjections, retentissant de concilliabulles feutrés axés sur la possible existence d’une frange de lumière blanche mais à vrai dire inaccessible…
Et les fadas en croisades, les branchés, les bariolés, les codebarrés, les cue – moulées, dans un Eldorado tissé de pubs hyéroglyphiques, fresqué corano – biblio – file -aux – œufs – phique du sol au plat fond ; le font ondoyer le ciel, roulant dans leurs croisades, des nuées ganguées de concrétions acides, d’avatarvisages et de hauts pignons percés d’étroits fenestrous en demi lune, arrachés emportés par les tornades en série de la grande colère téterrique…
Un court – circuit fit éclater la gangue, l’écran de Télététerre sauta, tout devint noir sauf les nuées desquelles fusèrent des voix et parurent des visages otravatarisés… Pouvait-on encore différencier les deux sourires de la speakrine, l’un comme celui de la vache – qui – rit et l’autre tel celui de qui mime le Grand Muphti en son prêche ?