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Journal - Page 101

  • Œuvres publiées sur le Web

    Les producteurs d’œuvres sur le Web, ne laissant apparaître leurs œuvres que sur le Web, que ce soit sur des blogs, des sites, des forums ou sur leur page Facebook (les autres réseaux sociaux ne sont pas conçus pour présenter des œuvres à l’exception peut-être d’Instagram pour des photos d’art)…

    N’auront jamais pour spectateurs, lecteurs, suiveurs… Les personnes qui n’ont pas internet et qui sont tout de même dans notre pays, la France, environ dix millions de toutes générations mais surtout des gens en général âgés de plus de 60 ou 70 ans…

    À l’intention de ces gens là, il faudrait que les producteurs d’œuvres se résolvent à devoir recourir à des maisons d’éditions si possibles bien connues, à des intervenants « bien placés », afin de se faire connaître de ces « absents du Web »… Et, pour les artistes peintres, la possiblité d’exposer en galerie ; pour les graveurs, les sculpteurs, les musiciens, de pouvoir compter sur des directeurs de production…

     

    Il faut dire que le Web est un espace ouvert à tous, qui permet de « s’exister » soi-même sans intermédaire obligé, comme c’était le cas jadis, du temps des « intermédiares obligés » (les éditeurs, les producteurs)…

    Reste ce que ni le Web ni les intermédiaires ne peuvent garantir, à savoir le succès, l’audience, la visiblité, les lecteurs, les suiveurs…

     

    Quelle différence en effet, entre un livre sorti d’une maison d’édition bien connue, diffusé et vendu à 3000 exemplaires par exemple, et une œuvre de musique et de chanson sur Youtube écoutée par le même nombre d’auditeurs, 3000 – abonnés ou de passage ? Ou encore une œuvre d’écriture sur un blog, sur un site, sur Facebook, consultée par 3000 personnes (dont la plupart sont totalement inconnues de l’auteur et que l’auteur ne rencontrera jamais) ?

    Et même quand il s’agirait de cent mille voire d’un ou de dix millions (pour un livre, pour une œuvre sur le Web) ?

     

    Peut-on « écrire à la Terre entière » ? Peut-on produire une œuvre pour la Terre entière ? Et… Qu’en sera – t – il, qu’en adviendra- t – il, qu’en demeurera – t – il, de ce tout ce qui est produit par untel, une telle – « qui a pu faire en son temps la Une de l’Actualité » - dans cent ans, dans mille ans ?

     

     

  • Conversation avec les vaches

    Vaches .jpg

    Ces vaches m’ont hier après-midi accompagné un moment, alors que, de l’autre côté de la clôture, je me trouvais en travail de débroussaillage le long d’un fossé bordant le chemin d’accès à la maison.

    À peine arrivé sur place avec la débroussailleuse, voilà-t-il pas que les vaches « rappliquent » toutes en même temps et se regroupent en face de moi, avançant et dodelinant leur tête par dessus la clôture…

    Une sorte de « conversation » (peut-être – rire – d’une certaine manière « philosophique ») semblait s’établir entre elles et moi… J’ai cependant renoncé à « alors 2 plus 2 ça fait combien ? » …

     

     

     

  • Outils de traitement de texte

    Sur Facebook dans la zone texte lorsque l’on « copie/colle » depuis un fichier en Libre Office (ou Open Office ou Word), un texte rédigé sur ce fichier, comportant des mots ou des phrases en gras, en italique, en « justifié » (alignement du texte)… Les mots, phrases en gras ou en italique et en justifié, du texte que l’on a rédigé sur un fichier, n’apparaissent alors dans la zone texte sur Facebook, que dans une transcription qui ignore le gras, l’italique, le justifié…

    Il serait possible cependant, en utilisant des « raccourcis de clavier », de remédier à cet état de choses :

    CTRL +b pour gras ; CTRL + i pour italique ; CTRL + j pour justifié, après avoir mis en surbrillance le mot ou la phrase à écrire en gras ou en italique, puis mis aussi en surbrillance, une fois les mots mis en gras et en italique, le texte à présenter en justifié…

    Après avoir fait un essai (utiliser ces raccourcis) j’ai constaté que le texte n’était absolument pas modifié comme je le souhaitais !

    Décidément, Facebook comme les autres réseaux sociaux, « n’est pas fait » pour les gens qui souhaitent présenter un texte écrit « dans les règles de l’Art » !

     

  • Lumière et obscurité

    « Car les uns sont dans l’obscurité et les autres dans la lumière.

    Et l’on voit ceux qui sont dans la lumière, mais non point ceux qui sont dans l’obscurité. »

    [ Bertold Brecht ]

     

    Il est cependant une question que peu d’entre nous se posent, c’est celle – ci :

    De quoi est faite la lumière, de quoi est faite l’obscurité ?

     

    Car si la lumière n’est qu’éclairage et si l’obscurité n’est que sombritude, alors la lumière et l’obscurité sont dépendantes de la manière dont l’une et l’autre apparaissent au regard…

    L’éclairage est ce qui fait voir mais ne fait pas forcément voir ce qui doit être vu dans sa réalité complète.

    La sombritude est ce qui enveloppe le regard tel un voile et dissimule ce qui doit être vu qui pourtant existe.

     

    Ceux et celles qui sont dans la lumière et que l’on voit – mais « ne sont que  dans la lumière du monde » - n’éclairent que ce qui, à leurs yeux, doit être vu.

    Ceux et celles qui sont dans l’obscurité et que l’on ne voit pas – mais « ne sont que dans l’obscurité du monde » - sont peut-être eux, dans la lumière, celle qui n’est pas de l’ordre du monde…

     

  • Tablettes et smartphones

    Le seul avantage qu’il y a dans l’utilisation d’une tablette par rapport à l’utilisation d’un smartphone (système exploitation Androïd pour les deux) ; réside dans le fait que, sur une tablette (de préférence d’écran de 10 pouces au moins), pour lire un document PDF, un livre numérique, ou même un texte avec images sur un site d’Histoire ou autre de type documentaire, il ne faut « balayer » avec le doigt, que verticalement, puisque la page du texte apparaît sur l’écran de la tablette, intégralement.

    Alors que sur un smartphone, il faut nécessairement « balayer » tour à tour verticalement ET horizontalement…

    En effet, le texte qui apparaît (document, page d’un livre numérique) sur l’écran d’un smartphone, en premier lieu apparaît en caractères très petits (vraiment petits), de telle sorte qu’il faut d’abord l’aggrandir par écartement du pouce et de l’index et ensuite, « balayer » horizontalement jusqu’à la fin de la ligne à lire, « rebalayer » vers le début de la ligne suivante et ainsi de suite, avant de « balayer » verticalement au fur et à mesure de la lecture du texte pour lire ce qui suit…

    En conséquence, lire un texte (document ou page d’un livre numérique) sur un écran de smartphone est « une véritable galère ! »… Donc, la tablette est mieux, à utiliser, pour lire un livre numérique …

    Mais c’est bien là à mon sens, le seul avantage de la tablette par rapport au smartphone.

    Car avec le système Androïd, pour des travaux de bureautique (création de dossiers, de fichiers de textes et outils de mise en page avec barre de fonctions de traitement de texte) c’est beaucoup moins « évident » et réalisable, qu’avec le système Windows…

    Par exemple, pour la fonction « copier/coller » avec Androïd, c’est faisable (j’ai pratiqué) mais cela suppose une maîtrise et une habileté des doigts – que l’on n’a pas forcément au départ…

     

    Sur les tablettes et les smartphones, l’on peut installer « Word 365 open office », mais qui n’est proposé librement à l’essai que durant 15 jours, ensuite il faut acheter « Word 365 »… (assez onéreux)…

    Soit dit en passant, chaque fois que vous installez (depuis Google Play) une application (ou que vous sollicitez la mise en place d’un service qui vous intéresse) qui est proposé « à l’essai » - souvent 15 jours, parfois 30 jours – il vous faut alors en vous inscrivant (formulaire) accepter un paiement de 0 euro par carte bancaire (paiement sécurisé) et, au bout des 15 ou des 30 jours, le paiement de 0 euro se transforme en paiement annuel abonnement de – mettons- 30 euro… À moins de ne pas oublier de résilier ou d’annuler avant la fin des 15 ou des 30 jours (si c’est faisable)…

    C’est la raison pour laquelle je n’installe jamais rien « à l’essai »…

     

    En conclusion, les tablettes c’est très bien pour les gens qui veulent avoir internet partout et en même temps se déplacer, avoir sur soi dans une sacoche comme quand on emporte un livre ; c’est très bien pour des albums de photos, pour voir des films, des vidéos, pour des jeux, pour aller sur des réseaux sociaux tels que Instagram et Tik Tok (écran plus grand qu’un smartphone)… Mais, « c’est loin d’être le top » pour les écrivains, pour les gens qui font souvent de la bureautique et pour lesquels rien ne vaut un ordinateur écran 15 ou 17 pouces et système Windows, Appel, Mackintosch…